Impressions d'une reconnaissance rando dans le marais de la Brière sous les eaux
09 Avr. 2023
En ce début de printemps, le GRP du Pays de la Brière sous les eaux fut donc inaccessible en de nombreux endroits… pour notre reconnaissance du parcours dans le marais de la Brière.
Quelques photos depuis le belvédère de Rozé – vue imprenable sur l'ensemble de la Brière - et du circuit des chaussées autour de Saint Malo de Guersac.
En attente du mois de juin prochain avec le groupe rando du mardi où nous pourrons enfin observer la biodiversité du Parc régional de la Brière :
En plus des nombreux hérons, aigrettes, spatules et autres oiseaux qui nichent en Brière, ce sera l'occasion de découvrir le patrimoine local comme la maison de l'éclusier et ses écluses qui alimentent le Brivet…mais aussi la Brière et ses îles !
Leur spécificité, c’est que ce ne sont pas des îles au milieu de la mer mais d’îles sises en plein milieu du Marais de Brière. Elles sont séparées entre elles par des canaux (les chalandières) qui permettaient aux habitants d’atteindre le marais pour y pêcher, chasser, récolter de la tourbe (pour se chauffer) et des roseaux (pour réaliser les toitures en chaume).
Une deuxième reconnaissance début juin est donc prévue avec peut-être une photo du héron cendré parmi les roseaux du marais!
Quelques photos depuis le belvédère de Rozé – vue imprenable sur l'ensemble de la Brière - et du circuit des chaussées autour de Saint Malo de Guersac.
En attente du mois de juin prochain avec le groupe rando du mardi où nous pourrons enfin observer la biodiversité du Parc régional de la Brière :
En plus des nombreux hérons, aigrettes, spatules et autres oiseaux qui nichent en Brière, ce sera l'occasion de découvrir le patrimoine local comme la maison de l'éclusier et ses écluses qui alimentent le Brivet…mais aussi la Brière et ses îles !
Leur spécificité, c’est que ce ne sont pas des îles au milieu de la mer mais d’îles sises en plein milieu du Marais de Brière. Elles sont séparées entre elles par des canaux (les chalandières) qui permettaient aux habitants d’atteindre le marais pour y pêcher, chasser, récolter de la tourbe (pour se chauffer) et des roseaux (pour réaliser les toitures en chaume).
Une deuxième reconnaissance début juin est donc prévue avec peut-être une photo du héron cendré parmi les roseaux du marais!