A
Rustrel et son château
Lieu historique
Le paysage de Rustrel a été façonné par des générations d’ocriers et de paysans : collines aux chantiers d’ocres et vallons aux jardins maraîchers. Le village est dominé par son traditionnel château de haute Provence, un quadrilatère flanqué de quatre tours d'angle arrondies, vraisemblablement construit au début du XVIIe s. La commune de Rustrel commence à acheter certaines parties du bâtiment en 1847 et actuellement totalement propriétaire, le château abrite la mairie et un gite d’étape.
Informations complémentaires
kilomètre
0,15
latitude
43.9241
altitude
412
m
longitude
5.48567
Voir la fiche du point d'intéret »
B
Opération Grand Site Massif des Ocres
Lieu historique
Site classé en 2002, les Ocres du Pays d'Apt sont un des gisements les plus importants au monde. Avec un nombre de visiteurs important et des risques de dégradation, le Massif des Ocres suscite beaucoup d'intérêt. En 2010, en concertation avec les acteurs locaux, une Opération Grand Site de France a été lancée par la Communauté de Communes Pays d'Apt Luberon, afin de mettre en œuvre un projet de valorisation, de bonne gestion et de préservation des patrimoines naturels, paysagers mais aussi culturels dans la perspective d'obtenir prochainement de l'Etat le label Grand Site de France.
Informations complémentaires
kilomètre
1,05
latitude
43.9197
altitude
366
m
longitude
5.49191
Voir la fiche du point d'intéret »
C
La formation de l'ocre
Point d'intérêt naturel
Il y a environ 125 millions d’années une partie de la Provence est recouverte par une mer peu profonde. Des sédiments à l’origine des calcaires blancs s’y déposent et sur le bassin du Pays d’Apt ils sont recouverts par des roches argileuses (marnes grises) et des sables composés de fragments de coquilles, d’oursins, et des organismes microscopiques. Ce mélange se dépose en couches obliques sur le fond, où se forment alors des grains de Glauconie de couleur verte, chargés en fer. Vers -100 millions d’années, suite à des mouvements tectoniques, la mer se retire. Les dépôts de grès verts émergés sous un climat chaud et humide, subissent alors une profonde altération. Ainsi, le calcaire, les micas et la Glauconie disparaissent pour donner de la kaolinite colorée par un hydroxyde de fer pour l’ocre jaune, et par un oxyde de fer pour l’ocre rouge. Les grains de Kartz restent majoritaires. Ainsi, le grès vert constitue la roche mère des sables ocreux.
Informations complémentaires
kilomètre
1,62
latitude
43.9175
altitude
362
m
longitude
5.4963
Voir la fiche du point d'intéret »
D
Colorado Provençal
Lieu historique
Le Colorado provençal est un ancien site d’exploitation de l’ocre à ciel ouvert aux XIXe et XXe s. Le premier coup de pioche y a été donné en 1871. Le dernier lavage de l’ocre a eu lieu en 1993, par Roger Arnaud. C’est un site privé, classé au titre des Monuments naturels à caractère historique. Deux circuits de visites pédestres balisés et accompagnés d’une application mobile spécifique, permettent d’y découvrir les anciennes carrières dotées de spectaculaires nuances de couleurs et quelques vestiges de l’industrie ocrière. Entrée payante et sur réservation en haute saison : voir les conditions d’accès au site et consignes de visite.
Informations complémentaires
kilomètre
2,00
latitude
43.9189
altitude
370
m
longitude
5.5006
Voir la fiche du point d'intéret »
E
L'exploitation de l'ocre à Rustrel
Lieu historique
Au Colorado, l’exploitation de l’ocre a eu lieu dans des carrières à ciel ouvert de 1871 à 1991. La particularité de cette extraction réside dans l'utilisation de l'eau préalablement stockée dans des puisards (réservoirs) et qui était ensuite acheminée sous pression jusqu’aux carrières. Lavés aux lances à eau, les fronts de taille libéraient un mélange d’eau, de sable et d’ocre qui dévalaient les pentes par des réseaux de rigoles et aqueducs jusqu’aux bassins de décantation. Le sable, plus lourd, se déposait le long des rigoles ou dans des batardeaux (pièges à sable) et seuls l’eau et l’ocre arrivaient dans les bassins. L’ocre plus lourde que l’eau se déposait au fond des bassins. Puis, sur le même principe que les marais salants, l’eau s’évaporait et quand l’ocre commençait à sécher, les ocriers découpaient des briques destinées à être transformées ensuite.
