Sur les traces de Robert Louis Stevenson
- Mis à jour le 25/03/2025
- Identifiant 1217997
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Restauration
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Autre
Echelle 1 : 17471321
durée / niveau
Rando pédestre
|
distance
30,7 km
type parcours
|
|||||||||
Lieu de départ
24 rue de Paris
77140 NEMOURS |
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
|
Photos & vidéos (1)
![]() |
description
Robert-Louis Stevenson a sillonné la forêt de Fontainebleau de 1875 à 1878, à l’âge de 25 ans.
L’association « R.L Stevenson » fait vivre la mémoire de l’écrivain à travers des événements et la valorisation de son œuvre auprès du grand public. Elle s’est donnée pour objectif de créer un itinéraire de randonnée entre Grez sur Loing et Châtillon-sur-Loire. C'est la première étape de ce parcours avec un retour à son point de départ par le chemin de halage du canal que nous vous proposons de découvrir.Cet itinéaire propose un balisage de qualité : Peinture rouge et blanche GR 13 et GR 13b et permet de découvrir le patrimoine naturel et culturel du Pays de Nemours, entre forêt et canal.
L’association « R.L Stevenson » fait vivre la mémoire de l’écrivain à travers des événements et la valorisation de son œuvre auprès du grand public. Elle s’est donnée pour objectif de créer un itinéraire de randonnée entre Grez sur Loing et Châtillon-sur-Loire. C'est la première étape de ce parcours avec un retour à son point de départ par le chemin de halage du canal que nous vous proposons de découvrir.Cet itinéaire propose un balisage de qualité : Peinture rouge et blanche GR 13 et GR 13b et permet de découvrir le patrimoine naturel et culturel du Pays de Nemours, entre forêt et canal.
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Points d'interêt (6)
A
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Eglise Saint Jean-Baptiste
Château
L’église Saint Jean-Baptiste est fondée par Gautier 1er de Nemours en 1170 pour recevoir une relique du saint. Celle-ci est composée d’une tour-porche du XIIème siècle et d’une nef réhaussée au XVIIème siècle.Elle abrite aujourd’hui le maître-autel de style néogothique dédié à Saint Jean-Baptiste, une sculpture de Piétà réalisée en 1869 par Sanson (artiste local du XIXème siècle), un orgue datant de 1653 et la cloche "Philippe" dédiée en 1672 à Philippe Duc d’Orléans, frère de Louis XIV, devenu Duc de Nemours.L’église est classée Monument Historique depuis 1977.
Informations complémentaires
Place de la République
77140 NEMOURS
77140 NEMOURS
kilomètre
0,04
latitude
48.2671
altitude
61
m
longitude
2.6965
B
77140 NEMOURS
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Nemours
Lieu historique
La cité médiévale des bords du Loing possède tout le charme d’une petite ville de province. Ce site témoigne d'un long passé historique de la préhistoire à nos jours en passant par ses riches heures médiévales…
Aujourd’hui Nemours garde le charme d’une cité ancienne avec ses ruelles pittoresques et son château sur les bords du Loing.Un peu d’histoire...Les traces d’occupation humaine datent du paléolithique attestées par la découverte de vestiges remontant à cette période.A l’époque médiévale, le premier seigneur de Nemours est Orson en 1120.Son gendre, Gauthier de Villebéon (Gauthier Ier), permet la construction du château et de l’église Saint Jean-Baptiste. La ville est incendiée en 1358 durant la guerre de Cent Ans.Capitale du Gâtinais, la ville prospère durant les siècles suivants. Le 7 juillet 1585, au château, est ratifié le Traité de Nemours interdisant le culte protestant et excluant Henri de Navarre de la succession du trône (futur Henri IV).En 1789, Pierre Samuel Dupont est député de Nemours, 10 ans plus tard, il quitte la France pour les Etats-Unis où son fils, Eleuthère Irénée, crée la multinationale Du Pont de Nemours.En 1800, la ville perd sa préfecture au profit de la ville de Fontainebleau.Encore ville rurale à la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle prend petit à petit plus d’importance dans la vie économique de la région, sa population suivant la même croissance.Le châteauBâti au XII° siècle, le château fort constituait la principale partie de la défense de la ville fortifiée. Au départ, la vocation du château était le repos pour les Seigneurs revenus de Croisades. Modifié au XV° siècle par le Duc de Nemours pour un usage de résidence, puis au XVII° siècle, le château a depuis gardé son aspect. Une des tourelles du donjon recèle une magnifique Chapelle à deux niveaux.Eglise Saint Jean-BaptisteL’église Saint Jean-Baptiste est construite en 1170 à la demande de Gauthier Ier de Nemours. L’église est détruite dans l’incendie de la ville au début du XV° siècle, puis reconstruite à partir de 1445 et enfin achevée en 1555. Le chœur date de cette reconstruction. En 1850 et 1890, l’intérieur de l’église est aménagé avec la pose de vitraux et d’un maître autel dédié à Saint Jean-Baptiste.Le Musée départemental de la préhistoire d’Île de FranceSitué à proximité de plusieurs sites paléolithiques, ce musée est consacré à la préhistoire et la protohistoire d’Île de France depuis l’apparition de l’homme jusqu’à la période gallo-romaine. En plus des objets archéologiques, le musée présente des moulages de sols d’habitats de sites préhistoriques.Deux circuits sont proposés aux visiteurs, un court, parfait pour les enfants et un long destiné aux personnes désireuses de parfaire leurs connaissances.
