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Tour du Pic de Valsenestre

  • Thématique Balade
  • Mis à jour le 27/08/2022
  • Identifiant 1788793
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Revendeur cartes IGN
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Autre
Echelle  
durée / niveau
Rando pédestre
120h02 - Moyen
distance
44,2 km
type parcours
altitude
2473 m 2895 m 964 m -2916 m
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Lieu de départ
Valjouffrey
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol
Mots clés
randonneurs_aguerris

Photos & vidéos (2)

description

Flirtez avec les hauts sommets et traversez les multiples facettes de la vie de montagne grâce à ce tour aux ambiances agro-pastorales, forestières et minérales.La totalité du Tour du Pic de Valsenestre se déroule sur une seule et même commune : le Valjouffrey. La première étape de cette itinérance permet de relier, en moins de deux heures, par le sentier du facteur, le hameau de La Chapelle-en-Valjouffrey à celui de Valsenestre en longeant la rive gauche du torrent du Béranger. Après une nuit à Valsenestre, vous rejoindrez le Désert-en-Valjouffrey. Agriculture et tourisme permettent le maintien d’une vie à l’année dans ce hameau reculé qui accueille une vingtaine d’habitants permanents. Le parcours emprunte le GR 54 qui passe par le col de Côte Belle (2290 m). À la montée vous côtoierez les spectaculaires lamelles de roches calcaires des orgues de Valsenestre. Au col, vous bénéficierez d’une vue somptueuse sur Le Rocher de la Muzelle et les sommets environnants.Le troisième jour vous conduira du Désert-en-Valjouffrey au refuge de Font Turbat. Un chemin en pente douce qui serpente à travers les prairies vous emmènera en 1h30 jusqu’à la cascade de la Pisse. À partir de là, le chemin devient sentier. Vous découvrez rapidement, devant vous, une vallée glaciaire caractéristique et l’imposante face nord de l’Olan qui vous accompagnera sur la lente montée au refuge.La quatrième journée vous ramène au Désert par l’itinéraire sauvage du petit vallon. Au départ du refuge, vous vous élevez vers le col des Lauvets qui vous ouvre la vue sur l’itinéraire de retour au Désert et le vallon de Font Turbat. Vous porterez un dernier regard sur l’Olan avant d’engager la descente.Le dernier jour de votre périple vous mènera, dans une ambiance plus champêtre et bucolique, à la Chapelle-en-Valjouffrey, après avoir côtoyé le hameau des Faures et traversé celui de la Chalp. C’est le retour à la vie de fond de vallée.  

Départ

La Chapelle-en-Valjouffrey

Arrivée

La Chapelle-en-Valjouffrey

Ambiance

Cinq hameaux intimistes qui accueillent 130 habitants permanents, un refuge d’altitude blotti au pied d’une face nord élancée, des forêts, des prairies, des pierriers moussus , des alpages, des sommets et aiguilles granitiques, des névés…  Emprunter les sentiers du tour du Pic de Valsenestre c’est partir à la découverte d’un territoire d’exception aux paysages bien variés.  

Accès routier

À partir d'Entraigues, prendre la D117 en direction de « Valjouffrey ».La Chalp-en-Valjouffrey est le troisième hameau après Entraigues.

Transport en commun

Bus de La Mure à Entraigues – Ligne 4120 du conseil général de l'Isère. Correspondance à « Entraigues Place » avec le service communal de Valjouffrey (Bus communal de 8 places) à destination du Désert-en-ValjouffreyHoraires lundi: 12h45, mercredi: 12h45 (toute l'année) et 19 h (sauf pendant les vacances scolaires) et retour : lundi 06h30, 15h60 et mercredi 06h30 (toute l'année).

Recommandations

Deux passages à plus de 2000m d’altitude : se renseigner sur les conditions d’accès aux refuges avant de partir.La réservation est conseillée si vous souhaitez dormir en refuge.

En coeur de parc

Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est nécessaire de connaître pour préparer son séjour.

infos parcours (39)

1

Prairies naturelles de fauche

Les spécialistes agricoles considèrent qu'une prairie est naturelle dans la mesure ou elle n'a subi aucun apport de fumure ni de labour durant les dix dernières années écoulées. C'est bien le cas de celles cernées de haies, que vous longerez dés le départ de la randonnée. Ces prairies sont d'une grande richesse floristique quant au nombre d'espèces de plantes et par conséquent elles accueillent une myriade d'insectes pollinisateurs, dont les abeilles domestiques évidemment.
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kilomètre 4,95
latitude 44.9069
altitude 1304 m
longitude 6.05535
2

Mégaphorbiaies

Les mégaphorbiaies sont des formations herbacées hautes à larges feuilles  qui forment un ensemble paysager lié à des conditions très strictes à la fois climatiques (été humide et hiver neigeux), topographiques (long versant d’ubac abritant parfois des névés jusqu’au cœur de l’été), altitudinales (étage subalpin de 1600 à 2100 mètres) et pédologiques (sols désaturés à forte réserve en eau).
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kilomètre 6,91
latitude 44.9034
altitude 1542 m
longitude 6.07694
3

Barrages en bois

Dans la combe des Echarennes, au moment de prendre le sentier sur votre gauche, vous pouvez observer dans les gorges du torrent du Béranger, des barrages en bois réalisés par la RTM (service de restauration des terrains de montagne del'ONF) pour retenir les laves torrentielles qui descendent des sommets lors des  fortes pluies et des crues.
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kilomètre 6,98
latitude 44.9045
altitude 1556 m
longitude 6.07825
4

Aconit paniculé

C'est une plante typique de la mégaphorbiaie, elle mesure de 50 à 100 cm. Ces fleurs bleu roi en forme de casque sont regroupées en grappes lâches. Sa particularité : son extrême toxicité ! Les herbivores la connaissent bien et ne la consomment pas.
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kilomètre 8,65
latitude 44.9011
altitude 1877 m
longitude 6.08055
5

Pleurosperme d’Autriche

De la famille du persil et de la carotte, cette robuste plante vivace à tige épaisse, creuse et sillonnée, peut mesurer de 60 à 150 cm. Ses grandes ombelles de fleurs blanches fleurissent de juillet à septembre. Méconnue, elle pousse en France seulement dans les départements alpins et mérite à cet égard qu'on lui prête un peu d'attention.
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kilomètre 9,45
latitude 44.8975
altitude 2061 m
longitude 6.07869
6

Ancolie des Alpes

C’est une espèce peu fréquente et protégée. Elle mesure entre 30 et 60 cm. Ces fleurs, assez grosses, d’un bleu magnifique, épanouies au sommet de leur tige sont les seules à posséder une corolle à cinq éperons. Ne confondez pas : si les fleurs sont plus petites et plus nombreuses, il s’agit de l’ancolie vulgaire.   
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kilomètre 10,11
latitude 44.8966
altitude 2159 m
longitude 6.08012
7