Informations complémentaires
kilomètre
2,00
latitude
43.9189
altitude
370
m
longitude
5.5006
Voir la fiche du point d'intéret »
F
Berges et forêts humides
Point d'intérêt naturel
Principalement située le long de la Dôa, une forêt alluviale à bois tendre (type peupleraie) s’installe en connexion avec la nappe de la rivière. Celles-ci jouent de nombreux rôles biologiques, à savoir, le maintien des berges, l’autoépuration des eaux, un réservoir et un corridor écologique pour de nombreuses espèces. Elles sont le siège de reproduction et d’alimentation de nombreuses espèces d’oiseaux et d’insectes.
Informations complémentaires
kilomètre
2,13
latitude
43.9182
altitude
358
m
longitude
5.50174
Voir la fiche du point d'intéret »
G
Ciste à feuilles de laurier
Point d'intérêt naturel
Le Ciste à feuilles de laurier (Cistus laurifolius) est un arbuste aisément identifiable : grandes feuilles persistantes lancéolées d'un vert-sombre, et belles fleurs blanches au printemps. On peut même finir par le reconnaître les yeux fermés, par l'odeur légère et suave qu'il répand dans son environnement proche. Strictement inféodé aux sols acides, il reste assez localisé dans notre région, mais est assez commun dans le massif des ocres où il trouve sa place en lisières et clairières des boisements.
Informations complémentaires
kilomètre
2,63
latitude
43.916
altitude
392
m
longitude
5.50699
Voir la fiche du point d'intéret »
H
L'ocre et son exploitation
Lieu historique
Ci-dessous, se trouve l'ancienne aire d'extraction de Barriès (privé - visite guidée uniquement !). Les paysans de Rustrel sont devenus des ocriers et des industriels exportant dans le monde entier au XIXe et XXe s. L’ocre est un pigment naturel qui a été incorporé comme épaississant dans les produits manufacturés tels que le caoutchouc naturel. Cette industrie consommait de gros volumes d’ocre dans le monde entier (joints de boqueaux, rustines de vélo...). Il était aussi utilisé dans le bâtiment pour les enduits de façades. Son exploitation a subi la grande crise de 1929 et a été progressivement remplacée par les produits de synthèse. Après la Seconde Guerre mondiale, les carrières ferment progressivement. Aujourd’hui, la Société des Ocres de France exploite encore une carrière à Gargas et produit 1 200 tonnes d’ocre par an.
Informations complémentaires
kilomètre
3,04
latitude
43.9139
altitude
414
m
longitude
5.51056
Voir la fiche du point d'intéret »
I
L'emblématique couple de Rustrel
Point d'intérêt naturel
Dans les années 80, les falaises de la Grande Combe situées juste au-dessus de Rustrel, abritaient un célèbre couple de Vautour percnoptère (Neophron percnopterus). Plus petit des vautours européens, ce charognard et détritivore est aussi un expert vol long-courrier ! En 1998, à l’aide des balises de suivi, les enfants de l’école ont pu suivre leur migration jusqu’en Afrique sahélienne. Le couple a disparu de nos cieux depuis quelques années et leurs jeunes descendants n’ont pas pris la relève. En France, on ne compte plus que 82 à 88 couples de percnoptères territoriaux, dont une soixantaine se trouvent dans les Pyrénées et une vingtaine dans le sud de la France (4 à 5 couples dans le Luberon).
Informations complémentaires
kilomètre
3,67
latitude
43.9099
altitude
472
m
longitude
5.51392
Voir la fiche du point d'intéret »
J
Fleurs des moissons, joyau du Luberon
Point d'intérêt naturel
Adonis, Bleuet, Garidelle... Le Luberon est une des deux régions de France les plus riches en plantes messicoles, dites « compagnes de moissons ». Malheureusement extrêmement menacées en France, ces plantes dépendent totalement pour leur survie d’une agriculture traditionnelle, telle qu’on la rencontre encore ici chez les cultivateurs qui utilisent peu, voire aucun herbicide dans leurs champs. Le travail de ces agriculteurs est essentiel à la préservation d’un sol riche et fertile en Luberon.