Aujourd’hui Nemours garde le charme d’une cité ancienne avec ses ruelles pittoresques et son château sur les bords du Loing.Un peu d’histoire...Les traces d’occupation humaine datent du paléolithique attestées par la découverte de vestiges remontant à cette période.A l’époque médiévale, le premier seigneur de Nemours est Orson en 1120.Son gendre, Gauthier de Villebéon (Gauthier Ier), permet la construction du château et de l’église Saint Jean-Baptiste. La ville est incendiée en 1358 durant la guerre de Cent Ans.Capitale du Gâtinais, la ville prospère durant les siècles suivants. Le 7 juillet 1585, au château, est ratifié le Traité de Nemours interdisant le culte protestant et excluant Henri de Navarre de la succession du trône (futur Henri IV).En 1789, Pierre Samuel Dupont est député de Nemours, 10 ans plus tard, il quitte la France pour les Etats-Unis où son fils, Eleuthère Irénée, crée la multinationale Du Pont de Nemours.En 1800, la ville perd sa préfecture au profit de la ville de Fontainebleau.Encore ville rurale à la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle prend petit à petit plus d’importance dans la vie économique de la région, sa population suivant la même croissance.Le châteauBâti au XII° siècle, le château fort constituait la principale partie de la défense de la ville fortifiée. Au départ, la vocation du château était le repos pour les Seigneurs revenus de Croisades. Modifié au XV° siècle par le Duc de Nemours pour un usage de résidence, puis au XVII° siècle, le château a depuis gardé son aspect. Une des tourelles du donjon recèle une magnifique Chapelle à deux niveaux.Eglise Saint Jean-BaptisteL’église Saint Jean-Baptiste est construite en 1170 à la demande de Gauthier Ier de Nemours. L’église est détruite dans l’incendie de la ville au début du XV° siècle, puis reconstruite à partir de 1445 et enfin achevée en 1555. Le chœur date de cette reconstruction. En 1850 et 1890, l’intérieur de l’église est aménagé avec la pose de vitraux et d’un maître autel dédié à Saint Jean-Baptiste.Le Musée départemental de la préhistoire d’Île de FranceSitué à proximité de plusieurs sites paléolithiques, ce musée est consacré à la préhistoire et la protohistoire d’Île de France depuis l’apparition de l’homme jusqu’à la période gallo-romaine. En plus des objets archéologiques, le musée présente des moulages de sols d’habitats de sites préhistoriques.Deux circuits sont proposés aux visiteurs, un court, parfait pour les enfants et un long destiné aux personnes désireuses de parfaire leurs connaissances.
