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Tour du Champsaur-Valgaudemar à cheval

  • Thématique Historique, patrimoine
  • Mis à jour le 31/05/2022
  • Identifiant 1788357
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Revendeur cartes IGN
Autre
Autre
Echelle  
durée / niveau
Randonnée/tourisme équestre
240h04 - Moyen
distance
169,3 km
type parcours
altitude
1897 m 5740 m 766 m -5732 m
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Lieu de départ
Gap
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol
Mots clés
randonneurs_aguerris

Photos & vidéos (4)

description

Après l’ascension panoramique au-dessus du gapençais, sous-bois et plaine agricole se déroulent jusqu’au lac du Sautet. Ensuite, l’itinéraire s’infiltre dans les vallées profondes du Valgaudemar puis continue au cœur du bocage champsaurin. Il alterne entre balcons montagneux et bords de rivières avant de revenir au plateau de Bayard. Le tout en 10 étapes !De Bayard, monter au Col de Gleize en profitant de belles vues sur le Gapençais. Continuer à travers bois jusqu’au Noyer, puis en plaine agricole jusqu’au château de Lesdiguières. Après le lac du Sautet, replonger en sous-bois puis prendre de la hauteur à St Firmin. Au Séchier, longer le Canal des Herbeys. Rejoindre le Champsaur et le Petit Chaillol au lac de Roaffan, parcourir des paysages de bocage jusqu’à Charbillac puis prendre de l’altitude dans le cadre préservé des Infournas et de la Maison Forestière de Subeyrannes. Redescendre vers St Bonnet par le lac de Barbeyroux et poursuivre au cœur de cette vallée agricole jusque Chabottonnes. Monter vers Chaillol puis continuer sous les Aiguilles de Famourou et le Palastre jusqu’au plateau de La Coche. Redescendre ensuite au Clapier pour longer le Drac Blanc jusqu’aux Gondouins. Revenir et longer le Drac Noir avant de rejoindre le belvédère de Serre-Eyrauds. Monter un étage de plus pour parcourir la piste en balcon passant par les fabuleux alpages de Combeau et le point de vue de l’Abeille. Redescendre à Saint-Léger-Les-Mélèzes puis longer le Canal pour rejoindre l’ancienne voie ferrée et Serre-Richard. Enfin, rejoindre le Bois de St Laurent et le Plateau de Bayard.

Départ

Gap Bayard

Arrivée

Gap Bayard

Ambiance

Aborder le meilleur des vallées du Champsaur et du Valgaudemar à cheval, voilà une belle promesse ! Cet itinéraire qui ceinture le Drac, oscille entre bords de torrents tumultueux, balcons aux vues imprenables, et offre des ambiances paysagères uniques et variées. On évolue, à son rythme, au milieu des forêts, de bocage, entourés de sommets tous plus beaux les uns que les autres et d’un patrimoine bâti préservé, témoin de son histoire montagnarde. Un régal pour le cheval comme pour son cavalier.

Parking conseillé

Parkings Gap Bayard (golf, station service, centre d’oxygénation)

Recommandations

Chevaux entraînés (dénivelés, sols variables, durée, climat changeant) ; Quelques sentiers étroits et légèrement en dévers ; Se renseigner avant d'emprunter un raccourci ;Faisable de mi-mai à mi-octobre.

Les chiens de protection des troupeaux

En alpage, les chiens de protection sont là pour protéger les troupeaux des prédateurs (loups, etc.).Lorsque je randonne, j’adapte mon comportement en contournant le troupeau et en marquant une pause pour que le chien m’identifie.En savoir plus sur les gestes à adopter avec le dossier Chiens de protection : un contexte et des gestes à adopter.En cas de problème, racontez votre rencontre en répondant à cette enquête.

infos parcours (19)

