Cap sur la Route des Phares 

Découvrez la magie des côtes bretonnes en suivant la fascinante Route des Phares ! Plongez dans l'histoire et le patrimoine de ces monuments emblématiques. Préparez votre itinéraire avec nos suggestions de cartes, d’itinéraires et d’outils pour enrichir votre expérience.  Découvrir »

 

 

Grande Traversée du Massif Central à VTT

  • Mis à jour le 16/11/2022
  • Identifiant 1749032
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Autre
Echelle  
durée / niveau
VTT
120h02 - N/A
distance
193,6 km
type parcours
altitude
1670 m 4667 m 223 m -5370 m
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Lieu de départ
Saint-julien-du-tournel
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol

Photos & vidéos (5)

description

Un total de 1390 km entre le Morvan et la Méditerranée ! Une itinérance parcourant une palette d’entités paysagères,  géologiques et patrimoniales, à découvrir à son rythme en VTT ou en VTTAE, entre amis ou en famille.Seule la portion du chemin traversant le territoire du Parc national des Cévennes est ici présentée, de Bagnols-les-Bains au Vigan. Le linéaire proposé peut se parcourir en 5 étapes : - Bagnols-les-Bains/Pont-de-Montvert-Sud-Mont-Lozère, - Pont-de-Montvert-Sud-Mont-Lozère/Ste-Enimie :(1) pour les VTTAE prendre la route allant sur Grizac,(2) au centre de loisir, traverser le Tarn et descendre sur Ste-Enimie par la route,- Ste-Enimie/L’Hom : (3) sentier technique allant sur St Chély du Tarn, possibilité de monter au col de Coperlac depuis Ste-Enimie par la route RD 986,- L’Hom/l’Espérou, - l’Espérou/Le Vigan.Retrouvez l'intégralité de l'itinéraire sur le site: www.la-gtmc.com

Départ

Bagnols-les-Bains

Arrivée

Le Vigan

Ambiance

Des hautes terres granitiques du mont Lozère aux majestueuses forêts de l’Aigoual en passant par le vaste plateau calcaire du causse Méjean entaillé des spectaculaires gorges du Tarn et de la Jonte, vous traverserez des paysages à couper le souffle ! Partez à la découverte de la faune et de la flore de ces massifs et à la rencontre des hommes et des femmes qui y vivent.

Recommandations

Adaptez votre équipement à la randonnée de plusieurs jours et aux conditions météo. N'oubliez pas que le temps change vite en montagne. Pensez à emporter de l'eau en quantité suffisante. Refermez soigneusement les clôtures et les portillons. Ralentir dans les fermes et les hameaux. Attention aux troupeaux.

En coeur de parc

Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est utile de connaître pour préparer son séjour

Points d'interêt (31)

A

Concurrents végétaux de la pelouse

Point d'intérêt naturel
Balise n° 4.En contrebas, de vastes zones ont été plantées de pins et autres conifères. L'intérêt et la rareté tant régionales qu'européennes des pelouses imposent qu'elles soient bien délimitées par rapport à la forêt. En effet, les semis naturels des pins, transportés par les vents du sud, font naître une nouvelle forêt. Cette dynamique végétale, logique à cette altitude, donne l’avantage à la forêt sur la pelouse. L’Union européenne aide actuellement les acteurs locaux à couper les nouveaux arbres pour protéger la pelouse. Sur le chemin du retour, on rencontrer d'autres essences autochtones (hêtre, bouleau) qui pourraient faire subir un recul identique à la pelouse.
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kilomètre 23,73
latitude 44.4265
altitude 1632 m
longitude 3.75291
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B

Paysage menacé

Points de vue, panorama
Balise n° 3Cette vaste étendue de pelouse, patrimoine historique et naturel, est aujourd’hui menacé. La superficie de cette zone relique a été bien réduite au cours des dernières décennies. Si les sommets sont stabilisés par la pelouse, le flanc de la colline présente quant à lui une forme d’érosion (rochers mis à nu), résultant d’un labour effectué par les forestiers pour tenter de le reboiser. Sur le replat, des pins commencent à s’installer aux dépens de la pelouse. Ces zones devenues sensibles, imposent de gérer au mieux toutes les composantes du territoire. Ici, le berger guide son troupeau en veillant à ne pas accentuer l’érosion et à éliminer les jeunes pousses de pins.
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kilomètre 24,08
latitude 44.427
altitude 1623 m
longitude 3.75705
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C

