Les écrivains combattants
- Thématique Tourisme de mémoire
- Mis à jour le 04/03/2016
- Identifiant 43746
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Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
durée / niveau
Velo route
|
distance
47,1 km
type parcours
Boucle
|
|||||||||
Lieu de départ
57 r du rattentout
55320 Dieue-sur-Meuse |
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
Bitume
|
Photos & vidéos (3)
description
Maurice Genevoix, Alain Fournier mais aussi Louis Pergault ont combattu ici lors de la première guerre mondiale. Seul le premier en est revenu. Il a relaté ses combats dans l'ouvrage "Ceux de 14".Alain Fournier, auteur du Grand Maulnes, a trouvé la mort dès le 22 septembre 1914. Son corps ainsi que ceux de 20 de ses compagnons ont été retrouvé seulement le 2 mai 1991Louis Pergaud, auteur de De Goupil à Margot, prix Goncourt 1910, et de La Guerre des boutons, paru en 1912. Il a été porté disparu le 8 avril 1915 dans la plaine dominée par le Point X.
Hébergements à proximité
infos parcours (1)
1
Point de départ
Informations complémentaires
57 rue du rattentout
55320 Dieue-sur-Meuse
55320 Dieue-sur-Meuse
kilomètre
0,01
latitude
49.0682
altitude
210
m
longitude
5.43231
Points d'interêt (17)
A
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Eglise de Génicourt
Eglise, Abbaye, monastère
Tout, dans la belle église de Génicourt, l’architecture, le mobilier, les vitraux, le décor peint, donne encore une idée fort suggestive d’un ensemble paroissial de qualité de l’époque de la Renaissance, marquée en Lorraine par Ligier Richier.
Cette église gothique flamboyant a été construite à l’initiative de Philippe de Norroy et de son épouse, Nicole d’Apremont, seigneurs de Génicourt.
A l'intérieur de l'église Sainte-Marie-Madeleine de Génicourt se trouve une oeuvre de Ligier Rcihier : La Vierge, ou Dame de Génicourt. Cette statue de la Vierge faisait partie à l'origine d'un Calvaire formé par la figue du Christ en croix et celle de Saint-Jean, statues toujours en place dans l'église de Génicourt-sur-Meuse.
Cette église gothique flamboyant a été construite à l’initiative de Philippe de Norroy et de son épouse, Nicole d’Apremont, seigneurs de Génicourt.
A l'intérieur de l'église Sainte-Marie-Madeleine de Génicourt se trouve une oeuvre de Ligier Rcihier : La Vierge, ou Dame de Génicourt. Cette statue de la Vierge faisait partie à l'origine d'un Calvaire formé par la figue du Christ en croix et celle de Saint-Jean, statues toujours en place dans l'église de Génicourt-sur-Meuse.
Informations complémentaires
1 r de l eglise
55320 Génicourt-sur-Meuse
55320 Génicourt-sur-Meuse
kilomètre
3,89
latitude
49.0362
altitude
226
m
longitude
5.438
B
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Génicourt sur Meuse
Eglise, Abbaye, monastère
Ce village doit son origine à un établissement rural de la période gallo-romaine. Par une charte datée de 1047, l’évêque de Verdun, Thierry le Grand, abandonna à la collégiale de la Madeleine tout ce qu’il possédait à Genesii curti : la collégiale resta en possession de l’église et des biens de la cure jusque 1790. Dès le 11° siècle, l’église - mère de Génicourt desservait trois paroisses.
On constate au 12° siècle l’existence d’un petit fief avec maison forte, sous la suzeraineté de l’évêque de Verdun. Ce fief passa dans la suite en presque totalité dans la mouvance des Ducs de Bar qui, de plus, firent accepter la garde de Bar à la
«communautei des manans et habitants du village de Géneicourt», bien que celle-ci fut sous la haute seigneurie des évêques de Verdun. Le Duc, en revanche, s’engageait à protéger les habitants contre toute agression.
Vers l’an 1400, la seigneurerie appartint à une branche collatérale de la puissante famille d’Apremont. Plus tard à celle des Gournay(milieu du 16° siècle) , puis en 1619, à Nicolas Jappin,commissaire général des poudres et salpêtres de France, qui fit construire en 1623 le palais devenu par la suite l’hôtel de ville de Verdun. Les Seigneurs au 18° siècle furent les Vapy (1715), les du Rouvrois(1731), et enfin les Chastel de Villemont et d’Ambly (1757).
