A
Église Saint-Etienne Saint-Denis
Château
Il y eut à la Ferté pas moins de 4 églises successives et/ou brièvement contemporaines. Seule reste aujourd’hui celle de la première moitié du XVème siècle reprise au XVIIème sous le vocable à la fois de Saint Étienne et de Saint Denis depuis 1580. Étroitement liée par son architecture et son histoire à la ville, elle emprunte à cette dernière son clocher, ancienne tour de guet de la forteresse. On peut y admirer une statue de la Vierge au cierge du XIIIème et un orgue d’esthétique Louis XIII.
Informations complémentaires
Rue des Étuves
77260 LA FERTÉ-SOUS-JOUARRE
kilomètre
0,20
latitude
48.9496
altitude
58
m
longitude
3.12912
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B
Hôtel de ville
Monument & architecture
Situé à l’emplacement d’une ancienne auberge du « Grand Dauphin couronné », l’hôtel de ville actuel symbolise la politique édilitaire ambitieuse, menée au XIXème siècle par les patrons des grandes sociétés meulières qui, de l’extraction de la pierre à meule à son façonnage puis son exportation dans le monde entier, ont fait connaître le nom de La Ferté-sous-Jouarre dans le monde entier.
Informations complémentaires
Place de l'Hôtel de ville
77260 LA FERTÉ-SOUS-JOUARRE
kilomètre
0,21
latitude
48.9502
altitude
60
m
longitude
3.12964
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C
La Maison natale d'André Planson
Lieu historique
André Planson, artiste peintre, est né le 10 avril 1898 à La Ferté-sous-Jouarre. Il fera ses études au collège de Meaux.Planson était conscient de ses attaches avec sa ville natale, comme il le disait lui-même, « le fait d'avoir les yeux sur un beau paysage de Marne, calme et cadencé, baigné d'une lumière souvent délicate, a certainement déterminé en partie ma vocation ».Ses parents, distillateurs à La Ferté-sous-Jouarre sur le quai qui porte maintenant le nom de leur fils, étaient hostiles à la carrière aléatoire de peintre, ce qui ne l'a pas empêché de réaliser son rêve.
Informations complémentaires
11 quai andré planson
77260 LA FERTÉ SOUS JOUARRE
kilomètre
0,64
latitude
48.9499
altitude
54
m
longitude
3.13394
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D
La Marne et la borne de l'écluse de Courtaron
Point d'intérêt naturel
La rive gauche de la Marne est bordée par un chemin de halage qui permettait autrefois aux chevaux (et parfois aux hommes) de remonter les péniches.Le long du chemin de halage se trouve la borne indiquant l'écluse de Courtaron un kilomètre plus loin. Cette borne témoigne des travaux pour améliorer la navigabilité de la Marne qui eurent lieu à la fin du Second Empire.
Informations complémentaires
70 Rue du 8 Mai 1945
77260 REUIL-EN-BRIE
kilomètre
1,84
latitude
48.9596
altitude
50
m
longitude
3.14127
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E
Meules monolithes
Patrimoine industriel
La pierre à réaliser les meules des moulins (meulière à moudre) était la spécialité du Pays de Coulommiers jusqu'au milieu du XXème siècle. Se trouvaient à proximité dans les carrières de meulière des environs aussi bien de la meulière à moudre que de la meulière à bâtir, utilisée en construction.Les deux meules massives situées au coeur du parking rappellent la vocation du village : comme ses pairs de la vallée de la Marne, il fournissait via le port d'exportation de la Ferté-sous-Jouarre des meules pour les moulins du monde entier.Ces meules sont dites monolithes : elles sont d'un seul bloc de pierre. Chacune pèse plus d'une tonne (plus d5 m de diamètre pour une densité supérieure à 2), le silex meulier était une des pierres courantes à la surface de la terre les plus dures ! Il fallait plusieurs mois aux ouvriers pour réaliser une telle meule, coûtant au meulier l'équivalent d'une maison.À compter du XIXème siècle, la majorité des meules sera "en carreaux" (plusieurs morceaux) et de diamètre réduit à 80 cm environ.
Informations complémentaires
103 Rue du 8 Mai 1945
77260 REUIL-EN-BRIE
kilomètre
1,96
latitude
48.959
altitude
55
m
longitude
3.14342
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F
Mairie de Reuil en Brie
Monument & architecture
Jusqu'à l'inauguration de cette mairie-école le 7 juillet 1910 (mais achèvement en 1909 comme en témoigne la plaque), la classe se tenait dans une maison de location rue de l'église.Cet édifice témoigne de l'architecture du début du XXème siècle en pays fertois :- les baies sont soulignées, comme les chaînages d'angle, par l'alliance de la brique et de la pierre de taille (ou imitant),- le toit est à pans brisés (terrassons) sur les murs pignons et légèrement en débord,- les murs sont en meulière rocaillée : les joints entre les moellons ont été incrustés de petits morceaux de pierre meulière jusqu'à devenir invisibles.
Informations complémentaires
80 Rue du 8 Mai 1945
77260 REUIL-EN-BRIE
kilomètre
1,97
latitude
48.9592
altitude
55
m
longitude
3.14367
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G
Communs de l'ancien château de Reuil-en-Brie
Château
Construit vers 1830 à l'emplacement de l'ancien prieuré détruit à la Révolution française, le château de Reuil connut une vie plutôt courte : peu après l'occupation des Prussiens et la Guerre de 1870, le bâtiment principal est détruit. Seuls témoignent aujourd'hui les communs et écuries de l'ancien château, résidence successive des familles de Choiseul, La Rochefoucault ou encore le marquis de Rohan.
