La Voie Verte
- Mis à jour le 27/02/2013
- Identifiant 63780
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Hébergements
Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
durée / niveau
Velo route
|
distance
12,6 km
type parcours
|
|||||||||
Lieu de départ
52200 Langres
|
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
|
Photos & vidéos (1)
description
C’est en 1883 que la voie ferrée Langres/Poinson-Beneuvre fut ouverte au public. Dès 1934, la Compagnie de l‘Est ne veut plus exploiter cette ligne à faible trafic qui garde toutefois un intérêt pour l’armée. La ligne est donc conservée pour des raisons stratégiques.
En 1955, le service voyageurs, devenu quasiment inutile, est abandonné. Le 1er décembre 1963, c’est la desserte marchandises qui est supprimée. La ligne est alors déclassée puis démontée. La dépose des 26 000 traverses est terminée le 17 avril 1967.
C’est en 1999 qu’apparaissent les premières études et relevés de terrain réalisés par l’Office de Tourisme du Pays de Langres. Avec l’accord des différentes communes, c’est finalement le Syndicat Mixte d’Aménagement Touristique des Lacs et du Pays de Langres qui réalisera la transformation de cette ancienne ligne de chemin de fer en itinéraire tranquille.
Toute l'info touristique sur www.tourisme-langres.com
En 1955, le service voyageurs, devenu quasiment inutile, est abandonné. Le 1er décembre 1963, c’est la desserte marchandises qui est supprimée. La ligne est alors déclassée puis démontée. La dépose des 26 000 traverses est terminée le 17 avril 1967.
C’est en 1999 qu’apparaissent les premières études et relevés de terrain réalisés par l’Office de Tourisme du Pays de Langres. Avec l’accord des différentes communes, c’est finalement le Syndicat Mixte d’Aménagement Touristique des Lacs et du Pays de Langres qui réalisera la transformation de cette ancienne ligne de chemin de fer en itinéraire tranquille.
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Hébergements à proximité
infos parcours (4)
1
Chapelle Notre Dame de la Délivrance
Située à la jonction des deux rivières qui ont évidé l’éperon langrois, la colline des Fourches est dominée par une butte témoin, surmontée d’une statue de la Vierge. Celle-ci garde dans sa dénomination le souvenir des gibets que l’on pouvait voir jusqu’à la Révolution. Le sommet de ce lieu d’exécution était alors dépourvu d’arbres. Les tristes et lugubres silhouettes des « fourches » se voyaient donc à plusieurs kilomètres à la ronde et jouaient un rôle exemplaire…
Aujourd’hui, cette colline est devenue un lieu de dévotion religieuse. Elle accueille une chapelle dont le dôme supporte une statue colossale de la Vierge, coulée dans le nord du département, à Sommevoire. De style néogothique, elle a été édifiée par les Langrois en 1873, en remerciement à Marie. Ils respectèrent ainsi leur vœu contracté pendant la guerre de 1870 prévoyant sa construction si la ville échappait à l’entrée des Prussiens. C’est pourquoi elle est dédiée à Notre-Dame de la Délivrance. L’histoire raconte en effet que le 16 novembre1870, des détachements prussiens arrivèrent à proximité de Langres, occupant les villages alentours : Champigny, Peigney, Jorquenay et Hûmes. Militaires et habitants se préparèrent alors à un éventuel siège, plusieurs coups de canons furent tirés depuis les remparts. Mais le lendemain, l’ennemi s’était retiré. La même histoire se renouvela le 16 décembre et le 16 janvier. Puis la guerre pris fin, sans que Langres ne subisse ni siège, ni destruction. Pour la population locale, la protection de la Vierge était évidente et le voeu exaucé. La chapelle fut construite sur les plans de l’architecte Girard. De plan octogonale et mesurant 18m de hauteur, elle est décorée d’un vitrail qui représente le vœu de la ville de Langres à la Vierge. Parmi les personnages, on reconnait un évêque, un prêtre ainsi qu’un couple, homme et femme. La bénédiction et l’inauguration eurent lieu le 25 mai, au cours d’une cérémonie grandiose qui rassembla quelques 25000 personnes, dont les autorités civiles et militaires. Depuis ce jour, chaque fois que le 24 mai tombe un dimanche, une grande fête religieuse est organisée. En 1901, un grand calvaire portant les noms des soldats langrois morts durant les guerres de 1914-1918 et 1939-1945 fut placé aux abords de la chapelle.