Le dernier châtelain , le Comte d’Ambly, (qu’il ne faut pas confondre de même nom au village d’Ambly), quitta le village de Génicourt en 1792: il devint Maréchal de camp au service de la Prusse et mourut en 1818 dans la Silésie.
Indépendamment de l’ancien château, en partie démoli, mais dont les remparts sont encore visibles, on remarque à Génicourt l’église, classée monument historique.
On constate au 12° siècle l’existence d’un petit fief avec maison forte, sous la suzeraineté de l’évêque de Verdun. Ce fief passa dans la suite en presque totalité dans la mouvance des Ducs de Bar qui, de plus, firent accepter la garde de Bar à la
«communautei des manans et habitants du village de Géneicourt», bien que celle-ci fut sous la haute seigneurie des évêques de Verdun. Le Duc, en revanche, s’engageait à protéger les habitants contre toute agression.
Vers l’an 1400, la seigneurerie appartint à une branche collatérale de la puissante famille d’Apremont. Plus tard à celle des Gournay(milieu du 16° siècle) , puis en 1619, à Nicolas Jappin,commissaire général des poudres et salpêtres de France, qui fit construire en 1623 le palais devenu par la suite l’hôtel de ville de Verdun. Les Seigneurs au 18° siècle furent les Vapy (1715), les du Rouvrois(1731), et enfin les Chastel de Villemont et d’Ambly (1757).
Le dernier châtelain , le Comte d’Ambly, (qu’il ne faut pas confondre de même nom au village d’Ambly), quitta le village de Génicourt en 1792: il devint Maréchal de camp au service de la Prusse et mourut en 1818 dans la Silésie.
Indépendamment de l’ancien château, en partie démoli, mais dont les remparts sont encore visibles, on remarque à Génicourt l’église, classée monument historique.
Informations complémentaires
21 Route Nationale de Belfort
55320 Génicourt-sur-Meuse
55320 Génicourt-sur-Meuse
kilomètre
4,03
latitude
49.0326
altitude
212
m
longitude
5.43639
C
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Le site de la Pelouse calcaire
Réserve naturelle
Contournez le parking et suivez le balisage «croix bleue» et «rond rouge».
Tout au long du sentier, les milieux s’enchaînent sur une distance relativement courte et chacun accueille des espèces différentes et variées dont l’histoire est toujours en mouvement.
Tout au long du sentier, les milieux s’enchaînent sur une distance relativement courte et chacun accueille des espèces différentes et variées dont l’histoire est toujours en mouvement.
Informations complémentaires
D21
55320 Rupt-en-Woëvre
55320 Rupt-en-Woëvre
kilomètre
6,36
latitude
49.034
altitude
234
m
longitude
5.46802
D
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Parcours pédagogique
Parcs et jardins
Pour découvrir l'histoire géologique et écologique de la pelouse calcaire, il suffit de suivre le texte au sol comme un jeu, retrouver l'orientation du vallon grâce à une maquette simple et robuste, découvrir les fossiles sur une fresque et sur un rocher, frotter des tampons pour récupérer les dessins des animaux et des plantes, profiter de l'ambiance sur les bancs de pierre ...
Informations complémentaires
Unnamed Road
55320 Génicourt-sur-Meuse
55320 Génicourt-sur-Meuse
kilomètre
6,58
latitude
49.0371
altitude
249
m
longitude
5.46312
E
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Rupt en Woëvre
Monument & architecture
Remarquez le canon de 155 devant la mairie. Celui-ci est pourvu de « cingoli », ceinture de roues à patins articulés. D’un poids de 6,5 tonnes, ce canon est capable de tirer des obus d’une quarantaine de kilo à plus de 10 kilomètres. Celui-ci a été utilisé lors de la bataille des Eparges.
Informations complémentaires
Place Maurice Genevoix
55320 Rupt-en-Woëvre
55320 Rupt-en-Woëvre
kilomètre
8,98
latitude
49.0525
altitude
244
m
longitude
5.48963
F
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Mouilly
Lieu historique
Durant la Première Guerre mondiale, le début des combats dans la commune ont lieu le 26 septembre 1914, les tranchées sont tenues par le 132° régiment d'infanterie et le 106° régiment d'infanterie, durant la nuit le 5° bataillon subit de lourdes pertes.
En octobre 1914, le village est tenu par le 67° régiment d'infanterie.
