D'AUBERIVE A GRANCEY-LE-CHATEAU
- Mis à jour le 14/10/2025
- Identifiant 2988836
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
durée / niveau
Velo route
|
distance
45,5 km
type parcours
|
|||||||||
Lieu de départ
AUBERIVE
|
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
|
Photos & vidéos (1)
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description
10h : départ à vélo pour le circuit « D'Auberive à Grancey-le-Château ». Après avoir visité l'abbaye cistercienne d'Auberive, je prends la route sillonnant la forêt pour gagner le village atypique de Grancey-le-Château. J'aperçois déjà depuis la route qui fait face au village la ceinture fortifiée de Grancey et l'église fièrement perchée... Je longe le rempart pour entrer dans le petit village, passe la porte fortifiée et décide de m'arrêter pour pique-niquer non loin du site. Je repars ensuite en poursuis mon chemin à travers la campagne haut-marnaise. Je fais un petit détour par l'étang de la Juchère à Villars-Santenoge où je me baigne et prends le soleil sur la plage aménagée.
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Téléphone : 03 25 87 67 67
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Points d'interêt (9)
A
52160 VIVEY
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CHATEAU DE VIVEY
Château
Vivey est une seigneurie qui a presque toujours appartenu à la maison de Grancey. C'est un seigneur de cette maison, François Rouxel de Médavy, frère d'un maréchal de France, qui a bâti l'actuel château au XVIIe siècle. La demeure devait lui servir de maison de plaisance, mais cet évêque de Langres y résida peu car, n'ayant pas encore pris possession de son siège, il fut nommé archevêque de Rouen.Au début du XVIIIe siècle, le château et le fief appartenaient aux Seurot, seigneurs de Vaux, Isômes et Cusey (canton de Prauthoy actuel). Ces riches bourgeois de Langres ne se rendaient à Vivey que durant la belle saison. Lors de son mariage avec Jean Léaulté (issu d'une famille de parlementaires de Dijon) le 14 octobre 1728, Rose-Gabrielle, fille de Jean Seurot et d'Anne Pillot, reçut en dot le fief de Vivey. Les jeunes mariés eurent ensemble quatorze enfants, neuf filles et cinq garçons dont un mourut en bas-âge. Etablis à Langres, les Léaulté nouèrent des alliances avec plusieurs familles de cette ville (les Guyot de St-Michel, Lallemand de Pradine, Delecey, de Marivetz, etc...).Les quatre fils de Jean Léaulté furent anoblis par un édit d'Avril 1771. Selon la coutume de l'Ancien Régime, ils joignirent à leur nom patronymique celui de leurs fiefs. Ainsi, Bernard, l'aîné, prit le nom de Léaulté de Lécourt, Louis, le second, de Léaulté de Blondefontaine, Jean-Baptiste, le troisième, de Léaulté de Grissey, comme son père. Le dernier, Jean-Christophe, garda le seul nom de Léaulté de Vivey et, plus que ses frères, il appartient à l'Histoire de Vivey (cf. « La Croix-au-Loup »).D'inspiration médiévale, le château se fait remarquer par ses deux tours aux toits coniques recouverts d'ardoises. Après la famille Grancey, plusieurs familles se sont succédées. C'est à la famille Delecey qu'appartenait la demeure à la fin du XIXe siècle. Son charme romantique a inspiré André Theuriet, membre de l'Académie française, pour son roman Raymonde. Le château revint ensuite à la comtesse Mercier qui, sans héritier, revendit le domaine en 1936.Ce n'est que quelques années plus tard que le château abrita pendant 12 ans un hôtel-restaurant, « Le Relais du Lys », qui ouvrait ses portes durant la saison estivale. C'est avec sa bonne réputation qu'il accueillait des visiteurs venant de très loin parfois, et même des visiteurs célèbres quoique incognito. On y servait des produits frais et des plats originaux teintés de nouvelle cuisine dans un cadre presque historique.Aujourd'hui, la vieille bâtisse demeure vide et la végétation reprend possession de l'endroit comme elle l'a déjà fait depuis longtemps dans les autres possessions du châtelain.Pas de visite : site privé visible uniquement de l'extérieur.