Orgues de Côte Belle

Véritable phénomène géologique, les « grandes orgues », appelées aussi « la grande bibliothèque », se sont dressées lors de la genèse des Alpes. Elles sont formées de minces feuilles de calcaire gris bleu et de marnes schisteuses tendres plus érodées. Un réseau de fissures perpendiculaires aux couches découpe les dalles en de remarquables colonnes.
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kilomètre 10,21
latitude 44.896
altitude 2173 m
longitude 6.07959
8

Troupeau de moutons

Un troupeau de moutons d'éleveurs locaux pâture au sommet du col et vers le pic de Valsenestre. L’été, ces animaux laineux peuvent se rafraîchir à l’ombre des saules soyeux que vous pouvez observer juste avant l’arrivée au col (alt. 2220 m). 
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kilomètre 10,39
latitude 44.8947
altitude 2182 m
longitude 6.07827
9

Saule soyeux

C'est un arbuste de l'étage subalpin. Il mesure moins d'un mètre de haut et pousse en petites concentrations sur les ubacs. A plus basse altitude, il peut atteindre une taille plus importante. De loin vous pourrez le reconnaître à sa couleur argentée et brillante très caractéristique et son port en massifs circulaires. Les feuilles adultes sont très soyeuses sur les deux faces.
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kilomètre 10,53
latitude 44.8935
altitude 2237 m
longitude 6.07825
10

Paysage du cirque de Valsenestre

Du col, monter sur un petit sommet au dessus pour profiter au mieux du paysage qu'offre le cirque de Valsenestre : à gauche le Signal du Lauvitel (2901m) et le Clapier du Perron (3169m), le col de la Muzelle (2613m) où se poursuit le GR54. A ce niveau on aperçoit très bien une faille géologique séparant le bloc des grandes rousses constitué de granite du bloc de la muzelle en gneiss. A droite, les principaux sommets sont la roche de la Muzelle (3465 m), et la pointe Swan (3294m). Le col  de Côte-Belle quant à lui sépare le Pic de Valsenestre (2752m) à gauche de l’aiguille des Marmes (3046 m) à droite.
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kilomètre 10,94
latitude 44.893
altitude 2327 m
longitude 6.08063
11

Edelweiss

En latin léontopodium signifie pied de lion par la forme générale de l'edelweiss. En y regardant de près, on se rend compte que ce n'est pas une fleur mais un ensemble de 5 à 10 fleurs groupées dans un capitule. L’edelweiss est de la famille des astéracées comme les pissenlits. C'est une plante blanche, laineuse et vivace poussant dans les pelouses d'altitude rocailleuses à l'étage subalpin jusqu'à 2900 m. Elle se mêle souvent à l'aster des alpes. Emblème de nombreuses compagnies de guides, elle symbolise la haute montagne et représente la force en langage des fleurs.
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kilomètre 11,22
latitude 44.8933
altitude 2313 m
longitude 6.08173
12

Lézard vivipare

Le lézard vivipare se distingue du lézard des murailles par son museau arrondi. Il est capable de vivre jusqu'à 2500m et c'est dans les alpages que sa rencontre se produira le plus souvent. Il aime se réchauffer au soleil , posé sur l'herbe ou la mousse sèche et chasse sauterelles, criquets ou araignées. Pour hiverner, ils s'enfouit dans la terre où il peut supporter en léthargie des températures négatives. Le lézard vivipare est nommé ainsi car les femelles gardent leurs œufs dans leur ventre jusqu'à l’éclosion. Les jeunes sont donc complètement formés lorsqu'ils naissent, c'est une adaptation à un  milieu froid.
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kilomètre 11,29
latitude 44.8933
altitude 2259 m
longitude 6.08362
13

Nouveau sentier

Le dernier tronçon  de sentier permettant d'accéder au col a nécessité de nombreuses journées d’entretien depuis sa création. En effet le caractère instable du sol associé à la raideur de la pente ont obligé les gardes à créer des banquettes en bois pour contenir le poids de la terre. À l'automne 2012, il est décidé de créer une nouvelle portion du sentier en empruntant une partie d'un biais de brebis plus à l'Est en direction du col des Marmes. Le travail a été effectué en équipe à raison de 50 m par jour pendant une durée de 26 jours avec des pioches et du courage. Au total, c'est une portion de 1300 m qui a vu le jour, ce qui rend le sentier moins raide et beaucoup plus stable.
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kilomètre 12,23
latitude 44.8899
altitude 2116 m
longitude 6.08308
14

Paravalanche

En 1961 et 1962 de grosses avalanches sont descendues jusqu'au lit de la Bonne, menaçant des maisons du hameau du Désert en Vajouffrey.En 1982 d’importants travaux permettent de construire un paravalanche afin de sécuriser le hameau et les prairies, en détournant les éventuelles menaces venues du vallon de Côte-belle.
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kilomètre 15,15
latitude 44.8732
altitude 1369 m
longitude 6.09263
15

Prairies de fauche

Toutes ces prairies où l'herbe est fauchée ont été gagnées au fil des générations, en retirant les pierres qui ont été empilées en pierriers appelés localement clapiers. Ces amoncellements de pierres délimitent les parcelles et protègent les cultures des troupeaux.
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kilomètre 16,05
latitude 44.8697
altitude 1285 m
longitude 6.09675
16

Pouillot véloce

Oiseau qu'on entend mais qu'on ne voit pas, le Pouillot véloce est surnommé le compteur d'écus. Son chant, très facilement reconnaissable, évoque le bruit des pièces d'or qui tombent dans la caissette lorsque l'on compte les écus un par un. Vert-brun à grisâtre sur le dessus, son plumage est blanc sale dessous, chamoisé sur la poitrine avec un sourcil pâle peu visible.
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kilomètre 16,70
latitude 44.8739
altitude 1291 m
longitude 6.10219
17

Joubarbe à toile d'araignée

Des feuilles épaisses organisées en petites rosettes serrées dardent vers le ciel des entrelacs de poils blancs assez semblables aux pièges tissés par certaines araignées. Non moins conquérante que le rhododendron, la joubarbe à toile d’araignée est adaptée pour résister à la sécheresse. La rosette principale et les rejets plus petits, bien regroupés, constituent une véritable réserve d’eau que les feuilles charnues stockent à merveille. Elle développe également de multiples formes de pilosité qui récupèrent de la rosée.
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kilomètre 18,26
latitude 44.88
altitude 1397 m
longitude 6.11925
18