Informations complémentaires
kilomètre
5,66
latitude
43.9044
altitude
572
m
longitude
5.50246
Voir la fiche du point d'intéret »
K
Morenas, l'avant-gardiste
Lieu historique
Dans le Colorado, François Morenas fut le premier à baliser des itinéraires de randonnées dès 1953. Véritable précurseur des GR du sud, souvent traité de "fada" par les gens du pays, il défricha armé de sa serpe et de sa pioche plus de 1 500 km de sentiers entre Ventoux, Monts-de-Vaucluse et Luberon. Passionné, il aimait avant tout partager son plaisir d'ouverture avec les autres. Jusqu'à son dernier souffle, il continua d'entretenir ses traces, aujourd'hui plus ou moins disparues.
Informations complémentaires
kilomètre
7,90
latitude
43.9028
altitude
517
m
longitude
5.48084
Voir la fiche du point d'intéret »
L
Fontaine des Jean-Jean
Point d'intérêt naturel
En Luberon, l’eau a toujours été une ressource rare. Les puits, lavoirs, bassins ou encore fontaines s’imposent comme témoin des aménagements pour faire jaillir cette eau si précieuse. Tout ce patrimoine exprime l'effort et le génie paysan pour répondre aux besoins des femmes et des hommes, des bêtes et des cultures. Ici, la fontaine bassin des Jean-Jean, aujourd'hui encore en eau une grande partie de l'année, apporte fraîcheur et or bleu d'appoint (eau non contrôlée).
Informations complémentaires
kilomètre
13,43
latitude
43.9082
altitude
281
m
longitude
5.43733
Voir la fiche du point d'intéret »
M
Les Puys
Lieu historique
Le mot ''puy'', hérité du latin podium (élévation), désigne les collines, coteaux, buttes ou mamelons. La colline des Puys située au sud-ouest de la route, autrement dit la "colline des collines", tire son nom des reliefs qui la composent comme le Puy et le Puy Marquis. Au sud-est, sur l'autre rive de La Doa, se nichent le Pié Long, le Piémont et le Pié de Marc, déformation du Pié de Mars, pour podium Martis, un sommet dédié au dieu romain de la guerre.
Informations complémentaires
kilomètre
14,32
latitude
43.9103
altitude
308
m
longitude
5.42893
Voir la fiche du point d'intéret »
N
La forêt, vitale pour les chauve-souris
Point d'intérêt naturel
Certaines espèces de chauves-souris sont capables de faire un détour de 5 km pour rejoindre deux lieux espacés de 1 km uniquement, car elles préfèrent suivre un linéaire de haies plutôt que de traverser un espace ouvert. Elles voient très bien le jour mais utilisent également un sonar la nuit pour mieux se diriger. Elles émettent de brefs cris ultrasonores et les échos reçus leur donnent une image de ce qui est devant elles. Le maintien des espaces boisés de feuillus et des haies, est donc très important pour les chauves-souris. Ces milieux leur servent de lieux de chasse et surtout de repères pour se déplacer.
Informations complémentaires
kilomètre
15,12
latitude
43.9135
altitude
331
m
longitude
5.42116
Voir la fiche du point d'intéret »
O
Mare du Trou des Américains
Point d'intérêt naturel
Cette zone humide tire son origine de l’activité ocrière du site et devait servir au stockage de l’eau utilisée pour le lavage des ocres. C’est l’une des mares les mieux conservées du Parc du Luberon et qui fait partie des sites connus de reproduction du Pélobate cultripède (ou crapaud à couteaux). Cette espèce rare et vulnérable en France est considérée comme quasi-menacée au niveau mondial. Equipé de "couteaux" derrière les pattes arrière, il s'enfouit dans le sable jusqu'à ce qu'il pleuve !
