Cap sur la Route des Phares 

Découvrez la magie des côtes bretonnes en suivant la fascinante Route des Phares ! Plongez dans l'histoire et le patrimoine de ces monuments emblématiques. Préparez votre itinéraire avec nos suggestions de cartes, d’itinéraires et d’outils pour enrichir votre expérience.  Découvrir »

 

 

Tour du Rateau d'Aussois depuis l'Orgère

  • Mis à jour le 02/07/2024
  • Identifiant 1183479
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Autre
Autre
Echelle  
durée / niveau
Rando pédestre
08h - Moyen
distance
15,7 km
type parcours
altitude
2923 m 1331 m 1861 m -1329 m
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Lieu de départ
Villarodin-bourget
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol

Photos & vidéos (1)

description

Le sentier belvédère alterne les ambiances d'alpages, de forêts et de désert minéral. Le parcours offre également une vue plongeante sur les lacs du Plan d’Amont et Plan d’Aval.Se garer sur le parking de l'Orgère, terminus de la route. Prendre ensuite l'ancienne piste EDF située au fond du parking. Suivre l'itinéraire « col de la Masse ». Passer un pont en béton qui enjambe le ruisseau du Povaret pour arriver au pied de l'Aiguille Doran. Poursuivre par le sentier, traverser une passerelle en bois permettant de franchir le ruisseau de la Masse, puis continuer sur ce sentier en lacets pour arriver à un croisement. Prendre à gauche comme l'indique le panneau « col de la Masse ». Au col, rester sur l'itinéraire et suivre l'indication « col du Barbier ».Après le col, redescendre à travers la forêt. Après un replat forestier, remonter légèrement pour regagner le vallon de l'Orgère. Passer à proximité de chalets restaurés, arriver sur un pont en pierre vous permettant de franchir le ruisseau du Povaret. Traverser ensuite un ensemble de constructions dont une chapelle sur votre gauche. Suivre le balisage sentier de découverte et monter à travers une forêt de pins sylvestres par le sentier en lacets. Déboucher sur une route, la remonter pour arriver au parking du point de départ.

Parking conseillé

Parking de l'Orgére, Villarodin-Bourget

Transport en commun

Desserte ferroviaire jusqu'à Modane. Renseignements : www.voyages-sncf.comPas de transport collectif entre Modane et le parking de l'Orgère.Proposition d'auto-stop organisé sur la vallée de Haute-Maurienne. Renseignements : www.rezopouce.fr

En coeur de parc

Le Parc national de la Vanoise est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est utile de connaître pour préparer son séjour. Pour en savoir plus, rendez-vous sur www.vanoise-parcnational.fr

Aménagements d'accessibilité

Deux places de parking pour personnes handicapées, labellisé « Tourisme et Handicap » pour les 4 familles de déficience

Accès routier

Depuis la sortie de l'autoroute A43, prendre direction de Modane. Au rond point du Freney, prendre la RD106 en direction du refuge de l'Orgère qui est signalé. Après une demi-heure de trajet, passer le refuge sur votre droite pour accéder au parking.

Arrivée

Parking de l'Orgère, Villarodin-Bourget

Ambiance

Après quelques lacets dans les alpages, le décor verdoyant se mue en un paysage minéral, typique de la haute altitude. Pourtant, en pénétrant l'intimité des lieux, on en découvre toute la richesse du patrimoine floral. Le charme de ces espaces indomptés, c'est aussi la faune sauvage, nombreuse mais discrète. Peut-être aurez-vous la chance de croiser la trace des bouquetins, surprendre un lagopède, débusquer un lièvre variable et, qui sait, apercevoir le gypaète barbu !