Rhododendron

Surnommé la rose du diable, le rhododendron ferrugineux a la capacité de s'installer parmi les blocs et les rochers là où la terre est rare. Il s'obstine à garder tout l'hiver ses feuilles rigides, luisantes et vert foncé dessus et rouille dessous d'où son nom. Tous les ans, entre la fin du mois de juillet et le début d’août, ses rameaux se couronnent d’un bouquet de fleurettes rose pourpre.
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kilomètre 18,60
latitude 44.8814
altitude 1426 m
longitude 6.12281
19

Apollon

Grand papillon blanc peu craintif aux taches rouges et noires, l’Apollon est facile à voir dès la mi-juin jusqu'à la fin juillet. Il pond sur l’orpin blanc, plante vivace aux fleurs blanches vivant dans les éboulis et les pierriers. L'Apollon mâle naît bien avant la femelle et l'attend patiemment afin de procréer. A noter qu’il bénéficie d'une protection nationale : sa capture, son transport et sa destruction sont donc interdits.
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kilomètre 18,90
latitude 44.8827
altitude 1443 m
longitude 6.12595
20

Cincle plongeur

Plus facile à observer que le pouillot véloce, le cincle plongeur vit le long des rivières et des torrents de montagne. Petit oiseau roux et gris, à la queue courte, il a le bec effilé, une tache blanche du menton à la poitrine. Cet étonnant passereau a la particularité de marcher au fond de l'eau à contre-courant, en quête de nourriture. Il s’aplatit et s’agrippe au fond avec ses doigts, ouvre ses yeux, protégés des flots par une fine membrane et repère alors vers, larves, petits crustacés et poissons.
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kilomètre 19,00
latitude 44.8832
altitude 1441 m
longitude 6.12719
21

Cascade de la Pisse

Né des hautes terres cristallines, le torrent rebondit de chutes en cascades jusqu'à celle de la Pisse d'une hauteur de 40 m.
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kilomètre 19,59
latitude 44.8842
altitude 1500 m
longitude 6.13417
22

Lièvre variable

Nombreux sont les lièvres variables ou blanchons, qui vous ont observés…l’inverse est rarement vrai. Brun l’été, blanc l’hiver, le blanchon est naturellement présent dans toutes les Alpes. Comme le lièvre d'Europe dont il diffère par une taille plus petite, une queue blanche et des oreilles plus courtes, il laisse dans la neige des traces en Y dues à son mode de déplacement par bonds (il ramène les pattes arrière devant les pattes avant). D’ailleurs, ce sont souvent ses empreintes et ses quelques crottes en billes rondes et sèches qui trahissent son passage. Ses larges pattes poilues sont de véritables raquettes lui permettant de rester à la surface de la neige, même poudreuse.
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kilomètre 19,74
latitude 44.8838
altitude 1525 m
longitude 6.13597
23

Tarin des aulnes

Se nourrissant principalement de graines d’aulnes, de bouleaux et de conifères, le tarin des aulnes niche uniquement dans les forêts de conifères de montagnes du Nord des Alpes au moment de la période de reproduction. Le mâle, plus coloré que la femelle, se reconnait grâce à son plumage vert-jaune vif, à son front noir et sa petite bavette sous le bec. C'est en hiver, qu'on peut l'observer couramment, parfois en bandes importantes, descendues des montagnes à la recherche de nourriture.
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kilomètre 20,79
latitude 44.8795
altitude 1581 m
longitude 6.14625
24

Merle à plastron

Le merle à plastron s'identifie aisément : il endosse le plumage du merle noir, mais s'en distingue par une grosse bavette blanche sur la poitrine, des liserés clairs sur les plumes des ailes et du ventre. Insectes, sauterelles, vers et baies font partie de son menu. Ce merle de montagne, farouche, au vol rapide, habite les lisières des forêts de mélèzes, de pins sylvestres, d'épicéas et de pins cembro, de 1 000 à 2 500 m d'altitude. Présent dans les massifs montagneux, il niche dans les branches basses ou le tronc creux d'un arbre, une fissure de la roche ou d'un bâtiment. Essentiellement migrateur, le merle à plastron hiverne en Espagne ou en Afrique du Nord. Il est de retour dans les Alpes dès le mois de mars.
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kilomètre 21,11
latitude 44.8777
altitude 1605 m
longitude 6.14908
25

Renard roux

Renart est en réalité un goupil. La renommée de son "roman" créé au XIIème siècle, est si grande que son prénom est devenu le nom de l’espèce. "Renart", devenu "Renard", est un chevalier rusé et débrouillard qui ridiculise le clergé et met en cause les gens de pouvoir, incapables de subvenir aux besoins du peuple. Il les berne allégrement, et parfois cruellement. Autre référence littéraire, Jean de la Fontaine fit intervenir « Maître Renard » dans plus de vingt fables.
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kilomètre 21,52
latitude 44.875
altitude 1660 m
longitude 6.15235
26

Cabane de Châtellerat

En 1908, la cabane pastorale du Châtellerat est sommairement édifiée par la commune de Valjouffrey. Détruite à plusieurs reprises par les avalanches, elle a quand même abrité de nombreux alpinistes. Elle est reconstruite en 1921 dans un endroit moins exposé et déjà des idées de “vrai” refuge commencent à germer.
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kilomètre 21,92
latitude 44.8734
altitude 1716 m
longitude 6.15642
27

Pic de l'Olan

C’est le 29 juin 1877 que Coolidge, avec Christian Almer père et fils, réalisent la première ascension du pic de l’Olan. Le 5 août 1980, Cust avec Pierre Gaspard et Roderon ouvrent l’arête nord. A cette époque le bivouac est encore obligatoire au fond du vallon de la Bonne.
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kilomètre 23,42
latitude 44.8652
altitude 1976 m
longitude 6.17019
28

Vespère de Savi

De petite taille, avec un pelage assez contrasté, ventre blanc sale et le dos brun doré, le vespère de Savi se reconnaît surtout à ses membranes noires, à son museau assez pointu et à l’extrémité de sa queue, dont quelques vertèbres dépassent de l'uropatagium, membrane de peau située entre les deux pattes arrières. De nature paisible, cette chauve-souris est une espèce rupestre plutôt méridionale, mais elle peut également gagner la haute montagne à plus de 3 000 m d’altitude.
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kilomètre 23,72
latitude 44.8646
altitude 2043 m
longitude 6.17369
29

