Parcours Street Art
- Mis à jour le 06/02/2025
- Identifiant 2727626
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Informations
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Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
durée / niveau
Rando pédestre
|
distance
2,6 km
type parcours
|
|||||||||
Lieu de départ
1 place de l'Église - Manoir des Tourelles
95440 ÉCOUEN |
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
|
Photos & vidéos (1)
![]() |
description
Découvrez l’histoire de ces portraits de femmes implantés au sein de la commune d' Écouen.
Mary Cassatt (1844-1926)Née le 22 mai 1844, Mary Cassatt étudie à l'Académie des Beaux-Arts de Pennsylvanie, avant de s'installer à Paris, en tant que peintre.Excellant dans l'art du portrait, elle intègre l'école des peintres d'Écouen en 1862, et rejoint le groupe des impressionnistes. Elle devient l'une des rares femmes à s'imposer dans ce groupe d'artistes et a exposé plusieurs de ses œuvres lors des 4ème, 5ème, 6ème, 7ème et 8ème expositions impressionnistes.Ses tableaux, qui mettent en avant des femmes, des enfants et des mères, sont très remarqués et lui permettent de vivre de art, sans dépendre d'aucun homme.Elle ne se marie donc pas et se bat pour les droits des femmes en intégrant les Suffragettes, avant de mourir en 1926, sans que le droit de vote ne soit encore accordé aux femmes en France.Colette Rousset (1909-1945)Née en 1909, Colette Rousset est une Écouennaise qui s'engage dans la Résistance lorsque qu'éclate la seconde guerre mondiale. Elle mène de nombreuses missions de renseignements, avant d'être dénoncée par l'un de ses camarades. Alors qu'elle le rejoint dans un café parisien, elle le trouve accompagné de la Gestapo (police nazie), qui l'arrête également. Elle est alors déportée à Ravensbrück, où elle meurt en 1945. Son rôle dans la Résistance, comme celui de la plupart des femmes françaises, est néanmoins confidentiel. Elles ne sont que 6 à avoir été faites compagnons de la Résistance, contre 1053 hommes, alors qu'elles ont grandement participé au mouvement de libération de la France, sans même avoir le droit de vote.Madeleine de Savoie (Vers 1510-1586)Madeleine de Savoie est une princesse issue de la maison de Savoie. Le 10 janvier 1526, elle épouse Anne de Montmorency, et s'installe avec lui à Écouen. Mère de douze enfants, en femme de son temps, elle gère la maisonnée et les finances du connétable. Elle devient par la suite la première dame d'honneur de la Reine de France, Elisabeth d'Autriche.Madame Campan (1752-1822)Jeanne Louise Henriette Campan, née le 2 octobre 1752, est tout d'abord femme de chambre et confidente de Marie-Antoinette. Après la Révolution française, elle se consacre à l'éducation des jeunes filles. Elle devient, en 1807, directrice de la maison d'éducation pour jeunes filles des membres de l'ordre de la Légion d'honneur, situé au château d'Écouen.Madame Campan entend former des enseignants et faire de ce lieu une "université de femmes". Jugée trop proche de Napoléon, elle est destituée par Louis XVIII en 1814, et se retire à Mantes, où elle décède le 16 mars 1822.Léonide Bourges (1838-1909)Léonide Bourges se destine très tôt à la peinture. Elle vit de son art, et se fait remarquer pour ses tableaux représentant des paysages. Dès lors, elle devient l'une des rares femmes peintres reconnues de son siècle et rejoint l'école des peintres d'Écouen en 1886, aux côtés de Daubigny et Pierre-Édouard Frère.Cet établissement est l'un des rares à accepter et à mettre en avant les travaux d'artistes féminines au XIXème siècle, et participe ainsi à la renommer de Léonide Bourges.