Départ

Parking de l'Orgère, Villarodin-Bourget

Points d'interêt (28)

A

Le vallon de l'Orgère

Lieu historique
Orgère : lieux où on cultivait l'orge. Aux siècles passés, les besoins en pâturages, en prairies de fauche, en terres de culture sur les zones planes ou peu accidentées contraignent l’homme à déboiser, même en altitude. La rive droite du vallon, présentant un profil plus doux, a été la plus exploitée. Les rochers qui encombrent les parcelles sont mis régulièrement en tas, pour former des monticules de pierres qui subsistent encore dans le vallon. Utilisé durant la belle saison, le vallon était animé par une quinzaine de familles et leur petit troupeau.
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kilomètre 0,08
latitude 45.2309
altitude 1952 m
longitude 6.67292
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B

Les chalets

Monument & architecture
Quand la plupart des zones plates, plus propices à l’installation de chalets étaient occupées, il fallait construire dans la pente, dans des secteurs plus exposés aux avalanches. Certains chalets ont donc dû adopter une architecture spécifique leur permettant de résister aux avalanches : semi-enterrés, orientés dans le sens de la pente et protégés par un éperon de protection dénommé « tourne ».
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kilomètre 0,29
latitude 45.2324
altitude 1937 m
longitude 6.67399
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C

La petite tortue

Point d'intérêt naturel
Précoce, la petite tortue ou vanesse de l'ortie, est le premier papillon à fréquenter les fleurs à peine sorties de la neige. Les chenilles se nourrissent uniquement d'orties. Amassées en paquets, elles sont reconnaissables grâce à leurs deux bandes jaunes sur le dos. Quant au papillon, le dessus de ses ailes est orange vif, incrusté d'ébène et ourlé de lunules bleues et noires.
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kilomètre 0,50
latitude 45.2346
altitude 1965 m
longitude 6.67282
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D

Les couleurs de l'automne

Point d'intérêt naturel
Si vous en avez la possibilité, faites cette randonnée en automne. Le mélézin se pare de ses belles couleurs or. Les fruits des massifs d'épilobe en épi s'ouvrent pour libérer une multitude de graines surmontées d'une aigrette de soie blanche comme la neige. Et plus haut, en ubac, les landes à myrtille prennent leur belle couleur rouge. Les alpages, sous l'effet des premières gelées, se parent de jolies couleurs chaudes qui tranchent avec le blanc des premières neiges qui couvrent les sommets.
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kilomètre 0,78
latitude 45.237
altitude 1968 m
longitude 6.67273
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E

La marmotte

Point d'intérêt naturel
Vigie des alpages, elle vous apercevra bien souvent avant que vous ne la voyez et signalera votre présence par un cri strident, à moins qu'elle ne veuille avertir ses congénères de l’arrivée d'un aigle. Omniprésente sur la partie basse du parcours, souvent curieuse, elle fait la joie des randonneurs petits et grands qui visitent le vallon. Surtout ne les nourrissez pas ! Les aliments, inadaptés à leurs besoins, nuisent à leur santé et à leur survie.
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kilomètre 1,16
latitude 45.2397
altitude 1983 m
longitude 6.67387
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F

Le cerf élaphe

Point d'intérêt naturel
Du fait de la chasse et de l'exploitation forestière, le cerf avait disparu des forêts de Savoie. Réintroduit entre 1958 et 1973, il s'est remarquablement adapté au milieu montagnard pour former actuellement une très belle population. En automne, le rut donne lieu à de spectaculaires combats entre mâles mais ce sont surtout les cris rauques et puissants des cerfs qui animent le vallon. Profitant de la tranquillité des lieux, les animaux brament pratiquement tout au long de la journée.
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kilomètre 1,49
latitude 45.2391
altitude 2056 m
longitude 6.67669
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G

Le tétras-lyre

Point d'intérêt naturel
Hôte de la limite supérieure de la forêt alpine et de la lande à myrtille et rhododendron, le tétras lyre est également appelé petit coq de bruyère. Très discrète, grâce à son plumage brun homochromique, la femelle sera très difficile à repérer. Avec son plumage noir et sa queue en forme de lyre à laquelle il doit son nom, le mâle l'est beaucoup moins. Surtout au printemps où les coqs se livrent dès le lever du jour à des parades nuptiales spectaculaires au cours desquelles alternent des phases de combat et des moments d'intimidation faits de roucoulements et de chuintement puissants.
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kilomètre 1,60
latitude 45.2383
altitude 2066 m
longitude 6.67754
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H