Plantes rases et arbrisseaux

Point d'intérêt naturel
Une grande quantité de lumière favorise l’apparition, parmi les graminées, de nombreuses autres herbes rases, presque toutes vivaces, appartenant à d’autres familles botaniques. Elles forment un véritable fouillis végétal. Parmi les belles fleurs alpines, la pulsatille printanière, les gentianes bleues naines en été… D’autres végétaux, de taille plus modeste, sont fort capables de «miter» une pelouse moins pâturée qu’autrefois. Les réseaux d’herbes, perdant de leur densité, offrent des points de fragilité que des arbrisseaux exploitent pour s’y développer au cœur de la pelouse : les myrtilles, associées ici aux airelles rouges et à la callune vulgaire (une bruyère).
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kilomètre 24,54
latitude 44.4252
altitude 1578 m
longitude 3.76154
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D

Petit peuple de l'herbe

Point d'intérêt naturel
Balise n° 2Ébauchée dès le printemps, l’explosion démographique animale s’observe dans le courant de l’été. Plus tôt, les milliers de petites bêtes n’ont pas encore terminé leurs métamorphoses. Il est alors malaisé de reconnaître, lors des différents stades larvaires, telle ou telle espèce. La pelouse d’altitude attire une petite faune montagnarde spécifique, qui se raréfie un peu partout en Europe. C’est le cas du criquet jacasseur qui anime inlassablement les pâturages de ses concerts estivaux. Les criquets ne consomment que des végétaux, alors que les sauterelles, comme le dectique verrucivore, sont plutôt carnivores. De nombreuses espèces de papillons visitent aussi les fleurs.
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kilomètre 24,83
latitude 44.4252
altitude 1542 m
longitude 3.76507
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E

Pelouse subalpine

Point d'intérêt naturel
Balise n° 1Comme dans un jardin ou sur un terrain de sport, les pelouses sont travaillées par l’homme. Le pâturage et le feu  sont ici les outils de leur entretien. L’essentiel des plantes qui la constituent sont des cousines du blé et des graminées vivaces : le nard, les fétuques. Coupez (broutez) une de leurs tiges, il s’en forme bientôt cinq autres ; piétinez- les, elles se multiplient, elles deviennent très denses. Toutes ces «tortures» offrent les conditions d’un couvert végétal serré, garant de la stabilité d’un sol pauvre, pourtant noir, issu de l’altération du granite omniprésent. Voilà donc quelques clés pour une gestion adaptée de ce milieu fragilisé en cas d’abandon.
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kilomètre 25,02
latitude 44.4246
altitude 1541 m
longitude 3.76719
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F

Pont-de-Montvert

Lieu historique
Le Pont-de-Montvert est entièrement protestant à la fin du XVIe siècle. En 1702, pour une population globale de cinq cents habitants, le bourg compte seulement une trentaine d’anciens catholiques. En 1686, l’abbé du Chaila est nommé archiprêtre des Cévennes, inspecteur des missions et des chemins de traverses. Il s’approprie la maison de Jean André, notable protestant qui a refusé d’abjurer sa religion et pris le Désert. L’abbé du Chaila reconvertit la maison André en résidence administrative mais surtout en lieu de détention et d’interrogatoire. 
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kilomètre 42,76
latitude 44.3629
altitude 871 m
longitude 3.74344
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G

Évolution naturelle hêtraie-chênaie

Point d'intérêt naturel
Balise n° 1Ce terrain au relief pentu est constitué d’éboulis granitiques, ce qui l'a soustrait à la présence des troupeaux domestiques. Hêtres et châtaigniers y ont donc évolué naturellement, les seules interventions étant des coupes forestières pour le bois d’œuvre ou de chauffage. D'autres espèces sont associées à ce couvert forestier (noisetier, myrtille, fougère...) ainsi que des rochers couverts de mousses qui témoignent d’une humidité relative.
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kilomètre 43,82
latitude 44.3593
altitude 924 m
longitude 3.73592
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H

