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Tour des glaciers de la Vanoise : au départ de la Maurienne

  • Mis à jour le 15/04/2025
  • Identifiant 2778087
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Parking
Commerces
Location
Autre
Autre
Echelle  
durée / niveau
Rando pédestre
168h02 - Moyen
distance
78,6 km
type parcours
altitude
2794 m 5033 m 1861 m -5091 m
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Lieu de départ
Villarodin-bourget
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol

Photos & vidéos (1)

description

Emblématique du Parc national de la Vanoise, cet itinéraire se compose à la carte, au fil des nuits en refuge. Entre verts vallons et décors lunaires, lacs émeraude et neiges éternelles, le Tour des glaciers de la Vanoise révèle une montagne grand format, tout en contrastes.Le tour est décrit au départ du refuge de l'Orgère mais vous pouvez tout à fait partir de Plan d'Amont à Aussois ou encore de Termignon.De nombreuses variantes sont possibles. Voici les préférées du Parc national de la Vanoise :1ère étape : Une fois sur le replat, bien avant le passage du col de Chavière, sur votre droite n'hésitez pas à faire un tour du côté du lac de la Partie. Si vous partez d'Aussois ou de Termignon, vous pouvez raccourcir le tour en passant par le col d'Aussois pour rejoindre soit directement le refuge de la Valette (longue étape), soit en faisant d'abord étape au refuge du Roc.7ème étape : Vous pouvez rejoindre le vallon de l'Orgère par le col de la Masse

Recommandations

État des sentiers : Pour éviter au maximum les sentiers avec un enneigement tardif, il est préférable de programmer cette randonnée entre début juillet et septembre. Se méfier de la traversée des torrents qui peut se révéler délicate en période de fonte des neiges et privilégier leur traversée le matin. Refuges et réservation : Pensez à réserver votre nuit en refuge ou votre emplacement de bivouac, via les sites web des refuges. Dans le cœur du Parc, la pratique du bivouac est autorisée en période estivale, et uniquement à proximité immédiate de certains refuges en période de gardiennage. Appel d’urgence européen 112

En coeur de parc

Le Parc national de la Vanoise est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est utile de connaître pour préparer son séjour. Pour en savoir plus, rendez-vous sur la page réglementation.

Transport en commun

Accédez à Modane en train : gare TER et TGV.Un réseau de bus vous amènera alors :Au refuge de l'Orgère pour une première nuit .À Aussois : accéder aux premiers refuges en 2h30 de marche ou  prenez le télésiège du Grand Jeu pour accéder directement aux refuges situés sur les hauteurs de la station d'Aussois.À Termignon : prenez la navette gratuite qui vous amène jusqu'au parking de Bellecombe. De là, possibilité de dormir aux refuges du Lac Blanc, de l'Auberge de Bellecombe ou de Plan du Lac. La navette peut également vous emmener jusqu'au refuge d'Entre-deux-Eaux (tronçon payant).Horaires et tarification des bus sur :www.haute-maurienne-vanoise.com/transports

Accès routier

Si vous êtes venus en voiture, garez vous : À Aussois : au parking de la carrière si vous partez de Plan d'Amont ou au parking du pied des pistes si vous prenez le télésiège du Grand Jeu.À Termignon : au parking du pied des pistes, si vous prenez la navette gratuite jusqu'au parking (payant) de Bellecombe, ou au Pont du Châtelard si vous souhaitez monter au refuge de l'Arpont le premier jour (3h de marche).

Ambiance

Ambiance haute montagne pour cette randonnée itinérante au flanc des grands glaciers de la Vanoise. Le plus souvent en balcon, le parcours enchaîne jusqu'à 5 cols et offre des panoramas inoubliables sur des sommets mythiques tels que la Dent Parrachée, la Grande Casse ou encore l'Aiguille de la Vanoise. N'oubliez pas vos jumelles ! De nombreux vallons et plateaux sont appréciés des marmottes, bouquetins et chamois. A moins que l'émerveillement ne vienne du ciel, sous les ailes déployées de l'aigle royal ou du gypaète barbu.