L'arnica des montagnes

Point d'intérêt naturel
Véritable petit soleil, cette fleur jaune aux faux airs de marguerite est assez commune dans la lande et les pelouses subalpines. L'arnica montana est connue pour pour ses propriétés médicinales : utilisées en macérat huileux, les fleurs sont très efficaces dans la résorption des hématomes. Mais attention à ne pas l'avaler car cette jolie fleur se révèle un poison très dangereux, voire mortel. Menacée d'extinction, l'arnica ne doit surtout pas être cueillie ! 
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kilomètre 2,18
latitude 45.2421
altitude 2213 m
longitude 6.67855
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I

Le bouquetin des Alpes

Point d'intérêt naturel
L’histoire du bouquetin est intimement lié à celle du Parc national puisque, après avoir failli complètement disparaître du massif, l'interdiction de chasser au cœur du Parc a permis de sauver les derniers individus. En 1980, une quinzaine de bouquetin ont été réintroduits après avoir été capturés en Maurienne. Depuis, le bouquetin a réussi à recoloniser de nombreux massifs des Alpes françaises. Il est aujourd’hui l’espèce emblématique du Parc de la Vanoise.Durant l'été, les bouquetins montent en altitude pour rechercher de la fraîcheur. Les mâles passent la majeure partie de la journée à se reposer à l'ombre d'un rocher, et ne sont actifs que le soir ou le matin, période durant laquelle ils profitent de la fraîcheur pour s'alimenter. Les femelles, appelées étagnes, occupent falaises et vires rocheuses afin de mettre bas et d'élever leur petit à l'abri des regards indiscrets. Elles consacrent leur temps à l'élevage des jeunes sur des falaises souvent escarpées. Si vous êtes équipés de jumelles, vous pourrez sans doute apercevoir des femelles couchées sur les vires herbeuses, tandis que les cabris batifolent sans se soucier des à-pics qui les entourent.A la mauvaise saison, le bouquetin descend vers les fonds de vallée. Il modifie son régime alimentaire et double son pelage. A la différence de la marmotte qui hiBerne, le bouquetin hiVerne, c’est-à-dire qu’il reste éveillé et s'adapte aux conditions défavorables. C’est pourquoi, l'été, le bouquetin doit absolument se constituer de grosses réserves (de graisses notamment) pour passer l'hiver sans encombre. Il ne faut donc pas le perturber, ni en pâture, ni en milieu de journée quand il rumine.
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kilomètre 2,30
latitude 45.2428
altitude 2241 m
longitude 6.67628
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J

Le lagopède alpin

Point d'intérêt naturel
Également appelé perdrix des neiges, cet oiseau, relique d'un âge glaciaire révolu se montre parfaitement adapté à la vie en haute montagne. Son plumage change totalement au cours des saisons pour lui permettre de mieux se fondre dans son environnement. D'un blanc quasi immaculé en hiver, il devient progressivement gris-brun en été, comme les éboulis qu'il fréquente. Sa confiance en sa capacité à rester invisible en fait un animal peu farouche. Cet oiseau étant principalement marcheur, l'évolution a recouvert ses doigts de plumes pour éviter les pertes de chaleur et lui permettre de progresser sur la neige sans s'enfoncer.
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kilomètre 4,69
latitude 45.2551
altitude 2849 m
longitude 6.68842
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K

Le col de la Masse

Col
Sommet du circuit, le col de la masse offre un panorama à 360° avec au sud les Écrins, la Meige et le Pelvoux, au nord la pointe de l'Échelle, au nord-est les glaciers de la Vanoise et la dent Parrachée, et tout au fond, à l'est, l'Albaron !
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kilomètre 4,90
latitude 45.256
altitude 2907 m
longitude 6.68925
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L

