A
Le charme de Buoux
Lieu historique
C’est au XVIIe s. que furent édifiés le vieux village, la petite église provençale et les bastides alentours. La petite église provençale possède un autel tabulaire d’époque pré-romane, le bâtiment actuel fut sans doute construit dès 1704 sur l’emplacement d’une petite chapelle. Dans la mairie, un four datant de l’implantation du village est visible, il est souvent réparé et entretenu par la commune.
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kilomètre
0,05
latitude
43.8315
altitude
470
m
longitude
5.37838
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B
Des arbres gîtes
Point d'intérêt naturel
Avec leur bec droit, les pics décortiquent l’écorce des arbres pour s’y nicher ou débusquer des insectes mangeurs de bois (xylophages). Dans le Luberon, le Pic épeiche (noir, blanc et ponctué de rouge) côtoie le Pic épeichette (plus petit, moins de rouge), le Pic vert et le Pic noir (plus rare, comme une Corneille à calotte rouge). Véritables HLM à insectes et chauves-souris, ces arbres âgés accueillent une multitude d'habitants dans les trous de pics, les fentes des branches, sous le lierre...
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kilomètre
1,11
latitude
43.8234
altitude
481
m
longitude
5.37729
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C
Le fort de Buoux
Lieu historique
En face sur son éperon rocheux, le fort de Buoux a très longtemps été la clef de voûte du système défensif de toute la communication à travers le Luberon. Occupé dès la Préhistoire, il fut fortifié au Moyen-Age. Jamais pris d’assaut, il abrita une garnison et des populations civiles jusqu’à son démantèlement sur ordre de Louis XIV vers 1660, afin d’éviter qu’il tombe définitivement aux mains des protestants pendant les guerres de religion.
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kilomètre
1,71
latitude
43.8243
altitude
518
m
longitude
5.38271
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D
Ça grimpe sur les falaises de Buoux !
Points de vue, panorama
À droite, juste sous vos pieds, les immenses murs multicolores et les gros surplombs gris, naturellement criblés de trous de toutes tailles, ont fait de Buoux un spot mondial d’escalade. Dans les années 1980-90, ces falaises ont été le laboratoire du haut niveau international, où de nombreux grimpeurs se sont illustrés ; Patrick Edlinger, Antoine et Marc Le Menestrel, Catherine Destivelle, Lynn Hill, etc…
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kilomètre
1,87
latitude
43.8231
altitude
485
m
longitude
5.38352
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E
Gorges à l'histoire ancienne
Point d'intérêt naturel
Le vallon de l'Aiguebrun se caractérise par de hautes falaises avec des escarpements de calcaire et des chaos de rochers éboulés. Il s’est creusé il y a environ 6 millions d’années suite à l'assèchement de la mer Méditerranée ! Le niveau d’eau va s’abaisser de l'ordre de 1 000 m et les fleuves qui l’entourent vont creuser d’immenses canyons qui seront ensuite comblés par des dépôts de sédiments. Sous l’action de l’érosion lors des périodes glaciaires, les falaises se feront plus abruptes.
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kilomètre
2,05
latitude
43.8239
altitude
508
m
longitude
5.38548
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F
Des rapaces rares protégés
Point d'intérêt naturel
Avec un peu d'attention vous pourrez repérer la présence des rapaces protégés, remarquables par leur envergure et leurs cris. Le Circaète Jean-le-Blanc, migrateur, niche dès le printemps sur des vieux pins dans le massif forestier. Le Grand-Duc d'Europe, lui, s'abrite dans les falaises tout au long de l'année, on peut l'entendre la nuit. Leur tranquilité est préservée sur les zones sensibles : organisation de l'escalade, programmation des coupes de bois en dehors des périodes de reproduction...
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kilomètre
2,21
latitude
43.8245
altitude
505
m
longitude
5.38713
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G
Molasse ou mollasse ?