Informations complémentaires
77140 NEMOURS
kilomètre
0,26
latitude
48.267
altitude
61
m
longitude
2.69261
C
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Ancienne maison du Receveur du Canal du Loing
Lieu historique
devenu le bureau des VNF (Voies Navigables de France)
Informations complémentaires
Chemin de halage
77140 NEMOURS
77140 NEMOURS
kilomètre
0,62
latitude
48.272
altitude
60
m
longitude
2.6937
D
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Villiers-sous-Grez
Lieu historique
Présentation de Villiers-sous-GrezAu centre d’une clairière, Villiers-sous-Grez s’est développé selon deux axes. Celui Est-Ouest, qui reliait la chapellenie de La Chapelle-la-Reine à celle de Grez-surLoing, toutes deux rattachées au domaine royal depuis 1068, correspond aujourd’hui aux rues Gabriel Bachet et René Lefebvre. L’autre, l’axe Sud-Nord, reliait la communauté laborieuse domiciliée le long du premier axe à son église. Celle-ci matérialisait le siège de l’Autorité. Cet axe suit la rue Creuse et la rue de l’Eglise.La première référence écrite du village, sous le nom d’Auvillare, date de 1080. La région est sous le règne des Capétiens ; le domaine de Fontainebleau est une de leurs principales chasses. Villiers, à l’extrémité de ce territoire, est bien placé pour une halte. Lorsque, pour le repos de leur âme, Robert le Pieux ou Henri 1er décident de créer ici un Prieuré qui facilitera le développement de l’agglomération, les « paysans défricheurs » ont déjà construit des chaumières et des petites dépendances. Les exploitations agricoles avaient, en moyenne, une surface de deux hectares. A cette époque, Auvillare comptait une centaine de feux.En 1303, Philippe le Bel, qui naquit et mourut à Fontainebleau, cède son droit de suzeraineté sur Villiers à son chambellan Hugues de Bouville. En 1367, ce chevalier visite sa seigneurie et passe à Villiers pour vérifier la solidité et les protections de l’église, afin de protéger les habitants en cas d’intrusion des bandes anglaises. Il y a déjà 30 ans que la « guerre de cent ans » a commencé. Plusieurs batailles ont lieu dans les environs immédiats : à Nemours, Larchant, Beaune-la-Rolande, ChâteauLandon, autant de places prises et reprises. Le 31 mars 1430, Jeanne d’Arc fait halte à La Chapelle-la-Reine. La fin de cette guerre, 27 ans plus tard, voit Villiers désolé et dépeuplé.La réorganisation administrative de la région va prendre du temps. La délimitation des seigneuries et la détermination des droits fiscaux par leurs nouveaux détenteurs est à l’occasion du démembrement le plus ancien qui nous soit parvenu. En 1552, Villiers compte 85 foyers logés dans 66 maisons, et Busseau, hameau de notre commune, 25 foyers pour 27 familles ; soit à peu près 440 habitants.En 1577, un édit interdisant aux parisiens d’acheter du vin à moins de 20 lieux de la Capitale, va favoriser la culture de la vigne qui sera, un temps, la richesse de Villiers et facteur de développement.Il faut attendre 1664 pour trouver trace d’un recensement. Barillon, grand maître de la forêt de Fontainebleau, dénombre 500 habitants de Villiers parmi les bénéficiaires des droits d’usage de la forêt. Donc une augmentation d’une soixantaine de personnes en 112 ans, au reflet de la moyenne de l’accroissement démographique de cette époque.Sous le règne de Louis XIV, sévissent famines et épidémies. Dans son« dénombrement du Royaume », l’auteur, Saugrain, libraire à Paris, indique 124 feux à Villiers en 1709. C’est donc une longue période de stagnation avant le début d’une croissance démographique jusqu’à la fin du XVIIIème siècle. La population est alors de 800 habitants. Nouvelle stagnation car, en 1836, on dénombre 804 villarons.Compte tenu de la petite surface cultivable de la commune, 450 hectares sur 1250, 800 villarons c’est beaucoup. Cela s’explique par la grande proportion de viticulteurs qui tirent des revenus suffisants de très petites parcelles. Les vignes occupent la moitié des terres cultivables. La concurrence des vins du Midi, qui arrivent à la Capitale grâce au « Chemin de fer », et l’arrivée de plusieurs maladies de la vigne, dont le phylloxéra, vont voir le déclin de cette culture dès la moitié du XIXème siècle. En compensation, les cultivateurs valorisent davantage leurs champs en remplaçant les jachères par des prairies de sainfoin et de luzerne. Mais le déclin démographique commence, les revenus agricoles diminuent et l’attrait de la Capitale augmente avec les moyens de transport. Le déclin continue. Il permet la concentration des exploitations. Elles étaient 190 en 1892, elles ne sont plus que 27 en 1957, soit en l’espace d’à peine deux générations.A ce jour, il reste deux agriculteurs sur Villiers. L’agriculture faisant travailler demoins en moins de monde, d’autres activités se développent. En 1926, la carrière de sable fait vivre 10 personnes ; on compte une dizaine de bûcherons, des agents forestiers, des charretiers spécialisés. On dénombre une vingtaine d’artisans et 16 commerçants.En 1946, la population tombe à 447 habitants. Elle ne bougera presque plus jusqu’en 1975 où la construction d’un nouveau quartier permet à Villiers de compter 706 habitants en 1982. Les nouveaux venus trouvent du travail à proximité. A Nemours et Bagneaux, les usines font de la verrerie industrielle grâce à la silice contenue dans le sable bellifontain. Le village voisin d’Ury accueille une centrale de flaconnage de parfums et celui de Recloses une imprimerie. Nous sommes aujourd’hui environ 770 villarons. Mais, pour trouver du travail, il faut aller plus loin, souvent jusqu’à Paris.Le cadre naturel de notre village, que vous allez bientôt découvrir dans votrepromenade, explique pourquoi nous nous sommes enracinés ici. Il est aussi un atout important pour la ville et le développement d’un tourisme respectueux de l’environnement.