Le silène acaule

Point d'intérêt naturel
Cette plante d'altitude, facile à reconnaître par sa couleur violette, a également la particularité de pousser en coussinet. Cette singularité propre à plusieurs espèces de haute montagne est très utile pour résister au froid et au vent. Ce coussinet dont les plus âgés peuvent atteindre plus de 50 ans, contribue la création d'un micro-écosystème qui sera ensuite exploité par d'autres espèces végétales, contribuant ainsi à la colonisation des végétaux.
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kilomètre 5,20
latitude 45.2554
altitude 2893 m
longitude 6.69222
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M

Le lièvre variable

Point d'intérêt naturel
Surnommé blanchot ou blanchon, le lièvre variable (Lepus timidus) possède un pelage d'été brun rocaille, et un pelage d'hiver tout blanc à l'exception de la pointe de ses oreilles. Ses pattes postérieures plus larges, font office de raquettes à neige, lui permettant ainsi de se déplacer facilement sur la neige. Maître du camouflage, il nous révèle sa présence en hiver par les traces en forme de Y qu'il laisse sur la neige. Si le tétras-lyre passe une grande partie de son hiver dans un igloo de neige, le lièvre variable, lui, reste actif toutes les nuits. Il cherche des graminées sur les zones déneigées ou mange l'écorce de certains feuillus. 
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kilomètre 5,53
latitude 45.2578
altitude 2799 m
longitude 6.69336
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N

L'éritriche nain

Point d'intérêt naturel
Parmi le cortège floristique de plantes naines recouvrant les crêtes ventées, l'Eritrichium nanum prédomine. Ses jolies fleurs bleues se trouvent très haut en altitude jusqu’à 3750 m, toujours groupées en coussinets, blotties dans les interstices rocheux des crêtes dénudées, souvent en compagnie de génépi et d’androsaces. Ce petit myosotis peut vivre des dizaines d’années. L’éritriche nain a été nommé ainsi par le botaniste Schrader en raison de son aspect velu et soyeux : en grec, erion signifie laine et thrix, cheveux.
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kilomètre 5,54
latitude 45.258
altitude 2778 m
longitude 6.69387
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O

Le chamois

Point d'intérêt naturel
Animal emblématique des Alpes, le chamois ou « chèvre des rochers » porte de courtes cornes noires et crochues. Comme le bouquetin, il est plus facilement observable avec des jumelles. Les chèvres et éterlous (jeunes mâles d'un an) aiment à constituer de grandes hardes ; a contrario, les boucs restent plutôt isolés pour ne rejoindre les femelles qu’à la saison des amours. L’hiver, le chamois aspire à beaucoup de tranquillité car il va survivre en économisant ses réserves de graisse.
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kilomètre 5,89
latitude 45.2574
altitude 2760 m
longitude 6.69655
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P

Les bouquetins en été

Point d'intérêt naturel
Durant l'été, les bouquetins montent en altitude pour rechercher de la fraîcheur. Regroupés par sexes, les mâles passent la majeure partie de la journée à se reposer à l'ombre d'un rocher, et ne sont actifs que le soir ou le matin, période durant laquelle ils profitent de la fraîcheur pour s'alimenter. Les femelles, appelées étagnes, consacrent leur temps à l'élevage des jeunes sur des falaises souvent escarpées, comme celles située en rive gauche lors de la descente du col de la Masse. Si vous êtes équipés de jumelles, vous pourrez sans doute apercevoir des femelles couchées sur les vires herbeuses, tandis que les cabris batifolent sans se soucier des à-pics qui les entourent.
Informations complémentaires


kilomètre 6,35
latitude 45.2627
altitude 2858 m
longitude 6.69681
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Q

Le gypaète barbu

Point d'intérêt naturel
En plus de sa très grande envergure (presque 3 m), le gypaète barbu en impose aussi par son poitrail couleur de feu au stade adulte. En fait il colore  son poitrail en se baignant dans les sources d'eau ferrugineuse. Autres particularité : il se nourrit de la moelle d'os d'animaux morts. Pour accéder à cette moelle, il emporte les os dans ses serres et les lâche sur des cailloux afin de les briser, c'est aussi pour cela qu'on l'appelle le casseur d'os. Très grand planeur, il n'est pas rare de le voir passer au dessus de l'alpage du Barbier pour profiter des courants thermiques des versant sud.
Informations complémentaires


kilomètre 6,77
latitude 45.2596
altitude 2426 m
longitude 6.70433
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R