Point d'intérêt naturel
Les falaises spectaculaires de l'Aiguebrun sont formées d'un calcaire gréseux (qui contient des grains de sable) biodétritiques (qui contient aussi beaucoup de débris de fossiles variés). Localement, on l'appelle molasse ou mollasse selon deux origines étymologiques possible : mola = la meule, car cette roche abrasive était utilisée pour produire des meules. Ou bien mollis = mou, car la roche se taille et se découpe facilement. C'est la pierre noble des carriers de Provence.
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kilomètre
2,64
latitude
43.8254
altitude
479
m
longitude
5.38872
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H
Traces de courants marins !
Point d'intérêt naturel
Les falaises environnantes présentent souvent des stries. On parle de "stratifications obliques". Celles-ci témoigent de l'origine marine de ces roches déposées dans la mer il y a 20 millions d'années et surtout de l'existence de courants sous-marins créant un paysage de dunes sous-marines, de talus et de de cheneaux au fond des eaux.
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kilomètre
2,80
latitude
43.8251
altitude
458
m
longitude
5.38888
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I
Pont des Seguins
Lieu historique
Plusieurs ponts enjambent l’Aiguebrun ou ses affluents. Depuis Les Près Blancs jusqu’à Seguin, on peut en conter cinq, dont le pont des Seguins, proche de l’auberge du même nom. Celui-ci date de 1923. Il était emprunté par les personnes qui souhaitaient accéder au hameau. Il est constitué d’une grande arche principale qui l’élance sur 7 mètres de long. Un petit percement cintré situé dans la culée sud permettait le passage d’un canal.
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kilomètre
3,23
latitude
43.8233
altitude
407
m
longitude
5.38784
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J
L'Aiguebrun
Point d'intérêt naturel
En région méditerranéenne, rares sont les cours d’eau plus ou moins permanents bordés de forêt luxuriante. L’Aiguebrun est de ceux-là, et son vallon constitue, au plan écologique, l’un des sites majeurs du territoire du Parc. Parmi les poissons, on trouve la truite fario, et le barbeau méridional, mais aussi l’écrevisse à pattes blanches, discrète et rare. La présence de ces trois espèces souligne la bonne santé de cet écosystème aquatique, mais surtout la nécessité de le préserver.
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kilomètre
3,56
latitude
43.8243
altitude
416
m
longitude
5.38952
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K
Je me cache dans les falaises...
Point d'intérêt naturel
Les chauves-souris, également dénommées chiroptères, sont de petits mammifères. Détestées à tort, ce sont des êtres encore mystérieux qui peuvent vivre jusqu’à 30 ans et ont su développer un fabuleux système d’écholocalisation pour se diriger la nuit. Cette sorte de radar à ultra-sons ricochant sur les obstacles et les proies leur permet également de localiser et capturer leurs proies, essentiellement des insectes. Un individu peut ingurgiter 30 % de son poids en une seule soirée !
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kilomètre
3,89
latitude
43.8269
altitude
437
m
longitude
5.39097
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L
Méditerranée, où es-tu ?
Point d'intérêt naturel
Mince et long cordon arboré soumis aux vicissitudes de la rivière, la ripisylve de l'Aiguebrun est peuplée d'essences diverses comme le Frêne élevé, le Frêne à feuilles étroites, l'Aulne glutineux, divers peupliers et saules... Elle accueille également des espèces végétales rares en région méditerranéenne, trouvant refuge dans cette ambiance fraîche et humide. L'Aiguebrun est comme un échantillon d'Europe du Nord qui se serait échoué en pleine Provence !
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kilomètre
4,02
latitude
43.8281
altitude
432
m
longitude
5.39112
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M
Forêt de ravin
Point d'intérêt naturel
Entre "ripisylve" (forêt en bord de cours d'eau) et barres rocheuses, le sentier traverse une belle forêt installée sur un versant très raide et rocailleux. Si, de prime abord, cette forêt vous semble "classique", il n'en est rien ! Il s'agit en effet d'une forêt dite "de ravin", toujours très rare et localisée en Provence. Ici, point de chênes (ou si peu !), vous êtes dans le royaume des érables, tilleuls, noisetiers et d'une flore spécialiste des sols rocailleux instables.
