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Sur les traces de Robert Louis Stevenson

  • Mis à jour le 26/02/2024
  • Identifiant 1217997
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Autre
Autre
Echelle  
durée / niveau
Rando pédestre
N/A
distance
30,7 km
type parcours
altitude
120 m 450 m 55 m -451 m
Voir le profil altimétrique »
Lieu de départ
24 rue de Paris
77140 NEMOURS
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol

Photos & vidéos (1)

description

Robert-Louis Stevenson a sillonné la forêt de Fontainebleau de 1875 à 1878, à l’âge de 25 ans.L’association « R.L Stevenson » fait vivre la mémoire de l’écrivain à travers des événements et la valorisation de son œuvre auprès du grand public. Elle s’est donnée pour objectif de créer un itinéraire de randonnée entre Grez sur Loing et Châtillon-sur-Loire. C'est la première étape de ce parcours avec un retour à son point de départ par le chemin de halage du canal que nous vous proposons de découvrir.Cet itinéaire propose un balisage de qualité : Peinture rouge et blanche GR 13 et GR 13b et permet de découvrir le patrimoine naturel et culturel du Pays de Nemours, entre forêt et canal.

Contact

Téléphone : 01 64 28 03 95Site web : http://www.tourisme-paysdenemours.fr

Période d'ouverture

Toute l'année.

Mis à jour par

Office de Tourisme du Pays de Nemours - 21/10/2023http://www.tourisme-paysdenemours.fr

infos parcours (9)

1

Point de départ

Ce circuit démarre devant l'église Saint Jean-Baptiste de Nemours
Informations complémentaires
24 Rue de Paris
77140 NEMOURS
kilomètre 0,00
latitude 48.2673
altitude 61 m
longitude 2.69612
2

Traverser le pont puis poursuivre à gauche

A Nemours, traversez le pont puis poursuivez sur votre gauche sur le chemin de Halage de Fromonville.
Informations complémentaires
2 Rue de l'Écluse
77140 NEMOURS
kilomètre 0,60
latitude 48.2723
altitude 62 m
longitude 2.69433
3

Passer sur la passerelle

Au niveau de l'écluse, vous trouverez un panneau d'interprétation sur le Moulin Rouge. Traversez ensuite la passerelle.
Informations complémentaires
11 Impasse de l'Écluse
77140 MONTCOURT-FROMONVILLE
kilomètre 3,04
latitude 48.2931
altitude 59 m
longitude 2.69474
4

Traverser le pont puis prendre la première à gauche.

A l'entrée de Grez-sur-Loing, traversez le pont puis prenez sur votre gauche en direction du centre du bourg. Passez par la ruelle de la Tour de Ganne.
Informations complémentaires
16 Route de Grez
77880 GREZ-SUR-LOING
kilomètre 5,80
latitude 48.3153
altitude 56 m
longitude 2.69532
5

Passer sous la voie ferrée

Passez sous la voie ferrée puis prenez à gauche. Longez cette dernière sur quelques mètres puis prenez à droite. Vous arriverez à Villiers-sous-Grez où vous rejoindrez le GR13.
Informations complémentaires
11 Chemin des Prés de la Noue
77880 GREZ-SUR-LOING
kilomètre 7,55
latitude 48.3143
altitude 62 m
longitude 2.67564
6

Traverser le hameau de Busseau

A la sortie de Villiers-sous-Grez, passez sous l'autoroute. Vous traverserez ensuite le hameau de Busseau puis vous arriverez à la Dame Jouanne.
Informations complémentaires
Autoroute du Soleil
77760 VILLIERS-SOUS-GREZ
kilomètre 11,78
latitude 48.3139
altitude 91 m
longitude 2.6405
7

Passer par Larchant

Vous arrivez à Larchant, sur votre gauche, il y a un marais qui est classé réserve naturelle volontaire. Traversez le village où vous pourrez faire une halte au niveau de la basilique Saint Mathurin.
Informations complémentaires
Chemin du Larry Saint-Marc
77760 LARCHANT
kilomètre 19,16
latitude 48.2886
altitude 115 m
longitude 2.58891
8

Poursuivre sur le GR13

A cet endroit, vous quittez le Parc du Gâtinais français. En revanche, vous restez au sein de la forêt domaniale de la Commanderie. Poursuivez sur le GR13 en direction de Nemours.
Informations complémentaires
Unnamed Road
77760 LARCHANT
kilomètre 23,15
latitude 48.2741
altitude 72 m
longitude 2.6318
9

Traverser le parc des Rochers Gréau

A Saint Pierre-lès-Nemours, le GR13 traverse le parc des Rochers Gréau. À la sortie de ce dernier, vous entrez dans Nemours.
Informations complémentaires
15 Allée du Galion
77140 SAINT-PIERRE-LÈS-NEMOURS
kilomètre 28,12
latitude 48.2593
altitude 78 m
longitude 2.67551

Points d'interêt (4)

