Circuit voiture de la Châtaigneraie Méridionale

La Chapelle Notre Dame du Pont, nichée dans un écrin deverdure au bord de la Rance, sur la commune de Leynhac,date du XIIème siècle.
La Chapelle renferme de magnifiques fresques des XIIIe - XVe siècles ainsi qu'une vierge en bois doré du XVIIe. Un lieu de recueillement et de quiétude au cœur de la Châtaigneraie.L’Association Marguerite & Joseph Clauzet des amis de laChapelle du Pont vous fait visiter la Chapelle et vous raconteson histoire pendant l'été.

Le château fort de Vieillevie, dont les origines remontent autour de l'an mil, domine de ses hautes tours la vallée du Lot.
C'est une authentique forteresse défensive : chemins de ronde, archères, hourds de défense. Au-dessus des salles basses creusées dans le roc, on découvre les grandes salles Renaissance avec leurs baies à meneaux finement sculptées, et leurs cheminées monumentales du XIIIe siècle, parmi les plus anciennes de France.Visites théâtralisées dans l’après-midi en saison estivale.

Insolite village que celui de Saint-Santin. On a peine à imaginer en le traversant, tant il est de dimensions modestes, qu'il est divisé en deux communes et qu'il enjambe deux départements et même deux régions !Au cœur du village, un indice pourtant ne trompe pas : la présence de deux églises séparées de seulement quelques mètres, qui laisse deviner les querelles de clocher qui émaillent l'histoire de Saint-Santin depuis fort longtemps... Presque à elle seule, cette configuration "siamoise" unique suffit à attirer les visiteurs, et les deux communes n'ont pas manqué de veiller à assouvir leur curiosité en leur proposant un Espace muséographique ouvert toute l'année. Et sur laquelle des deux communes le trouve-t-on ? Les deux, pardi ! Côté Cantal, c'est Marie-Pierre qui vous accueille et côté Aveyron, c'est Pierre-Marie ! Du beau travail d'équipe certes, mais bon, vous verrez que la cohabitation sereine n'a pas toujours été de mise et que cette incongruité administrative n'est pas allée sans quelques cocasseries...Elle veille sur le village double de Saint-Santin du haut de ses 408 m : la butte calcaire de la Garenne, que vous contournerez sans doute en chemin, est pourtant incontournable si vous êtes férus de fleurs sauvages, en particulier d'orchidées : un quart de la flore française et plus de la moitié de la flore auvergnate y sont représentés ! L'accès s'y fait à pied depuis le village, mais soyez vigilants : il s'agit d'un site Natura 2000, les espèces vivantes y sont protégées.La cigale ne fait pas partie de ces espèces, mais vous l'entendrez peut-être chanter si vous empruntez le sentier de randonnée qui porte son nom et qui passe au pied de la butte : "Chante-Cigale". Eh oui, Saint-Santin-de-Maurs, c'est déjà le Midi ! Mi-découvert mi-ombragé, ce sentier de 8,7 km est idéal pour profiter du soleil tout en se ménageant des petits moments de fraîcheur.

Une trentaine d’espèces d’orchidées sauvages sont présentes sur ces quelques hectares qui rassemblent un quart de la flore française et plus de la moitié de la flore auvergnate en orchidées.Petite région composée des communes de Saint-Santin-de-Maurs et de Montmurat dont les collines situées à une altitude de 400 m environ sont des buttes calcaires (ancien bassin lacustre). Le climat est l’un des plus doux et des plus secs du département. Ces conditions donnent aux paysages, à l’agriculture et aux milieux naturels un caractère méridional prononcé.Accès libre à pied à partir de village de Saint-Santin-de-Maurs. Les espèces animales et florales vivant sur ce site Natura 2000 sont protégées, soyez vigilants.