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kilomètre
4,28
latitude
43.8296
altitude
437
m
longitude
5.39348
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N
Chacun son exotisme
Point d'intérêt naturel
Pour peu que vous parveniez à le remonter sur quelques mètres, ce ruisselet offre l'occasion d'observer la Circée de Paris (Circaea lutetiana), plante discrète aux petites fleurs blanches et curieux fruits visqueux en massue, ainsi que la fougère Scolopendre (Aplenium scolopendrium), qui se déploie telle une langue sur les rochers ombragés. Communes dans les régions bien arrosées, ces deux espèces sont bien plus rares sous le soleil de Provence... (Protégées en PACA = cueillette interdite !)
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kilomètre
4,72
latitude
43.832
altitude
450
m
longitude
5.39731
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O
Sivergues, village du bout du monde
Points de vue, panorama
Ici plus qu’ailleurs, un sentiment de calme, d’isolement, et d’harmonie se dégage. Au cours des siècles, le village connut peu d’évolutions, seules quelques habitations furent édifiées autour de l’ancienne maison fortifiée, nommée aujourd’hui le fort de l’archidiacre. Le visiteur attentif remarquera l’oculus (fenêtre ronde ou œil de bœuf) sur la façade modeste de l’Église Saint-Pierre-et-Sainte-Marie (fin XVIe s.), les ruelles en calade, l’escalier sur voûte, le portail de pierre… Chaque ensemble bâti de Sivergues épouse parfaitement le relief et s’ouvre sur des vues magistrales.
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kilomètre
5,58
latitude
43.8284
altitude
555
m
longitude
5.40278
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P
Sivergues, entre quiétude et massacre
Lieu historique
L’origine du hameau (IVe/Ve s.) peut être attribuée à une Arlésienne, épouse de Saint Castor évêque d’Apt, qui aurait fondée un couvent avec six compagnes, six vierges, d’où le nom de Sivergues. Mais le village sous sa forme actuelle nait après les grandes épidémies à l´aube du XVIe s., grâce à l´attribution d´actes d´habitation à huit familles vaudoises afin de cultiver les terres abandonnées. En 1540, sur ordre de François Ier, la répression sanglante s’abattit sur la région et ces mêmes familles furent persécutées par Jean Maynier, baron d’Oppède et premier président du Parlement d’Aix.
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kilomètre
5,73
latitude
43.8291
altitude
569
m
longitude
5.40346
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Q
Suis-moi, je te suis !
Point d'intérêt naturel
On entend souvent qu’un mouton sautant d’une falaise emporte tout son troupeau avec lui, d’où l’expression « suivre comme un mouton ». Les moutons sont-ils bêtes ? Des chercheurs ont étudié le phénomène, et cet effet de groupe est plus réfléchi qu’on ne le pense. Les moutons, partagés entre leur désir de trouver de la nourriture et d’être protégés des prédateurs, se regroupent pour explorer plus efficacement des espaces vierges et faire circuler l’information plus rapidement en cas de danger.
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kilomètre
6,06
latitude
43.8305
altitude
544
m
longitude
5.4041
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R
L'art de la calade
Lieu historique
Le patrimoine viaire, montre encore les restes d’aménagements nécessaires à l’activité humaine importante dans le vallon, durant des siècles passés, dont les portions de cheminement caladés sont les témoins. Les vestiges de calades, revêtement de sol constitué de pierres posées sur chants, sont visibles près des passages dans le cours d’eau ou en remontant vers le plateau des Claparèdes et Sivergues.
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kilomètre
6,38
latitude
43.8327
altitude
495
m
longitude
5.4018
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S
Les prairies, un patrimoine naturel rare
Point d'intérêt naturel
Ces prairies disséminées en fond de vallon sont l'héritage du travail de la nature et de l'homme. L'eau bien présente ici profite à une grande variété de plantes et d'insectes (papillons, libellules...). Et avec un peu de chance, on peut débusquer un seps, sorte d'orvet doté de pattes... Le pâturage a façonné ces clairières à une époque où les petits troupeaux y accédaient facilement. Des débroussaillements ciblés doivent permettre de les restaurer tout en préservant la ripisylve environnante.