Informations complémentaires
kilomètre
15,74
latitude
43.9184
altitude
383
m
longitude
5.42242
Voir la fiche du point d'intéret »
P
La Bruyère, îlot siliceux
Point d'intérêt naturel
Comme un îlot siliceux au milieu d’un océan calcaire, la colline de La Bruyère (site classé et Espace naturel sensible) recèle tout un cortège de plantes silicicoles (qui aiment la silice), acidophiles (qui aiment les sols acides) et psammophiles (qui aiment le sable). On y rencontre également de nombreuses espèces d’amphibiens (comme le Crapaud à couteaux), d’oiseaux (comme le Guêpier d’Europe) et de chauves-souris (comme le Grand ou le Petit rhinolophe, le Minioptère de Schreibers).
Informations complémentaires
kilomètre
15,81
latitude
43.919
altitude
379
m
longitude
5.42275
Voir la fiche du point d'intéret »
Q
Indispensable chauve-souris !
Point d'intérêt naturel
17 espèces protégées sur les 34 identifiées en France, comme le Grand ou le Petit rhinolophe, le Minioptère de Schreibers, sont présentes sur le site classé et l’Espace Naturel Sensible de la colline de la Bruyère. Les chauves-souris sont des mammifères volants qui allaitent chaque année un seul petit et qui se nourrissent d’insectes la nuit. La plus petite chauve-souris, extraordinaire technologie de 4 gr, peut manger jusqu’à 3000 moustiques par nuit ! Leur conservation est primordiale pour l’équilibre de la biodiversité, et pour la transmission de ce patrimoine biologique à nos enfants.
Informations complémentaires
kilomètre
16,02
latitude
43.9185
altitude
361
m
longitude
5.42494
Voir la fiche du point d'intéret »
R
Petite divagation = réveil fatal !
Point d'intérêt naturel
Sur la colline de La Bruyère, il y a une grande diversité de cavités souterraines, notamment des anciennes mines d’extraction d'ocres. Ces lieux, de températures et d’humidité stables, offrent un gîte indispensable aux chauves-souris à leur l’léthargie hivernale (octobre à mars). Durant cette période de vie ralentie, un simple même très court dérangement dans les galeries ou le passage répété juste devant les entrées de cavités, engendre le processus de réveil. Ce réveil imprévu très stressant leur fait consommer jusqu’à 80% de leur réserve et entraine leur mort quasi certaine. Il est donc impératif, de ne jamais pénétrer dans les cavités. Et ce d’autant plus que c’est dangereux en raison des risques d’effondrements !
Informations complémentaires
kilomètre
16,26
latitude
43.9195
altitude
379
m
longitude
5.42753
Voir la fiche du point d'intéret »
S
Danger éboulement !
Lieu historique
Véritable gruyère, la colline de La Bruyère est percée d'anciennes galeries creusées à la main et de front de taille à ciel ouvert. Il s'agissait d'un lieu important pour l'extraction des ocres. Ensuite, un certain nombre de cavités ont été transformées en champignonnières. Elles sont aujourd'hui délaissées de toute activité humaine. Certaines sont devenues des refuges pour de grosses colonies de chauve-souris. Il est strictement interdit de pénétrer dans les galeries (propriété privé), en raison d'éboulements fréquents et pour éviter tout dérangement dramatique des chauve-souris.
Informations complémentaires
kilomètre
16,63
latitude
43.9205
altitude
391
m
longitude
5.43143
Voir la fiche du point d'intéret »
T
Minioptère de Schreibers
Point d'intérêt naturel
La colline de La Bruyère héberge le plus important site de transit de Minioptères de Schreibers du Luberon. Cette chauve-souris se nourrit de papillons. Très sociable, elle s'installe en grappes dans les galeries d'ocres. Sa protection repose principalement sur la tranquillité d'autant plus que la fermeture des cavités par des grilles est néfaste au Minioptère, car son vol, peu manœuvrable, ne lui permet pas de passer facilement entre les barreaux.
Informations complémentaires
kilomètre
16,90
latitude
43.9215
altitude
399
m
longitude
5.43434
Voir la fiche du point d'intéret »
U
Châtaignier des sols acides
Point d'intérêt naturel
Ilot de sable au milieu des massifs calcaires du Luberon et des Monts-de-Vaucluse, les ocres abritent des essences d'arbres qui ne poussent pas dans le calcaire. Ainsi le châtaignier apprécie ce sol tout comme il apprécie le sol sableux dans le département du Var plus au sud.