Informations complémentaires
52160 VIVEY
kilomètre
8,00
latitude
47.7342
altitude
398
m
longitude
5.06724
B
52160 CHALMESSIN
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MARAIS DE CHALMESSIN
Point d'intérêt naturel
Créée en 1993, le Marais de Chalmessin constitue un trésor naturel au milieu des bois. Ses 124 hectares, gérés par le Conservatoire d'Espaces Naturels de Champagne-Ardenne, abritent l'un des marais tufeux les plus remarquables du plateau de Langres. Depuis la dernière glaciation, il y a 8 000 ans, des conditions très particulières ont permis à cet étroit vallon de conserver une faune et une flore typiquement montagnardes. Sentier de découverte en accès libre toute l'année ou visite guidée sur demande.Pour les spécialistes de nature : La ZNIEFF constituée par le Marais de Chalmessin et par la Combe Quemaulles est très typique du plateau de Langres et est caractérisée par la richesse de sa flore et de sa faune (avec des espèces protégées, des espèces menacées et rares). Le relief est très accentué, les pentes raides orientées pour l'essentiel au nord et au sud favorisent des microclimats particuliers, avec de belles oppositions de versants. Les nombreuses sources situées vers le fond et le milieu du vallon sont considérées comme étant les sources principales de la Tille ; chargées de carbonate de calcium dissout, elles sont responsables des dépôts de tuf et à ce titre sont à l'origine de la formation du marais.La végétation :Sur le plateau se développe la chênaie-charmaie-hêtraie calcicole, sur les pentes les plus froides est localisée la hêtraie à dentaire et sur les versants les mieux exposés prospère la hêtraie sèche à Carex alba, remarquable site forestier xérophile et montagnard, avec des espèces rares comme Cephalanthera xiphophyllum et Epipactis leptochila. Certaines zones montrent des systèmes dynamiques en mosaïque où les lisières et les petites clairières sont bien développées ( de type Geranion sanguinei) qui renferment outre certaines espèces forestières citées plus haut, des espèces de lisières comme Coronilla coronata ou des espèces de pelouses comme Aster amellus, protégée en France, Limodorum abortivum, protégé à l'échelon régional. La forêt bordant les marais se rapporte pour l'essentiel à l'Aceri-Fraxinetum.La végétation des marais tufeux (en partie débroussaillés) est essentiellement herbacée, les fruticées étant limitées aux lisières et à quelques zones situées à l'aval du marais : les 3/4 de leur surface sont constituées par une cariçaie à Carex davalliana, avec des espèces végétales telles que Dactylorhiza incarnata, Schoenus ferrugineus (protégé au niveau national) et Eriophorum latifolium inscrits sur la liste rouge des végétaux de Champagne-Ardenne. Le long des ruisselets se développe une cariçaie à Carex stricta relevant des magnocariçaies et abritant une espèce rare sur le plateau de Langres, le ményanthe trèfle d'eau. Les marais sont constamment bordés par une frange de gros touradons de molinie, avec des espèces rares comme Ranunculus polyanthemoides et Ophioglossum vulgatum. Au contact des fruticées et de la moliniaie se développe une frange irrégulière de Filipendulion caractérisé par l'Aconit napel, montagnarde protégée en Champagne-Ardenne, abritant le très rare Salix repens variété rosmarinifolius, également protégé. Les marais sont bordés de façon plus ou moins continue par une saulaie à saule cendré et saule pourpre comportant une fougère rare, le thélyptéride des marais.La faune :Les pelouses occupent aujourd'hui une surface minuscule en comparaison avec leur étendue au début du siècle et elles étaient plus ou moins envahies de broussailles : ce secteur est géré par pâturage et un suivi scientifique est en cours. Elles sont encore bien pourvues en espèces intéressantes comme Carex ornithopoda, Viola rupestris et Deschampsia