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L’or jaune du Dieu de Coligny

  • Mis à jour le 28/12/2023
  • Identifiant 2004494
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Autre
Autre
Echelle  
durée / niveau
Rando pédestre
02h - Moyen
distance
5,2 km
type parcours
altitude
558 m 283 m 285 m -225 m
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Lieu de départ
Mairie
01270 COLIGNY
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol

Photos & vidéos (9)

description

Au départ de Coligny, capitale des seigneurs du Revermont, destination rando pour le plateau de Vergongeat et le Moleron à 550 m d'altitude où le top des panoramas nous attend. En mars, le plateau se pare de jaune avec l'éclosion des Jonquilles.Sur le plateau de Vergongeat, vous admirez à l’ouest, la plaine de la Bresse avec pour horizon les contreforts du Mâconnais ; à l’est, par beau temps, la chaîne des Alpes et son majestueux Mont Blanc. Réputé pour ses sous-bois riches de narcisses jaunes appelés « jonquilles », vous pourrez au printemps cueillir votre traditionnel bouquet or.Avant de quitter le village de Coligny, zone frontière au nord de la Bresse et théâtre de nombreux conflits au fil de l’Histoire, n’oubliez pas de visiter :L’exposition sonorisée automatisée du Calendrier Gaulois et du Dieu de Coligny au rez-de-chaussée de l’hôtel de ville. Habité avant notre ère par les Séquanes, peuplade issue des Celtes, Coligny doit son nom à l’époque gallo-romaine : colonia. Témoins de cette époque, deux pièces essentielles sont découvertes fortuitement dans un champ, en 1897, par un couple d’agriculteurs : le calendrier gaulois, la plus importante inscription gauloise connue à ce jour et une statue de bronze, le Dieu de Coligny. Les éléments originaux sont visibles au Musée gallo-romain de Lyon.La Place des Tilleuls avec sa curiosité, l’Aiguayoir : un grand bassin pavé, mesurant plus de 10m de long, 5m de large et plus de 1m de profondeur. Il servait autrefois de bain pour les chevaux sur la route du sel. Ils rentraient dans l’eau jusqu’au ventre pour se laver et se rafraîchir. Des démonstrations ont lieu pour la foire bressane à l’ancienne le 1er mardi d’août.L’église Saint-Martin date du XIIème. Remaniée aux XV, XVII et XIXème, elle comporte un clocher-porche de 46 m de haut. A noter : le dessin des baies du coeur, le même que celui de l’Abbaye d’Ambronay et de la cathédrale de St Jean de Maurienne dont l’évêque, Etienne de Morel, fut prieur d’Ambronay puis de Coligny ; et les 28 stalles en bois dont les miséricordes datées de la fin duXVème sont inscrites à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques - objets mobiliers classés.

Contact

Téléphone : 04 74 22 49 40Email : accueil@bourgenbressedestinations.frSite web : https://www.bourgenbressedestinations.frFacebook : https://www.facebook.com/BourgenBresseTourisme

Période d'ouverture

Toute l'année.

Mis à jour par

Bourg-en-Bresse Destinations - Office de tourisme - 27/12/2023https://www.bourgenbressedestinations.fr

Points d'interêt (6)

A

Calendrier gaulois et dieu de Coligny

Art & Musées
Découverts en 1897, ces deux vestiges gallo-romains sont de véritables trésors archéologiques, aujourd'hui conservés au musée de Fourvière à Lyon, et dont les copies sont présentées dans le hall de la mairie de Coligny.Le dieu de Coligny correspond à une statue de bronze (1,74 m), exhumée en de multiples fragments au lieu-dit ""en Verpois"" (nord de la commune). Elle représente un athlétique jeune homme, nu, aux cheveux bouclés, probablement le dieu Mars. Les yeux disparus étaient vraissemblablement figurés par des billes en verre. Le bras droit levé s'appuyait sur une hampe. Au-dessus de la chevelure apparaît une bande lisse qui permettait de fixer une coiffure, vraisemblablement un casque (disparu). Le bras gauche est malheureusement incomplet. Le sens de ces Mars nus, dont la diffusion est pratiquement limitée à la Gaule du Nord, diffère sans aucun doute de celui de Mars cuirassé. Ici le dieu est pratiquement dépourvu de son apparence militaire et guerrière ; il pourrait être l'équivalent de Teutatès, son homologue gaulois. Datation : 2e moitié du premier siècle.Le calendrier gaulois : découvert au même endroit, il est aussi de la même période que le dieu Mars.Il est constitué d'une grande plaque de bronze rectangulaire (1,48 m x 0,80 m), brisée en 150 fragments. Lacunaire, elle est toutefois réputée porter la plus longue inscription connue en langue gauloise, écrite ici en caractères latins : environ 600 mots différents sont conservés ! Il s’agit d’un calendrier de type « luni-solaire » : les mois sont rythmés par les phases de la lune. Cinq années sont représentées, chacune comportant 12 mois dits « ordinaires », alternativement de 29 et 30 jours, pour s’approcher au plus près de l’année solaire de 365 jours. Cependant deux mois « intercalaires » ont été ajoutés (un tous les 2,5 années), afin d’éviter un décalage trop important entre le temps du calendrier et la réalité des saisons. Chaque mois porte un nom et se divise en deux quinzaines séparées par le mot atenoux (?). Certains mois sont notés ""mat"" (faste), d’autres ""anmat"" (mauvais). Les jours ne portent pas de noms. Ils sont matérialisés par un trou dans lequel on plaçait une cheville de bois qu’on avançait quotidiennement. Un certain nombre de notations ne sont pas traduites : elles désignent peut-être des fêtes ou des cérémonies particulières qui avaient lieu ce jour-là. Les perforations correspondent à l'emplacement de chevilles servant au repérage des jours.On suppose que le calendrier et la statue étaient placés à l’origine dans un temple. Un usage religieux expliquerait la permanence de ce calendrier, fondé sur un système de comptage du temps très ancien et abandonné à l’époque romaine depuis l’adoption du calendrier julien, au milieu du Ier siècle avant JC.
Informations complémentaires
Dans le hall d'accueil de la Mairie - Rez-de-chaussée 262 grande rue
01270 COLIGNY
kilomètre 0,02
latitude 46.383
altitude 291 m
longitude 5.34592
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B

