IGNrando' s'arrête mais l'aventure continue   

IGNrando’ s’arrête mais l’aventure continue ! 

 

À partir du 20 novembre 2025, le site IGNrando’ fermera ses portes et l’application mobile IGNrando' deviendra WeTrek, désormais portée exclusivement par l’éditeur Ubicarta. Consultez notre FAQ pour tout savoir sur le transfert et la récupération de vos données, et vos abonnements.

Nous vous remercions chaleureusement d’avoir contribué à faire d’IGNrando’ un espace unique de partage autour des activités de plein air. L’IGN vous invite à poursuivre l’aventure sur l'application Cartes IGN.   

 

CIRCUIT DE DECOUVERTE DE COHONS

  • Mis à jour le 14/10/2025
  • Identifiant 2988854
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Autre
Echelle  
durée / niveau
Rando pédestre
02h - Très facile
distance
3,3 km
type parcours
altitude
426 m 92 m 355 m -92 m
Voir le profil altimétrique »
Lieu de départ
COHONS
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol

Photos & vidéos (1)

description

... Cohons ne rentre véritablement dans l'histoire qu'au XIIe siècle, avec une seigneurie laïque déjà divisée entre les maisons de Montsaugeon et de Tilchâtel. Vers la fin du XIIe siècle, Guy de Tilchâtel vend tous ses droits et possessions au Chapitre de Langres, qui dotera en 1201 l'hôpital Saint-Laurent de Langres nouvellement fondé sur ces biens récemment acquis à Cohons et à Vaux-sous-Aubigny. De même, les descendants de la maison de Montsaugeon, soit laïcs, soit comme chanoines de Langres ou doyen du Chapitre, font des dons ou fondent en ce lieu leurs anniversaires, renforçant ainsi les possessions du même Chapitre à Cohons... Visite disponible sur l'application gratuite Id-Vizit ! Véritable compagnon personnel de voyage, Id-Vizit vous propose des parcours de visites personnalisés, ludiques et interactifs !+ d'info sur Id-Vizit

Contact

Email : langres@attractivite52.fr
Téléphone : 03 25 87 67 67

Points d'interêt (7)

A

CHATEAU DE LA SOURCE A COHONS

Château
En haut de la rue, avant de bifurquer à gauche dans la Rue du Mont, remarquer dans le haut de la pente légèrement sur la droite, une grosse maison bourgeoise carrée avec perron et lucarnes de toit d'allure citadine, dont la propriété est entourée de hauts murs. C'est une demeure construite en 1800 par le chanoine Cardeur de Langres, qui en fait sa résidence secondaire à la belle saison. Plus connue sous l'appellation de « Château de la Source », cette demeure qui est remarquablement située au dessus des jardins du village, a été successivement la propriété des familles langroises Arnoud, Renard, Metman, avant d'appartenir aux familles Clère puis Tartarin de Cohons.Pas de visite : site privé visible uniquement de l'extérieur.
Informations complémentaires

52600 COHONS
kilomètre 0,51
latitude 47.7897
altitude 404 m
longitude 5.3432
Voir la fiche du point d'intéret »
B

LINTEAUX DU CHATEAU DE COHONS

Château
Au fond de la Rue du Mont, au niveau de la croisée, on observera à gauche au N°6 au fond d'une cour, un ancien linteau, et de l'autre côté de la rue, deux autres linteaux superposés. Ils proviendraient, selon la tradition, de l'ancienne maison-forte de l'évêque de Langres. Mais la date de 1560 portée sur un des linteaux est bien postérieure à la disparition de ce « château » en 1432, ce qui rend la tradition non fondée. Au N°6, le linteau présente un cartouche orné de trois rameaux de chêne en fruits posés successivement sur deux cuirs, aux initiales L et B, armoiries possibles de la famille De Darnay. En face dans la rue, on peut voir un écusson posé sur un cuir daté de 1560 aux initiales O,M et G,B (ou l'inverse), surmontant trois coquilles saint-Jacques telles qu'elles sont représentées par exemple, dans les armoiries de la famille De Belmont. A côté, est un autre grand cartouche sur cuir, portant l'inscription « Dominus virtutum nobiscu(s) susceptor noster den(is) Jaco(bus) ». Cette phrase, qui a longtemps intrigué les chercheurs, est tirée du refrain du psaume « Dieu est avec nous » n°46 (45) de la Bible, et signifie littéralement « Le seigneur des puissances est avec nous ; notre soutien, c'est le dieu de Jacob ».|Au vu de leur message religieux, il semble que ces linteaux puissent provenir, soit de l'une des anciennes cure présentes autour de l'église, soit plutôt de l'église elle-même, reconstruite en plusieurs phases après les guerres de la fin du Moyen-âge, son portail actuel n'étant que du XVIIe siècle.Pas de visite : site privé visible uniquement de l'extérieur.
Informations complémentaires