B

Nemours

Lieu historique
La cité médiévale des bords du Loing possède tout le charme d’une petite ville de province. Ce site témoigne d'un long passé historique de la préhistoire à nos jours en passant par ses riches heures médiévales…Aujourd’hui Nemours garde le charme d’une cité ancienne avec ses ruelles pittoresques et son château sur les bords du Loing.Un peu d’histoire...Les traces d’occupation humaine datent du paléolithique attestées par la découverte de vestiges remontant à cette période.A l’époque médiévale, le premier seigneur de Nemours est Orson en 1120.Son gendre, Gauthier de Villebéon (Gauthier Ier), permet la construction du château et de l’église Saint Jean-Baptiste. La ville est incendiée en 1358 durant la guerre de Cent Ans.Capitale du Gâtinais, la ville prospère durant les siècles suivants. Le 7 juillet 1585, au château, est ratifié le Traité de Nemours interdisant le culte protestant et excluant Henri de Navarre de la succession du trône (futur Henri IV).En 1789, Pierre Samuel Dupont est député de Nemours, 10 ans plus tard, il quitte la France pour les Etats-Unis où son fils, Eleuthère Irénée, crée la multinationale Du Pont de Nemours.En 1800, la ville perd sa préfecture au profit de la ville de Fontainebleau.Encore ville rurale à la fin de la Seconde Guerre mondiale, elle prend petit à petit plus d’importance dans la vie économique de la région, sa population suivant la même croissance.Le châteauBâti au XII° siècle, le château fort constituait la principale partie de la défense de la ville fortifiée. Au départ, la vocation du château était le repos pour les Seigneurs revenus de Croisades. Modifié au XV° siècle par le Duc de Nemours pour un usage de résidence, puis au XVII° siècle, le château a depuis gardé son aspect. Une des tourelles du donjon recèle une magnifique Chapelle à deux niveaux.Eglise Saint Jean-BaptisteL’église Saint Jean-Baptiste est construite en 1170 à la demande de Gauthier Ier de Nemours. L’église est détruite dans l’incendie de la ville au début du XV° siècle, puis reconstruite à partir de 1445 et enfin achevée en 1555. Le chœur date de cette reconstruction. En 1850 et 1890, l’intérieur de l’église est aménagé avec la pose de vitraux et d’un maître autel dédié à Saint Jean-Baptiste.Le Musée départemental de la préhistoire d’Île de FranceSitué à proximité de plusieurs sites paléolithiques, ce musée est consacré à la préhistoire et la protohistoire d’Île de France depuis l’apparition de l’homme jusqu’à la période gallo-romaine. En plus des objets archéologiques, le musée présente des moulages de sols d’habitats de sites préhistoriques.Deux circuits sont proposés aux visiteurs, un court, parfait pour les enfants et un long destiné aux personnes désireuses de parfaire leurs connaissances.
Informations complémentaires

77140 NEMOURS
kilomètre 0,26
latitude 48.267
altitude 61 m
longitude 2.69261
Voir la fiche du point d'intéret »
C

Ancienne maison du Receveur du Canal du Loing

Lieu historique
devenu le bureau des VNF (Voies Navigables de France)
Informations complémentaires
Chemin de halage
77140 NEMOURS
kilomètre 0,62
latitude 48.272
altitude 60 m
longitude 2.6937
Voir la fiche du point d'intéret »
D