Les chèvres et les moutons

Patrimoine religieux
Sur cet alpage du mauvais berger se trouvent des chèvres et des moutons. Les chèvres sont des laitières qui redescendent le soir pour être traites. Leur lait servira à la fabrication locale de fromage. Les agneaux et les brebis sont eux destinés à la filière viande. Les agneaux naissent vers le mois de mars et grandissent tout l'été dans l'alpage. Seules les brebis reproductrices seront conservées en bergerie l'hiver. Le troupeau du Mauvais berger est constitué par des animaux de plusieurs propriétaires. La mise en commun permet de diviser les coûts de gardiennage du troupeau.
Informations complémentaires


kilomètre 7,24
latitude 45.2562
altitude 2368 m
longitude 6.70611
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S

Le chien patou

Patrimoine religieux
Le retour naturel du loup a bouleversé les pratiques pastorales. Les éleveurs, pour protéger leur troupeau, ont mis en place des mesures de protection : la présence d'un berger pour surveiller les brebis ainsi que la mise en place de parcs. Pour compléter ce dispositif, les chiens patous, dont l'utilisation est séculaire ont retrouvé les alpages. Le mot patou désigne la fonction protectrice du chien et non sa race. En général, les chiens utilisés sont des bergers des Pyrénées. Le patou protège le troupeau contre tout ce qu'il considère comme un prédateur dont le loup.
Informations complémentaires


kilomètre 9,26
latitude 45.2422
altitude 2282 m
longitude 6.71603
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T

Le loup

Point d'intérêt naturel
Le loup présent dans la vallée vient d'Italie et s'appelle donc loup des Abruzzes. Il se distingue par son masque blanc et un trait noir sur le tibia. Le loup vit en meute de 2 à 5 individus en moyenne. Le loup est un carnivore se nourrissant principalement d'ongulés tel le cerf ou le chamois. Dans une meute, seul le couple dominant se reproduit. Les louveteaux naîtront dans une tanière à la fin du printemps. Même si l'habitat préférentiel du loup reste la forêt, il s'aventure en été dans les alpages pour rechercher les proies faciles tels que les troupeaux de mouton.
Informations complémentaires


kilomètre 9,68
latitude 45.2385
altitude 2273 m
longitude 6.71606
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U

Col du Barbier

Col
Après une courte portion montante, le col du Barbier nous dévoile toute la basse Maurienne, avec une vue sur les aiguilles d'Arves, mais aussi sur tous les sommets de la rives gauche de l'Arc : les Sarrazins,  le grand Argentier, la pointe de la Norma et l'aiguille de Scolette.
Informations complémentaires


kilomètre 9,94
latitude 45.2365
altitude 2297 m
longitude 6.71491
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V

La vallée de l'Arc

Points de vue, panorama
Arrivés au col du Barbier, un petit crochet d'une centaine de mètres vers le sud vous offrira une vue plongeante sur la Vallée de l'Arc. En face de vous, l'horizon est fermé par la chaîne frontalière d'où émerge la magnifique Aiguille de Scolette (3506 m). Vers le sud, vous distinguerez les trois dents caractéristiques des aiguilles d'Arves. Au fond de la vallée, les étranges ballons de l'ONERA, plus grande soufflerie européenne, témoignent de l'activité industrielle de la Maurienne.
Informations complémentaires


kilomètre 9,99
latitude 45.236
altitude 2308 m
longitude 6.7151
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W

