Génicourt sur Meuse
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 18/02/2016
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Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
49.0326
|
longitude
5.43639
|
altitude
212 m
|
|||
adresse
21 Route Nationale de Belfort
55320 Génicourt-sur-Meuse |
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
description
Ce village doit son origine à un établissement rural de la période gallo-romaine. Par une charte datée de 1047, l’évêque de Verdun, Thierry le Grand, abandonna à la collégiale de la Madeleine tout ce qu’il possédait à Genesii curti : la collégiale resta en possession de l’église et des biens de la cure jusque 1790. Dès le 11° siècle, l’église - mère de Génicourt desservait trois paroisses.
On constate au 12° siècle l’existence d’un petit fief avec maison forte, sous la suzeraineté de l’évêque de Verdun. Ce fief passa dans la suite en presque totalité dans la mouvance des Ducs de Bar qui, de plus, firent accepter la garde de Bar à la
«communautei des manans et habitants du village de Géneicourt», bien que celle-ci fut sous la haute seigneurie des évêques de Verdun. Le Duc, en revanche, s’engageait à protéger les habitants contre toute agression.
Vers l’an 1400, la seigneurerie appartint à une branche collatérale de la puissante famille d’Apremont. Plus tard à celle des Gournay(milieu du 16° siècle) , puis en 1619, à Nicolas Jappin,commissaire général des poudres et salpêtres de France, qui fit construire en 1623 le palais devenu par la suite l’hôtel de ville de Verdun. Les Seigneurs au 18° siècle furent les Vapy (1715), les du Rouvrois(1731), et enfin les Chastel de Villemont et d’Ambly (1757).
Le dernier châtelain , le Comte d’Ambly, (qu’il ne faut pas confondre de même nom au village d’Ambly), quitta le village de Génicourt en 1792: il devint Maréchal de camp au service de la Prusse et mourut en 1818 dans la Silésie.
Indépendamment de l’ancien château, en partie démoli, mais dont les remparts sont encore visibles, on remarque à Génicourt l’église, classée monument historique.
On constate au 12° siècle l’existence d’un petit fief avec maison forte, sous la suzeraineté de l’évêque de Verdun. Ce fief passa dans la suite en presque totalité dans la mouvance des Ducs de Bar qui, de plus, firent accepter la garde de Bar à la
«communautei des manans et habitants du village de Géneicourt», bien que celle-ci fut sous la haute seigneurie des évêques de Verdun. Le Duc, en revanche, s’engageait à protéger les habitants contre toute agression.
Vers l’an 1400, la seigneurerie appartint à une branche collatérale de la puissante famille d’Apremont. Plus tard à celle des Gournay(milieu du 16° siècle) , puis en 1619, à Nicolas Jappin,commissaire général des poudres et salpêtres de France, qui fit construire en 1623 le palais devenu par la suite l’hôtel de ville de Verdun. Les Seigneurs au 18° siècle furent les Vapy (1715), les du Rouvrois(1731), et enfin les Chastel de Villemont et d’Ambly (1757).
Le dernier châtelain , le Comte d’Ambly, (qu’il ne faut pas confondre de même nom au village d’Ambly), quitta le village de Génicourt en 1792: il devint Maréchal de camp au service de la Prusse et mourut en 1818 dans la Silésie.
Indépendamment de l’ancien château, en partie démoli, mais dont les remparts sont encore visibles, on remarque à Génicourt l’église, classée monument historique.
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