1
Noria, moulin du XIIIème s.
Noria, c’est le vieux Moulin du Pont du XIIIème siècle: il fut moulin à grain, moulin foulon, filature au gré des conjonctures et dernièrement minoterie puis centrale hydroélectrique, grâce à l’énergie hydraulique fournie par la Dourbie.En 2019, le musée est fermé. Vous pouvez cependant accéder au jardin des silhouettes, au pied du musée, et pique-niquer au bord de l'eau avec le loup, le renard et le sanglier, ou suivre les panneaux d'interprétation pour une randonnée documentée, de moulins en norias, au fil de la Dourbie.
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kilomètre
0,13
latitude
44.0244
altitude
516
m
longitude
3.35837
2
Le pont vieux
Situé dans le plus ancien quartier du village, ce pont de type romain à une seule arche enjambe la Dourbie.Datant du XIIIe siècle, il était jusqu'au XVIIIe le principal pont du village.Dans le quartier du Pont Vieux existent encore des trous d'hommes, caches datant des guerres de religion.Source : Mairie de Saint-Jean du Bruel
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kilomètre
0,25
latitude
44.0247
altitude
504
m
longitude
3.3573
3
Le cormier
Le cormier ou sorbier domestique avec sa base crevassée et ses feuilles composées produit des fruits, les cormes, succulents après les premières gelées. Son bois était utilisé pour fabriquer les semelles des rabots et des engrenages des moulins.
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kilomètre
1,70
latitude
44.0347
altitude
704
m
longitude
3.36524
4
Les fours des Valettes
Les fours des Valettes ont été inaugurés en 1905, la concession ayant été obtenue la même année par la Société des Mines Métalliques de l’Aveyron. Son périmètre s’étend entre Saint-Jean et le Causse-Bégon et les travaux concernent « La Gardiole », les Valettes (au-dessus des fours), « Les Baldy » et « L’Yfer » au dessus du ruisseau dit de Saint-Gleys entre Barjac et le confluent des Valettes. Le minerai principal est constitué par la calamine contenant 35 à 40% de zinc. Les cinq fours sont destinés à l’enrichissement par la méthode dite de réduction.Au fur et à mesure de l’avancement des recherches, les résultats s’avèrent très vite décevants, car si de 1901 à 1904, 800 tonnes de calamine sont extraites, 390 tonnes en 1905, 435 tonnes en 1906, on en traite seulement 160 tonnes en 1909. Les travaux doivent s’arrêter en 1914 et ne seront jamais repris. Après leur abandon, la batterie des cinq fours va servir de carrière. Les trois ouvertures de défournage sont chacune revêtue de deux rangées de briques réfractaires. Ces briques serviront à un artisan local pour la fabrication de petits fours métalliques pour la cuisson du pain, à garder la chaleur douillette sous les pieds et les lits des Saint-Jeantais, et enfin à la construction de la cheminée du chauffage de l’église.Source : article de Claude Bouteiller, revue Causses et Cévennes du Club Cévenol n°4-Août Septembre Octobre 2004
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kilomètre
5,94
latitude
44.0397
altitude
592
m
longitude
3.34763