En 1915, la ligne de front est dans la commune, tenue par le 54° régiment d'infanterie, appelé la tranchée de Calonne et la tranché du Bois Haut.Le 25 avril 1915, la 8° compagnie subit de lourdes pertes.
Le 25 avril 1915, Maurice Genevoix, blessé de trois balles, et soigné dans la commune. Il écrit : 'Dans le cimetière autour de la petite église, entre les tombes moussues, les croix rouillées, des fosses béantes attendaient vers lesquelles, deux à deux, des brancardiers transportaient les civières
En octobre 1914, le village est tenu par le 67° régiment d'infanterie.
En 1915, la ligne de front est dans la commune, tenue par le 54° régiment d'infanterie, appelé la tranchée de Calonne et la tranché du Bois Haut.Le 25 avril 1915, la 8° compagnie subit de lourdes pertes.
Le 25 avril 1915, Maurice Genevoix, blessé de trois balles, et soigné dans la commune. Il écrit : 'Dans le cimetière autour de la petite église, entre les tombes moussues, les croix rouillées, des fosses béantes attendaient vers lesquelles, deux à deux, des brancardiers transportaient les civières
Informations complémentaires
4-10 D113
55320 Mouilly
55320 Mouilly
kilomètre
13,37
latitude
49.051
altitude
296
m
longitude
5.53281
G
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Tranchée de Calonne
Lieu historique
Tranchée de Calonne : Cette route fut créée en 1786 afin de rallier Verdun au plus vite. Ainsi, de Hattonchâtel à Verdun la Tranchée de Calonne permet d'éviter tout village. Elle permet aussi de parcourir près de 25 km uniquement en forêt.
Informations complémentaires
D331
55160 Saint-Remy-la-Calonne
55160 Saint-Remy-la-Calonne
kilomètre
15,97
latitude
49.0442
altitude
373
m
longitude
5.5649
H
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La fosse d’Alain Fournier et de ses compagnons
Lieux de mémoire
C’est le 3 octobre 1886 que naquit, à la Chapelle d’Anguillon, Henri Alban Fournier. En 1907, il prend pour nom d’écrivain Alain Fournier. En 1913 paraît « Le Grand Meaulnes ».
Mobilisé le 1° août 1914, il rejoint le 2, la caserne du 288° régiment d’infanterie de Mirande (Gers).Il parvient au front le 28 août. Le 20 septembre son régiment reçoit l’ordre de prendre la Tranchée de Calonne.
Le 22, les 22°et 23° compagnies partent en mission vers Saint Rémy. La bataille s’engage dans les bois, entre les allemands et une quarantaine de français conduits par le capitaine de Grammont, le lieutenant Fournier et le sous lieutenant Imbert. Le bilan fait état d’une quinzaine de Morts, de six blessés et d’une vingtaine de rescapés.
Pendant 77 ans, ils resteront là, jusqu’à ce que les recherches de Michel Algrain permettent de découvrir leur sépulture. Ils reposent maintenant au cimetière militaire de Saint Remy la Calonne.
Mobilisé le 1° août 1914, il rejoint le 2, la caserne du 288° régiment d’infanterie de Mirande (Gers).Il parvient au front le 28 août. Le 20 septembre son régiment reçoit l’ordre de prendre la Tranchée de Calonne.
Le 22, les 22°et 23° compagnies partent en mission vers Saint Rémy. La bataille s’engage dans les bois, entre les allemands et une quarantaine de français conduits par le capitaine de Grammont, le lieutenant Fournier et le sous lieutenant Imbert. Le bilan fait état d’une quinzaine de Morts, de six blessés et d’une vingtaine de rescapés.
Pendant 77 ans, ils resteront là, jusqu’à ce que les recherches de Michel Algrain permettent de découvrir leur sépulture. Ils reposent maintenant au cimetière militaire de Saint Remy la Calonne.
Informations complémentaires
D331
55160 Dommartin-la-Montagne
55160 Dommartin-la-Montagne
kilomètre
18,17
latitude
49.028
altitude
377
m
longitude
5.58173
I
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Truffière de Saint-Rémy
Dégustation
Visites guidées de la truffière, départ à 15h :
- Démonstration du travail de chien truffier
- Dégustation de spécialités aux truffes de Lorraine
- Conseils culinaires
- Vente de truffes fraîches et de plants truffiers.
Durée de la visite : 1h30.
Nombre de places maxi : 25.
- Démonstration du travail de chien truffier
- Dégustation de spécialités aux truffes de Lorraine
- Conseils culinaires
- Vente de truffes fraîches et de plants truffiers.