media, espèce en voie de régression car liée aux zones dénudées et piétinées. L'étude de l'avifaune fait apparaître la richesse du site par le grand nombre d'espèces recensées et révèle son importance pour la nidification et les haltes migratoires de nombreuses espèces : le marais n'est fréquenté régulièrement que par quelques espèces insectivores pour l'essentiel qui viennent s'y nourrir, notamment pouillots, accenteurs et mésanges. La lisière est le milieu le plus fréquenté et accueille à la fois des espèces forestières et des espèces de milieu plus bocager. La forêt est également bien fréquentée.Sur les parties humides du marais se rencontrent, entre autres, la musaraigne aquatique protégée en France et inscrite sur la liste rouge des mammifères de Champagne-Ardenne. Onze chauve-souris, toutes protégées ont été notées dont le murin à moustaches, le murin de Daubenton, la pipistrelle, la Barbastelle et le Grand Rhinolophe. Plusieurs ensembles de terriers de blaireaux, espèce de la liste rouge régionale se remarquent dans la Combe Roire. Chevreuils, cerfs (uniquement de passage) et sangliers sont moyennement bien représentés, avec néanmoins une bonne fréquentation du marais.Sept espèces de batraciens et trois espèces de reptiles ont été observées surtout aux abords et dans le marais : la salamandre tachetée (qui se reproduit dans les vasques de tufs du marais de pente), la grenouille rousse, les crapauds commun et accoucheur (deux étant inscrits sur la liste rouge de Champagne-Ardenne). Le lézard vivipare est étroitement lié au marais et aux berges humides des ruisseaux, très rare en Haute-Marne, il n'y est signalé que dans quelques sites du plateau de Langres et des forêts du Der.L'entomofaune du secteur est particulièrement bien représentée et diversifiée avec 4 espèces protégées et 25 espèces menacées et rares, une partie de celle-ci ayant la même tonalité biogéographique qu'une partie de la flore : les libellules comportent notamment une espèce protégée au niveau national et international (convention de Berne et Directive habitats), l'agrion de Mercure, en déclin dans toute l'Europe et inscrit sur la liste rouge française, ainsi que le cordulégastre bidenté, rare en France (considérée comme une indicatrice de l'étage montagnard) et fortement menacée par la destruction de ses biotopes, le cordulégastre de Bolton, un peu moins menacé, Somatochlora flavomaculata, menacée en Europe, observée au-dessus des ruisselets et petites vasques qui parcourent le marais (ce type d'habitat est assez exceptionnel et semble être une particularité locale). Ces Odonates font partie de la liste rouge des insectes de Champagne-Ardenne. Les criquets se localisent pour l'essentiel dans le marais avec notamment Conocephalus dorsalis, Chrysochraon brachyptera et Chorthippus montanus, dans les prairies avec Omocestus viridulus, Metrioptera brachyptera et Mecostethus grossus très abondant et fortement consommé par les blaireaux. Soixante-cinq espèces différentes de papillons diurnes ont été observées dans le secteur, alors que la région recèle potentiellement 95 espèces de Rhopalocères, ce qui montre la très grande richesse du site avec notamment pour le marais trois papillons protégés, la bacchante (périphérie boisée du marais), le damier de la succise et le fadet des tourbières ou daphnis qui est une des espèces les plus menacées en France, inscrite sur la liste rouge française en tant qu'espèce en danger.Mis à part une petite tendance à la dynamique naturelle de certaines parties du site, il est en très bon état de conservation et constitue l'un des sites botaniques haut-marnais les plus remarquables (en 1980, il est classé parmi les 10 sites d'intérêt national retenus pour le département).Visite guidée pour les groupes possible sur demande au Conservatoire d'Espaces Naturels de Champagne-Ardenne.