Pipistrelle commune

Brune aux oreilles relativement courtes, la pipistrelle commune et la pipistrelle pygmée se disputent le titre de la plus petite chauve-souris d’Europe. La pipistrelle commune se rencontre dans des milieux écologiques très divers,même au-delà de 2 000 m d’altitude. Dès l’époque de Jules Ferry, les livres scolaires vantaient les mérites des chauves-souris. En effet, insectivores, elles consomment chaque jour le quart ou le tiers de leur poids en moustiques et autres insectes. Elles émettent des ultrasons inaudibles pour l'oreille humaine mais détectables grâce à un capteur. Cette technique leur permettent de se repérer lors de déplacements noctures et capturer leurs proies. On peut souvent les apercevoir autour des réverbères chassant des insectes volants attirés par la lumière.
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kilomètre 24,43
latitude 44.8648
altitude 2161 m
longitude 6.1775
30

Refuge de Font Turbat

Durant l’été 1923, le guide Célestin Bernard prend en charge les travaux de construction du refuge de Font Turbat. Quelques grands noms de l’alpinisme y sont associés comme Guery, Ripert, Frendo, Fourastier, Boell, venus explorer les montagnes du Valjouffrey. En 1934, Devies et Gervasutti tracent un itinéraire historique dans la paroi nord-ouest du pic de l'Olan. 22 ans plus tard, la directe Couzy-Desmaison (ED) est ouverte à gauche de la précédente, surmontant la partie la plus raide de la face. La construction du refuge dans sa conception actuelle date de 1962. Il est agrandi et rénové en 1996-1997.
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kilomètre 24,52
latitude 44.8649
altitude 2180 m
longitude 6.17853
31

L'accenteur alpin

L' accenteur alpin est un oiseau à peine plus grand qu'un moineau, très robuste, de couleur grise et moucheté de taches rousses sur un ventre dodu. Habitant des prairies alpines rases, il se nourrit au sol des nombreux invertébrés souvent près des névés.Vous pourrez aussi l'apercevoir près du refuge car il aime les miettes laissées par les randonneurs.L'hiver venu, le froid et la neige le font redescendre vers la vallée et il est fréquent de le voir venir se protéger auprès des maisons des villages.
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kilomètre 25,29
latitude 44.8695
altitude 2416 m
longitude 6.17818
32

Vue sur l'Olan

Il culmine à 3564m et se compose de trois sommets dont le plus haut est le sommet nord. L'Olan a été gravi la première fois jusqu'au sommet central le 8 juillet 1875, puis le sommet nord, le 29 juin 1877 par le célèbre William August Brevoort Coolidge et son guide Almer. L'Olan est le sommet phare de la vallée et de l'ouest du massif des Ecrins. D'ici, on aperçoit le versant nord qui est une des faces les plus hautes et sauvages des Alpes, au même titre que Les Drus (dans le massif du Mont-Blanc). Son nom est une déformation de l'Auran qui signifiait «mont venteux».
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kilomètre 25,66
latitude 44.8714
altitude 2470 m
longitude 6.17501
33

Grand nacré

Par son envergure, le grand nacré ne passe pas inaperçu. Le dessus de ses ailes est d'une belle couleur orangée rehaussée de taches noires, le dessous est parsemé de plages de nacre sur un fond d’écailles verdâtres. C'est un grand papillon de 50 à 60 mm d'envergure, assez commun mais qui tend à se raréfier du fait de la disparition de son habitat provoquée par les changements de pratiques agricoles. En effet, sa chenille de couleur noire ponctuée d'orange sur les côtés, se nourrit essentiellement de feuilles de violettes qui ne se trouvent que dans des prairies exploitées de façon extensive.
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kilomètre 26,16
latitude 44.8734
altitude 2306 m
longitude 6.17035
34

Le merle à plastron

Le merle à plastron s'identifie aisément : il endosse le plumage du merle noir mais s'en distingue par une grosse bavette blanche sur la poitrine, des liserés clairs sur les plumes des ailes et du ventre. Insectes, sauterelles, vers et baies constituent son menu. Ce merle de montagne, farouche, au vol rapide, habite les lisières des forêts de mélèzes, de pins sylvestres, d'épicéas et de pins cembro, de 1 000 à 2 500 m d'altitude. Il niche dans les branches basses ou le tronc creux d'un arbre, une fissure de la roche ou d'un bâtiment. Essentiellement migrateur, le merle à plastron hiverne en Espagne ou en Afrique du Nord. Il est de retour dans les Alpes dès le mois de mars.
Informations complémentaires


kilomètre 26,55
latitude 44.8752
altitude 2252 m
longitude 6.16681
35

Le vautour fauve

Cet immense rapace de près de trois mètres d'envergure fréquente la montagne depuis peu et ce, grâce à un programme de réintroduction datant de la fin du XXème siècle. En été, il tournoie sans cesse dans le ciel, en groupe, à la recherche de cadavres de moutons ou de grands mammifères sauvages pour les dépecer et s'en nourrir. Cet impressionnant charognard joue un rôle sanitaire appréciable dans les alpages.
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kilomètre 26,73
latitude 44.8771
altitude 2456 m
longitude 6.17202
36

Traquet motteux

Fin avril, sur le sol de l'alpage, la neige fond progressivement. Les rochers servent de perchoirs au traquet motteux tout juste revenu de sa migration. Le mâle apparaît le premier : en plumage nuptial, il a la tête et le dos gris, un masque de Zorro sur les yeux, ventre blanc et ailes sombres. Il se reconnaît facilement en vol grâce à son croupion blanc et au T noir qui se dessine sur sa queue. La femelle est plus pâle et moins contrastée. Souvent postés sur une proéminence, il surveille les alentours à la recherche d'insectes.
Informations complémentaires


kilomètre 26,97
latitude 44.8755
altitude 2160 m
longitude 6.16389
37

Rhapondique scarieux

Ce géant des pelouses subalpines a le port et la taille de l’artichaut avec en plus une grosse tête globuleuse d'un rose soutenu bordée d'écailles nacrées. Ses énormes feuilles entières, blanches et veloutées dessous, en imposent et permettent de l'identifier à coup sûr. Manne nutritive pour de nombreux coléoptères, son capitule n'en est pas moins une aubaine pour les papillons. Cette espèce peu commune est sujette à une protection nationale même hors du parc.
Informations complémentaires


kilomètre 27,40
latitude 44.873
altitude 2008 m
longitude 6.16361
38

Vallée glaciaire

La haute vallée de la Bonne, ou Font Turbat, est une vallée glaciaire typique en forme d'auge avec des cordons morainiques marquant des étapes du retrait du glacier. Des replats ou épaulements glaciaires sont suspendus au-dessus de l'auge, large de 500 à 600 m et dont les flancs raides dominent des nappes d'éboulis et des cônes de déjection (amas de débris transportés par l'eau). Elle se termine à l'amont par un vaste cirque au pied de l'imposante paroi rocheuse de l'Olan (3 564 m), ourlée à son pied par le glacier noir de la Maye. Lors de la dernière glaciation du Würm, il y a plus de 10 000 ans, les deux glaciers de Font Turbat et de la Maye se rejoignaient et alimentaient une puissante langue glaciaire dans la vallée de la Bonne. Elle a modelé la vallée en forme d'auge en raclant et polissant ses parois rocheuses dans le granite.  Les plus basses moraines, amas de débris rocheux transporté par les glaciers, sont situées aux abords de la cabane de Châtellerat.
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kilomètre 32,98
latitude 44.8774
altitude 1365 m
longitude 6.1126
39