52600 COHONS
kilomètre 0,66
latitude 47.789
altitude 397 m
longitude 5.34238
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C

LA FONTAINE SAINTE-MARIE DE COHONS

Lieu historique
Des 25 sources qui traversent le village, la Fontaine Sainte-Marie-du-Mont, est sans doute la plus importante de toutes. Mais c'est surtout la plus visible grâce à sa fontaine monumentale en forme d'oratoire, abritant une source abondante sourdant au pied des falaises calcaires sur les marnes liasiques. Déjà signalée en février 1236 sous le nom de "fontem qui dicitur fons sancte Marie" dans une donation du curé "Mauricius" de Cohons au prieuré de Saints-Geosmes, la Fontaine Sainte-Marie a toujours été réputée pour les vertus thérapeutiques de ses eaux (dont on a perdu jusqu'à l'usage), ainsi que pour ses vertus prophylactiques. |Les eaux de la fontaine Sainte-Marie-du-Mont, qui courent librement dans le coteau, alimentaient jadis les fossés de l'éphémère maison-forte de Rénier de Nogent au XIIIe siècle. En s'écoulant au milieu du village, ces eaux qui ont toujours été d'une utilisation à la fois pratique et ludique pour tous, ont longtemps été une source de conflits et de procès aussi anciens que nombreux, tant l'eau de cette fontaine était convoitée. Mais étant la propriété de tous, l'eau doit encore aujourd'hui pouvoir s'écouler librement, son parcours n'admettant aucune retenue. |Le monument de la fontaine, en pierre de Cohons, daté de 1778 (probable restauration), présente une voûte en plein cintre sous laquelle sourd l'eau, qui va se jeter après collectage, dans un premier bassin où venaient boire les bêtes, puis dans un plus grand ayant pour fonction de servir de lavoir à ciel ouvert. Au dessus de la voûte, un édicule en forme d'oratoire surmonté par une toiture à deux pans surmontée d'une croix en pierre, présente trois grandes niches en plein cintre. La première au centre, abrite une grande statue de la Vierge Marie. A sa gauche, les photos anciennes nous montrent une statue de saint Anne portant Marie enfant, et à droite un saint Laurent, là où on attendrait plutôt un saint Joseph, l'ensemble ayant peut-être symbolisé l'exemple de la Sainte Famille. La statue de saint Laurent ayant été cassée il y a plusieurs décennies, fut alors remplacée par une statue du Sacré-Coeur en bronze (provenant, dit-on, de la maison des soeurs du village), peinte en ton pierre dans les années 1980. Mais rangée dans l'église, cette dernière a été remplacée à l'occasion de la rénovation de la fontaine en l'an 2000, par une copie de sainte Anne réalisée par l'entreprise Grépin tailleurs de pierres à Cusey, sur le modèle d'une autre statue de sainte Anne présente dans la chapelle du même nom à Buzon.|Enfin, un fragment ancien de trinité du XVe siècle disposé dans le mur à droite de la fontaine, était peut-être placé anciennement à la place de la croix sommitale que l'on peut voir aujourd'hui.|En l'an 2000, l'ensemble de la fontaine, qui avait accusé le poids des années et des aléas climatiques, bénéficia d'un toilettage en profondeur dans le cadre de l'opération « Pierres et Terroir ». L'ensemble de la façade de l'édicule et le pourtour du lavoir subirent à cette occasion un rejointoiement à la chaux hydraulique naturelle et un nettoyage, après démontage des pavés puis décaissement, afin de réaliser un support béton en sous-oeuvre. |L'ensemble de la « Fontaine Sainte-Marie » de Cohons avec la fontaine, le lavoir et l'abreuvoir, est classé à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le 24 décembre 1986.
Informations complémentaires