1

L'ONF

L’action de l’Office National des Forêts ne se limite pas à l’exploitation forestière. Après avoir racheté de nombreux terrains suite à l’exode rural (parcelles domaniales) l’état délégua aux « Eaux et forêts » la difficile tâche de sauvegarder le patrimoine naturel de nombreuses communes (restauration de terrains et de bâtiments, entretien de sentiers etc…)
Informations complémentaires


kilomètre 12,88
latitude 44.6387
altitude 1478 m
longitude 6.06263
2

Dominique Villars

Le botaniste Dominique Villars est né au Noyer en 1745. Il s’intéressa très jeune à la botanique et, avec son ami, Dominique Chaix, curé botaniste de la Roche des Arnauds, il découvrit de nombreuses espèces nouvelles. Il rédigea « L’histoire des plantes du Dauphiné » regroupant 3000 espèces. Peu avant sa mort en 1814, il fut nommé par l’Empereur « professeur de botanique » à l’école spéciale de médecine de Strasbourg. 
Informations complémentaires


kilomètre 25,12
latitude 44.6937
altitude 1127 m
longitude 6.0151
3

Le chevreuil

Avec ses forêts, le Noyer présente un milieu propice à l’expansion du chevreuil. Venus d’Italie, de l’Isère et de la Drôme, ils se sont rajoutés à une quarantaine d’individus lâchés entre 1969 et 1975 dans les forêts voisines de Durbon et du Morgon. Cet animal discret se reconnaît à son pelage brun roux et à sa tache blanche située à l’arrière de l’animal.
Informations complémentaires


kilomètre 27,55
latitude 44.7125
altitude 1075 m
longitude 6.00852
4

Village Le Glaizil

Le nom du Glaizil serait dérivé du bas-latin « glitia » pour glaise ou argile. Tout comme la Fare, Poligny et le Noyer, Le Glaizil fit partie du mandement de terre d’église, c’est-à-dire que l’évêque de Gap en était co-seigneur et avait donc autorité sur les terres.
Informations complémentaires


kilomètre 33,85
latitude 44.7539
altitude 925 m
longitude 5.98381
5

Château de Lesdiguières

Ce château fut construit par François de Bonne, Duc de Lesdiguières et chef des protestants en 1580 sur l’emplacement d’une maison forte familiale.
Informations complémentaires


kilomètre 36,28
latitude 44.7669
altitude 870 m
longitude 5.97647
6

Le Pont du Loup

La chute d’eau appelée « Pont du Loup » devait permettre la fourniture d'électricité nécessaire au fonctionnement de la voie de chemin de fer Gap-Grenoble. L’avènement ades automobiles rendit caduc ce projet et la section Gap-Corps ne fut jamais achevée.
Informations complémentaires


kilomètre 40,89
latitude 44.7947
altitude 754 m
longitude 5.96835
7

Canal des Herbeys

Depuis longtemps les habitants du Valgaudemar ont essayé de maîtriser l'eau pour pallier les faibles précipitations estivales. Le canal des Herbeys est encore fonctionnel et bien utilisé. Il permet, avec plus de 600 litres à la seconde, d’arroser « à l’arrêt » 289 ha sur les communes de Chauffayer et de St-Jacques. Long de 28 km environ, il fut entrepris puis achevé sous l’initiative de François Dupont de Pontcharra des Herbeys. Il est entretenu tous les ans par les membres du syndicat des utilisateurs, qui passent plusieurs journées à curer le canal et consolider les voûtes.
Informations complémentaires


kilomètre 61,60
latitude 44.7765
altitude 933 m
longitude 6.05347
8

Prairies de fauche

Lorsqu’elles n’ont pas été bouleversées par les techniques récentes de fertilisation et d’ensilage, elles abritent encore régulièrement une cinquantaine d’espèces végétales. Les plus emblématiques tels le narcisse des poètes, le salsifis des Alpes, la sauge des prés, le sainfoin, le trolle d’Europe rythment tour à tour les paysages de leurs variations colorées.
Informations complémentaires