Durée de la visite : 1h30.
Nombre de places maxi : 25.
Informations complémentaires
31 rue alain fournier
55160 Saint-Remy-la-Calonne
55160 Saint-Remy-la-Calonne
kilomètre
21,34
latitude
49.0461
altitude
286
m
longitude
5.60177
J
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Les Eparges
Lieux de mémoire
Maurice Genevoix est né à Decize (Nièvre), le 29 novembre 1890.
Mobilisé en 1914, il dû interrompre ses études pour rejoindre le front comme officier d’infanterie. Très grièvement blessé à proximité des Eparges, il devait tirer de l’épreuve terrible que fut la guerre des tranchées la matière des cinq volumes de Ceux de 14 : Sous Verdun (1916), Nuits de guerre (1917), Au seuil des guitounes (1918), La Boue (1921), Les Éparges (1923), œuvre qui prit place parmi les grands témoignages de la Première Guerre mondiale.
Il fut élu à l’académie française le 24 octobre 1946.
Maurice Genevoix s’est éteint le 8 septembre 1980.
Mobilisé en 1914, il dû interrompre ses études pour rejoindre le front comme officier d’infanterie. Très grièvement blessé à proximité des Eparges, il devait tirer de l’épreuve terrible que fut la guerre des tranchées la matière des cinq volumes de Ceux de 14 : Sous Verdun (1916), Nuits de guerre (1917), Au seuil des guitounes (1918), La Boue (1921), Les Éparges (1923), œuvre qui prit place parmi les grands témoignages de la Première Guerre mondiale.
Il fut élu à l’académie française le 24 octobre 1946.
Maurice Genevoix s’est éteint le 8 septembre 1980.
Informations complémentaires
2-20 D154
55160 Les Éparges
55160 Les Éparges
kilomètre
23,39
latitude
49.0645
altitude
270
m
longitude
5.59382
K
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Nécropole du Trottoir
Lieux de mémoire
Ce cimetière implanté rassemble les sépultures de combattants de la guerre de 1914-1948. C'est dans ce cimetière qui vous pourrez trouver la tombe de Robert Porchon décédé en 1915, meilleur amis de Maurice Genevoix qui l'a notamment évoqué dans ses écrits. Sa tombe est situé au 1° rang à droite.
Informations complémentaires
D203A
55160 Les Éparges
55160 Les Éparges
kilomètre
24,56
latitude
49.0658
altitude
286
m
longitude
5.60565
L
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Monument au 106° Régiment d'Infanterie
Lieux de mémoire
Cette oeuvre du sculpteur Maxime Real Del Sarte est élevée à la gloire des "Revenants du 106° R.I.". Elle se présente comme une pyramide informelle dominée par une tête humaine. Des mains décharnées, ces crânes, des croix, évoquent les souffrances de tous ceux qui ont connu les combats de cette butte sanglante. Sur le devant, un bas-relief de bronze montre une femme casquée qui soutient un soldat dans une pose qui rappelle les "pieta" anciennes.
Informations complémentaires
D203A
55160 Les Éparges
55160 Les Éparges
kilomètre
25,47
latitude
49.0627
altitude
338
m
longitude
5.60622
M
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Monument du Génie
Lieux de mémoire
En arrivant sur le sommet, on trouve tout d'abord un monument élevé à la mémoire des sapeurs qui subirent de lourdes pertes durant la guerre de mines. Un double mur semi-circulaire se développe derrière sept palplanches de béton. D'un côté, un texte rappelle la dédicace et, de l'autre, figure l'emblème du Génie.
Informations complémentaires
D203A
55160 Les Éparges
55160 Les Éparges
kilomètre
25,81
latitude
49.064
altitude
329
m
longitude
5.60972
N
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Crête des éparges et cimetière militaire du trottoir
Lieux de mémoire
Située à 22 km de Verdun, la Crête des Eparges, conserve la mémoire des terribles combats de 1915. La crête porte toujours les cicatrices de la guerre des mines. Ce secteur, qui englobe la Tranchée de Calonne, fut le cadre de la rencontre tragique entre les écrivains mobilisés et la Grande Guerre : Alain-Fournier, Louis Pergaud, tous deux tués en 1914, Jean Giono, Ernst Jünger et l'académicien Maurice Genevoix, auteur du témoignage monumental "Ceux de 14".