52600 COHONS
kilomètre 0,72
latitude 47.7888
altitude 399 m
longitude 5.34169
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D

LES JARDINS SUSPENDUS : LE CLOS DE LA ROCHE

Parcs et jardins
Les terrasses qui s’étagent à flanc de coteau au-dessus du village, permettaient dès leur création durant la seconde moitié du 18e, de cultiver légumes, vignes et fruits. Leurs spectaculaires murs de soutènement en pierre sèche atteignent parfois 6 m de haut. Un escargot monumental de pierre domine l’ensemble. Le jardin abrite un potager, un verger de fruits blancs, une vigne conservatoire et des treillages à la façon des 17e, 18e et 19e siècle. Deux cèdres du Liban plantés vers 1828 déploient leur ramure au-dessus des terrasses, ils sont classés Ensemble Arboré Remarquable. Visite guidée : les samedi et dimanche à 14h30 et 16h30 (du 15 avril au 15 octobre).Arrêt de la billetterie 1 heure avant la fermeture du site.Week-ends festifs: Le village de Cohons et ses jardins sont aussi un haut lieu culturel avec de nombreux évènements tout au long de l'année. Spectacles, théâtre de jardin, visites théâtralisées, jardins des lumières, cinesoupe, visites gourmandes, fête, land'art...Ateliers en été.- Initiation à la construction, chasse au trésor, jardinage, bricolage nature, jeu de piste famille, stage bien-être adultes ...Goûter offert aux enfants en fin d'atelier !Détente : - Le manège déjanté : éco-manège à propulsion parentale- Terrasse des savoirs avec ruche pédagogique,- Jardin des simples, potager permacole, coin lecture- Détente et parcours aventure.- Le potager du livre, coin lecture- Espace détente : buvette, petite restauration lors des manifestations ou pour les groupes sur réservation.Facilités :Parking, toilettes, billetterie, boutique. - La boutique
Informations complémentaires
14 rue Candrée Route de Bourg
52600 COHONS
kilomètre 0,72
latitude 47.7894
altitude 406 m
longitude 5.34186
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E

LES JARDINS SUSPENDUS : PARC DES ESCARGOTS

Parcs et jardins
Ce parc pittoresque, édifié à partir de 1808, possède deux monumentaux belvédères de pierre sèche dont la forme et la spirale qui permet de le gravir ont donné leur nom à ces fabriques emblématiques des Jardins suspendus de Cohons. Le premier, quadrangulaire, évoque un Mastaba, sépulture de l’Égypte ancienne, tandis que le second, circulaire, domine le paysage de ses 5 m de hauteur pour 16 m de diamètre. Facilités : Parking à l’entrée du Clos de la Roche (à 300 m). Accueil, renseignements, boutique. Le village de Cohons et ses jardins sont aussi un haut lieu culturel avec de nombreux évènements tout au long de l'année.
Informations complémentaires
Route de Bourg
52200 COHONS
kilomètre 1,32
latitude 47.7866
altitude 428 m
longitude 5.33524
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F