Informations complémentaires
52160 CHALMESSIN
kilomètre
12,14
latitude
47.7148
altitude
391
m
longitude
5.08186
C
52160 VILLEMERVRY
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EGLISE NOTRE-DAME-DE-L'ASSOMPTION DE VILLEMERVRY
Château
Autrefois succursale de celle de Grancey-le-Château, elle a été érigée en 1803 en paroisse curiale avec Villemoron comme succursale. Mais revenue peu après dans son état initial, elle est devenue simple succursale de Lamargelle jusqu’en 1869, avant de devenir la succursale de Villemoron. Cette église isolée à clocher-porche a fière allure, semble avoir été bâtie dans la seconde moitié du XIIe siècle. Une légende affirme qu’à l’époque où on la construisit, le seigneur local, craignant que la flèche de l’église dépassât son habitation, s’opposa à la construction de cette église, mais en vain… Des traces d’arrachage de murs sur le flanc nord, suggèrent l’existence d’une ancienne chapelle, qui a peut-être été prévue mais non réalisée, puisqu’il n’y a pas de porte en cet endroit. Seules les travées du porche et du choeur à chevet plat sont voûtées d’arêtes. On pénètre dans la nef par un portail d’origine mouluré surmonté d’un simple bandeau. La nef, actuellement plafonnée, semble avoir eu autrefois une voûte lambrissée en carène. Les fenêtres, toutes au sud, ont probablement été agrandies en plein-cintre au cours du XVIIIe siècle, lors de la campagne de changement de plafond. Cette église a été nettoyée et restaurée en 2012 par l’association « Vals des Tilles Patrimoine » aidée par la municipalité. A l’occasion de cette restauration , le retable qui était autrefois placé sur l’autel majeur, a été déplacé sur la gauche pour permettre la réouverture des fenêtres du choeur. Au centre du retable, on remarquera particulièrement le tableau qui est une copie d’une l’oeuvre attribuée à l’atelier de Raphaël : « La Vierge à la Promenade ». Au cours du nettoyage des murs de la nef, ont été mis à jour au nord des fragments de peintures murales non datables. Enfin, afin de rendre cette église opérationnelle, 64 chaises ont été acheté par souscription par l’association « Vals des Tilles Patrimoine ». Eglise inscrite sur l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques le 1er février 1929.
Informations complémentaires
52160 VILLEMERVRY
kilomètre
15,44
latitude
47.6792
altitude
368
m
longitude
5.06547
D
52160 POINSON-LES-GRANCEY
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EGLISE SAINT-LEGER DE POINSON-LES-GRANCEY
Château
L'église de Poinson-lès-Grancey était le siège d'une cure à la nomination de l'évêque de Langres avec Poinsenot, Lamargelle, Santenoge et Neuvelle-les-Grancey pour succursales. Les dîmes du lieu appartenaient en grande partie à l'abbaye d'Auberive. L'église Saint-Léger possède un choeur et un clocher qui pourraient remonter à la seconde moitié du 12e siècle. La chapelle sud fut appliquée contre la travée du clocher vers le 16e siècle et devait servir de chapelle seigneuriale à la famille Du Lyon qui posséda la seigneurie à partir de cette époque. La nef n'a pas de caractères assez affirmés pour déterminer sa date de construction. En 1865, l'architecte Didier Deblut dressa des plans pour le rehaussement des murs de cette dernière, la construction des ses voûtes, des contreforts et le percement des deux fenêtres nord.
Informations complémentaires
52160 POINSON-LES-GRANCEY
kilomètre
25,45
latitude
47.7089
altitude
429
m
longitude
4.98661
E
52160 SANTENOGE
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DIEU DE PITIE A SANTENOGE
Monument & architecture
Le Dieu de pitié est une statue située dans une niche à l'entrée du village. Elle représente le Christ assis, les poignets liés et couronné d'épines à peu près de la grandeur naturelle d'un homme de petite taille. Ce monument fut érigé à la dévotion de Jean Labbé, tailleur de pierre du village, en face de sa maison vers 1830 environ. La statue, plus ancienne, daterait du XVIe siècle et aurait été cachée dans le grenier de la maison voisine peut-être sous la Révolution.
