A
L’érable champêtre
Point d'intérêt naturel
C’est le plus petit arbre de la famille des érables forestiers, avec une hauteur de 8 à 15 m. Il peut vivre jusqu’à 150 ans. Ses feuilles à cinq lobes arrondis et ses samares dont les ailes indiquent des directions opposées. Il n’est pas exigeant par rapport à l’humidité du sol et supporte le froid et la sécheresse. C’est également une excellente plante mellifère qui peut être valorisée par la proximité d’un rucher.
Informations complémentaires
kilomètre
2,11
latitude
44.8644
altitude
1248
m
longitude
6.59003
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B
Le criquet ensanglanté
Point d'intérêt naturel
Dans les zones humides bordant les ruisseaux vit le criquet ensanglanté. Il porte ce nom car la femelle porte des taches rouge pourpre tranchant avec sa couleur générale verte. Ses oeufs sont sensibles à la sécheresse, aussi ne pond-elle que dans des sols humides. Pour courtiser la femelle, le mâle ne stridule pas mais émet des “clic”... “clic”... qu'il produit en détendant d'un seul coup sa jambe postérieure.
Informations complémentaires
kilomètre
10,52
latitude
44.8823
altitude
2169
m
longitude
6.55452
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C
La marmotte
Point d'intérêt naturel
L’emblématique marmotte émet un sifflement aigu et puissant dans les alpages, elle prévient ses comparses qu’un danger approche : l’aigle royal rôde ! Ce rongeur de taille moyenne se plaît à vivre dans les pelouses alpines en famille. Ronger, creuser, faire la sieste au soleil et faire des roulades sont leurs passes temps favoris. L’hiver, la marmotte se réfugie dans son terrier où elle hiberne, elle n’est visible que d’avril à octobre. Elle délimite son territoire en frottant ses joues sur les rochers ou en déposant ses crottes.
Informations complémentaires
kilomètre
12,74
latitude
44.8843
altitude
2385
m
longitude
6.53848
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D
La bérardie laineuse
Point d'intérêt naturel
La bérardie laineuse est une plante haute de 10 cm environ dont la tige est courte voire quasi-inexistante. Cette astéracée vivace se rencontre dans des éboulis calcaires et schisteux. Elle possède des feuilles nervées, ovales et cotonneuses qui sont recouvertes d’un réseau de poils doux. En son coeur se dresse un capitule de 4 à 7 cm aux fleurs jaune pâle.
Informations complémentaires
kilomètre
14,05
latitude
44.8815
altitude
2583
m
longitude
6.52382
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E
Le monticole de roche
Point d'intérêt naturel
En mai, un chant mélodieux s’échappe du sommet d’une falaise. C’est celui du Monticole de roche, bien nommé et merveilleux oiseau. Si la femelle est terne, couvaison oblige, le mâle arbore un dessous orange et une tête bleu gris. Migrateur transsaharien, il revient chaque année dans les montagnes du sud de l’Europe où il fréquente les versants rocheux et ensoleillés. Il n’est pas très commun et en déclin, ce qui le rend d'autant plus précieux !
Informations complémentaires
kilomètre
15,06
latitude
44.8801
altitude
2345
m
longitude
6.5177
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F
La Cabane de Chouvet
Monument & architecture
Ce versant a été au fil des siècles fortement pâturé et a été complètement déboisé en raison des besoins en bois. Pour éviter l’érosion, il a fallu replanter des milliers d'arbres : mélèzes, pins sylvestres et pins noirs. La cabane a été édifiée en 1935 pour abriter les ouvriers travaillant au service des Eaux et Forêts. C'est maintenant devenu une Forêt Domaniale.
Informations complémentaires
kilomètre
18,68
latitude
44.8752
altitude
1753
m
longitude
6.50201
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G
Le prunier de Briançon
Point d'intérêt naturel
Non loin de la cabane de Chouvet, poussent de petits arbres couverts de fleurs blanches au printemps. Il s'agit du prunier de Briançon. Il donne plus tard des prunes dorées à saveur acerbe, portées par un pédoncule très court. Espèce endémique du sud-ouest des Alpes, il a été favorisé par l'homme car l'amande de son noyau donnait une huile très fine, nommée « huile de marmotte ».
Informations complémentaires
kilomètre
18,74
latitude
44.8747
altitude
1751
m
longitude
6.50206
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H
Les Choulières
Lieu historique
Savez-vous planter les choux, comme dit la chanson… En tout cas, le nom Choulières indiquerait un lieu planté de choux et par extension un lieu où on cultivait des légumes. L’abandon de l’agriculture en montagne a modifié le paysage : les champs et les prairies de fauche servent maintenant de prés pour les ovins, dont les troupeaux sont de plus en plus gros.
Informations complémentaires
kilomètre
20,70
latitude
44.8804
altitude
1587
m
longitude
6.49026
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I
Ailefroide
Points de vue, panorama
Entre mélèzes et parois de granite, au pied du Mont Pelvoux se trouve Ailefroide, autrefois un hameau d’alpages. Il s’agit du dernier hameau de la vallée situé à la confluence des vallons de Saint-Pierre et de Celse Nière. “Ailefroide” signifierait “Alpe froide”, le soleil étant peu présent l’hiver. C’est le départ de nombreux sentiers et le paradis des grimpeurs. Ailefroide est un lieu mythique pour les alpinistes, une stèle rappelle la conquête du Pelvoux en 1828.