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kilomètre
6,56
latitude
43.8338
altitude
476
m
longitude
5.40334
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T
L'Orchis odorant
Point d'intérêt naturel
Cette petite traversée d'un coteau marneux un peu humide peut être l'occasion, aux mois de mai et juin, de découvrir une petite orchidée à odeur de vanille : le bien nommé Orchis odorant (Anacamptis coriophora subsp. fragrans). Assez rare en France où on ne le trouve que dans la moitié sud, il y est strictement protégé. N'emportons donc son parfum que dans nos souvenirs !
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kilomètre
7,19
latitude
43.8377
altitude
502
m
longitude
5.40697
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U
« Lou camin salié »
Lieu historique
« Lou camin salié » ou chemin du sel étaient les routes empruntées autrefois par les marchands de sel avec leurs caravanes de mulets depuis l’étang de Berre. Denrée prisée à l’époque, il fallait ruser d’ingéniosité pour éviter les voleurs et brigands. Ainsi, les marchands passaient par des chemins moins accessibles mais plus sécurisés. Ancien chemin du sel, le sentier que vous empruntez actuellement reliait le Pas dèi ensarris (pas du bât de l'âne) en amont de Sivergues, la ferme de Salen en bord de plateau et le hameau de Rocsalière qui domine la ville d'Apt.
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kilomètre
7,56
latitude
43.8397
altitude
553
m
longitude
5.4064
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V
Un paysage de carte-postale...
Points de vue, panorama
Sur le plateau des Claparèdes, le Grand Luberon est très présent dans le paysage. Le plateau est aussi un promontoire qui offre des fenêtres sur le Mont-Ventoux au nord et les Alpes plus à l'est. L’un des symboles des Claparèdes est le moutonnement violet de la lavande de juin à juillet. L'automne et l'hiver révèlent la présence de belles fermes, bories et murs de pierre sèche. Autant d’édifices qui résultent de l'épierrage des champs, témoins d'une présence humaine ancestrale.
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kilomètre
7,66
latitude
43.8406
altitude
561
m
longitude
5.40618
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W
Plateau des Claparèdes
Lieu historique
Le nom des Claparèdes vient de « clapas » qui signifie « tas de pierres » en provençal. De nombreux cabanons en pierre sèche sont présents sur ce plateau qui s’étend de Castellet à Lacoste sur une dizaine de kilomètres. Anciennes terres de céréales, la culture de la lavande et lavandins est aujourd'hui la plus répandue sur le plateau des Claparèdes.
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kilomètre
8,17
latitude
43.845
altitude
560
m
longitude
5.40455
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X
Les pierres, malheur des agriculteurs !
Lieu historique
Les petits cabanons de pierre ou bories que vous apercevez un peu partout dans le Luberon ont été construits avec les pierres extraites des champs par les paysans de l’époque. Aujourd’hui, c’est toujours le même problème pour les agriculteurs du Luberon qui doivent épierrer leurs champs plusieurs fois par an. Et même si la vente des pierres leur permet de gagner un peu d’argent, ces pierres sont un fléau pour le matériel agricole, casse et usure étant monnaie courante !
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kilomètre
8,77
latitude
43.8412
altitude
553
m
longitude
5.39943
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Y
Lavande ou lavandin ?
Point d'intérêt naturel
La lavande aspic (Lavandula latifolia), à larges feuilles blanchâtres, est une plante des étages méditerranéens. La lavande fine (Lavandula angustifolia) à feuilles étroites, est quant à elle plus montagnarde (jusqu'à 1500 m d'altitude). Même si la Lavande fine est parfois cultivée en montagne, c'est ordinairement le Lavandin, hybride des deux et plus productif, qu'on observe dans les champs du plateau des Claparèdes. Attention, ces cultures sont le fruit d'un dur travail agricole, merci de ne pas cueillir !
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kilomètre
9,41
latitude
43.8374
altitude
544
m
longitude
5.3936
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