Départ

Refuge de l'Orgère, Plan d'Amont ou encore Termignon

Points d'interêt (44)

A

L'Estiva

Points de vue, panorama
Situées juste au-dessus de la limite de la forêt, les ruines de « L'Estiva » témoignent de l'ancienne activité pastorale et offrent une vue imprenable sur toute la vallée de la Maurienne et le vallon de l'Orgère.
Informations complémentaires


kilomètre 0,97
latitude 45.2296
altitude 2171 m
longitude 6.66644
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B

Les brebis en estive

Patrimoine religieux
Vous pourrez rencontrer au cours de votre balade des brebis en estive dans les alpages. Ce pastoralisme très ancien, pour preuve les ruines en pierre encore présentes à l'Estiva, se perpétue de nos jours. Issues de troupeaux d'éleveurs de la vallée, ces brebis montent progressivement, depuis le village de Villarodin-Bourget en suivant l'évolution de la pousse de l'herbe.
Informations complémentaires


kilomètre 1,49
latitude 45.2338
altitude 2250 m
longitude 6.6665
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C

Les brebis de race Thônes et Marthod

Patrimoine religieux
Après avoir fortement diminué, l'élevage local a amorcé sa reprise à la fin du XXe siècle notamment grâce à la race Thônes et Marthod. Très facile à reconnaître, avec une laine bouclée, des cornes développées chez les deux sexes et surtout le contour des yeux et les oreilles noirs, cette brebis est remarquablement adaptée aux alpages de Savoie méridionale. Car si ses origines sont anciennes, elle ne semble pas s’être diffusée plus tôt hors de son berceau d'origine pré-alpine. Sa rusticité, sa grande fécondité et sa bonne aptitude laitière expliquent sans doute ce regain d'intérêt.
Informations complémentaires


kilomètre 1,52
latitude 45.2341
altitude 2255 m
longitude 6.66651
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D

Le traquet motteux

Point d'intérêt naturel
Petit passereau caractéristique de la pelouse alpine, le traquet motteux est facile à reconnaître par son croupion blanc et sa queue avec un T noir inversé. Le reste du plumage du mâle gris, blanc et ocre, tandis que celui de la femelle est beige uniforme. Souvent perché sur un rocher, il alarme en lançant des « ouit ouit » ou des « tchac tchac ». C'est un oiseau migrateur qui ne fréquente la Vanoise que durant les mois d'été avant de traverser le Sahara pour passer l'hiver en Afrique équatoriale.
Informations complémentaires


kilomètre 2,04
latitude 45.2384
altitude 2353 m
longitude 6.66631
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E

Une calade réalisée en partenariat avec le lycée des métiers de la montagne

Patrimoine religieux
Cette voie pavée de galets, dont les travaux se sont achevés en 2013, est le fruit d'une précieuse collaboration entre les ouvriers du Parc et le lycée professionnel des métiers de la montagne de Saint-Michel-de-Maurienne. Durant 3 années, des lycéens, encadrés par les ouvriers, ont utilisé les techniques ancestrales pour remettre en état une portion de sentier que le terrain instable avait mis à mal.
Informations complémentaires


kilomètre 2,46
latitude 45.2419
altitude 2432 m
longitude 6.66571
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F

Le lac de la Partie

Lac / Etendue d'eau
Petit lac d'altitude peu profond aux reflets verts, le lac de la Partie trouve sans doute son origine dans l'amas de blocs qui le domine au sud. Cet ancien éboulement a bloqué le ruisseau qui circule dans le fond du vallon et qui alimente encore le lac.
Informations complémentaires


kilomètre 4,70
latitude 45.26
altitude 2511 m
longitude 6.65822
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G

Les entonnoirs de dissolution

Autre
Le gypse, ou sulfate de calcium hydraté, est une roche très soluble qui se dissout aisément sous l'action de la pluie ou de la fonte des neiges. La dissolution du gypse fait apparaître des entonnoirs où la neige va demeurer plus longtemps, ce qui accentue encore la dissolution et agrandit les entonnoirs. Plusieurs de ces cratères lunaires blanchâtres sont visibles aux abords du sentier après le lac de la Partie.
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kilomètre 5,22
latitude 45.2639
altitude 2595 m
longitude 6.65901
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H

Les genépis

Point d'intérêt naturel
Le terme genépi est un nom générique qui désigne des espèces végétales du genre « armoise » à laquelle appartient aussi la grande armoise (dont est issue l’absinthe). En Vanoise on trouve 3 espèces de genépi : le genépi noir, le genépi des glaciers et le genépi jaune. Plante inféodée aux moraines et aux éboulis, le genépi est surtout connu pour la liqueur qui est réalisée à partir de ses fleurs. Le genépi est assez commun aux alentours du col mais nous vous rappelons que la cueillette des végétaux est interdite dans le cœur du Parc national de la Vanoise.
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kilomètre 6,02
latitude 45.2701
altitude 2831 m
longitude 6.6592
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I

Le col de Chavière

Col
L’étymologie de son nom "Chavière", qui signifie « chauve », décrit assez bien l'ambiance minérale qui règne sur ce col. Zone de passage entre la Tarentaise et la Maurienne, le col offre une vue sur le glacier de Chavière et le dôme de Polset. Tout au nord, à l'horizon, on peut apercevoir le Mont-Blanc, alors qu'au sud se dresse le massif des Écrins.
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kilomètre 6,03
latitude 45.2705
altitude 2793 m
longitude 6.65769
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J