Le moulin banal, la scierie et l'usine hydroélectrique

La présence d'un moulin banal et d'une scierie collective aux Ségoins est attestée depuis le XVIII° siècle. Ils étaient situés légèrement en aval de la scierie actuelle.  La scierie visible aujourd'hui date de 1905. Elle a été conçue par Pierre Rousset (1882-1959), habitant de Valjouffrey et Compagnon du Tour de France en menuiserie. Ses plans s'inspirent d'observations faites dans une scierie allemande lors de sa captivité pendant la guerre. Il est l'inventeur de deux mécanismes : celui pour faire avancer le bois et celui de « poulie folle » qui permet le va-et-vient de la lame de scie. En 1925, l'usine hydroélectrique voit le jour et alimente tout le village en électricité jusqu'en 1957.
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kilomètre 41,68
latitude 44.8718
altitude 1020 m
longitude 6.02856

Points d'interêt (39)

A

Prairies naturelles de fauche

Point d'intérêt naturel
Les spécialistes agricoles considèrent qu'une prairie est naturelle dans la mesure ou elle n'a subi aucun apport de fumure ni de labour durant les dix dernières années écoulées. C'est bien le cas de celles cernées de haies, que vous longerez dés le départ de la randonnée. Ces prairies sont d'une grande richesse floristique quant au nombre d'espèces de plantes et par conséquent elles accueillent une myriade d'insectes pollinisateurs, dont les abeilles domestiques évidemment.
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kilomètre 4,95
latitude 44.9069
altitude 1304 m
longitude 6.05535
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B

Mégaphorbiaies

Point d'intérêt naturel
Les mégaphorbiaies sont des formations herbacées hautes à larges feuilles  qui forment un ensemble paysager lié à des conditions très strictes à la fois climatiques (été humide et hiver neigeux), topographiques (long versant d’ubac abritant parfois des névés jusqu’au cœur de l’été), altitudinales (étage subalpin de 1600 à 2100 mètres) et pédologiques (sols désaturés à forte réserve en eau).
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kilomètre 6,91
latitude 44.9034
altitude 1542 m
longitude 6.07694
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C

Barrages en bois

Point d'intérêt naturel
Dans la combe des Echarennes, au moment de prendre le sentier sur votre gauche, vous pouvez observer dans les gorges du torrent du Béranger, des barrages en bois réalisés par la RTM (service de restauration des terrains de montagne del'ONF) pour retenir les laves torrentielles qui descendent des sommets lors des  fortes pluies et des crues.
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kilomètre 6,98
latitude 44.9045
altitude 1556 m
longitude 6.07825
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D

Aconit paniculé

Point d'intérêt naturel
C'est une plante typique de la mégaphorbiaie, elle mesure de 50 à 100 cm. Ces fleurs bleu roi en forme de casque sont regroupées en grappes lâches. Sa particularité : son extrême toxicité ! Les herbivores la connaissent bien et ne la consomment pas.
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kilomètre 8,65
latitude 44.9011
altitude 1877 m
longitude 6.08055
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E

Pleurosperme d’Autriche

Point d'intérêt naturel
De la famille du persil et de la carotte, cette robuste plante vivace à tige épaisse, creuse et sillonnée, peut mesurer de 60 à 150 cm. Ses grandes ombelles de fleurs blanches fleurissent de juillet à septembre. Méconnue, elle pousse en France seulement dans les départements alpins et mérite à cet égard qu'on lui prête un peu d'attention.
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kilomètre 9,45
latitude 44.8975
altitude 2061 m
longitude 6.07869
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F

Ancolie des Alpes

Point d'intérêt naturel
C’est une espèce peu fréquente et protégée. Elle mesure entre 30 et 60 cm. Ces fleurs, assez grosses, d’un bleu magnifique, épanouies au sommet de leur tige sont les seules à posséder une corolle à cinq éperons. Ne confondez pas : si les fleurs sont plus petites et plus nombreuses, il s’agit de l’ancolie vulgaire.   
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kilomètre 10,11
latitude 44.8966
altitude 2159 m
longitude 6.08012
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G

Orgues de Côte Belle

Point d'intérêt naturel
Véritable phénomène géologique, les « grandes orgues », appelées aussi « la grande bibliothèque », se sont dressées lors de la genèse des Alpes. Elles sont formées de minces feuilles de calcaire gris bleu et de marnes schisteuses tendres plus érodées. Un réseau de fissures perpendiculaires aux couches découpe les dalles en de remarquables colonnes.
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kilomètre 10,21
latitude 44.896
altitude 2173 m
longitude 6.07959
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H

Troupeau de moutons

Point d'intérêt naturel
Un troupeau de moutons d'éleveurs locaux pâture au sommet du col et vers le pic de Valsenestre. L’été, ces animaux laineux peuvent se rafraîchir à l’ombre des saules soyeux que vous pouvez observer juste avant l’arrivée au col (alt. 2220 m). 
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kilomètre 10,39
latitude 44.8947
altitude 2182 m
longitude 6.07827
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I

Saule soyeux

Point d'intérêt naturel
C'est un arbuste de l'étage subalpin. Il mesure moins d'un mètre de haut et pousse en petites concentrations sur les ubacs. A plus basse altitude, il peut atteindre une taille plus importante. De loin vous pourrez le reconnaître à sa couleur argentée et brillante très caractéristique et son port en massifs circulaires. Les feuilles adultes sont très soyeuses sur les deux faces.
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kilomètre 10,53
latitude 44.8935
altitude 2237 m
longitude 6.07825
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J

Paysage du cirque de Valsenestre

Points de vue, panorama
Du col, monter sur un petit sommet au dessus pour profiter au mieux du paysage qu'offre le cirque de Valsenestre : à gauche le Signal du Lauvitel (2901m) et le Clapier du Perron (3169m), le col de la Muzelle (2613m) où se poursuit le GR54. A ce niveau on aperçoit très bien une faille géologique séparant le bloc des grandes rousses constitué de granite du bloc de la muzelle en gneiss. A droite, les principaux sommets sont la roche de la Muzelle (3465 m), et la pointe Swan (3294m). Le col  de Côte-Belle quant à lui sépare le Pic de Valsenestre (2752m) à gauche de l’aiguille des Marmes (3046 m) à droite.
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kilomètre 10,94
latitude 44.893
altitude 2327 m
longitude 6.08063
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K