Vallée du Tarn et paysages marqués par l’homme

Points de vue, panorama
Balise n° 2L’ouverture des paysages sur le Tarn offre un panorama grandiose. Les paysages sont profondément marqués par la présence de l’homme et de ses troupeaux. Pour contenir l’envahissement de la forêt et favoriser la pousse de l’herbe pour les troupeaux , l’agriculteur pratique l’écobuage (nettoyage par le feu courant). Cette opération est à renouveler régulièrement pour que le genêt purgatif ne reprenne pas le dessus. Sur le plateau, on trouve des prairies de fauche et, en bordure de parcelles, des frênes émondés (arbres dont les branches coupées servent de nourriture aux animaux en automne). Certains rapaces affectionnent ces espaces ouverts car la chasse aux rongeurs y est plus facile...
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kilomètre 44,85
latitude 44.3565
altitude 985 m
longitude 3.72561
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I

Le Tarn

Lac / Etendue d'eau
Le Tarn prend naissance à 1550 m d'altitude sous la crête du mont Lozère. Creusé d'abord dans le granite, il délimite le Bougès et le mont Lozère. Après Bédouès, il rencontre le Tarnon et peu à peu pénètre en terrain karstique dans lequel il s’aménage un lit de plus en plus profond. C'est à son point de confluence avec la Jonte, au Rozier, que le Tarn quitte le département de la Lozère.
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kilomètre 66,12
latitude 44.3459
altitude 587 m
longitude 3.62355
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J

Truite fario (Salmo trutta fario)

Point d'intérêt naturel
Cette truite présente dans nos cours d'eau est une espèce autochtone. Cette souche fait partie de notre patrimoine. Sa taille varie en fonction de la nature de l'eau, de la pression de pêche et de la nature du fond (caches). L'été, elle chasse en eau vive et en surface et capture des insectes. L'hiver, elle mange des larves sur le fond. La reproduction commence dès le mois de novembre et s'étale durant l'hiver. La femelle pond sur un fond de gravier qu'elle creuse avec sa nageoire caudale. Le mâle y dépose sa laitance sur les œufs. Une fois fécondés, ceux-ci sont recouverts de gravier. La réussite de la reproduction dépend des variations de débit et surtout des risques d'assèchement des frayères par hiver sec.
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kilomètre 67,24
latitude 44.3438
altitude 589 m
longitude 3.61059
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K

La chapelle Saint-Saturnin

Lieu historique
La chapelle Saint-Saturnin, entourée de son cimetière, au cœur du bourg, renferme un magnifique décor peint couvrant l'ensemble des murs. Elle fut construite au XII° siècle. Guillaume de Grimoard (futur pape Urbain V) y fut baptisé en 1309. Elle se trouve à côté de la mairie. Un petit détour s'impose.
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kilomètre 67,99
latitude 44.3404
altitude 584 m
longitude 3.60425
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L

La chèvrerie Gautier

Lieux d'intérêt divers
Yolande et Christian gèrent une petite exploitation agricole qui proposent des fromages de chèvre fermier. C’est un produit typiquement cévenol. Le troupeau est constitué de 60 chèvres laitières de race alpine et tout le lait est transformé en fromage fermier sur place. De fin novembre jusqu’à fin avril, c’est la pause pour les chèvres, qui doivent nourrir leurs petits chevreaux !
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kilomètre 68,69
latitude 44.3449
altitude 556 m
longitude 3.60092
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M

Château d’Arigès

Lieu historique
Il apparaît à gauche, dans une trouée forestière. Il n’est, en 1658, qu’une métairie dont les maisons sont en ruines lorsque l’achète le seigneur d’Issenges. Il l’habitera dès 1688. Ce château sans doute plus confortable que la « maison carrée », est bâti dans un méandre du Tarn et entouré de terres riches prêtant bien aux cultures.
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kilomètre 70,05
latitude 44.343
altitude 578 m
longitude 3.58876
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O

Jardin d'Ispagnac

Lieux d'intérêt divers
Ispagnac est au carrefour du calcaire, du granite et du schiste. Irrigué par le Tarn, protégé des vents du nord et du nord-ouest, le vallon d'Ispagnac jouit d'un climat presque méridional qui lui a valu le surnom de "jardin de la Lozère". Un maraîcher et deux vignerons y sont installés.
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kilomètre 81,80
latitude 44.3684
altitude 511 m
longitude 3.53554
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R

Notre-dame de Quézac

Lieu historique
La collégiale de Quézac, aujourd'hui église Notre-Dame, a été fortifiée au XIV° siècle à l'instigation du pape Urbain V. Le premier édifice aurait été construit en 1052 en l'honneur de Notre-Dame de Quézac. La légende raconte qu'un laboureur trouva une vierge noire en traçant un sillon. Il l'aurait alors ramenée dans l'église, mais elle disparut durant la nuit. Le lendemain on la trouva à nouveau dans le sillon, et l'on décida de construire un oratoire là où la Vierge l'avait décidé. C'est ainsi que de nombreux pèlerins en route pour Saint-Jacques-de- Compostelle ont afflué à Quézac. Un vitrail illustre aujourd'hui la dédicace de la collégiale à la vierge.
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kilomètre 83,77
latitude 44.3689
altitude 508 m
longitude 3.52469
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S

Le château de Charbonnières.

