C1 - CHANALEILLES / SAINT-ALBAN-SUR-LIMAGNOLE
- Thématique Historique, patrimoine
- Mis à jour le 30/05/2020
- Identifiant 646432
Sélectionner le fond de carte

PLAN IGN

PHOTOS AERIENNES

CARTES IGN MULTI-ECHELLES

TOP 25 IGN

CARTES DES PENTES

PARCELLES CADASTRALES

CARTES OACI

CARTES 1950 IGN

CARTE DE L’ETAT-MAJOR (1820-1866)

Open Street Map
Afficher les points d'intérêt à proximité
Hébergements
Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
durée / niveau
Rando pédestre
|
distance
19,5 km
type parcours
Aller Simple
|
|||||||||
Lieu de départ
43170 Chanaleilles
|
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
Bitume
Graviers Terre Herbe |
|||||||||
Mots clés
compostelle
|
description
ma 1° étape COMPOSTELLE
A voir en chemin:
- La dômerie du Sauvage. C'est une ancienne « dômerie » de Templiers, rachetée par le département de la Haute-Loire, qui la donne en location pour l'élevage de bestiaux. Grâce à quoi, on y trouve, à la fois gîte, produits de la ferme et un accueil digne de ce cadre merveilleux.
- La chapelle Saint-Roch. Appelée aussi chapelle de l’Hospitalet du Sauvage, au Col de l'Hospitalet, à 1 308 m. Cette altitude marque le changement de département. Le souvenir de l'ancien hôpital est perpétué par la fontaine Saint-Roch (encore en Haute-Loire), but d'un pèlerinage local toujours vivant, et la chapelle (déjà en Lozère) du même vocable.
Cet établissement connu dès XIIIe siècle, dépendait alors de l'hôtel-dieu du Puy. En 1340, une église Saint-Jacques est attestée en ce lieu, de même qu'un pèlerinage en l'honneur de l'apôtre, le 25 juillet. La Réforme eut raison de cette dévotion, et vers la fin des guerres de religion, la chapelle tomba en ruines, malgré tout le culte du saint demeura attaché à la fontaine portant son nom. Comme bien souvent au XVIe siècle, le culte de saint Roch, pèlerin de Rome se substitua à celui de saint Jacques. Vers la fin du XIXe siècle, une nouvelle chapelle fut érigée à quelques centaines de mètres de là en territoire lozérien. Détruit par un cyclone en 1897, le monument fut reconstruit en 1901, tel que nous le voyons aujourd'hui.
A voir à Saint Alban:
- L’église Saint-Alban : il s'agit d'une église romane, où l'on ressent l’influence auvergnate. Elle se situe en contrebas de la grand-route, d'où l'on voit bien sa riche abside aux arcades harmonieuses, sous le toit arrondi. Un imposant clocher-mur à trois baies, construit en 1891, surplombe cette abside ; il porte, accroché à sa croix, une bête du Gévaudan. L'intérieur de l'église est d'une sobre élégance. La nef, voûtée en berceau brisé, possède cinq travées, la dernière ajoutée en 1819. Les deux chapelles qui s'ouvrent sur la première travée sont aussi des ajouts. Quant à l'abside, en cul-de-four, elle est éclairée par cinq fenêtres ébrasées, qu'entourent de belles arcades en plein cintre. Des colonnettes les supportent, dont les chapiteaux s'ornent de griffons, de sirènes et même d'un centaure tirant de l’arc.
- Château de Saint-Alban.
A voir en chemin:
- La dômerie du Sauvage. C'est une ancienne « dômerie » de Templiers, rachetée par le département de la Haute-Loire, qui la donne en location pour l'élevage de bestiaux. Grâce à quoi, on y trouve, à la fois gîte, produits de la ferme et un accueil digne de ce cadre merveilleux.
- La chapelle Saint-Roch. Appelée aussi chapelle de l’Hospitalet du Sauvage, au Col de l'Hospitalet, à 1 308 m. Cette altitude marque le changement de département. Le souvenir de l'ancien hôpital est perpétué par la fontaine Saint-Roch (encore en Haute-Loire), but d'un pèlerinage local toujours vivant, et la chapelle (déjà en Lozère) du même vocable.
Cet établissement connu dès XIIIe siècle, dépendait alors de l'hôtel-dieu du Puy. En 1340, une église Saint-Jacques est attestée en ce lieu, de même qu'un pèlerinage en l'honneur de l'apôtre, le 25 juillet. La Réforme eut raison de cette dévotion, et vers la fin des guerres de religion, la chapelle tomba en ruines, malgré tout le culte du saint demeura attaché à la fontaine portant son nom. Comme bien souvent au XVIe siècle, le culte de saint Roch, pèlerin de Rome se substitua à celui de saint Jacques. Vers la fin du XIXe siècle, une nouvelle chapelle fut érigée à quelques centaines de mètres de là en territoire lozérien. Détruit par un cyclone en 1897, le monument fut reconstruit en 1901, tel que nous le voyons aujourd'hui.
A voir à Saint Alban:
- L’église Saint-Alban : il s'agit d'une église romane, où l'on ressent l’influence auvergnate. Elle se situe en contrebas de la grand-route, d'où l'on voit bien sa riche abside aux arcades harmonieuses, sous le toit arrondi. Un imposant clocher-mur à trois baies, construit en 1891, surplombe cette abside ; il porte, accroché à sa croix, une bête du Gévaudan. L'intérieur de l'église est d'une sobre élégance. La nef, voûtée en berceau brisé, possède cinq travées, la dernière ajoutée en 1819. Les deux chapelles qui s'ouvrent sur la première travée sont aussi des ajouts. Quant à l'abside, en cul-de-four, elle est éclairée par cinq fenêtres ébrasées, qu'entourent de belles arcades en plein cintre. Des colonnettes les supportent, dont les chapiteaux s'ornent de griffons, de sirènes et même d'un centaure tirant de l’arc.
- Château de Saint-Alban.