Coopérative bio de la Botte
La coopérative a été créée le 11 décembre 2017. Elle regroupe 15 producteurs de céréale bio répartis dans la botte du Hainaut et au sud/ouest de la province de Namur. Il s’agit de fermes familiales bio en polyculture/élevage mixte avec une production de céréales faisant partie de la rotation culturale de l’ensemble de la ferme. La volonté du groupe est de mieux maîtriser la qualité de la production pour améliorer la viabilité des fermes et participer à la renommée de la région Entre-Sambre-et-Meuse.
L’objectif du projet est de rassembler les forces des coopérateurs pour donner une plus-value aux céréales bio de la région. La surface globale cultivée est d’environ 500 ha en production bio au travers d’une rotation.
La coopérative n’est pas encore réellement active pour l’instant. Elle a cependant permis de créer des liens plus étroits entre les coopérateurs et, surtout, des échanges sur les techniques culturales de notre région. Elle est fortement intéressée à participer au projet pour bénéficier des compétences financières et commerciales du chargé de mission qui sera engagé par le Parc Naturel. En effet, jusqu’à présent, le projet a manqué cruellement d’une ressource disposant de ce profil, capable de faire avancer le projet sur ses composantes économiques. L’enjeu est en effet de définir ensemble un modèle économique soutenu par l’ensemble des coopérateurs et qui permettra de dégager les moyens financiers nécessaires aux investissements qui devront être réalisés (hall agricole, équipements, commercialisation).
Le modèle privilégié actuellement consisterait à fabriquer de la farine bio pour la commercialiser (1) vers le consommateur final en circuit court et (2) via un circuit plus long moyennant une traçabilité des producteurs de la région, avec un objectif global de 20T de farine par semaine. L’idée de créer un atelier de boulangerie n’est pas de mise actuellement ; par contre, la coopérative souhaiterait entrer en partenariat avec des boulangers artisanaux locaux, désireux de travailler en tout ou en partie en bio.
Outre ce projet, la coopérative apportera au consortium l’expérience des 15 coopérateurs, dont certains cultivent des surfaces importantes. Les membres sont très complémentaires à des petites fermes. Certains des coopérateurs pourraient participer à l’action « ferme-école » ou encore mettre à disposition des terres pour de la production vivrière sur petites surfaces.
L’objectif du projet est de rassembler les forces des coopérateurs pour donner une plus-value aux céréales bio de la région. La surface globale cultivée est d’environ 500 ha en production bio au travers d’une rotation.
La coopérative n’est pas encore réellement active pour l’instant. Elle a cependant permis de créer des liens plus étroits entre les coopérateurs et, surtout, des échanges sur les techniques culturales de notre région. Elle est fortement intéressée à participer au projet pour bénéficier des compétences financières et commerciales du chargé de mission qui sera engagé par le Parc Naturel. En effet, jusqu’à présent, le projet a manqué cruellement d’une ressource disposant de ce profil, capable de faire avancer le projet sur ses composantes économiques. L’enjeu est en effet de définir ensemble un modèle économique soutenu par l’ensemble des coopérateurs et qui permettra de dégager les moyens financiers nécessaires aux investissements qui devront être réalisés (hall agricole, équipements, commercialisation).
Le modèle privilégié actuellement consisterait à fabriquer de la farine bio pour la commercialiser (1) vers le consommateur final en circuit court et (2) via un circuit plus long moyennant une traçabilité des producteurs de la région, avec un objectif global de 20T de farine par semaine. L’idée de créer un atelier de boulangerie n’est pas de mise actuellement ; par contre, la coopérative souhaiterait entrer en partenariat avec des boulangers artisanaux locaux, désireux de travailler en tout ou en partie en bio.
Outre ce projet, la coopérative apportera au consortium l’expérience des 15 coopérateurs, dont certains cultivent des surfaces importantes. Les membres sont très complémentaires à des petites fermes. Certains des coopérateurs pourraient participer à l’action « ferme-école » ou encore mettre à disposition des terres pour de la production vivrière sur petites surfaces.
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