EGLISE NOTRE-DAME-DE-LA-NATIVITE DE COHONS

Château
Mal connue jusqu'alors, l'église de Cohons qui occupe vraisemblablement l'emplacement de l'ancien oratoire mérovingien du lieu, ne conserve de l'époque de sa reconstruction vers le milieu du XIIe siècle que les piliers carrés chanfreinés et massifs de la nef, supportant jusqu'en 1744 les arcs doubleaux d'une voûte primitive en berceau (disparue après cette date), alors que les collatéraux étaient planchetés. Un chapiteau travaillé au trépan visible en réemploi dans la Rue Candrée provenant très probablement de l'église, confirme cette datation, qu'appuie la présence du premier curé connu, Guichard, dès 1193.|Ravagée tout au long des guerres de la fin du Moyen-âge, le choeur a été refait en moellons très probablement au cours du XVe siècle sur croisées d'ogives, avec l'ensemble du transept aux bras peu saillants, et le portail dans le siècle suivant.|Mais le portail fut de nouveau réédifié dans le courant du XVIIe siècle en tour-porche (sans doute après les évènements de 1643), comme l'atteste son style classique, avec porte en plein-cintre surmontée par un entablement engagé que supportent deux colonnes toscanes posées sur dés, le tout surmonté par une vierge dans une niche moulurée encadrée par deux esses, qu'avait rapportée le curé Anatole Barrillot (1813-1817) après la Révolution. A gauche du portail, l'accès aux combles et aux cloches se fait par une tourelle extérieure hors-oeuvre conservée sans sa toiture d'origine, abritant un escalier à vis du XVIe siècle, qui pouvait jouxter un portail de la même époque dont proviennent probablement les linteaux vus précédemment.|Au XVIIIe siècle, l'ensemble de l'église subit de gros travaux, sous l'impulsion de l'architecte langrois Claude Forgeot, au service des chanoines. En 1744 dans la nef couverte de laves, les piliers, la voûte et la charpente sont déposés, puis les piliers sont remontés et la voûte remplacée par une autre en tuf local maçonnée en plein cintre, mais sans les arcs doubleaux ; de même, est refaite la voûte de la porte d'entrée dont les vantaux sont remplacés, les murs rejointoyés et la toiture du clocher en arciens refaite ; deux ans plus tard, les murs du choeur et ses contreforts extérieurs en petits moellons sont entièrement reconstruits en pierres de taille, la voûte étant seulement consolidée et reblanchie. Enfin en 1748, c'est toute la partie avant-choeur et l'arc triomphal qui sont reconstruits jusqu'à l'entrée des chapelles latérales, la voûte est réalisée en tuf et l'ensemble est blanchi. Ces travaux de reconstruction totale de l'église, confèrent à l'ensemble de l'édifice une grande harmonie.|Dans le choeur à chevet plat, l'autel majeur en stuc avec table d'autel en calcaire, est surmonté d'un tabernacle et d'une exposition en bois formée d'un assemblage de deux statuettes d'angelots, d'une gloire et d'une couronne formant dais. Le tout est encadré et surmonté par un retable monumental en stuc avec colonnettes encadrant la fenêtre axiale, que vient couronner une gloire sur fond de nuages parsemés de têtes d'angelots ailées. L'ensemble du XVIIIe siècle qui provient d'un atelier langrois, est classé depuis 1918.|Parmi les objets mobiliers, on voit de chaque côté de l'autel majeur une Vierge à l'enfant et un saint Didier sans attributs en bois polychrome du XVIIIe siècle, classées en 1918 ; on peut encore voir sur un pilier à droite dans la nef, une plaque de cuivre (49 x 36 cm) réalisée en mars 1748 par Jean (Baptiste) Gillot, Maître Fondeur à Langres, commémorant la fondation faite par Jean Drevon, marchand-libraire à Langres et Anne Diderot son épouse, de l'exposition et la bénédiction du Saint Sacrement le jour de la fête paroissiale de Cohons.|L'église de Cohons, desservie par les religieux du Chapitre de Langres qui percevaient seuls la dîme, vit défiler des chanoines prestigieux comme desservants de la paroisse : citons à titre d'exemple Guichard, doyen du Môge et premier curé connu de Cohons (en 1193) ; Christophe Roussat (1555-1575), oncle de Jehan Roussat maire de Langres ; Jean Thabourot archidiacre du Barrois et auteur de l'Orchesographie (en 1595) ; enfin Anatole Barillot, professeur puis directeur du grand séminaire de Langres (1813-1817). Jusqu'au XIXe siècle, Cohons avait pour annexe Percey-le-Pautel, qui venait enterrer ses défunts au cimetière par le « Chemin des morts » reliant les deux communes.
Informations complémentaires

52600 COHONS
kilomètre 2,14
latitude 47.7884
altitude 398 m
longitude 5.34244
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G

LAVOIR DE COHONS

Monument & architecture
Petit lavoir à ciel ouvert ne disposant que d'un seul bassin ou les lavandières venaient laver leur linge à genoux.
Informations complémentaires

52600 COHONS
kilomètre 2,60
latitude 47.7862
altitude 357 m
longitude 5.34701
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