Comme une tarte tatin

Autre
Le refuge de Péclet-Polset se trouve sur un verrou glaciaire (barre rocheuse installée au travers de la vallée glaciaire). Lors de la formation des Alpes et des fortes contraintes des plaques tectoniques, la succession des couches géologiques s'est complètement inversée : les strates géologiques les plus anciennes se sont retrouvées au-dessus des strates les plus récentes, à l'inverse d'une succession normale.
Informations complémentaires


kilomètre 8,35
latitude 45.2894
altitude 2416 m
longitude 6.66208
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K

Le pipit spioncelle porte bien son nom

Point d'intérêt naturel
Le pipit spioncelle est un passereau typique des pelouses alpines. D'un plumage plutôt discret, avec un sourcil clair et deux bandes blanches sur les ailes, il se reconnaît surtout à son vol chanté. Il enchaîne ainsi des vols descendants chantés et ascendants muets. Le chant est une succession de « pit », rappelant son nom. Migrateur partiel, il passe l'hiver plus bas en altitude, près des étangs et zones humides. Il se nourrit de graines et d'invertébrés.
Informations complémentaires


kilomètre 10,46
latitude 45.3043
altitude 2120 m
longitude 6.66745
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L

L'arbé

Monument & architecture
Un « arbé » est une cabane à toit amovible, installée sur un soubassement en pierres. Les arbés sont regroupés l'été en camps itinérants. Ils permettent de suivre les vaches laitières. À chaque déplacement ou "tramée", les bergers emportaient les planches et toiles du toit, mais aussi les chaudrons et ustensiles. Plus tard, les tôles et les bâches ont remplacé les planches et les toiles. Ces abris, qui ont vu le jour au Moyen Âge, sont très présents dans la vallée de Chavière.
Informations complémentaires


kilomètre 11,44
latitude 45.3112
altitude 2041 m
longitude 6.67376
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M

L'alpage de Ritort

Patrimoine religieux
Cet alpage se situe dans la zone AOP Beaufort d'alpage.  L'agriculteur fabrique, avec beaucoup de travail et de soin, 4 à 5 meules de Beaufort par jour, selon une recette ancestrale. Avec le petit-lait qui reste, il produit également le sérac, un fromage frais semblable au brocciu corse ou la ricotta italienne.  
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kilomètre 12,16
latitude 45.3143
altitude 1974 m
longitude 6.68156
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N

Ritort

Monument & architecture
Le bâtiment principal de l'alpage de Ritort comporte deux parties accolées présentant deux toitures différentes. Ici, pas de lauzes. Traditionnellement ce sont les ancelles (tuiles de bois fendu) qui sont utilisées. Sont rajoutées quelques lauzes par-dessus pour éviter que le vent ne les arrachent. À Ritort, la partie aval du bâtiment servant de fromagerie possède un toit de tôle qui a été restauré en 1997, à l'identique de ce qui existait avant. L'habitation attenante possède quant à elle une toiture traditionnelle mixte ancelles-lauzes.
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kilomètre 12,18
latitude 45.314
altitude 1970 m
longitude 6.68149
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O

La calotte glaciaire

Autre
Une calotte glaciaire est un glacier d'eau douce à la fois très grand et étendue sur une zone large. En levant la tête, vous pouvez admirer la calotte glaciaire des glaciers de la Vanoise. Longue d'environ 13 km, il s'agit de la plus grande calotte glaciaire d'Europe continentale. Elle se présente sous la forme d'une succession de plusieurs dômes et culmine au dôme de l'Arpont à 3599 m. Cette immense étendue de glace fut surnommée « désert blanc » ou « petit arctique » par l'écrivain Roger Frison-Roche. De nombreux torrents s'écoulent à partir de cette calotte. Ils sont désignés par le terme « Nants » et sont visibles dans le cirque du même nom.
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kilomètre 23,38
latitude 45.344
altitude 2371 m
longitude 6.72509
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P

Le refuge de la Valette

Refuge
Le refuge de la Valette est composé de 3 chalets « Chaloin », du nom de l'entreprise créatrice. Le Parc, à partir de 1968, a équipé 9 sites avec ce type de construction. Avec un minimum de préparation (création sur place de longrines ou d'un socle en parpaings de béton), le refuge était construit en 3 semaines (poêle, vaisselle et couvertures compris !) Au sud-est du refuge de la Valette, en contrebas du pic de la Vieille Femme, vous pouvez observer les ruines de l'ancien refuge. Il date de 1899. Dès le premier hiver, sa toiture a été emportée par la tourmente. Son ouverture a lieu à la fin de l'été 1900. Ce refuge comportait quatre pièces : au rez-de-chaussée, une pièce pour le gardien et une écurie pour les mulets et, à l'étage, deux pièces munies de lits de camp, réservées aux touristes.
Informations complémentaires


kilomètre 24,84
latitude 45.3533
altitude 2596 m
longitude 6.72405
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Q