Mary Cassatt (1844-1926)Née le 22 mai 1844, Mary Cassatt étudie à l'Académie des Beaux-Arts de Pennsylvanie, avant de s'installer à Paris, en tant que peintre.Excellant dans l'art du portrait, elle intègre l'école des peintres d'Écouen en 1862, et rejoint le groupe des impressionnistes. Elle devient l'une des rares femmes à s'imposer dans ce groupe d'artistes et a exposé plusieurs de ses œuvres lors des 4ème, 5ème, 6ème, 7ème et 8ème expositions impressionnistes.Ses tableaux, qui mettent en avant des femmes, des enfants et des mères, sont très remarqués et lui permettent de vivre de art, sans dépendre d'aucun homme.Elle ne se marie donc pas et se bat pour les droits des femmes en intégrant les Suffragettes, avant de mourir en 1926, sans que le droit de vote ne soit encore accordé aux femmes en France.Colette Rousset (1909-1945)Née en 1909, Colette Rousset est une Écouennaise qui s'engage dans la Résistance lorsque qu'éclate la seconde guerre mondiale. Elle mène de nombreuses missions de renseignements, avant d'être dénoncée par l'un de ses camarades. Alors qu'elle le rejoint dans un café parisien, elle le trouve accompagné de la Gestapo (police nazie), qui l'arrête également. Elle est alors déportée à Ravensbrück, où elle meurt en 1945. Son rôle dans la Résistance, comme celui de la plupart des femmes françaises, est néanmoins confidentiel. Elles ne sont que 6 à avoir été faites compagnons de la Résistance, contre 1053 hommes, alors qu'elles ont grandement participé au mouvement de libération de la France, sans même avoir le droit de vote.Madeleine de Savoie (Vers 1510-1586)Madeleine de Savoie est une princesse issue de la maison de Savoie. Le 10 janvier 1526, elle épouse Anne de Montmorency, et s'installe avec lui à Écouen. Mère de douze enfants, en femme de son temps, elle gère la maisonnée et les finances du connétable. Elle devient par la suite la première dame d'honneur de la Reine de France, Elisabeth d'Autriche.Madame Campan (1752-1822)Jeanne Louise Henriette Campan, née le 2 octobre 1752, est tout d'abord femme de chambre et confidente de Marie-Antoinette. Après la Révolution française, elle se consacre à l'éducation des jeunes filles. Elle devient, en 1807, directrice de la maison d'éducation pour jeunes filles des membres de l'ordre de la Légion d'honneur, situé au château d'Écouen.Madame Campan entend former des enseignants et faire de ce lieu une "université de femmes". Jugée trop proche de Napoléon, elle est destituée par Louis XVIII en 1814, et se retire à Mantes, où elle décède le 16 mars 1822.Léonide Bourges (1838-1909)Léonide Bourges se destine très tôt à la peinture. Elle vit de son art, et se fait remarquer pour ses tableaux représentant des paysages. Dès lors, elle devient l'une des rares femmes peintres reconnues de son siècle et rejoint l'école des peintres d'Écouen en 1886, aux côtés de Daubigny et Pierre-Édouard Frère.Cet établissement est l'un des rares à accepter et à mettre en avant les travaux d'artistes féminines au XIXème siècle, et participe ainsi à la renommer de Léonide Bourges.
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Téléphone : +33 (0)1 39 90 85 32Email : contact@grand-roissy-tourisme.comSite web : https://www.grand-roissy-tourisme.com/
Mis à jour par
Office de Tourisme Grand Roissy - 05/02/2025https://www.grand-roissy-tourisme.com/
Période d'ouverture
Toute l'année.
Topo/pas à pas
Départ Office de tourismeDescendre la rue Jean Bullant, puis remonter la rue Paul Lorillon jusqu’au 19 où se trouve le portrait de Mary Cassatt.Continuer et tourner à droite dans la rue de la grande fontaine. A la fourche, prendre à gauche rue du Four Gaudon jusqu’au numéro 23 (maison des associations) pour voir le portrait de Colette Rousset.Poursuivre jusqu’au bout de la rue puis tourner à gauche rue du Bicentenaire 1789-1989. Au numéro 18, vous pouvez admirer le portrait de Madeleine de Savoie.Avancer et bifurquer à gauche, rue Marcel Pagnol. Tourner ensuite à gauche vers l’école Jules Vernes, où vous apercevrez le portrait de Madame Campan.Revenir sur vos pas et poursuivre sur le chemin. Au bout, tourner à gauche sur l’allée. Continuer jusqu’à la fin et prendre à droite la sente (rue aux loups). Aller jusqu’à l’avenue du Connétable. Descendre la rue jusqu’à la fin puis tourner à gauche sur le chemin du Mesnil. Continuer jusqu’à la rue de la Libération. Tourner à droite. Continuer jusqu’au deuxième rond-point, là obliquer à droite dans l’avenue du Maréchal Foch. Le portrait de Léonide se trouve à l’entrée de l’école élémentaire Foch.
Note moyenne