Village de Coligny

Lieu historique
D'abord occupé par la tribu celte des Séquanes, le site prend son nom et son importance avec l'occupation romaine : "Colonia" (colonie) devient Coligny. Possédé ensuite par de puissants seigneurs, le fief donnera de grands hommes à l'histoire de France.Cette colonie romaine connut une activité notable, puisque sur la voie de communication entre Lugdunum (Lyon) et la Germanie et également sur la voie des Alpes. A l'époque carolingienne, quand se met en place la féodalité, les seigneurs Manassès s'imposent sous la suzeraineté des Comtes de Bourgogne (vers 863). L'époque la plus brillante de la seigneurie se situe entre le XIIe et le XIIIe siècles, marquée par une expansion foudroyante le long du Revermont jusque sur les rives du Rhône. Les sires de Coligny deviennent les gardiens de tous les passages conduisant des plaines de la Saône vers le Bugey.Les Coligny comptèrent parmi les très anciennes familles de la noblesse française et formèrent plusieurs branches. La famille, éteinte à la toute fin du XVIIe siècle, a donné deux maréchaux, un lieutenant-général de l'infanterie et deux amiraux à la France, ainsi qu'un cardinal, un évêque de Beauvais et un archevêque de Lyon. Le plus illustre reste l'amiral de France Gaspard II de Coligny (1519-1572), fidèle courtisan des rois François Ier, Henri II et Charles IX. Il fut la première et la plus célèbre victime du massacre de la Saint-Barthélémy.Le château féodal fut démantelé au XVe siècle par les troupes françaises de Louis XI : il n'en reste rien aujourd'hui. Toutefois, le passé médiéval peut encore se lire à travers certaines habitations. La place centrale se rapproche davantage de notre époque avec un ensemble architectural décidé en 1855, et qui comprend la grenette, la mairie, l'école (la Poste aujourd'hui) et le poids public.Mais le plus admirable reste l'aiguayoir (1811). Ce grand bassin était destiné au bain des chevaux constituant les attelages qui empruntaient la ""voie du sel"" et qui faisaient halte à Coligny. Ils entraient dans l'eau jusqu'au ventre pour se laver et se rafraîchir. Il est alimenté par le trop plein de la fontaine des Tilleuls, dont l’eau claire vient de la source de Goubey. Dans l'aiguayoir, elle peut monter jusqu'à un mètre. Les visiteurs de la fameuse Foire bressane à l'ancienne (premier mardi d'août) peuvent admirer les chevaux comtois s'y ébrouant avec bonheur.Concernant le patrimoine religieux, la commune possède un nombre non négligeable de croix, dont l'une agrémente le monument marial situé à l'entrée sud du village. Erigé en 1857 dans l'ancien cimetière, il est de style néogothique et présente dix-sept statues, dont les prophètes Moïse, David, Isaïe et Ezechiel, et en place centrale, la Vierge Marie.Au centre du village, l'église Saint-Martin, en partie reconstruite au XIXe s. (nef) mais qui a conservé son choeur gothique du XVe siècle. Document de visite à l'intérieur.
Informations complémentaires

01270 COLIGNY
kilomètre 0,03
latitude 46.383
altitude 291 m
longitude 5.34604
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C