Le lac des Assiettes

Lac / Etendue d'eau
Il y a 10500 ans, la langue du glacier des Grands Couloirs / Réchasse qui coulait en direction du vallon de l'Arcelin s'arrêtait au niveau du lac des Assiettes. Celle-ci a façonné un lac de barrage morainique au niveau d'un verrou calcaire. Lors du Petit Âge glaciaire, le lac des Assiettes était obstrué par un système de bouchon glaciaire souterrain indépendant. Celui-ci pouvait tenir une bonne partie de la saison chaude et peut-être toute l'année à la faveur des grandes périodes de crues glaciaires (1550-1650, 1700-1780, 1820 -1860) selon Bravard et Marnezy (1981).Aujourd'hui, nous assistons à la mort de ce lac à cause de « l'atterrissement ». En effet, des alluvions érodées en amont (galets, graviers, argiles... ) et transportées par les torrents ont comblé ce lac. Ces dernières sont rapidement colonisées par des espèces végétales pionnières (linaire des Alpes, silène acaule).
Informations complémentaires


kilomètre 34,19
latitude 45.3901
altitude 2471 m
longitude 6.78392
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R

Vue sur le lac des Assiettes

Points de vue, panorama
Situé sur l’ancienne route marchande et touristique de Pralognan à Termignon par le Col de la Vanoise, le lac des Assiettes, en contrebas du col et de l'aiguille de la Vanoise, s'est complètement asséché dans les années 1995. Le plan actuel en garde bien sûr la trace, mais avec la perte d’un pittoresque reflet de ciel, c’est aussi celle d’un biotope, d’un élément vital de diversité écologique.
Informations complémentaires


kilomètre 34,58
latitude 45.3905
altitude 2513 m
longitude 6.78868
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S

Vue sur le Col de la Vanoise, le refuge Felix Faure, la Grande Casse

Points de vue, panorama
De passage commercial, le col de la Vanoise s’est mué en base d’alpinisme de la Grande Casse, plus haut sommet de Savoie, avec une suite de refuges depuis 1878, dont le célèbre Félix Faure, construit en 1903 par le C.A.F., complété en 1974 par deux préfabriqués classés au patrimoine du XXe siècle, maintenant remplacés. Mais l'évolution concerne surtout la fonte du glacier des Grands Couloirs, notamment des langues de 1935 qui a modifié l’itinéraire historique d’ascension de 1860, mais aussi de la langue de 1820-30 suggérée par les moraines latérales.
Informations complémentaires


kilomètre 34,67
latitude 45.3911
altitude 2514 m
longitude 6.7892
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T

Les refuges du col de la Vanoise

Refuge
Au col de la Vanoise, 5 refuges ont été construits. Le premier a été construit entre 1876 et 1879. Ses ruines sont encore visibles au niveau du lac des Assiettes. Le second refuge en pierre date de 1902. Il porte le nom du Président de la république Félix Faure, également connu pour sa mort en charmante compagnie. Puis, dans les années 70, deux bâtiments préfabriqués ont été ajoutés. En 2000, le refuge change de nom et devient « le refuge du col de la Vanoise ». Enfin, un 5e refuge est inauguré en 2014 pour remplacer les 2 bâtiments préfabriqués. Il appartient au Club Alpin Français.
Informations complémentaires


kilomètre 34,86
latitude 45.3923
altitude 2517 m
longitude 6.79098
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U

Le refuge du col de la Vanoise

Lieu historique
Le premier refuge date de 1879 et fonctionnait jusque durant l'hiver 1898-1899, où il perd son toit lors d'une tempête de neige. Le refuge Félix Faure, nommé en hommage au Président de la république et alpiniste émérite, est inauguré le 6 août 1902. Le bâtiment reçoit des dépendances supplémentaires en 1974. Enfin, il est complètement restructuré et complété d'un nouveau bâtiment par le Club Alpin Français en 2012-2013. Depuis 2000, il s'appelle refuge du col de la Vanoise.
Informations complémentaires


kilomètre 34,87
latitude 45.3923
altitude 2517 m
longitude 6.79107
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V