Aujourd’hui, cette colline est devenue un lieu de dévotion religieuse. Elle accueille une chapelle dont le dôme supporte une statue colossale de la Vierge, coulée dans le nord du département, à Sommevoire. De style néogothique, elle a été édifiée par les Langrois en 1873, en remerciement à Marie. Ils respectèrent ainsi leur vœu contracté pendant la guerre de 1870 prévoyant sa construction si la ville échappait à l’entrée des Prussiens. C’est pourquoi elle est dédiée à Notre-Dame de la Délivrance. L’histoire raconte en effet que le 16 novembre1870, des détachements prussiens arrivèrent à proximité de Langres, occupant les villages alentours : Champigny, Peigney, Jorquenay et Hûmes. Militaires et habitants se préparèrent alors à un éventuel siège, plusieurs coups de canons furent tirés depuis les remparts. Mais le lendemain, l’ennemi s’était retiré. La même histoire se renouvela le 16 décembre et le 16 janvier. Puis la guerre pris fin, sans que Langres ne subisse ni siège, ni destruction. Pour la population locale, la protection de la Vierge était évidente et le voeu exaucé. La chapelle fut construite sur les plans de l’architecte Girard. De plan octogonale et mesurant 18m de hauteur, elle est décorée d’un vitrail qui représente le vœu de la ville de Langres à la Vierge. Parmi les personnages, on reconnait un évêque, un prêtre ainsi qu’un couple, homme et femme. La bénédiction et l’inauguration eurent lieu le 25 mai, au cours d’une cérémonie grandiose qui rassembla quelques 25000 personnes, dont les autorités civiles et militaires. Depuis ce jour, chaque fois que le 24 mai tombe un dimanche, une grande fête religieuse est organisée. En 1901, un grand calvaire portant les noms des soldats langrois morts durant les guerres de 1914-1918 et 1939-1945 fut placé aux abords de la chapelle.
Informations complémentaires
64-122 Impasse René Maréchal
52200 Noidant-le-Rocheux
52200 Noidant-le-Rocheux
kilomètre
0,01
latitude
47.8711
altitude
391
m
longitude
5.32595
2
Fontaine de la Grenouille
Devant son nom à une grenouille sculptée dans la grotte de la source, cet ensemble paraît en place dès 1678. Futur bâtisseur du clocher de Saint-Martin, Claude Forgeot lui donne son aspect actuel vers 1755, avec non seulement le souci de préserver le site, mais plus encore d’en souligner la beauté que Dame Nature lui a donné. L’emploi de tracés curvilignes et de pierres de roche manifeste ainsi la volonté de magnifier les formes de l’architecture et du vallon par une mise en valeur réciproque. On rêvait alors de faire profiter la ville de la fraîcheur et du murmure de ces eaux. A défaut de s’être réalisé, cet espoir nous a légué l’inscription de la grotte : «Je suis la nymphe (…). Si les dieux secondent mes vœux, je serai citadine et la ville toute entière sera vivifiée par mes eaux.» La source était également réputée auprès des couteliers pour la trempe de l’acier.
Informations complémentaires
80 Rue du Pré Buzon
52200 Noidant-le-Rocheux
52200 Noidant-le-Rocheux
kilomètre
2,33
latitude
47.8506
altitude
416
m
longitude
5.32339
3
Saints-Geosmes et ses trois jumeaux
Le village doit son nom à trois saints jumeaux "Sancti Gemelli" : Eleusippe, Méleusippe et Speusippe qui auraient été condamnés à périr par le feu le 17 janvier 172 à l'âge de 24 ans. Baptisés par St Bénigne, ils étaient chargé d'évangéliser les Lingons. Le village gallo-romain d'Urbatus adopta le vocable de Saints-Geosmes en mémoire à leur sacrifice.
Informations complémentaires
10-12 Rue Champ Mourot
52200 Noidant-le-Rocheux
52200 Noidant-le-Rocheux
kilomètre
4,40
latitude
47.8341
altitude
445
m
longitude
5.32863
4
Les éoliennes
La puissance nominale de ces éoliennes atteint 2 millions de watts.
Elles culminent (au niveau du moyeu) à 80 mètres de haut, auxquels il faut rajouter les 45 mètres de longueur de chaque pale…
Pour maintenir fermement tout ce dispositif au sol, ce sont 800 tonnes de fondations qui ont été coulées, assurant ainsi la stabilité de ces imposantes structures qui, bien que paraissant flotter dans les airs, pèsent tout de même 282 tonnes réparties ainsi : 147 tonnes rien que pour le mât, 70 tonnes pour la nacelle, 41 tonnes pour le rotor et 8 tonnes pour chacune des trois pales…
Elles culminent (au niveau du moyeu) à 80 mètres de haut, auxquels il faut rajouter les 45 mètres de longueur de chaque pale…
Pour maintenir fermement tout ce dispositif au sol, ce sont 800 tonnes de fondations qui ont été coulées, assurant ainsi la stabilité de ces imposantes structures qui, bien que paraissant flotter dans les airs, pèsent tout de même 282 tonnes réparties ainsi : 147 tonnes rien que pour le mât, 70 tonnes pour la nacelle, 41 tonnes pour le rotor et 8 tonnes pour chacune des trois pales…
Informations complémentaires
Voie d'Aix
52200 Noidant-le-Rocheux
52200 Noidant-le-Rocheux
kilomètre
12,57
latitude
47.7915
altitude
459
m
longitude
5.2673