kilomètre 68,28
latitude 44.7417
altitude 1163 m
longitude 6.04908
9

Richesse ornithologique

Trente années d’inventaires attentifs ont permis de recenser 220 espèces d’oiseaux dans la vallée. Une richesse exceptionnelle qui tient tant à la variété des paysages (entre bocage, zones humides, forêts et haute montagne) qu’à la situation charnière du Champsaur : plus tout à fait nord-alpin, déjà bien ouvert sur le sud par les seuils de Manse et de Bayard, propice aux échanges et donc aux migrateurs tels aigrettes, sarcelles, kobez ou gobemouches …
Informations complémentaires


kilomètre 68,94
latitude 44.7362
altitude 1187 m
longitude 6.05359
10

Bocage

Le bocage, un paysage assez commun en France avant guerre mais qui a conservé ici, à plus de mille mètres d’altitude, une belle diversité. Un maillage de haies de culture, de prés et de bois qui se révèle très favorable à une multitude d’oiseaux. Parmi eux nombre de passereaux communs (pie grièches, tariers, bruants, cailles, torcols…) dont les effectifs en France déclinent parfois d’une manière inquiétante. La richesse n’est donc pas faite que de raretés !
Informations complémentaires


kilomètre 71,78
latitude 44.7195
altitude 1133 m
longitude 6.0645
11

Architecture du Champsaur

Les paysages d’aujourd’hui et les maisons ne sont pas le fruit du hasard. Ils portent la trace de l’homme qui, moins animé du souci de faire de belles choses que d’une volonté fonctionnelle rigoureuse, a trouvé les meilleures relations qu’il convenait d’avoir avec son pays. Dans la partie nord-sud de la vallée du Drac, région ventée par la bise souvent froide, on connaissait le bocage et les bâtiments sont très serrés, avec un mur pratiquement aveugle au Nord. Sur les balcons de l’est comme à St-Michel-de-Chaillol ou St-Julien-en-Champsaur, on recherche le soleil : la façade présente souvent un vaste porche.
Informations complémentaires


kilomètre 76,37
latitude 44.7132
altitude 1371 m
longitude 6.11014
12

Les Richards

Perché à 1548 m d'altitude au-dessus du Pont-du-Fossé sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas, le hameau des Richards est un havre de tranquillité. La vue est splendide sur les deux Autanes et le bocage champsaurin. C'est un départ de randonnée très prisé pour les balcons ou le sommet du Palastre et un décollage de vol libre pour les adeptes du vol de distance. Il n'est pas rare qu'un pilote se pose à Grenoble et parfois même à Chamonix après une longue journée de vol au départ des Richards ! Le record est de 162 km avec un atterrissage à Chamonix en 2002. 
Informations complémentaires


kilomètre 111,16
latitude 44.6823
altitude 1536 m
longitude 6.2326
13

Le bouquetin

En remontant quelques minutes en fond de vallée, vous pourrez observer des bouquetins. En septembre 1994 fut lâchée à Champoléon, une trentaine de bêtes provenant de la Vanoise par les agents du Parc national des Ecrins. Plus lourd (100 kg) et moins farouche que le chamois, ce superbe animal, proche de la chèvre domestique, a manqué de disparaître des Alpes. Totalement protégé en France, il est à présent sauvé de l’extinction.
Informations complémentaires


kilomètre 118,75
latitude 44.7189
altitude 1264 m
longitude 6.25759
14

Les Borels

C’est le bourg le plus important de la commune de Champoléon (il n’y a pas de hameau portant ce nom). Jusque vers la guerre de 1914, la vallée vivait forcément en circuit fermé pour tout ce qui était nécessaire à la vie de tous les jours. Aux Borels on trouvait un tisserand (laine et chanvre ), un meunier-boulanger, un forgeron, un maçon, un culottière et dans les autres hameaux, un sabotier, deux meuniers, un scieur, un menuisier-ébéniste, deux cordonniers. Ces derniers travaillaient à domicile.
Informations complémentaires