Les conquérants de l'inutile

Points de vue, panorama
Au XIXe siècle, les Anglais se passionnent pour les voyages à l'étranger et la conquête des sommets alpins. La Vanoise va devenir leur terrain d'exploration. Le 8 août 1860, William Mathews effectue la première ascension de la Grande Casse (alt. 3855 m) accompagné du chasseur de chamois Étienne Favre de Pralognan-la-Vanoise et du guide chamoniard Michel Croz. La pointe de la Réchasse est quant à elle gravie en 1856 par Gottleib.
Informations complémentaires


kilomètre 37,52
latitude 45.3736
altitude 3151 m
longitude 6.80173
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W

Vue sur le vallon et col de la Leisse

Points de vue, panorama
Vallon et col de la Leisse et la Grande Motte
Informations complémentaires


kilomètre 37,88
latitude 45.3815
altitude 2448 m
longitude 6.82404
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X

Le blockhaus du col de la Vanoise

Lieu historique
Sur ce site fréquenté par les militaires depuis 1885, les chasseurs alpins construisent, durant les étés 1931 et 1932, l’unique ouvrage de la ligne Maginot des Alpes, dans ce qui sera le cœur du parc national. Ce blockhaus est essentiellement un poste pour observer des ennemis qui ne viendront jamais : les Italiens fascistes. Durant la drôle de guerre (septembre 1939 - juin 1940), une trentaine de Pralognanais réquisitionnés, occuperont ce site, sous les ordres d'un lieutenant du 7e bataillon de chasseurs alpins de Bourg-Saint-Maurice. 
Informations complémentaires


kilomètre 38,35
latitude 45.3791
altitude 2397 m
longitude 6.82725
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Y

Les lacs des lozières

Lac / Etendue d'eau
Le sentier s'insinue entre les lacs naturels des Lozières. Ces dépressions sont formées à l'origine par le creusement des glaciers ou bien les dépôts morainiques, comme les « lacs glaciaires » de Roche Ferrran et du Pelve qui se trouvent en amont. Mais étant plus anciens et plus bas en altitude que ses voisins, les « lacs de pelouse » des Lozières, se végétalisent. On y trouve donc une végétation aquatique telle que les rubaniers, plante à fleurs formant de longs filaments à la surface de l'eau. Vous pourrez observer également de curieux pompons sur une tige dressée, la linaigrette de Scheuchzer. Cette espèce végétale ne supporte pas la compétition, elle colonise uniquement les bords de lac sur terrain siliceux.
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kilomètre 42,85
latitude 45.3565
altitude 2428 m
longitude 6.80006
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Z

Le dôme de Chasseforêt, la moraine du Pelve

Autre
À cet endroit, vous longez la moraine latérale du mont Pelve. Cet amas de débris rocheux a été arraché de la montagne par friction du glacier et gel/dégel. En se retirant, le glacier a laissé ainsi apparaître cette moraine qui témoigne de l'ancienne aire glaciaire. La calotte glaciaire des dômes de la Vanoise s'étend sur 13 km de long et recouvre une superficie de 32 km². Au XXe siècle, elle a subit une rétraction de 420 m en 50 ans. Elle continue de nos jours à raison d'un mètre par an. Il faut dorénavant monter à 2700 m d'altitude pour atteindre le glacier.
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kilomètre 47,64
latitude 45.3289
altitude 2651 m
longitude 6.79435
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Le refuge de l'Arpont

Monument & architecture
Construit en deux tranches par le Parc national au début des années 1970, il a été considéré comme une référence en matière d'intégration dans le site. Avec l 'emploi systématique de la pierre, mise en œuvre par l'entreprise mauriennaise Molinaro, le vocabulaire architectural reprend les fondamentaux de l'architecture traditionnelle locale tout en les adaptant aux contraintes de l'accueil du public dans des volumes nettement plus conséquents que ceux des chalets d'alpage traditionnels. L'extension réceptionnée en 2014, résolument moderne, préserve le bâtiment historique et laisse lisibles les différentes étapes modificatives qui ont forgé l’esthétique de cette ancienne bergerie cédée au Parc au milieu des années 1960.Le nouveau bâtiment, référence à l’architecture militaire savoyarde, s’intègre dans le prolongement de la moraine pour se protéger du souffle de l’avalanche pouvant survenir depuis le col situé sous les rochers de Chasseforêt. Réalisée sur deux niveaux, cette extension est calée en contrebas des bâtiments existants, à une altimétrie qui respecte la pente naturelle du cordon morainique et forme un socle semi-enterré pour le refuge existant. Prenez le temps d'une halte au refuge, dans la grande salle panoramique, confortablement installé et accompagné d'une bonne bière des guides.
Informations complémentaires


kilomètre 48,74
latitude 45.3191
altitude 2304 m
longitude 6.79317
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Lagopède alpin