Edelweiss

Point d'intérêt naturel
En latin léontopodium signifie pied de lion par la forme générale de l'edelweiss. En y regardant de près, on se rend compte que ce n'est pas une fleur mais un ensemble de 5 à 10 fleurs groupées dans un capitule. L’edelweiss est de la famille des astéracées comme les pissenlits. C'est une plante blanche, laineuse et vivace poussant dans les pelouses d'altitude rocailleuses à l'étage subalpin jusqu'à 2900 m. Elle se mêle souvent à l'aster des alpes. Emblème de nombreuses compagnies de guides, elle symbolise la haute montagne et représente la force en langage des fleurs.
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kilomètre 11,22
latitude 44.8933
altitude 2313 m
longitude 6.08173
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L

Lézard vivipare

Point d'intérêt naturel
Le lézard vivipare se distingue du lézard des murailles par son museau arrondi. Il est capable de vivre jusqu'à 2500m et c'est dans les alpages que sa rencontre se produira le plus souvent. Il aime se réchauffer au soleil , posé sur l'herbe ou la mousse sèche et chasse sauterelles, criquets ou araignées. Pour hiverner, ils s'enfouit dans la terre où il peut supporter en léthargie des températures négatives. Le lézard vivipare est nommé ainsi car les femelles gardent leurs œufs dans leur ventre jusqu'à l’éclosion. Les jeunes sont donc complètement formés lorsqu'ils naissent, c'est une adaptation à un  milieu froid.
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kilomètre 11,29
latitude 44.8933
altitude 2259 m
longitude 6.08362
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M

Nouveau sentier

Point d'intérêt naturel
Le dernier tronçon  de sentier permettant d'accéder au col a nécessité de nombreuses journées d’entretien depuis sa création. En effet le caractère instable du sol associé à la raideur de la pente ont obligé les gardes à créer des banquettes en bois pour contenir le poids de la terre. À l'automne 2012, il est décidé de créer une nouvelle portion du sentier en empruntant une partie d'un biais de brebis plus à l'Est en direction du col des Marmes. Le travail a été effectué en équipe à raison de 50 m par jour pendant une durée de 26 jours avec des pioches et du courage. Au total, c'est une portion de 1300 m qui a vu le jour, ce qui rend le sentier moins raide et beaucoup plus stable.
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kilomètre 12,23
latitude 44.8899
altitude 2116 m
longitude 6.08308
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N

Paravalanche

Lieu historique
En 1961 et 1962 de grosses avalanches sont descendues jusqu'au lit de la Bonne, menaçant des maisons du hameau du Désert en Vajouffrey.En 1982 d’importants travaux permettent de construire un paravalanche afin de sécuriser le hameau et les prairies, en détournant les éventuelles menaces venues du vallon de Côte-belle.
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kilomètre 15,15
latitude 44.8732
altitude 1369 m
longitude 6.09263
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O

Prairies de fauche

Lieu historique
Toutes ces prairies où l'herbe est fauchée ont été gagnées au fil des générations, en retirant les pierres qui ont été empilées en pierriers appelés localement clapiers. Ces amoncellements de pierres délimitent les parcelles et protègent les cultures des troupeaux.
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kilomètre 16,05
latitude 44.8697
altitude 1285 m
longitude 6.09675
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P

Pouillot véloce

Point d'intérêt naturel
Oiseau qu'on entend mais qu'on ne voit pas, le Pouillot véloce est surnommé le compteur d'écus. Son chant, très facilement reconnaissable, évoque le bruit des pièces d'or qui tombent dans la caissette lorsque l'on compte les écus un par un. Vert-brun à grisâtre sur le dessus, son plumage est blanc sale dessous, chamoisé sur la poitrine avec un sourcil pâle peu visible.
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kilomètre 16,70
latitude 44.8739
altitude 1291 m
longitude 6.10219
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Q

Joubarbe à toile d'araignée

Point d'intérêt naturel
Des feuilles épaisses organisées en petites rosettes serrées dardent vers le ciel des entrelacs de poils blancs assez semblables aux pièges tissés par certaines araignées. Non moins conquérante que le rhododendron, la joubarbe à toile d’araignée est adaptée pour résister à la sécheresse. La rosette principale et les rejets plus petits, bien regroupés, constituent une véritable réserve d’eau que les feuilles charnues stockent à merveille. Elle développe également de multiples formes de pilosité qui récupèrent de la rosée.
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kilomètre 18,26
latitude 44.88
altitude 1397 m
longitude 6.11925
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R

Rhododendron

Point d'intérêt naturel
Surnommé la rose du diable, le rhododendron ferrugineux a la capacité de s'installer parmi les blocs et les rochers là où la terre est rare. Il s'obstine à garder tout l'hiver ses feuilles rigides, luisantes et vert foncé dessus et rouille dessous d'où son nom. Tous les ans, entre la fin du mois de juillet et le début d’août, ses rameaux se couronnent d’un bouquet de fleurettes rose pourpre.
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kilomètre 18,60
latitude 44.8814
altitude 1426 m
longitude 6.12281
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S

Apollon

Point d'intérêt naturel
Grand papillon blanc peu craintif aux taches rouges et noires, l’Apollon est facile à voir dès la mi-juin jusqu'à la fin juillet. Il pond sur l’orpin blanc, plante vivace aux fleurs blanches vivant dans les éboulis et les pierriers. L'Apollon mâle naît bien avant la femelle et l'attend patiemment afin de procréer. A noter qu’il bénéficie d'une protection nationale : sa capture, son transport et sa destruction sont donc interdits.
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kilomètre 18,90
latitude 44.8827
altitude 1443 m
longitude 6.12595
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T

Cincle plongeur

Point d'intérêt naturel
Plus facile à observer que le pouillot véloce, le cincle plongeur vit le long des rivières et des torrents de montagne. Petit oiseau roux et gris, à la queue courte, il a le bec effilé, une tache blanche du menton à la poitrine. Cet étonnant passereau a la particularité de marcher au fond de l'eau à contre-courant, en quête de nourriture. Il s’aplatit et s’agrippe au fond avec ses doigts, ouvre ses yeux, protégés des flots par une fine membrane et repère alors vers, larves, petits crustacés et poissons.
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kilomètre 19,00
latitude 44.8832
altitude 1441 m
longitude 6.12719
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U

Cascade de la Pisse

Point d'intérêt naturel
Né des hautes terres cristallines, le torrent rebondit de chutes en cascades jusqu'à celle de la Pisse d'une hauteur de 40 m.
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kilomètre 19,59
latitude 44.8842
altitude 1500 m
longitude 6.13417
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V