kilomètre 118,86
latitude 44.72
altitude 1268 m
longitude 6.25775
15

Le tardon

Le tardon est un agneau élevé sous la mère dans les alpages du massif des Ecrins. Chaque automne la foire agricole de Champolléon célèbre le tardon. Cet événement met le pastoralisme à l'honneur et rassemble les éleveurs, bergers et le grand public. Au programme : vente de moutons, marché des producteurs, repas à base de tardon et animations.
Informations complémentaires


kilomètre 119,16
latitude 44.7218
altitude 1293 m
longitude 6.25975
16

Plantes du pastoralisme

Autour des cabanes de bergers on trouve des plantes peu colorées mais utiles en cuisine : l’ortie dioïque, urticante, mais que l’on utilise pour faire des soupes succulentes, l’épinard sauvage ou « chénopode bon-henri » se consomme en gratin (les fameuses oreilles d'âne) avec les feuilles acides de l’oseille alpine. En dessert, les pétioles des feuilles de la rhubarbe des moines servaient, cuites, à faire des confitures et des compotes.
Informations complémentaires


kilomètre 135,38
latitude 44.677
altitude 1469 m
longitude 6.27534
17

Le Patou

Il est de nouveau très employé dans les alpages par les éleveurs et les bergers depuis le retour du loup. Son rôle est de protéger les moutons, pas de les rassembler comme le chien de berger. On l'habitue très tôt à vivre avec eux pour qu’il les considère ensuite comme sa famille. Il aboie et s'interpose entre le troupeau et ce qu'il considère comme une menace. Etant très protecteur pour le troupeau, le promeneur devra veiller à s'en tenir éloigné.
Informations complémentaires


kilomètre 139,66
latitude 44.6565
altitude 1821 m
longitude 6.25773
18

Alpage de Combeau

L'alpage de Combeau situé à 2000 m d’altitude.Ne manquez pas le superbe panorama de la Croix de Combeau.
Informations complémentaires


kilomètre 139,73
latitude 44.6543
altitude 1886 m
longitude 6.25803
19

Temple de Saint-Laurent du Cros

Ce temple, le seul du Champsaur, témoigne des périodes sombres qui suivirent la révocation de l’Édit de Nantes en 1685. Aujourd'hui, loin des guerres de religion, cet édifice est le lieu de culte et de rassemblement des protestants de la vallée. Avant 1685, trois temples se trouvaient sur le territoire : à Saint Bonnet, Orcières et Ancelle. En ce temps où le Duc de Lesdiguières, Jean-François de Bonne, étendait sa souveraineté sur le Champsaur, les protestants représentaient une part très importante de la population, et cette grande figure étant également chef des protestants, les conversions forcées n'étaient pas rares non plus. Mais lorsque Louis XIV décide de révoquer l’Édit de Nantes, partout en France les pasteurs sont pendus, fusillés et parfois envoyés aux galères, les temples détruits... En 1789, le droit de pratiquer la religion de son choix est enfin rétabli. Dans la vallée, il faudra attendre 1834, et une décision ministérielle allouant la somme de mille francs à cet effet, pour que la construction d'un nouveau temple permette l'accueil des fidèles de l’Église Réformée. Mais en 1880, le bâtiment est devenu trop exiguë et un nouvel édifice, inauguré le 26 mai 1886, est alors érigé sur l'emplacement actuel fournit par M. Victor Cesmat.En 2003, la commune fit exécuter d'importants travaux de restauration sur l'ensemble du bâtiment.
Informations complémentaires


kilomètre 156,96
latitude 44.6437
altitude 1095 m
longitude 6.1094

Points d'interêt (19)

A

L'ONF

Lieu historique
L’action de l’Office National des Forêts ne se limite pas à l’exploitation forestière. Après avoir racheté de nombreux terrains suite à l’exode rural (parcelles domaniales) l’état délégua aux « Eaux et forêts » la difficile tâche de sauvegarder le patrimoine naturel de nombreuses communes (restauration de terrains et de bâtiments, entretien de sentiers etc…)
Informations complémentaires


kilomètre 12,88
latitude 44.6387
altitude 1478 m
longitude 6.06263
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B