Informations complémentaires
5 rue de Larchant
77760 VILLIERS-SOUS-GREZ
77760 VILLIERS-SOUS-GREZ
kilomètre
10,24
latitude
48.3169
altitude
79
m
longitude
2.64723
E
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Larchant
Lieu historique
Situé dans le sud de la Seine-et-Marne à proximité de la forêt de Fontainebleau et de ses plus beaux sites d’escalade, Larchant, village du Parc Naturel du Gâtinais français, fait le bonheur des amoureux de la nature et du patrimoine.A l'est du plateau du Gâtinais dans une vaste cuvette appelée golfe, le village s'est épanouit dans un environnement naturel exceptionnel : réserve naturelle du marais de Larchant, grottes ornées de gravures rupestres, forêt de la Commanderie.Dominée par la ferme du Chapitre, la cité s'est développée autour de son église qui fut un lieu de pèlerinage important au moyen-âge et une étape sur le chemin de Compostelle.Les passionnés de grimpe du monde entier s'y donnent rendez-vous pour pratiquer l'escalade de bloc dans ses chaos de roches gréseuses.
Informations complémentaires
2 Place Pasteur
77760 LARCHANT
77760 LARCHANT
kilomètre
20,07
latitude
48.2841
altitude
73
m
longitude
2.59754
F
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Château Musée de Nemours
Art & Musées
Véritable symbole de la Ville de Nemours, le château (classé monument historique) est inséparable de son histoire, de la seigneurie, puis du duché de Nemours.
Situé sur la rive gauche du Loing, au coeur de l'ancienne cité médiévale, cet édifice du XIIe siècle est l'un des seuls châteaux de ville en Ile-de-France parvenu jusqu'à nous.Le donjon flanqué de quatre tourelles d'angles, est relié à une tour carrée de 30 mètres par une étroite galerie. De style gothique, la chapelle intérieure des anciens seigneurs de Nemours est considérée comme un bijou architectural.Le musée est fondé en 1901 par le sculpteur Justin-Chrysostome Sanson (1833-1910), le peintre Ernest Marché (1864-1932) et l'imprimeur en taille-douce Adolphe Ardail (1835-1911).Il est riche d'environ 20 000 œuvres constitué d'un fonds remarquable d'arts graphiques (estampes, dessins, photographies), de peintures et de sculptures emblématiques de l'art de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.Lieu d'exploration, de découverte et de culture, le château a repris ses activités de musée depuis 2008 après trois ans de fermeture et plusieurs mois de travaux de rénovation.Des expositions temporaires rythment la programmation de ce lieu unique. Elles sont accompagnées d'un travail de médiation à destination des différents publics.La structure s'inscrit aussi dans le cadre des évènements nationaux : Week-end Musées Télérama en mars, Nuits des musées au mois de mai et Journées du Patrimoine le troisième week-end du mois de septembre.
Situé sur la rive gauche du Loing, au coeur de l'ancienne cité médiévale, cet édifice du XIIe siècle est l'un des seuls châteaux de ville en Ile-de-France parvenu jusqu'à nous.Le donjon flanqué de quatre tourelles d'angles, est relié à une tour carrée de 30 mètres par une étroite galerie. De style gothique, la chapelle intérieure des anciens seigneurs de Nemours est considérée comme un bijou architectural.Le musée est fondé en 1901 par le sculpteur Justin-Chrysostome Sanson (1833-1910), le peintre Ernest Marché (1864-1932) et l'imprimeur en taille-douce Adolphe Ardail (1835-1911).Il est riche d'environ 20 000 œuvres constitué d'un fonds remarquable d'arts graphiques (estampes, dessins, photographies), de peintures et de sculptures emblématiques de l'art de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle.Lieu d'exploration, de découverte et de culture, le château a repris ses activités de musée depuis 2008 après trois ans de fermeture et plusieurs mois de travaux de rénovation.Des expositions temporaires rythment la programmation de ce lieu unique. Elles sont accompagnées d'un travail de médiation à destination des différents publics.La structure s'inscrit aussi dans le cadre des évènements nationaux : Week-end Musées Télérama en mars, Nuits des musées au mois de mai et Journées du Patrimoine le troisième week-end du mois de septembre.
Informations complémentaires
Rue Gautier 1er
77140 NEMOURS
77140 NEMOURS
kilomètre
30,51
latitude
48.2655
altitude
61
m
longitude
2.69711
Note moyenne
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par Florent |