Point d'intérêt naturel
Le lagopède alpin est un oiseau de la famille des Galliformes.On le nomme aussi perdrix des neiges du fait de son changement de couleur de plumage en hiver où il devient tout blanc.Espèce arctico-alpine ou relique glaciaire, le lagopède est très endurant au froid et à l'altitude. Il ne vole que très rarement et peut être observé se déplaçant à petits pas précipités au sol. En été son plumage se transforme en un camaïeu de bruns, le rendant ainsi très discret dans les rochers qu'il affectionne.
Informations complémentaires


kilomètre 56,53
latitude 45.2742
altitude 2423 m
longitude 6.76847
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Commerce des pains de glace au glacier du Coin du Govard

Lieu historique
Autrefois, les habitants de la commune de Sollières-Sardières montaient très tôt le matin, l'été, au Glacier du Coin du Govard, munis d'une scie à lame longue et étroite. Ils découpaient alors des blocs qu'ils recouvraient de toile de jute et de paille. Ils les redescendaient ensuite par ce sentier, au moyen de traineaux, carrioles puis voitures. Au départ de la gare de Modane, les pains de glace rejoignaient les restaurants, hôtels et cafés des grandes villes, pour conserver frais les denrées alimentaires. Rappelons que le premier réfrigérateur a été inventé en 1920 aux Etats-Unis !
Informations complémentaires


kilomètre 56,78
latitude 45.2786
altitude 2700 m
longitude 6.76504
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Alpage de la Loza

Lieux d'intérêt divers
C'est un troupeau de moutons du village de Sollières qui a ses quartiers d'été sur l'alpage de la Loza. Depuis le retour du loup et pour favoriser le gardiennage, un chalet en bois a été construit et abrite le berger qui assure ainsi une présence quotidienne. Dominé par la Dent Parrachée, l'alpage de la Loza bénéficie d'un contrat entre l'éleveur, la chambre d'agriculture et le Parc pour mener des mesures agro-environnementales conciliant pastoralisme et protection d'espèces.
Informations complémentaires


kilomètre 57,33
latitude 45.2694
altitude 2359 m
longitude 6.77567
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L'aigle royal

Point d'intérêt naturel
Si vous voulez observer un aigle royal (Aquila chrysaetos), il faut écouter les marmottes. Ces rongeurs constituent 80 % de son alimentation pendant l'été. Quant l'aigle apparaît dans le ciel, l'alerte est donnée par un seul cri strident et puissant. Les marmottes disparaissent alors dans leurs terriers : il ne vous reste plus qu'à scruter le ciel ! L’aigle royal compte parmi les espèces rares et protégées d' Europe. Sa grande taille (2,25 m d'envergure), sa coloration sombre et ses ailes rectangulaires permettent de l’identifier aisément. Aux heures chaudes de la journée,  il tournoie régulièrement dans les airs, profitant des courants ascendants pour s’élever. En vol, les pointes de ses ailes sont bien relevées, sa queue est en forme d'éventail. Grâce à son excellente vue, l'aigle royal scrute les environs à la recherche d’une marmotte, d'un lièvre ou autre rongeur. Pour chasser, il va effectuer des accélérations proches du relief et attraper sa proie par surprise au détour d'un obstacle naturel. Le nid du rapace (appelé « aire »)  se situe souvent de l'autre côté de la vallée, dans une barre rocheuse, à une altitude inférieure au terrain de chasse pour que les proies soient faciles à ramener par gravité.
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kilomètre 58,04
latitude 45.2658
altitude 2393 m
longitude 6.76858
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Roc des Corneilles

Autre
À mi-chemin entre Loza et Turra, on découvre le roc des Corneilles, rocher en cargneule caractéristique bien pointu situé 200 m au-dessus du GR 5. Son originalité vient de ce qu'il est traversé d'une grosse brèche en forme de croissant d'où son surnom de « trou de la lune ». De là, on a une belle vue sur le Rateau d'Aussois. Si on se sent prêt, il est possible  d'y accéder en quittant le GR et en suivant la croupe herbeuse au nord du point côté 2456 m sur la carte IGN. Les fameuses Corneilles pourraient très bien être en réalité des groupes de chocards à bec jaune, oiseau typique des reliefs d'altitude au comportement grégaire et au vol acrobatique.
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kilomètre 59,21
latitude 45.2633
altitude 2649 m
longitude 6.75683
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Le chamois