La violence de combats préfigure ceux de Verdun en 1916. Dans le but de réduire le Saillant de Saint-Mihiel au printemps 1915, les Français affrontent la crête des Eparges, point stratégique dominant les côtes de Meuse. Les allemands ripostent. La confrontation en surface s'enfonce sous terre, et une "guerre des mines" commence dans les entrailles de la colline. Le secteur fut définitivement repris en 1918.
Avec ses cratères d'explosion, la crête porte toujours les stigmates de la guerre des mines. De nombreux monuments jalonnent ce haut-lieu : Mémorial du Génie, Monument du point X et son panorama, Monument du Coq…
Au pied de la colline s'étend la nécropole française dite "Cimetière du Trottoir". Cette nécropole ne regroupe qu'une partie des victimes des combats de 1915 aux Eparges, y repose Robert Porchon, l'ami de Maurice Genevoix.
La violence de combats préfigure ceux de Verdun en 1916. Dans le but de réduire le Saillant de Saint-Mihiel au printemps 1915, les Français affrontent la crête des Eparges, point stratégique dominant les côtes de Meuse. Les allemands ripostent. La confrontation en surface s'enfonce sous terre, et une "guerre des mines" commence dans les entrailles de la colline. Le secteur fut définitivement repris en 1918.
Avec ses cratères d'explosion, la crête porte toujours les stigmates de la guerre des mines. De nombreux monuments jalonnent ce haut-lieu : Mémorial du Génie, Monument du point X et son panorama, Monument du Coq…
Au pied de la colline s'étend la nécropole française dite "Cimetière du Trottoir". Cette nécropole ne regroupe qu'une partie des victimes des combats de 1915 aux Eparges, y repose Robert Porchon, l'ami de Maurice Genevoix.
Informations complémentaires
D203A
55160 Combres-sous-les-Côtes
55160 Combres-sous-les-Côtes
kilomètre
26,49
latitude
49.0654
altitude
332
m
longitude
5.62032
O
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Mesnil sous les Côtes
Lieu historique
Village fusionné avec Bonzée et Mont-Villers en 1976, Mesnil sous les Côtes est blotti a l'embouchure de la vallée du Longeau.
On trouve un restaurant au cœur du village.
On trouve un restaurant au cœur du village.
Informations complémentaires
D332
55160 Bonzée
55160 Bonzée
kilomètre
31,61
latitude
49.0845
altitude
262
m
longitude
5.57801
P
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Sommedieue
Lieu historique
À la source de la Dieue, le site de Sommedieue est occupé dès l'époque gallo-romaine, ainsi qu'en témoignent le mallus gaulois et les vestiges archéologiques découverts. Le village est, au Moyen Âge, situé dans une enclave barroise du Verdunois. La nomination à la cure est confiée par l'évêque de Verdun à l'abbaye Saint-Paul en 1201. Jusqu'à la fin du 18° siècle, Sommedieue reste une petite agglomération de maisons de bûcherons et de charbonniers ; c'est au 19° siècle que le village entreprend une industrialisation en se dotant d'un moulin, d'une scierie, de tourneries et d'une fabrique de chaises et de meubles. À la fin du 19° siècle, Sommedieue compte environ 300 ouvriers. Nombre de ces activités ont depuis périclité.
Durant la Première Guerre mondiale, en décembre 1914, la ligne de front se situe dans la commune, tenue par le 106° régiment d'infanterie. Le 25 décembre 1914, le 67° régiment d'infanterie attaque les Allemands, en réplique l'artillerie allemande bombarde la commune. « La canonnade s'exalte, rebondit et tressaille, avec des éclats cuivrés, de stridences, des espèces de rires. Elle nous cogne sur les nerfs, nous fait courir dans les reins de grands frissons glacés. On dirait une fanfare puissante et sauvage dont le rythme nous empoigne violemment, nous jette à une frénésie morne où nous nous enfonçons sans pouvoir nous débattre, sans le vouloir, vaincus. »
Sommedieue est réputé dans le monde de la pêche à la mouche pour son extraordinaire site « Fly in Sommedieue »
http://www.fly-in-sommedieue.com
Durant la Première Guerre mondiale, en décembre 1914, la ligne de front se situe dans la commune, tenue par le 106° régiment d'infanterie. Le 25 décembre 1914, le 67° régiment d'infanterie attaque les Allemands, en réplique l'artillerie allemande bombarde la commune. « La canonnade s'exalte, rebondit et tressaille, avec des éclats cuivrés, de stridences, des espèces de rires. Elle nous cogne sur les nerfs, nous fait courir dans les reins de grands frissons glacés. On dirait une fanfare puissante et sauvage dont le rythme nous empoigne violemment, nous jette à une frénésie morne où nous nous enfonçons sans pouvoir nous débattre, sans le vouloir, vaincus. »
Sommedieue est réputé dans le monde de la pêche à la mouche pour son extraordinaire site « Fly in Sommedieue »
http://www.fly-in-sommedieue.com
Informations complémentaires
4 rue neuveville
55320 Sommedieue
55320 Sommedieue
kilomètre
42,37
latitude
49.0857
altitude
233
m
longitude
5.46402
Q
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Dieue sur Meuse
Patrimoine industriel
Les traces de peuplement remontent à l’époque néolithique,
mais l’origine de l’agglomération remonte à l’époque gauloise. Deu en celtique, divus en latin qui signifie divin. Cette eau fut à l’origine de bien des activités notamment celle des moulins.