Le bouquetin, une espèce sous haute surveillance

Point d'intérêt naturel
Le bouquetin continue d'être étudié de façon approfondie, notamment les femelles pour mieux connaître leur dynamique de reproduction. Pour cela chaque printemps, des animaux sont capturés au moyen de fusil hypodermique, équipés de boucles auriculaire et de colliers émetteurs. Les animaux capturés font également l'objet de plusieurs mesures biométriques et de prélèvement sanguin pour évaluer l'état sanitaire de la population. Une grande partie de ces captures sont réalisées sur l'alpage du Barbier, car le site est très fréquenté par l'espèce au printemps et durant tout l'hiver.
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kilomètre 10,34
latitude 45.2365
altitude 2307 m
longitude 6.71011
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X

Les brebis en estives

Patrimoine religieux
Vous pourrez rencontrer au cours de votre balade des brebis en estive dans les alpages. Ce pastoralisme très ancien, pour preuve les ruines en pierres encore présentes à l'Estiva, se poursuit toujours. Issues de troupeaux d'éleveurs de la vallée, ces brebis montent progressivement, depuis le village de Villarodin-Bourget en suivant l'évolution de la pousse de l'herbe.
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kilomètre 10,83
latitude 45.2358
altitude 2358 m
longitude 6.70487
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Y

Les chalets d'alpage du barbier

Patrimoine religieux
Témoins de l'activité agricole intense qui existait il n'y a pas si longtemps, les chalets d'alpage traduisent aussi toute l'ingéniosité des paysans qui étaient obligé d'édifier leur chalet avec des matériaux locaux, principalement en pierre, car le bois n'est pas présent en altitude, recouvert d'un enduit à la chaux, et avec un toit en lauze. Ces constructions se fondent souvent dans leur environnement, comme les chalets du Barbier où les murs ont la couleur des roches locales.
Informations complémentaires


kilomètre 11,10
latitude 45.2338
altitude 2334 m
longitude 6.70258
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Z

La perdrix bartavelle

Point d'intérêt naturel
Contrairement aux deux autres galliformes de montagne que sont le lagopède et le tétras-lyre, la perdrix bartavelle est une espèce thermophile (qui recherche la chaleur), ce qui explique sa présence sur les versants ensoleillés de la Maurienne. De la famille des faisans, elle vit surtout sur les pentes rocheuses alpines entre 1500 et 2600 m d'altitude. Barataval en provençal signifie « loquet de porte ». La perdrix bartavelle est ainsi nommée en raison de son chant rythmé, grinçant et haut perché, qui se rapproche du bruit du loquet. On dit que la perdrix Bartavelle brourit, cacabe, glousse, pirouitte ou rappelle. Les mois les plus propices pour l'entendre sont avril et mai où le mâle marque son territoire au lever du jour. Comment la reconnaître ? La perdrix bartavelle a le dos gris cendré brunâtre, le haut de la poitrine gris bleuté, le ventre roux pâle et les flancs rayés de roux, de noir et de crème. Le bec et les pattes sont rouges.La Vanoise constitue l'un des sites témoins de suivi des effectifs. 
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kilomètre 11,48
latitude 45.2347
altitude 2348 m
longitude 6.6984
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La chapelle Notre-Dame des Neiges, L'Orgère

Monument & architecture
Dans les montagnes et villages d'altitude, de nombreux édifices sont érigés en l'honneur de Notre-Dame-des-Neiges dont la dévotion remonte au Vème siècle. Ces sanctuaires étaient souvent des invitations à ne pas construire au-delà, en raison des risques d'avalanche. Presque tous les chalets de la combe de l'Orgère ont été tôt ou tard emportés par une avalanche. Cette chapelle est très ancienne, probablement antérieure au 17e siècle. Elle a servi pendant des siècles aux alpagistes du vallon, pour la célébration de la messe du dimanche.
Informations complémentaires


kilomètre 15,09
latitude 45.2273
altitude 1881 m
longitude 6.67304
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Le refuge de l'Orgère

Refuge
Acquis en 1969 par le Parc national de la Vanoise, ancien logement des ouvriers d'EDF , le refuge de l'Orgère est l'un des 4 refuges-porte du Parc national de la Vanoise.
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kilomètre 15,35
latitude 45.2293
altitude 1933 m
longitude 6.67288
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Note moyenne
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