Point d'intérêt naturel
De 22 à 40 kg, les chamois sont les plus petits caprinés sauvages des Alpes. Leurs cornes d'un noir ébène en forme de crochet et leur masque blanc rayé de noir permettent de les reconnaître aisément. Les chèvres et éterlous (jeunes mâles d'un an) aiment à constituer de grandes hardes. Avec un peu de chance, vous pourrez voir les petits jouer sur un névé sous l’œil attentif de leurs mères qui les rassemble en « nurserie » pour mieux en assurer la garde. En dehors de la période du rut, en novembre, les mâles solitaires restent à l’écart des hardes de femelles, de jeunes et de cabris.Nerveux et farouche, le chamois est remarquablement adapté au terrain montagnard, capable de gagner 1000 m de dénivelé en moins de quinze minutes. Il occupe des milieux variés : pentes boisés, pelouses alpines, pierriers et névés sur lesquels il se rafraîchit souvent aux heures chaudes de l’été. Ouvrez grand les yeux, sortez les jumelles, et surtout écoutez la montagne ; ce sont parfois quelques pierres qui roulent qui permettent de repérer la présence de ces animaux.
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kilomètre 59,58
latitude 45.2596
altitude 2450 m
longitude 6.75829
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Dracocéphale de Ruysch

Point d'intérêt naturel
Cette plante protégée, dont le nom commun est "Tête de Dragon", est d'un joli bleu sombre. Vivace de 10 à 30 cm de hauteur, elle fleurit en juillet-août.Cette espèce fragile est menacée : elle est régulièrement broutée par les troupeaux de moutons mais aussi étouffée par une herbe haute, la Fétuque paniculée.En partenariat avec les éleveurs locaux, le Parc national de la Vanoise met en œuvre des mesures de régénération :En année 1, les stations du Dracocéphale sont protégées du pâturage par la mise en place de filets. On parle alors de "mise en défens". Ainsi, la plante peut grainer tranquillement.En année 2, le pâturage est autorisé à condition qu'il intervienne immédiatement à la sortie du printemps. La Fétuque est ainsi affaiblie. Quant au Dracocéphale, il n'a pas encore développé ses parties aériennes à ce stade. Il échappe donc au pâturage et peut déployer, quelques mois plus tard, sa hampe florale.
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kilomètre 62,59
latitude 45.2557
altitude 2291 m
longitude 6.74385
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Le lys martagon

Point d'intérêt naturel
En juin à juillet, au sortir de la forêt, en prenant pied sur l'alpage, vous pourrez trouver une grande plante aux fleurs pourpre. Le lys martagon, espèce rare, colonise les clairières de la zone de combat. Il affectionne des prairies ni trop sèches ni trop humides dites mésophiles. Cette plante autrefois cueillie était menacée. Elle est aujourd'hui hors de danger mais demandera, comme d'autres espèces, beaucoup de respect de votre part.
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kilomètre 64,03
latitude 45.2522
altitude 2188 m
longitude 6.72974
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Vue sur le village d'Aussois

Points de vue, panorama
Vous avez déjà gravi 150 m, profitez-en pour faire une pause sur ce replat dans une épingle à gauche. Une superbe vue sur le village d'Aussois s'offre à vous. En vous aidant de la photo, vous pouvez remarquer que l'ancien village était concentré sur quelques rues. L'espace était conservé pour les prairies de fauche et pour les cultures. Ainsi, les espaces boisés occupaient peu de place sur ce versant tout entier dédié à l'agriculture.
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kilomètre 70,88
latitude 45.2425
altitude 2056 m
longitude 6.72049
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Barrages de Plan d'Amont et de Plan d'Aval

Monument & architecture
Construites entre 1945 et 1956, ces deux retenues d'eau sont intégrées au complexe hydroélectrique de la Haute-Maurienne et participent notamment au remplissage du lac de barrage du Mont-Cenis.Alimentés par les torrents de montagne, les barrages de Plan d'Amont et Plan d'Aval assurent le fonctionnement des centrales électriques de la vallée. Le barrage de Plan d'Amont est un barrage-poids en béton, de 350 m de longueur tout en alvéoles et contreforts, appuyé sur le verrou glaciaire qui obstrue la vallée. Sa retenue est de 8 000 000 m3, soit le double de celle du Plan d'Aval. Les eaux sont turbinées dans une petite centrale dite de "Plan d'Aval", cachée à son pied, au fond du talweg, avant d'être déversées dans la retenue de Plan d'Aval.
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kilomètre 71,23
latitude 45.2445
altitude 1939 m
longitude 6.72494
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Col du Barbier

Col
Après une courte portion montante, le col du Barbier nous dévoile toute la basse Maurienne, avec une vue sur les aiguilles d'Arves, mais aussi sur tous les sommets de la rives gauche de l'Arc : les Sarrazins,  le grand Argentier, la pointe de la Norma et l'aiguille de Scolette.
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kilomètre 71,29
latitude 45.2365
altitude 2297 m
longitude 6.71491
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La vallée de l'Arc