Dominique Villars

Lieu historique
Le botaniste Dominique Villars est né au Noyer en 1745. Il s’intéressa très jeune à la botanique et, avec son ami, Dominique Chaix, curé botaniste de la Roche des Arnauds, il découvrit de nombreuses espèces nouvelles. Il rédigea « L’histoire des plantes du Dauphiné » regroupant 3000 espèces. Peu avant sa mort en 1814, il fut nommé par l’Empereur « professeur de botanique » à l’école spéciale de médecine de Strasbourg. 
Informations complémentaires


kilomètre 25,12
latitude 44.6937
altitude 1127 m
longitude 6.0151
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C

Le chevreuil

Point d'intérêt naturel
Avec ses forêts, le Noyer présente un milieu propice à l’expansion du chevreuil. Venus d’Italie, de l’Isère et de la Drôme, ils se sont rajoutés à une quarantaine d’individus lâchés entre 1969 et 1975 dans les forêts voisines de Durbon et du Morgon. Cet animal discret se reconnaît à son pelage brun roux et à sa tache blanche située à l’arrière de l’animal.
Informations complémentaires


kilomètre 27,55
latitude 44.7125
altitude 1075 m
longitude 6.00852
Voir la fiche du point d'intéret »
D

Village Le Glaizil

Lieu historique
Le nom du Glaizil serait dérivé du bas-latin « glitia » pour glaise ou argile. Tout comme la Fare, Poligny et le Noyer, Le Glaizil fit partie du mandement de terre d’église, c’est-à-dire que l’évêque de Gap en était co-seigneur et avait donc autorité sur les terres.
Informations complémentaires


kilomètre 33,85
latitude 44.7539
altitude 925 m
longitude 5.98381
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E

Château de Lesdiguières

Lieu historique
Ce château fut construit par François de Bonne, Duc de Lesdiguières et chef des protestants en 1580 sur l’emplacement d’une maison forte familiale.
Informations complémentaires


kilomètre 36,28
latitude 44.7669
altitude 870 m
longitude 5.97647
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F

Le Pont du Loup

Monument & architecture
La chute d’eau appelée « Pont du Loup » devait permettre la fourniture d'électricité nécessaire au fonctionnement de la voie de chemin de fer Gap-Grenoble. L’avènement ades automobiles rendit caduc ce projet et la section Gap-Corps ne fut jamais achevée.
Informations complémentaires


kilomètre 40,89
latitude 44.7947
altitude 754 m
longitude 5.96835
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G

Canal des Herbeys

Monument & architecture
Depuis longtemps les habitants du Valgaudemar ont essayé de maîtriser l'eau pour pallier les faibles précipitations estivales. Le canal des Herbeys est encore fonctionnel et bien utilisé. Il permet, avec plus de 600 litres à la seconde, d’arroser « à l’arrêt » 289 ha sur les communes de Chauffayer et de St-Jacques. Long de 28 km environ, il fut entrepris puis achevé sous l’initiative de François Dupont de Pontcharra des Herbeys. Il est entretenu tous les ans par les membres du syndicat des utilisateurs, qui passent plusieurs journées à curer le canal et consolider les voûtes.
Informations complémentaires


kilomètre 61,60
latitude 44.7765
altitude 933 m
longitude 6.05347
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H

Prairies de fauche

Point d'intérêt naturel
Lorsqu’elles n’ont pas été bouleversées par les techniques récentes de fertilisation et d’ensilage, elles abritent encore régulièrement une cinquantaine d’espèces végétales. Les plus emblématiques tels le narcisse des poètes, le salsifis des Alpes, la sauge des prés, le sainfoin, le trolle d’Europe rythment tour à tour les paysages de leurs variations colorées.
Informations complémentaires


kilomètre 68,28
latitude 44.7417
altitude 1163 m
longitude 6.04908
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I