Monument & architecture
En aval du village de Montbrun, assis dans une boucle du Tarn, se dresse le château de Charbonnières. Si ce castel a perdu quelques-uns de ses éléments défensifs, il n’en conserve pas moins un caractère chevaleresque et des traces de nombreux épisodes historiques de la vallée du Tarn. Il est mentionné dès le XIIIe siècle. Son rôle défensif était étroitement lié à tout un « système fortifié » comprenant depuis Ispagnac : Quézac, Javillet, La Roche, Rocheblave, Montbrun, Castelbouc, Prades et Ste-Enimie.Le château est composé de trois corps de logis rectangulaires disposés en fer-à-cheval autour d’une cour centrale. La façade tournée vers le Tarn présente une tour carrée dominant la rivière. L’accès à la cour intérieure se fait par un portail en plein-cintre. De la cour, on peut monter à une chapelle par un escalier en pierre, le montant de la porte étant décoré de fleurs de lys. L’intérieur modeste est caractérisé par une voûte à croisée d’ogives encadrant une clef de voûte aux armes de la famille de Montesquiou, seigneurs de Charbonnières depuis le XIIIe. Les autres parties du logis offrent de très belles cheminées, un escalier monumental et de belles salles voûtées. Au XVIIe et XVIIIe siècles il passe dans les possessions de la famille de Volonzac Malespina et au XIXe dans celles de la famille Boutin. Cet édifice ne se visite pas.
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kilomètre 90,22
latitude 44.3344
altitude 519 m
longitude 3.49141
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T

La résurgence de Castelbouc

Lac / Etendue d'eau
L’énorme résurgence à l’entrée du hameau a quatre exutoires, dont un à l’arrière. Ces bouches d’où surgit l’eau en période de fortes pluies confortent la traduction de « bouc » par « bouches » en occitan. Toutes les résurgences sont alimentées par un bassin versant, plus ou moins important. Ici, son bassin versant correspond, sur le plateau du causse Méjean, au secteur de l’aven du Pic de l’Usclat, l’aven du Loup (Cros garnon), l’aven du Crapaud (Fretma).
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kilomètre 92,82
latitude 44.3398
altitude 485 m
longitude 3.4646
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U

L’étrange légende de Castelbouc

Lieu historique
À vous d’en juger…L’étymologie de Castelbouc est « castel blanc », en occitan « perché sur le rocher ». La légende raconte qu’au temps des croisades, le seigneur du château était resté seul de son sexe, parmi ses sujets. Dans ce petit hameau fait d’habitations accolées à la falaise, les visiteuses étaient nombreuses et ce seigneur tenait à satisfaire tous leurs désirs… Malheureusement la croisade dura si longtemps qu’il ne put tenir jusqu’au bout. Lorsque son âme s’envola, on vit alors planer sur la tour du château un énorme bouc… Depuis lors, on entend la nuit sur ces sommets, un bêlement suivi d’étranges murmures. De là, viendrait le nom de Castelbouc…
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kilomètre 92,93
latitude 44.3407
altitude 489 m
longitude 3.46433
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V

Le castor

Point d'intérêt naturel
Preuves de mon passage, un arbre taillé en forme de crayon, des morceaux d’écorces, des copeaux de bois, un amas de branches dans l’eau, des empreintes de pattes avant ou arrière dans le sable, je suis… je suis le castor d’Europe. Je vis à proximité de l’eau. Je suis surtout actif la nuit, parfois au lever du jour et à la tombée de la nuit, si je ne suis pas dérangé. Entre le Moyen Age (XIe siècle) et le XIXe siècle, nous avons connu une période difficile durant laquelle nous étions chassés par l’homme pour notre chair, notre fourrure et nos nuisances. Au début du XXe siècle, nous avions disparu de nombreuses régions de France. Aujourd’hui cela va mieux, nous sommes présents le long du Tarn.
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kilomètre 98,97
latitude 44.3656
altitude 463 m
longitude 3.41699
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W