Villiers-sous-Grez

Lieu historique
Présentation de Villiers-sous-GrezAu centre d’une clairière, Villiers-sous-Grez s’est développé selon deux axes. Celui Est-Ouest, qui reliait la chapellenie de La Chapelle-la-Reine à celle de Grez-surLoing, toutes deux rattachées au domaine royal depuis 1068, correspond aujourd’hui aux rues Gabriel Bachet et René Lefebvre. L’autre, l’axe Sud-Nord, reliait la communauté laborieuse domiciliée le long du premier axe à son église. Celle-ci matérialisait le siège de l’Autorité. Cet axe suit la rue Creuse et la rue de l’Eglise.La première référence écrite du village, sous le nom d’Auvillare, date de 1080. La région est sous le règne des Capétiens ; le domaine de Fontainebleau est une de leurs principales chasses. Villiers, à l’extrémité de ce territoire, est bien placé pour une halte. Lorsque, pour le repos de leur âme, Robert le Pieux ou Henri 1er décident de créer ici un Prieuré qui facilitera le développement de l’agglomération, les « paysans défricheurs » ont déjà construit des chaumières et des petites dépendances. Les exploitations agricoles avaient, en moyenne, une surface de deux hectares. A cette époque, Auvillare comptait une centaine de feux.En 1303, Philippe le Bel, qui naquit et mourut à Fontainebleau, cède son droit de suzeraineté sur Villiers à son chambellan Hugues de Bouville. En 1367, ce chevalier visite sa seigneurie et passe à Villiers pour vérifier la solidité et les protections de l’église, afin de protéger les habitants en cas d’intrusion des bandes anglaises. Il y a déjà 30 ans que la « guerre de cent ans » a commencé. Plusieurs batailles ont lieu dans les environs immédiats : à Nemours, Larchant, Beaune-la-Rolande, ChâteauLandon, autant de places prises et reprises. Le 31 mars 1430, Jeanne d’Arc fait halte à La Chapelle-la-Reine. La fin de cette guerre, 27 ans plus tard, voit Villiers désolé et dépeuplé.La réorganisation administrative de la région va prendre du temps. La délimitation des seigneuries et la détermination des droits fiscaux par leurs nouveaux détenteurs est à l’occasion du démembrement le plus ancien qui nous soit parvenu. En 1552, Villiers compte 85 foyers logés dans 66 maisons, et Busseau, hameau de notre commune, 25 foyers pour 27 familles ; soit à peu près 440 habitants.En 1577, un édit interdisant aux parisiens d’acheter du vin à moins de 20 lieux de la Capitale, va favoriser la culture de la vigne qui sera, un temps, la richesse de Villiers et facteur de développement.Il faut attendre 1664 pour trouver trace d’un recensement. Barillon, grand maître de la forêt de Fontainebleau, dénombre 500 habitants de Villiers parmi les bénéficiaires des droits d’usage de la forêt. Donc une augmentation d’une soixantaine de personnes en 112 ans, au reflet de la moyenne de l’accroissement démographique de cette époque.Sous le règne de Louis XIV, sévissent famines et épidémies. Dans son« dénombrement du Royaume », l’auteur, Saugrain, libraire à Paris, indique 124 feux à Villiers en 1709. C’est donc une longue période de stagnation avant le début d’une croissance démographique jusqu’à la fin du XVIIIème siècle. La population est alors de 800 habitants. Nouvelle stagnation car, en 1836, on dénombre 804 villarons.Compte tenu de la petite surface cultivable de la commune, 450 hectares sur 1250, 800 villarons c’est beaucoup. Cela s’explique par la grande proportion de viticulteurs qui tirent des revenus suffisants de très petites parcelles. Les vignes occupent la moitié des terres cultivables. La concurrence des vins du Midi, qui arrivent à la Capitale grâce au « Chemin de fer », et l’arrivée de plusieurs maladies de la vigne, dont le phylloxéra, vont voir le déclin de cette culture dès la moitié du XIXème siècle. En compensation, les cultivateurs valorisent davantage leurs champs en remplaçant les jachères par des prairies de sainfoin et de luzerne. Mais le déclin démographique commence, les revenus agricoles diminuent et l’attrait de la Capitale augmente avec les moyens de transport. Le déclin continue. Il permet la concentration des exploitations. Elles étaient 190 en 1892, elles ne sont plus que 27 en 1957, soit en l’espace d’à peine deux générations.A ce jour, il reste deux agriculteurs sur Villiers. L’agriculture faisant travailler demoins en moins de monde, d’autres activités se développent. En 1926, la carrière de sable fait vivre 10 personnes ; on compte une dizaine de bûcherons, des agents forestiers, des charretiers spécialisés. On dénombre une vingtaine d’artisans et 16 commerçants.En 1946, la population tombe à 447 habitants. Elle ne bougera presque plus jusqu’en 1975 où la construction d’un nouveau quartier permet à Villiers de compter 706 habitants en 1982. Les nouveaux venus trouvent du travail à proximité. A Nemours et Bagneaux, les usines font de la verrerie industrielle grâce à la silice contenue dans le sable bellifontain. Le village voisin d’Ury accueille une centrale de flaconnage de parfums et celui de Recloses une imprimerie. Nous sommes aujourd’hui environ 770 villarons. Mais, pour trouver du travail, il faut aller plus loin, souvent jusqu’à Paris.Le cadre naturel de notre village, que vous allez bientôt découvrir dans votrepromenade, explique pourquoi nous nous sommes enracinés ici. Il est aussi un atout important pour la ville et le développement d’un tourisme respectueux de l’environnement.
Informations complémentaires
5 rue de Larchant
77760 VILLIERS-SOUS-GREZ
kilomètre 10,24
latitude 48.3169
altitude 79 m
longitude 2.64723
Voir la fiche du point d'intéret »
E

Larchant

Lieu historique
Situé dans le sud de la Seine-et-Marne à proximité de la forêt de Fontainebleau et de ses plus beaux sites d’escalade, Larchant, village du Parc Naturel du Gâtinais français, fait le bonheur des amoureux de la nature et du patrimoine.A l'est du plateau du Gâtinais dans une vaste cuvette appelée golfe, le village s'est épanouit dans un environnement naturel exceptionnel : réserve naturelle du marais de Larchant, grottes ornées de gravures rupestres, forêt de la Commanderie.Dominée par la ferme du Chapitre, la cité s'est développée autour de son église qui fut un lieu de pèlerinage important au moyen-âge et une étape sur le chemin de Compostelle.Les passionnés de grimpe du monde entier s'y donnent rendez-vous pour pratiquer l'escalade de bloc dans ses chaos de roches gréseuses.
Informations complémentaires
2 Place Pasteur
77760 LARCHANT
kilomètre 20,07
latitude 48.2841
altitude 73 m
longitude 2.59754
Voir la fiche du point d'intéret »
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