Richesse ornithologique

Point d'intérêt naturel
Trente années d’inventaires attentifs ont permis de recenser 220 espèces d’oiseaux dans la vallée. Une richesse exceptionnelle qui tient tant à la variété des paysages (entre bocage, zones humides, forêts et haute montagne) qu’à la situation charnière du Champsaur : plus tout à fait nord-alpin, déjà bien ouvert sur le sud par les seuils de Manse et de Bayard, propice aux échanges et donc aux migrateurs tels aigrettes, sarcelles, kobez ou gobemouches …
Informations complémentaires


kilomètre 68,94
latitude 44.7362
altitude 1187 m
longitude 6.05359
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J

Bocage

Point d'intérêt naturel
Le bocage, un paysage assez commun en France avant guerre mais qui a conservé ici, à plus de mille mètres d’altitude, une belle diversité. Un maillage de haies de culture, de prés et de bois qui se révèle très favorable à une multitude d’oiseaux. Parmi eux nombre de passereaux communs (pie grièches, tariers, bruants, cailles, torcols…) dont les effectifs en France déclinent parfois d’une manière inquiétante. La richesse n’est donc pas faite que de raretés !
Informations complémentaires


kilomètre 71,78
latitude 44.7195
altitude 1133 m
longitude 6.0645
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K

Architecture du Champsaur

Monument & architecture
Les paysages d’aujourd’hui et les maisons ne sont pas le fruit du hasard. Ils portent la trace de l’homme qui, moins animé du souci de faire de belles choses que d’une volonté fonctionnelle rigoureuse, a trouvé les meilleures relations qu’il convenait d’avoir avec son pays. Dans la partie nord-sud de la vallée du Drac, région ventée par la bise souvent froide, on connaissait le bocage et les bâtiments sont très serrés, avec un mur pratiquement aveugle au Nord. Sur les balcons de l’est comme à St-Michel-de-Chaillol ou St-Julien-en-Champsaur, on recherche le soleil : la façade présente souvent un vaste porche.
Informations complémentaires


kilomètre 76,37
latitude 44.7132
altitude 1371 m
longitude 6.11014
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L

Les Richards

Monument & architecture
Perché à 1548 m d'altitude au-dessus du Pont-du-Fossé sur la commune de Saint-Jean-Saint-Nicolas, le hameau des Richards est un havre de tranquillité. La vue est splendide sur les deux Autanes et le bocage champsaurin. C'est un départ de randonnée très prisé pour les balcons ou le sommet du Palastre et un décollage de vol libre pour les adeptes du vol de distance. Il n'est pas rare qu'un pilote se pose à Grenoble et parfois même à Chamonix après une longue journée de vol au départ des Richards ! Le record est de 162 km avec un atterrissage à Chamonix en 2002. 
Informations complémentaires


kilomètre 111,16
latitude 44.6823
altitude 1536 m
longitude 6.2326
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M

Le bouquetin

Point d'intérêt naturel
En remontant quelques minutes en fond de vallée, vous pourrez observer des bouquetins. En septembre 1994 fut lâchée à Champoléon, une trentaine de bêtes provenant de la Vanoise par les agents du Parc national des Ecrins. Plus lourd (100 kg) et moins farouche que le chamois, ce superbe animal, proche de la chèvre domestique, a manqué de disparaître des Alpes. Totalement protégé en France, il est à présent sauvé de l’extinction.
Informations complémentaires


kilomètre 118,75
latitude 44.7189
altitude 1264 m
longitude 6.25759
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N

Les Borels

Lieu historique
C’est le bourg le plus important de la commune de Champoléon (il n’y a pas de hameau portant ce nom). Jusque vers la guerre de 1914, la vallée vivait forcément en circuit fermé pour tout ce qui était nécessaire à la vie de tous les jours. Aux Borels on trouvait un tisserand (laine et chanvre ), un meunier-boulanger, un forgeron, un maçon, un culottière et dans les autres hameaux, un sabotier, deux meuniers, un scieur, un menuisier-ébéniste, deux cordonniers. Ces derniers travaillaient à domicile.
Informations complémentaires


kilomètre 118,86
latitude 44.72
altitude 1268 m
longitude 6.25775
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O