Saint-Chély du Tarn

Lieu historique
Saint-Chély-du-Tarn réunit les trois conditions idéales pour l'implantation d'un village: des sources puissantes, des matériaux de construction (Tuf) à prélever sur place et surtout un chemin le reliant au causse Méjean. Tous les hameaux des gorges sont reliés au causse par un sentier. Plus ou moins aménagés, au fil du temps, parfois caladés, consolidés par des murets, ces chemins de liaison favorisaient les échanges de marchandises.
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kilomètre 104,06
latitude 44.3356
altitude 477 m
longitude 3.3852
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X

Le pin sylvestre

Point d'intérêt naturel
Le pin sylvestre est l'essence naturelle principale des Grands Causses, adaptée au sol peu fertile. Vous le reconnaîtrez à son écorce brun rougeâtre à ocre saumoné sur sa partie supérieure, ses aiguilles sont courtes et groupées par deux. Rustique, il ne craint pas les changements climatiques. Essence pionnière, il colonise les terres abandonnées.
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kilomètre 111,97
latitude 44.3021
altitude 969 m
longitude 3.40808
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Y

Adonis vernalis (Adonis du printemps)

Point d'intérêt naturel
Même si cette renoncule semble abondante, elle est devenue rare et se limite à quelques stations en France (Causses, Alsace et sud-est de l'Europe). Elle s'observe en avril - mai dans la végétation steppique . Cette plante est protégée, photographiez-la mais ne la cueillez surtout pas ! Elle sécrète par ses racines une substance qui a tendance à limiter le développement des plantes autour d'elle, et plus particulièrement efficace sur les Fabacées.
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kilomètre 115,24
latitude 44.2913
altitude 930 m
longitude 3.44088
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Z

Les chevaux de Przewalski

Point d'intérêt naturel
Derniers chevaux sauvages au monde, originaires d’Asie Centrale, les chevaux de Przewalski avaient disparu à l’état sauvage depuis 40 ans. Au Villaret, un troupeau conservatoire de chevaux de cette race a été développé en vue d’en réintroduire en Mongolie. Deux transports de quatre familles et un groupe d’étalons ont été organisés en 2004 et 2005 vers la Mongolie, à Khomyn Tal, où ils ont été relâchés sur un territoire de 14 000 hectares.
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kilomètre 120,09
latitude 44.2539
altitude 988 m
longitude 3.46163
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Archéosmart (Marc Limousin)

Lieu historique
Des empreintes de Smartphones affleurent sur des rochers : des fossiles du temps présent qui deviendront des énigmes pour les temps futurs. Ces pierres gravées, à l’instar des cupules et autres témoignages rupestres de la région, nous dévoilent l’histoire révélée dans la matière et résonnent avec cette formule de Malraux : « L’avenir est un présent que nous fait le passé ».
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kilomètre 149,95
latitude 44.1211
altitude 1560 m
longitude 3.57884
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Pôle nature 4 saisons

Point d'intérêt naturel
Le Pôle nature 4 saisons du massif de l’Aigoual propose un espace d’activités de pleine nature en toutes saisons, au cœur du Parc national des Cévennes, dominé par le sommet mythique du Mont Aigoual (1570m). Venez découvrir notre réseau de randonnées multi-activités (à pied, à cheval, en vélo) mais aussi en VTT ou avec un âne suivant votre envie !En jouant, vos enfants peuvent découvrir la course d’orientation ou le géocaching. Pour les plus sportifs, des circuits de trail, à faire au pas de course ,ont été aménagés !Amateurs de vélo de route, nous avons créé pour vous des circuits pour découvrir nos villages et nos vallées, avec différents niveaux de difficulté.Chut ! Plus un bruit ! Les passionnés de faune sauvage se sont postés pour observer les mouflons et autres animaux sauvages.Et si vous voulez juste faire une balade tranquille sur le massif, la voie de découverte « les balcons de l’Aigoual » est faite pour vous !  Des haltes de détente et d’information jalonnent ce parcours de 4,5 km avec seulement 150 m de dénivelé !Au plaisir de vous croiser sur nos chemins….
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kilomètre 150,95
latitude 44.1204
altitude 1466 m
longitude 3.56812
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Les nids (Céline Pialot)