Informations complémentaires
52160 SANTENOGE
kilomètre
29,60
latitude
47.7388
altitude
374
m
longitude
4.99528
F
52160 VILLARS-MONTROYER
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EGLISE NOTRE-DAME-DE-L'ASSOMPTION DE VILLARS-MONTROYER
Château
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption est un édifice homogène construit au 13e siècle. Elle comporte une nef est à vaisseau unique de deux travées, une tour - clocher couronnée d'un toit en pavillon couvert en tuile plate, un choeur terminé par un chevet plat. L'église de Villars-Montroyer est inscrite sur l'Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis le 30 octobre 1925.
Informations complémentaires
52160 VILLARS-MONTROYER
kilomètre
31,35
latitude
47.7502
altitude
362
m
longitude
4.97805
G
52160 COLMIER-LE-HAUT
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EGLISE SAINTE-MADELEINE DE COLMIER-LE-HAUT
Château
L'église de Colmier-le-Haut était autrefois sous le vocable de Saint-Bénigne. La construction de sa tour-porche, qui date de 1830, a nécessité la destruction de l'ancien clocher qui était établi sur le choeur. La nef de l'ancien édifice datait du 12e ou 13e siècle et ses voûtes avaient été remplacées par un plafond en 1676. L'ensemble de l'édifice fut reconstruit, en gardant le clocher de 1830,en utilisant des matériaux locaux : tuf de Rolampont, sables des carrières de Colmier-le-Bas, Colmier-le-Haut ou de Germaines, moellons des carrières de Chamblain ou Changey .... Les travaux se terminent en 1881, mais trois ans plus tard des dégradations, qui engendrèrent une nouvelle phase de travaux, se produisirent à l'extérieur de l'église (problème au niveau des fondations et l'évacuation des eaux). L'église comporte une nef à trois vaisseaux de cinq travées, la tour-porche de 1830, située dans l'angle sud-ouest, couronnée d'une flèche polygonale couverte en ardoise, un choeur d'une travée droite suivie par une abside à trois pans.
Informations complémentaires
52160 COLMIER-LE-HAUT
kilomètre
35,64
latitude
47.7805
altitude
423
m
longitude
4.96589
H
52160 GERMAINES
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LA TOUR CARRE DE GERMAINES
Château
Accolée au vestige du vieux château, la tour carré domine les maisons anciennes du village.|Pas de visite : site privée visible uniquement de l'extérieur.
Informations complémentaires
52160 GERMAINES
kilomètre
41,51
latitude
47.8004
altitude
361
m
longitude
5.03127
I
52160 AUBERIVE
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ABBAYE D'AUBERIVE
Château
Ancienne et riche abbaye cistercienne, Auberive fut fondée en 1135 sur les bords de l'Aube par Saint Bernard et l'évêque de Langres, Villain d'Aigrement, avec l'appui des seigneurs environnants (Les Grancey, les Champlitte, les Rochetaillée et leurs vassaux).Le monastère, particulièrement prospère au XIIlème siècle, subit les ravages de la guerre de Cent Ans, des guerres de Religion au XVIe siècle, puis de la guerre de Trente Ans (XVIIe siècle) puisque situé à la frontière champenoise et bourguignonne. Les vieux bâtiments furent reconstruits au XVIIIe siècle dans le grand mouvement de reconstruction des abbayes initié par St Denis à Paris. Au XIXe siècle, elle devient maison centrale pour femme. Sa plus célèbre prisonnière fut Louise Michel, incarcérée 20 mois après les événements de la Commune.Visite commentée historique gratuite « Abbaye d’Auberive » disponible sur notre site internet (page info pratiques, application de visite). Nos audioguides proposent la même visite commentée (2 € par audioguide) et sont disponibles en (FR, GB, D, NL).
Informations complémentaires
52160 AUBERIVE
kilomètre
45,28
latitude
47.789
altitude
333
m
longitude
5.06071
Note moyenne