Lièvre variable

Point d'intérêt naturel
Nombreux sont les lièvres variables ou blanchons, qui vous ont observés…l’inverse est rarement vrai. Brun l’été, blanc l’hiver, le blanchon est naturellement présent dans toutes les Alpes. Comme le lièvre d'Europe dont il diffère par une taille plus petite, une queue blanche et des oreilles plus courtes, il laisse dans la neige des traces en Y dues à son mode de déplacement par bonds (il ramène les pattes arrière devant les pattes avant). D’ailleurs, ce sont souvent ses empreintes et ses quelques crottes en billes rondes et sèches qui trahissent son passage. Ses larges pattes poilues sont de véritables raquettes lui permettant de rester à la surface de la neige, même poudreuse.
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kilomètre 19,74
latitude 44.8838
altitude 1525 m
longitude 6.13597
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W

Tarin des aulnes

Point d'intérêt naturel
Se nourrissant principalement de graines d’aulnes, de bouleaux et de conifères, le tarin des aulnes niche uniquement dans les forêts de conifères de montagnes du Nord des Alpes au moment de la période de reproduction. Le mâle, plus coloré que la femelle, se reconnait grâce à son plumage vert-jaune vif, à son front noir et sa petite bavette sous le bec. C'est en hiver, qu'on peut l'observer couramment, parfois en bandes importantes, descendues des montagnes à la recherche de nourriture.
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kilomètre 20,79
latitude 44.8795
altitude 1581 m
longitude 6.14625
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X

Merle à plastron

Point d'intérêt naturel
Le merle à plastron s'identifie aisément : il endosse le plumage du merle noir, mais s'en distingue par une grosse bavette blanche sur la poitrine, des liserés clairs sur les plumes des ailes et du ventre. Insectes, sauterelles, vers et baies font partie de son menu. Ce merle de montagne, farouche, au vol rapide, habite les lisières des forêts de mélèzes, de pins sylvestres, d'épicéas et de pins cembro, de 1 000 à 2 500 m d'altitude. Présent dans les massifs montagneux, il niche dans les branches basses ou le tronc creux d'un arbre, une fissure de la roche ou d'un bâtiment. Essentiellement migrateur, le merle à plastron hiverne en Espagne ou en Afrique du Nord. Il est de retour dans les Alpes dès le mois de mars.
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kilomètre 21,11
latitude 44.8777
altitude 1605 m
longitude 6.14908
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Y

Renard roux

Point d'intérêt naturel
Renart est en réalité un goupil. La renommée de son "roman" créé au XIIème siècle, est si grande que son prénom est devenu le nom de l’espèce. "Renart", devenu "Renard", est un chevalier rusé et débrouillard qui ridiculise le clergé et met en cause les gens de pouvoir, incapables de subvenir aux besoins du peuple. Il les berne allégrement, et parfois cruellement. Autre référence littéraire, Jean de la Fontaine fit intervenir « Maître Renard » dans plus de vingt fables.
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kilomètre 21,52
latitude 44.875
altitude 1660 m
longitude 6.15235
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Z

Cabane de Châtellerat

Refuge
En 1908, la cabane pastorale du Châtellerat est sommairement édifiée par la commune de Valjouffrey. Détruite à plusieurs reprises par les avalanches, elle a quand même abrité de nombreux alpinistes. Elle est reconstruite en 1921 dans un endroit moins exposé et déjà des idées de “vrai” refuge commencent à germer.
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kilomètre 21,92
latitude 44.8734
altitude 1716 m
longitude 6.15642
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Pic de l'Olan

Points de vue, panorama
C’est le 29 juin 1877 que Coolidge, avec Christian Almer père et fils, réalisent la première ascension du pic de l’Olan. Le 5 août 1980, Cust avec Pierre Gaspard et Roderon ouvrent l’arête nord. A cette époque le bivouac est encore obligatoire au fond du vallon de la Bonne.
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kilomètre 23,42
latitude 44.8652
altitude 1976 m
longitude 6.17019
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Vespère de Savi

Point d'intérêt naturel
De petite taille, avec un pelage assez contrasté, ventre blanc sale et le dos brun doré, le vespère de Savi se reconnaît surtout à ses membranes noires, à son museau assez pointu et à l’extrémité de sa queue, dont quelques vertèbres dépassent de l'uropatagium, membrane de peau située entre les deux pattes arrières. De nature paisible, cette chauve-souris est une espèce rupestre plutôt méridionale, mais elle peut également gagner la haute montagne à plus de 3 000 m d’altitude.
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kilomètre 23,72
latitude 44.8646
altitude 2043 m
longitude 6.17369
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Pipistrelle commune

Point d'intérêt naturel
Brune aux oreilles relativement courtes, la pipistrelle commune et la pipistrelle pygmée se disputent le titre de la plus petite chauve-souris d’Europe. La pipistrelle commune se rencontre dans des milieux écologiques très divers,même au-delà de 2 000 m d’altitude. Dès l’époque de Jules Ferry, les livres scolaires vantaient les mérites des chauves-souris. En effet, insectivores, elles consomment chaque jour le quart ou le tiers de leur poids en moustiques et autres insectes. Elles émettent des ultrasons inaudibles pour l'oreille humaine mais détectables grâce à un capteur. Cette technique leur permettent de se repérer lors de déplacements noctures et capturer leurs proies. On peut souvent les apercevoir autour des réverbères chassant des insectes volants attirés par la lumière.
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kilomètre 24,43
latitude 44.8648
altitude 2161 m
longitude 6.1775
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Refuge de Font Turbat

Refuge
Durant l’été 1923, le guide Célestin Bernard prend en charge les travaux de construction du refuge de Font Turbat. Quelques grands noms de l’alpinisme y sont associés comme Guery, Ripert, Frendo, Fourastier, Boell, venus explorer les montagnes du Valjouffrey. En 1934, Devies et Gervasutti tracent un itinéraire historique dans la paroi nord-ouest du pic de l'Olan. 22 ans plus tard, la directe Couzy-Desmaison (ED) est ouverte à gauche de la précédente, surmontant la partie la plus raide de la face. La construction du refuge dans sa conception actuelle date de 1962. Il est agrandi et rénové en 1996-1997.
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kilomètre 24,52
latitude 44.8649
altitude 2180 m
longitude 6.17853
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L'accenteur alpin