Point d'intérêt naturel
Petit à petit l’oiseau fait son Nid, Nid douillet, Nid d’ange ou nid de guêpe…A l’instar de l’oiseau, l’artiste a récolté les matériaux offerts par la nature et les a agencés pour construire trois nids, trois refuges, trois cercles qui renvoient à la perfection et invitent à la méditation.
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kilomètre 151,04
latitude 44.1204
altitude 1455 m
longitude 3.56702
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L'Espérou

Lieu historique
Le village de L’Espérou se situe à la jonction entre les communes de Dourbies et de Valleraugue. Il est traversé par une draille de transhumance, voie de circulation des bergers avec leurs troupeaux lors des estives. Comme beaucoup de villages gardois, deux lieux de cultes, l’un catholique, l’autre protestant, se font face. Les alentours du village bénéficient d’un espace varié propice aux activités de pleine nature et aux manifestations sportives.
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kilomètre 156,59
latitude 44.0907
altitude 1216 m
longitude 3.5429
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Végétation étagée

Point d'intérêt naturel
Le sentier s’étire de 700 à 1250 m d'altitude et permet d'observer les changements de végétation au fur et à mesure de l'ascension. Des étages de végétation ont été définis en fonction de l'altitude et portent le nom de l'espèce végétale dominante.Le premier étage est celui du chêne vert et s'arrête à 500 m environ. Il est présent surtout sur les sols schisteux ou calcaire. Puis, suit l'étage des chênes à feuilles caduc et du châtaignier, compris entre 500 et 900 m. Au-dessus de 1000 m et jusqu'à 1500 m, on trouve l'étage du hêtre ; on arrive dans la forêt domaniale de l'Aigoual. Le dernier étage de végétation, au-delà de 1500 m, est une zone non boisée et ne concerne qu'un cercle restreint autour du sommet de l'Aigoual.
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kilomètre 169,09
latitude 44.0427
altitude 965 m
longitude 3.55318
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Commune de Bréau-Salagosse

Lieu historique
La commune de Bréau-Salagosse est formée de deux villages distincts. Le plus ancien est celui de Salagosse. Celui de Bréau n’ a été créé qu'au VIIe siècle. Une partie de la population se trouvant à l'étroit à Salagosse, décide de s'installer plus bas dans la vallée, sur une pente ensoleillée. Séparées en 1669, les deux communes fusionnent à nouveau en 1818. L'origine du nom de Salagosse vient probablement de « Feragus », surnom d'un homme d'armes signifiant « fer aigu ». Les habitants s'appellent les salabousards.
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kilomètre 170,55
latitude 44.0336
altitude 769 m
longitude 3.55434
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Village de Bréau

Monument & architecture
L’origine du nom n'est pas clairement identifiée. Pour certains Breono serait la forme latine du gaulois brogilos, devenu brueilh en occitan. Brueilh signifie "bosquet, bois". Pour d'autres, Breono viendrait de Brannus, surnom de Bellenus, un dieu celte. À Bréau le temple date de 1845. (...) Le bâtiment a la particularité d'être octogonal et les marches ont été taillées par un artisan local. Le premier temple avait été détruit en 1664 par les soldats du roi, assistés de la population réquisitionnée.
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kilomètre 177,07
latitude 43.989
altitude 362 m
longitude 3.57293
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Culture de l'olive

Lieux d'intérêt divers
Deux moulins à huile se situaient à mi-pente, au milieu des terrasses. La plupart des familles possédaient des parcelles plus ou moins grandes de vignes et d'oliviers, exposées à l'adret. Les olives se ramassaient à partir du 25 novembre : « à la Ste-Catherine, ramasse tes olives, si l'huile n'y est pas, ne l'attend pas ». La meule était actionnée par un mulet, les olives broyées puis pressées, donnaient d'abord l'huile vierge. « On versait de l'eau bouillante et on continuait à presser. Trois ou quatre hommes à la fois s'arc-boutaient sur la presse afin qu'il ne reste plus dans les paillassous (corbeilles) que les noyaux broyés. On les faisait consommer aux cochons qui en étaient peu friands, mais rien ne devait être perdu ».
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kilomètre 184,13
latitude 43.9744
altitude 486 m
longitude 3.56242
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    Synchroniser sur mobile

      • Le parcours ou point d'intérêt est disponible pour être synchronisé avec un application mobile compatible.


    Consultez la liste des applications compatibles avec IGNrando’.



    Consultez le processus de synchronisation.


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