LOUISE MICHEL, LA VIERGE ROUGE DE LA COMMUNE
- Thématique
- Mis à jour le 11/05/2019
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Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
48.1488
|
longitude
5.50955
|
altitude
399 m
|
|||
adresse
52240 Vroncourt-la-Côte
|
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
description
Militante et femmes de lettres, dite « La Vierge rouge de la Commune »
Née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte (Haute-Marne), morte le 9 janvier 1905 à Marseille (Bouches-du-Rhône) ; combattante de la Commune de Paris, puis militante anarchiste.
Louise Michel naquit donc au château de Vroncourt le 29 mai 1830 d’un châtelain, Charles-Étienne Demahis - plus vraisemblablement de son fils - et de sa jeune servante Marianne Michel. La petite Louise grandit au château auprès de sa mère et choyée des châtelains qu’elle appelait grand-père et grand-mère. Dans ce milieu voltairien, Louise reçut une éducation libérale et une bonne instruction. Elle montra un caractère enjoué, espiègle et surtout révéla très tôt un esprit altruiste peu commun – elle soulageait toutes les misères humaines et animales qu’elle rencontrait, distribuait aux pauvres ce qu’elle possédait, l’argent que lui remettait son grand père... et celui qu’elle lui prenait.
Après avoir poursuivi ses études à Chaumont, elle obtint le brevet de capacité qui lui permettait d’exercer le métier d’institutrice. Mais elle se refusa à prêter serment à l’Empire et préféra ouvrir une école libre à Audeloncourt (Haute-Marne) en 1853.
Trois années plus tard, Louise Michel vint s’installer à Paris et exerça à l’institution.
Louise Michel connut alors une activité très grande, écrivant et rimant – elle adressa quelques poèmes à Victor Hugo - collaborant aux journaux d’opposition. Selon un rapport de police du 5 avril 1883, Louise Michel a commencé à prendre part au mouvement politique dès les premiers jours de l’année 1869.
Louise Michel se dépensa sans compter et fut tout à la fois propagandiste, garde au 61e bataillon, ambulancière et toujours préoccupée des problèmes d’instruction et d’éducation. Elle se réclama, et jusqu’à sa mort, du mouvement anarchiste.
Née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte (Haute-Marne), morte le 9 janvier 1905 à Marseille (Bouches-du-Rhône) ; combattante de la Commune de Paris, puis militante anarchiste.
Louise Michel naquit donc au château de Vroncourt le 29 mai 1830 d’un châtelain, Charles-Étienne Demahis - plus vraisemblablement de son fils - et de sa jeune servante Marianne Michel. La petite Louise grandit au château auprès de sa mère et choyée des châtelains qu’elle appelait grand-père et grand-mère. Dans ce milieu voltairien, Louise reçut une éducation libérale et une bonne instruction. Elle montra un caractère enjoué, espiègle et surtout révéla très tôt un esprit altruiste peu commun – elle soulageait toutes les misères humaines et animales qu’elle rencontrait, distribuait aux pauvres ce qu’elle possédait, l’argent que lui remettait son grand père... et celui qu’elle lui prenait.
Après avoir poursuivi ses études à Chaumont, elle obtint le brevet de capacité qui lui permettait d’exercer le métier d’institutrice. Mais elle se refusa à prêter serment à l’Empire et préféra ouvrir une école libre à Audeloncourt (Haute-Marne) en 1853.
Trois années plus tard, Louise Michel vint s’installer à Paris et exerça à l’institution.
Louise Michel connut alors une activité très grande, écrivant et rimant – elle adressa quelques poèmes à Victor Hugo - collaborant aux journaux d’opposition. Selon un rapport de police du 5 avril 1883, Louise Michel a commencé à prendre part au mouvement politique dès les premiers jours de l’année 1869.
Louise Michel se dépensa sans compter et fut tout à la fois propagandiste, garde au 61e bataillon, ambulancière et toujours préoccupée des problèmes d’instruction et d’éducation. Elle se réclama, et jusqu’à sa mort, du mouvement anarchiste.