Informations complémentaires
103 Rue du 8 Mai 1945
77260 REUIL-EN-BRIE
kilomètre
2,00
latitude
48.959
altitude
55
m
longitude
3.14403
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H
Église Saint-Jacques-Saint-Philippe
Château
Reuil ou Radolium garde le souvenir d’un prieuré, installé par Radon, un fils d’Authaire, seigneur d’Ussy visité par Colomban au 7e siècle. Au 12e siècle, il devint un prieuré bénédictin Saint-Pierre-Saint-Paul dépendant de l'abbaye de Cluny. Les informations manquent pour connaître l’histoire de ce prieuré qui aurait été construit à l’emplacement de l’église.Le peintre Henri Hayden a séjourné dans le village. Dans les bois au-dessus du village, on reconnaitra des trous, anciens sites d’extract ion des meulières, et une zone d’extraction d’argile pour fabriquer des briques et des tuiles a Luzancy.L’église actuelle, initiée au XIIIème et reprise au XVIème, reprend vraisemblablement le plan de l’ancienne chapelle du prieuré fondé par Radon, frère d’Adon et St Ouen. Son plan en croix latine comporte un chevet à trois pans coupés et divers contre-forts. Curieusement proportionnée, elle présente un clocher aux dimensions particulièrement réduites.
Informations complémentaires
9 Rue de Rohan
77260 REUIL-EN-BRIE
kilomètre
2,20
latitude
48.9589
altitude
59
m
longitude
3.14492
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I
Lavoir du Tillet
Lieu historique
Construction du XIXe siècle, il servait autrefois à laver et rincer le linge ou les légumes.
Informations complémentaires
19 Rue Roger Simon
77260 REUIL-EN-BRIE
kilomètre
5,86
latitude
48.9581
altitude
150
m
longitude
3.1785
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J
Eglise Saint-Germain-Saint-Leu
Château
La nef de l'église conserve des vestiges des XIIe et XIIIe siècles, mais l'édifice actuel est principalement réalisé vers la fin du XVe ou le début du XVIe siècle, à l'emplacement de la chapelle primitive. Cet édifice n'a plus sa forme initiale, car la nef s'est effondrée vers 1837.Le plafond qui est alors reconstruit n'est qu'un simple plafond.Le monument funèbre du maréchal Bergery, châtelain de Luzancy, a été placé dans l’église de Luzancy.
Informations complémentaires
2 Rue de la Croix du Bac
77138 LUZANCY
kilomètre
7,71
latitude
48.9702
altitude
65
m
longitude
3.18679
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K
Vu du Chemin du Tillet
Lieux d'intérêt divers
En 1879, après avoir passé trois ans dans un bataillon de chasseurs à pieds en Algérie, Jean Massé suit les cours des Beaux-Arts d'Amiens, puis de Paris dans l'atelier de Boulanger.Vers 1882, Jean Massé s'installe à Luzancy et devient l'élève du peintre Alexandre Bouché.Inspiré par la campagne Briarde, les bords de Marne ou encore la Bretagne, la touche subtile nuancée de gris colorés fait frémir les feuillages et la lumière de ses compositions, à la manière des maîtres du paysage du XIXe siècle.Galerie de Crécy ©
Informations complémentaires
4 Rue de la Croix du Bac
77138 LUZANCY
kilomètre
7,72
latitude
48.9706
altitude
60
m
longitude
3.18754
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L
Paysage Peinture Massé
Points de vue, panorama
Vous pouvez remarquer, par le biais de cette photographie, l'exemple même de cadre paysager que pouvait peindre Jean-Eugène-Julien Massé, peintre de paysage postimpressionniste.
Informations complémentaires
63 Rue du Général Leclerc
77138 LUZANCY
kilomètre
8,07
latitude
48.9708
altitude
54
m
longitude
3.19151
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N
Wagon déportation Seconde Guerre mondiale
Lieux de mémoire
Le 15 août 1944, le dernier train de déportés quitte la gare de Pantin pour le camp de concentration de Buchenwald pour les hommes, et celui de Ravensbruck pour les femmes. Le voyage s’effectue dans des conditions effroyables. À son bord : 2 400 résistants, dont 330 étrangers (américains, britanniques, canadiens ou encore australiens).Le 16 août, le pont enjambant la Marne vient d'être coupé par l'aviation alliée, ce qui ralentit toute progression. Durant toute la journée du 16 août, entre la plaine de Luzancy et la gare de Nanteuil-Saâcy, les prisonniers vont devoir, encadrés par les SS, transporter le butin de leurs bourreaux puis emprunter un train qui les conduira jusqu'en Allemagne. 65 % d’entre eux n’en reviendront jamais.Quelques noms parmi les déportés du "dernier convoi" témoignent d’une grande diversité d’appartenance à la Résistance. Parmi eux : Florentine Auribault d'Émerainville, le marquis De Roy de Villecerf, Maurice Braun, chef du réseau Ernest Publican, l'abbé Hénocq, René Piketty, directeur de la "Générale meulière" de La Ferté-sous-Jouarre.
Informations complémentaires
100 D55
77730 SAÂCY-SUR-MARNE
kilomètre
12,92
latitude
48.9735
altitude
63
m
longitude
3.22081
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