Le tardon

Point d'intérêt naturel
Le tardon est un agneau élevé sous la mère dans les alpages du massif des Ecrins. Chaque automne la foire agricole de Champolléon célèbre le tardon. Cet événement met le pastoralisme à l'honneur et rassemble les éleveurs, bergers et le grand public. Au programme : vente de moutons, marché des producteurs, repas à base de tardon et animations.
Informations complémentaires


kilomètre 119,16
latitude 44.7218
altitude 1293 m
longitude 6.25975
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P

Plantes du pastoralisme

Lieu historique
Autour des cabanes de bergers on trouve des plantes peu colorées mais utiles en cuisine : l’ortie dioïque, urticante, mais que l’on utilise pour faire des soupes succulentes, l’épinard sauvage ou « chénopode bon-henri » se consomme en gratin (les fameuses oreilles d'âne) avec les feuilles acides de l’oseille alpine. En dessert, les pétioles des feuilles de la rhubarbe des moines servaient, cuites, à faire des confitures et des compotes.
Informations complémentaires


kilomètre 135,38
latitude 44.677
altitude 1469 m
longitude 6.27534
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Q

Le Patou

Point d'intérêt naturel
Il est de nouveau très employé dans les alpages par les éleveurs et les bergers depuis le retour du loup. Son rôle est de protéger les moutons, pas de les rassembler comme le chien de berger. On l'habitue très tôt à vivre avec eux pour qu’il les considère ensuite comme sa famille. Il aboie et s'interpose entre le troupeau et ce qu'il considère comme une menace. Etant très protecteur pour le troupeau, le promeneur devra veiller à s'en tenir éloigné.
Informations complémentaires


kilomètre 139,66
latitude 44.6565
altitude 1821 m
longitude 6.25773
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R

Alpage de Combeau

Points de vue, panorama
L'alpage de Combeau situé à 2000 m d’altitude.Ne manquez pas le superbe panorama de la Croix de Combeau.
Informations complémentaires


kilomètre 139,73
latitude 44.6543
altitude 1886 m
longitude 6.25803
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S

Temple de Saint-Laurent du Cros

Monument & architecture
Ce temple, le seul du Champsaur, témoigne des périodes sombres qui suivirent la révocation de l’Édit de Nantes en 1685. Aujourd'hui, loin des guerres de religion, cet édifice est le lieu de culte et de rassemblement des protestants de la vallée. Avant 1685, trois temples se trouvaient sur le territoire : à Saint Bonnet, Orcières et Ancelle. En ce temps où le Duc de Lesdiguières, Jean-François de Bonne, étendait sa souveraineté sur le Champsaur, les protestants représentaient une part très importante de la population, et cette grande figure étant également chef des protestants, les conversions forcées n'étaient pas rares non plus. Mais lorsque Louis XIV décide de révoquer l’Édit de Nantes, partout en France les pasteurs sont pendus, fusillés et parfois envoyés aux galères, les temples détruits... En 1789, le droit de pratiquer la religion de son choix est enfin rétabli. Dans la vallée, il faudra attendre 1834, et une décision ministérielle allouant la somme de mille francs à cet effet, pour que la construction d'un nouveau temple permette l'accueil des fidèles de l’Église Réformée. Mais en 1880, le bâtiment est devenu trop exiguë et un nouvel édifice, inauguré le 26 mai 1886, est alors érigé sur l'emplacement actuel fournit par M. Victor Cesmat.En 2003, la commune fit exécuter d'importants travaux de restauration sur l'ensemble du bâtiment.
Informations complémentaires


kilomètre 156,96
latitude 44.6437
altitude 1095 m
longitude 6.1094
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Note moyenne
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