L'Aiguayoir

Lieu historique
Les attelages empruntant la "voie du sel" faisaient halte dans la commune. L'aiguayoir est un grand bassin destiné au bain des chevaux qui rentraient dans l'eau jusqu'au ventre pour se laver et se rafraîchir.Décidée le 29 thermidor de l'an XI (18 juillet 1803) pour s'achever en 1811, la construction de l'aiguayoir (au bord de la grand-rue) est liée aux grandes foires de Coligny. Les attelages empruntant la "voie du sel" faisaient halte dans notre commune. L'aiguayoir est un grand bassin destiné au bain des chevaux qui rentraient dans l'eau jusqu'au ventre pour se laver et se rafraîchir. Il est alimenté par le trop plein de la fontaine des Tilleuls dont l’eau claire vient de la Source de Goubey. Elle peut monter dans l'aiguayoir jusqu'à un mètre de haut. En 1922, déserté depuis longtemps par les chevaux, il fut recouvert d'une dalle lors de la construction du Monument aux Morts. Il devint alors pendant des décennies, une réserve d'eau pour le Comité de fleurissement. Au printemps 2003, lors du déplacement du Monument, l'aiguayoir fut redécouvert intact. Aussitôt remis en valeur et sécurisé par la municipalité, il fait depuis l'admiration des Colignois et des touristes. En 2006, Andrée Paccaud, présidente de l'association des Amis de Coligny et Jean Bernadac, maire de la commune, eurent l'idée de faire revivre l'aiguayoir. C'est ainsi que les visiteurs de la Foire bressane à l'ancienne peuvent admirer les chevaux comtois se baignant et s'ébrouant avec bonheur dans leur aiguayoir.
Informations complémentaires
Place de la Mairie
01270 COLIGNY
kilomètre 0,03
latitude 46.3829
altitude 289 m
longitude 5.34548
Voir la fiche du point d'intéret »
D

Crèmerie Colignoise

Dégustation
Le magasin se situe dans le centre du village de Coligny, commune située dans le département de l'Ain (région Rhône-Alpes) qui compte 1091 habitants.Les Fromageries du Revermont sont nées de la fusion, en 1989, des coopératives de Coligny, Treffort et St Etienne du Bois. A cette époque, le lait "de foin" est transformé en Comté et Emmental Grand Cru à Treffort et Coligny et le lait "d'ensilage" en Emmental à Coligny.En 1990, la coopérative de Balanod vient s'associer aux 3 autres coopératives et remplace progressivement l'atelier de Coligny qui ferme ses portes.C'est finalement en 1998 que la coopérative arrête la fabrication d'Emmental à St Etienne du Bois, un magasin de détail sera conservé jusqu'en 1999.Les ateliers de Balanod et Treffort poursuivent la fabrication, essentiellement, de comté jusqu'en février 2013, date à laquelle la fabrication s'arrête à Treffort.Le magasin reste ouvert et vend désormais les produits fabriqués à Balanod.
Informations complémentaires
Rue centrale
01270 COLIGNY
kilomètre 0,05
latitude 46.3827
altitude 289 m
longitude 5.34525
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E

Château de Coligny-le-Viel : château du Châtaignat et sa tour de Menthon

Château
Site du rocher du Marquisat. Il servit de socle au château de Coligny-le-Viel au XIe siècle.Le château est une propriété privée et n'est pas ouvert à la visite.A l'époque carolingienne, la féodalité se mit en place. Une famille noble, sous la suzeraineté des comtes de Bourgogne, apparut à la tête de la terre de Coligny. Ses premiers seigneurs, connus vers 868, portaient le nom de Manassès. Le premier document mentionnant le château date de 974. Démantelé par les troupes de Louis XI après la guerre franco-bourguigonne de 1477-1479, ses pierres furent utilisées pour la construction de certains maisons du Vieux-Coligny. La Comtesse Léopoldine Eberhardine, dame de Coligny-le-Neuf, épouse de Charles-Léopold de Sandersleden, y fut inhumée en 1786, selon sa volonté, le rocher du Marquisat étant sa propriété. Elle était marquise de Coligny-le-Vieux. Au cours du XIXe siècle, le rocher fut recouvert de vignes. Aujourd'hui en friche, il borde l'ancienne route royale.La tour de Menthon fut élevée en 1479 par Georges de Menthon époux de Marie de Coligny. Le pont près de la Tour conduisait au Donjon; son soubassement disparut par suite d'un glissement de terrain.Le château est une propriété privée et n'est pas ouvert à la visite.
Informations complémentaires
Montée des jonquilles
01270 COLIGNY
kilomètre 1,01
latitude 46.3846
altitude 326 m
longitude 5.35061
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F

Les Jonquilles de Vergongeat

Point d'intérêt naturel
Véritable trésor floral du plateau de Vergongeat, venez cueillir ces belles jonquilles.Dans leur sanctuaire du plateau de Vergongeat sur les hauteurs de Coligny. On les ramassera en famille, par brassées tant elles sont innombrables, en faisant cependant attention à ne pas arracher leurs oignons et en pensant à apporter ses bottes.
Informations complémentaires
Plateau de Vergongeat
01270 COLIGNY
kilomètre 2,95
latitude 46.3865
altitude 567 m
longitude 5.36607
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Publié par jean-paul

jean-paul

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