Points de vue, panorama
Arrivés au col du Barbier, un petit crochet d'une centaine de mètres vers le sud vous offrira une vue plongeante sur la Vallée de l'Arc. En face de vous, l'horizon est fermé par la chaîne frontalière d'où émerge la magnifique Aiguille de Scolette (3506 m). Vers le sud, vous distinguerez les trois dents caractéristiques des aiguilles d'Arves. Au fond de la vallée, les étranges ballons de l'ONERA, plus grande soufflerie européenne, témoignent de l'activité industrielle de la Maurienne.
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kilomètre 71,35
latitude 45.236
altitude 2308 m
longitude 6.7151
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Le bouquetin, une espèce sous haute surveillance

Point d'intérêt naturel
Le bouquetin continue d'être étudié de façon approfondie, notamment les femelles pour mieux connaître leur dynamique de reproduction. Pour cela chaque printemps, des animaux sont capturés au moyen de fusil hypodermique, équipés de boucles auriculaire et de colliers émetteurs. Les animaux capturés font également l'objet de plusieurs mesures biométriques et de prélèvement sanguin pour évaluer l'état sanitaire de la population. Une grande partie de ces captures sont réalisées sur l'alpage du Barbier, car le site est très fréquenté par l'espèce au printemps et durant tout l'hiver.
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kilomètre 71,69
latitude 45.2365
altitude 2307 m
longitude 6.71011
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Les brebis en estives

Patrimoine religieux
Vous pourrez rencontrer au cours de votre balade des brebis en estive dans les alpages. Ce pastoralisme très ancien, pour preuve les ruines en pierres encore présentes à l'Estiva, se poursuit toujours. Issues de troupeaux d'éleveurs de la vallée, ces brebis montent progressivement, depuis le village de Villarodin-Bourget en suivant l'évolution de la pousse de l'herbe.
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kilomètre 72,17
latitude 45.2358
altitude 2358 m
longitude 6.70487
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Les chalets d'alpage du barbier

Patrimoine religieux
Témoins de l'activité agricole intense qui existait il n'y a pas si longtemps, les chalets d'alpage traduisent aussi toute l'ingéniosité des paysans qui étaient obligé d'édifier leur chalet avec des matériaux locaux, principalement en pierre, car le bois n'est pas présent en altitude, recouvert d'un enduit à la chaux, et avec un toit en lauze. Ces constructions se fondent souvent dans leur environnement, comme les chalets du Barbier où les murs ont la couleur des roches locales.
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kilomètre 72,45
latitude 45.2338
altitude 2334 m
longitude 6.70258
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La perdrix bartavelle

Point d'intérêt naturel
Contrairement aux deux autres galliformes de montagne que sont le lagopède et le tétras-lyre, la perdrix bartavelle est une espèce thermophile (qui recherche la chaleur), ce qui explique sa présence sur les versants ensoleillés de la Maurienne. De la famille des faisans, elle vit surtout sur les pentes rocheuses alpines entre 1500 et 2600 m d'altitude. Barataval en provençal signifie « loquet de porte ». La perdrix bartavelle est ainsi nommée en raison de son chant rythmé, grinçant et haut perché, qui se rapproche du bruit du loquet. On dit que la perdrix Bartavelle brourit, cacabe, glousse, pirouitte ou rappelle. Les mois les plus propices pour l'entendre sont avril et mai où le mâle marque son territoire au lever du jour. Comment la reconnaître ? La perdrix bartavelle a le dos gris cendré brunâtre, le haut de la poitrine gris bleuté, le ventre roux pâle et les flancs rayés de roux, de noir et de crème. Le bec et les pattes sont rouges.La Vanoise constitue l'un des sites témoins de suivi des effectifs. 
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kilomètre 72,84
latitude 45.2347
altitude 2348 m
longitude 6.6984
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La chapelle Notre-Dame des Neiges, L'Orgère

Monument & architecture
Dans les montagnes et villages d'altitude, de nombreux édifices sont érigés en l'honneur de Notre-Dame-des-Neiges dont la dévotion remonte au Vème siècle. Ces sanctuaires étaient souvent des invitations à ne pas construire au-delà, en raison des risques d'avalanche. Presque tous les chalets de la combe de l'Orgère ont été tôt ou tard emportés par une avalanche. Cette chapelle est très ancienne, probablement antérieure au 17e siècle. Elle a servi pendant des siècles aux alpagistes du vallon, pour la célébration de la messe du dimanche.
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kilomètre 76,41
latitude 45.2273
altitude 1881 m
longitude 6.67304
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