Informations complémentaires
kilomètre
17,01
latitude
43.9219
altitude
393
m
longitude
5.43544
Voir la fiche du point d'intéret »
V
Petit rhinolophe
Point d'intérêt naturel
Véritable petite boule de poil, cette chauve-souris ne pèse que 2 à 5 g. L’espèce possède un appendice nasal caractéristique en fer à cheval. Au repos et en hibernation, le Petit rhinolophe s’accroche dans le vide et s'enveloppe complètement dans ses ailes, ressemblant ainsi à une poire suspendue. En hiver, il occupe des galeries d'ocre. En été, les femelles utilisent les cabanons comme des maternités. Attention de ne pas les déranger ! Il est strictement interdit de pénétrer dans les galeries et les cabanons (site classé), en raison d'éboulements fréquents et pour éviter tout dérangement dramatique des chauves-souris (espèces protégées).
Informations complémentaires
kilomètre
17,21
latitude
43.9232
altitude
363
m
longitude
5.43473
Voir la fiche du point d'intéret »
W
Extraction ocrière
Lieu historique
C'est à partir de la fin du XIXe s. que l'extraction de l’ocre, le traitement et la commercialisation, prennent un essor considérable, notamment par la construction du chemin de fer sur le Pays d'Apt. En 1900, on dénombre sur le bassin d’Apt 17 mines souterraines et 32 carrières à ciel ouvert, représentant 14 600 tonnes d'ocres. Ici, on peut apercevoir les ruines d’une station de pompage d’eau, indispensable pour faire s'écouler depuis le malaxeur, le sable dans les batardeaux, puis l'ocre, plus léger, jusqu’aux bassins de décantation (ruines potentiellement instables - ne pas pénétrer ni s’approcher trop prêt).
Informations complémentaires
kilomètre
17,21
latitude
43.9232
altitude
362
m
longitude
5.43481
Voir la fiche du point d'intéret »
X
Un cabanon pour maternité
Point d'intérêt naturel
Dans les champs aux alentours, des cabanons ont été construits pour servir d'abri et de stockages. Aujourd'hui abandonnés ou restaurés, ils restent les lieux privilégiés et convoités par les femelles chauves-souris d'avril à septembre. Véritables maternités, ces cabanons réchauffés par le soleil sont des lieux adaptés pour la mise-bas et l'allaitement des jeunes. Il est strictement interdit de pénétrer dans les cabanons (propriété privé), pour éviter tout dérangement dramatique des chauves-souris (espèces protégées).
Informations complémentaires
kilomètre
17,47
latitude
43.9254
altitude
346
m
longitude
5.43529
Voir la fiche du point d'intéret »
Y
Grande Traversée VTT de Vaucluse®
Lieu historique
La Grande Traversée VTT de Vaucluse c’est 388 km de plaisir et un parcours sur mesure ! Départ des sentiers exigeants du Mont Ventoux en passant par les arrêtes calcaires des Dentelles de Montmirail, vous passerez par un espace naturel remarquable pour arriver aux Gorges de la Nesque. Ensuite, la course continue par le Parc naturel régional du Luberon, où le patrimoine bâti en pierre sèche, les impressionnantes falaises et les sentiers dans les ocres raviront les VTTistes. Deux vaiantes possibles, complétées en juin 2020 de circuits VTT en boucles, balisés et labélisés FFC ''espace VTT Provence Luberon Lure''.
Informations complémentaires
kilomètre
18,97
latitude
43.9311
altitude
394
m
longitude
5.44933
Voir la fiche du point d'intéret »
Z
Des saignées colorées
Points de vue, panorama
De ce chemin en balcon, on distingue des falaises colorées qui se détachent des collines boisées de cette vallée agricole où dominent les vignes. Résultant d'une formation géologique particulière et d'une exploitation humaine passée, ces fronts de taille sont menacés par la reconquête forestière. Depuis la fin de l'exploitation de l'ocre, la végétation a peu à peu envahi le Colorado de Rustrel. La colonisation de pins sylvestres (fortement combustibles) est devenue un enjeu paysager mais aussi sécuritaire. En 2015, des coupes d'arbres ont été réalisées pour redonner à voir l’ocre dans le site mais aussi dans le grand paysage.
Informations complémentaires
kilomètre
21,11
latitude
43.9281
altitude
388
m
longitude
5.47071
Voir la fiche du point d'intéret »