Point d'intérêt naturel
L' accenteur alpin est un oiseau à peine plus grand qu'un moineau, très robuste, de couleur grise et moucheté de taches rousses sur un ventre dodu. Habitant des prairies alpines rases, il se nourrit au sol des nombreux invertébrés souvent près des névés.Vous pourrez aussi l'apercevoir près du refuge car il aime les miettes laissées par les randonneurs.L'hiver venu, le froid et la neige le font redescendre vers la vallée et il est fréquent de le voir venir se protéger auprès des maisons des villages.
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kilomètre 25,29
latitude 44.8695
altitude 2416 m
longitude 6.17818
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Vue sur l'Olan

Points de vue, panorama
Il culmine à 3564m et se compose de trois sommets dont le plus haut est le sommet nord. L'Olan a été gravi la première fois jusqu'au sommet central le 8 juillet 1875, puis le sommet nord, le 29 juin 1877 par le célèbre William August Brevoort Coolidge et son guide Almer. L'Olan est le sommet phare de la vallée et de l'ouest du massif des Ecrins. D'ici, on aperçoit le versant nord qui est une des faces les plus hautes et sauvages des Alpes, au même titre que Les Drus (dans le massif du Mont-Blanc). Son nom est une déformation de l'Auran qui signifiait «mont venteux».
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kilomètre 25,66
latitude 44.8714
altitude 2470 m
longitude 6.17501
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Grand nacré

Point d'intérêt naturel
Par son envergure, le grand nacré ne passe pas inaperçu. Le dessus de ses ailes est d'une belle couleur orangée rehaussée de taches noires, le dessous est parsemé de plages de nacre sur un fond d’écailles verdâtres. C'est un grand papillon de 50 à 60 mm d'envergure, assez commun mais qui tend à se raréfier du fait de la disparition de son habitat provoquée par les changements de pratiques agricoles. En effet, sa chenille de couleur noire ponctuée d'orange sur les côtés, se nourrit essentiellement de feuilles de violettes qui ne se trouvent que dans des prairies exploitées de façon extensive.
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kilomètre 26,16
latitude 44.8734
altitude 2306 m
longitude 6.17035
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Le merle à plastron

Point d'intérêt naturel
Le merle à plastron s'identifie aisément : il endosse le plumage du merle noir mais s'en distingue par une grosse bavette blanche sur la poitrine, des liserés clairs sur les plumes des ailes et du ventre. Insectes, sauterelles, vers et baies constituent son menu. Ce merle de montagne, farouche, au vol rapide, habite les lisières des forêts de mélèzes, de pins sylvestres, d'épicéas et de pins cembro, de 1 000 à 2 500 m d'altitude. Il niche dans les branches basses ou le tronc creux d'un arbre, une fissure de la roche ou d'un bâtiment. Essentiellement migrateur, le merle à plastron hiverne en Espagne ou en Afrique du Nord. Il est de retour dans les Alpes dès le mois de mars.
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kilomètre 26,55
latitude 44.8752
altitude 2252 m
longitude 6.16681
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Le vautour fauve

Point d'intérêt naturel
Cet immense rapace de près de trois mètres d'envergure fréquente la montagne depuis peu et ce, grâce à un programme de réintroduction datant de la fin du XXème siècle. En été, il tournoie sans cesse dans le ciel, en groupe, à la recherche de cadavres de moutons ou de grands mammifères sauvages pour les dépecer et s'en nourrir. Cet impressionnant charognard joue un rôle sanitaire appréciable dans les alpages.
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kilomètre 26,73
latitude 44.8771
altitude 2456 m
longitude 6.17202
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Traquet motteux

Point d'intérêt naturel
Fin avril, sur le sol de l'alpage, la neige fond progressivement. Les rochers servent de perchoirs au traquet motteux tout juste revenu de sa migration. Le mâle apparaît le premier : en plumage nuptial, il a la tête et le dos gris, un masque de Zorro sur les yeux, ventre blanc et ailes sombres. Il se reconnaît facilement en vol grâce à son croupion blanc et au T noir qui se dessine sur sa queue. La femelle est plus pâle et moins contrastée. Souvent postés sur une proéminence, il surveille les alentours à la recherche d'insectes.
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kilomètre 26,97
latitude 44.8755
altitude 2160 m
longitude 6.16389
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Rhapondique scarieux

Point d'intérêt naturel
Ce géant des pelouses subalpines a le port et la taille de l’artichaut avec en plus une grosse tête globuleuse d'un rose soutenu bordée d'écailles nacrées. Ses énormes feuilles entières, blanches et veloutées dessous, en imposent et permettent de l'identifier à coup sûr. Manne nutritive pour de nombreux coléoptères, son capitule n'en est pas moins une aubaine pour les papillons. Cette espèce peu commune est sujette à une protection nationale même hors du parc.
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kilomètre 27,40
latitude 44.873
altitude 2015 m
longitude 6.16361
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Vallée glaciaire

Point d'intérêt naturel
La haute vallée de la Bonne, ou Font Turbat, est une vallée glaciaire typique en forme d'auge avec des cordons morainiques marquant des étapes du retrait du glacier. Des replats ou épaulements glaciaires sont suspendus au-dessus de l'auge, large de 500 à 600 m et dont les flancs raides dominent des nappes d'éboulis et des cônes de déjection (amas de débris transportés par l'eau). Elle se termine à l'amont par un vaste cirque au pied de l'imposante paroi rocheuse de l'Olan (3 564 m), ourlée à son pied par le glacier noir de la Maye. Lors de la dernière glaciation du Würm, il y a plus de 10 000 ans, les deux glaciers de Font Turbat et de la Maye se rejoignaient et alimentaient une puissante langue glaciaire dans la vallée de la Bonne. Elle a modelé la vallée en forme d'auge en raclant et polissant ses parois rocheuses dans le granite.  Les plus basses moraines, amas de débris rocheux transporté par les glaciers, sont situées aux abords de la cabane de Châtellerat.
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kilomètre 32,98
latitude 44.8774
altitude 1365 m
longitude 6.1126
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Le moulin banal, la scierie et l'usine hydroélectrique

Monument & architecture
La présence d'un moulin banal et d'une scierie collective aux Ségoins est attestée depuis le XVIII° siècle. Ils étaient situés légèrement en aval de la scierie actuelle.  La scierie visible aujourd'hui date de 1905. Elle a été conçue par Pierre Rousset (1882-1959), habitant de Valjouffrey et Compagnon du Tour de France en menuiserie. Ses plans s'inspirent d'observations faites dans une scierie allemande lors de sa captivité pendant la guerre. Il est l'inventeur de deux mécanismes : celui pour faire avancer le bois et celui de « poulie folle » qui permet le va-et-vient de la lame de scie. En 1925, l'usine hydroélectrique voit le jour et alimente tout le village en électricité jusqu'en 1957.
Informations complémentaires


kilomètre 41,68
latitude 44.8718
altitude 1020 m
longitude 6.02856
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