En tout cas, elle fut utilisée par l’industrie d’une manière si remarquable.
Les fouilles archéologiques entreprises sur le territoire ont révélé l’existence de nécropoles gallo-romaines et mérovingiennes.
Avant la révolution, Dieue était une terre de l’évêché de Verdun, de l’archidiaconé d’Argonne et du doyenné de Souilly.
En 1790, lors de l’organisation du département, Dieue devint le Chef Lieu de l’un des cantons dépendants du district de Verdun. Ce canton était composé des municipalités de Dieue, Les Monthairons, Mouilly, Rupt-en-Woëvre et Sommedieue. Il fut remanié en 1792.
En 1814, le village a beaucoup souffert lors du passage des troupes alliées (27000 hommes et 600 chevaux y ont séjourné durant 32 jours).
En 1915 -1918, du fait de sa proximité avec Verdun et les Eparges. Le village sert de cantonnement à de nombreux soldats. Deux quartiers généraux y sont installés, l’un commandé par le Général Duchene, l’autre par le Général Baret.
Durant la bataille des Eparges, Dieue est décrété hôpital militaire et de nombreux blesses y sont amenés pour y être soignés.
C’est à partir de la fin de la seconde guerre mondiale, que le village connaît une évolution.
De 1968 à 1982, la commune de Dieue-sur-Meuse est caractérisée par une phénomène démographique positif ; en effet elle dispose d’un certain nombres d’industries « intra-muros » qui génèrent des emplois et par conséquent une installation sur place des salariés.
mais l’origine de l’agglomération remonte à l’époque gauloise. Deu en celtique, divus en latin qui signifie divin. Cette eau fut à l’origine de bien des activités notamment celle des moulins.
En tout cas, elle fut utilisée par l’industrie d’une manière si remarquable.
Les fouilles archéologiques entreprises sur le territoire ont révélé l’existence de nécropoles gallo-romaines et mérovingiennes.
Avant la révolution, Dieue était une terre de l’évêché de Verdun, de l’archidiaconé d’Argonne et du doyenné de Souilly.
En 1790, lors de l’organisation du département, Dieue devint le Chef Lieu de l’un des cantons dépendants du district de Verdun. Ce canton était composé des municipalités de Dieue, Les Monthairons, Mouilly, Rupt-en-Woëvre et Sommedieue. Il fut remanié en 1792.
En 1814, le village a beaucoup souffert lors du passage des troupes alliées (27000 hommes et 600 chevaux y ont séjourné durant 32 jours).
En 1915 -1918, du fait de sa proximité avec Verdun et les Eparges. Le village sert de cantonnement à de nombreux soldats. Deux quartiers généraux y sont installés, l’un commandé par le Général Duchene, l’autre par le Général Baret.
Durant la bataille des Eparges, Dieue est décrété hôpital militaire et de nombreux blesses y sont amenés pour y être soignés.
C’est à partir de la fin de la seconde guerre mondiale, que le village connaît une évolution.
De 1968 à 1982, la commune de Dieue-sur-Meuse est caractérisée par une phénomène démographique positif ; en effet elle dispose d’un certain nombres d’industries « intra-muros » qui génèrent des emplois et par conséquent une installation sur place des salariés.
Informations complémentaires
42-50 rue du rattentout
55320 Dieue-sur-Meuse
55320 Dieue-sur-Meuse
kilomètre
45,69
latitude
49.0698
altitude
209
m
longitude
5.43137