Informations complémentaires
kilomètre
25,06
latitude
44.8882
altitude
1504
m
longitude
6.44814
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J
Le chamois
Point d'intérêt naturel
Animal emblématique de la montagne, le chamois est en fait plutôt un animal de forêt. À l’aise dans les pentes et les rochers, il est doté d’adaptations remarquables telles qu’un cœur très volumineux et un sang très riche en globules rouges, lui permettant de gravir plusieurs centaines de mètres de dénivelé en quelques minutes (400 m à l’heure pour un randonneur moyen !). En hiver, leur pelage est plus sombre, faisant office de « capteur solaire ».
Informations complémentaires
kilomètre
25,14
latitude
44.8888
altitude
1506
m
longitude
6.44758
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K
Ailefroide
Monument & architecture
Hameau isolé en hiver du fait de la fermeture de la route à cause de la neige, Ailefroide reprend vie au printemps et peut accueillir plus de 1000 résidents en été. Ancien hameau d’alpage, Ailefroide est devenu, au XXème siècle, un camp de base majeur pour les alpinistes partant à l’assaut des sommetsmythiques environnants. Depuis les années 1980, la notoriété internationale du hameau s’est accrue avec le développement de la pratique de l’escalade en grandes voies sur les parois granitiques alentours.
Informations complémentaires
kilomètre
25,43
latitude
44.8876
altitude
1507
m
longitude
6.44595
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L
L'aigle royal
Point d'intérêt naturel
Un couple d’aigles vit dans la vallée d’Ailefroide. Chaque couple a un territoire de chasse très grand, aussi ne pourrait-il y en avoir plus dans un vallon comme celui-ci. Ce couple a construit plusieurs aires dans les parois autour d’Ailefroide : une seule est occupée par année, après quelques réaménagements. Les aires sont situées dans le bas des territoires de chasse afin que les aigles puissent ramener sans trop de problème à l’aiglon des proies lourdes.
Informations complémentaires
kilomètre
25,67
latitude
44.8862
altitude
1502
m
longitude
6.44813
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M
L'érable champêtre
Point d'intérêt naturel
Le sentier du retour est bordé de nombreux feuillus où on peut distinguer frênes, chênes et différents érables. L’érable champêtre se distingue par ses petites feuilles à lobes arrondis. Les ailes de ses fruits nommés samares, qui aideront à la dispersion en faisant « l'hélicoptère », sont opposées. C'est un arbre rustique s'adaptant à bien des types de sols.
Informations complémentaires
kilomètre
28,88
latitude
44.8786
altitude
1325
m
longitude
6.47479
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N
La barbe de bouc
Point d'intérêt naturel
Point de bouc à l'horizon mais une grande plante formant un grand massif et profitant de la fraîcheur du talweg. Son inflorescence plumeuse, constituée de minuscules fleurs blanches est très esthétique. Elle est parfois confondue avec la reine des prés qui ne porte pas une si grande barbe pointue et dressée vers le ciel !
Informations complémentaires
kilomètre
28,97
latitude
44.8785
altitude
1319
m
longitude
6.47637
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O
Le tilleul
Point d'intérêt naturel
La première partie de la via se termine à l'ombre d'un tilleul, le tilleul à grandes feuilles. Il est présent également le long du cheminement de la via ferrata mais avec des spécimens plus petits. Cette espèce, voisine du tilleul commun qui est cultivé, est une espèce dite des « forêts de ravin » qui occupent des pentes fortes et souvent fraîches. Le torrent amène la fraîcheur et la pente est là !
Informations complémentaires
kilomètre
29,04
latitude
44.8778
altitude
1284
m
longitude
6.47635
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P
Le cincle plongeur
Point d'intérêt naturel
Avec un peu chance, on peut observer au bord de l'eau cet oiseau trapu, à la queue courte, brun avec une grande bavette blanche. Il plonge et ne réapparaît que quelques instants plus tard. Il chasse ainsi, plongeant puis marchant à contre-courant au fond de l'eau en quête de larves aquatiques d’insectes, de petits crustacés ou petits poissons, soulevant les galets avec son bec pour les déloger.
Informations complémentaires
kilomètre
29,07
latitude
44.8776
altitude
1278
m
longitude
6.47666
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Q
L’échinops à tête ronde
Point d'intérêt naturel
Au bord du sentier, pousse une grande plante aux feuilles assez larges et peu épineuses, aux inflorescences toute rondes, blanchâtres ou bleu très pâle : c’est l’échinops à tête ronde, plante peu commune. C’est la cousine de l’échinops ritro, que l’on voit partout dans les lieux secs. Celle-ci a des inflorescences bleutées, des feuilles piquantes et est plus petite.
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kilomètre
29,12
latitude
44.8776
altitude
1293
m
longitude
6.47764
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R
La conduite forcée
Monument & architecture
Cette conduite forcée achemine l’eau jusqu’à l’usine hydroélectrique des Claux, située juste en contrebas, qui exploite l’eau du massif des Écrins. La centrale a été inaugurée en 1932. L’électricité produite servait surtout à l’époque à produire de l’électricité pour l’usine d’aluminium située à l’Argentière-La Bessée.
Informations complémentaires
kilomètre
29,21
latitude
44.8772
altitude
1279
m
longitude
6.47871
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S
L’alimentation en eau de la centrale des Claux
Point d'intérêt naturel
L’usine hydroélectrique des Claux est alimentée par plusieurs torrents : le Saint-Pierre (glacier blanc et glacier noir), le Celse Niere (Sélé) et l’Eychauda (Chambran). La prise d’eau située Ailefroide (1600 m3 de retenue) permet de collecter les eaux glaciaires des Torrent de Saint-Pierre et de Celse Niere. A l’origine la centrale produisait une partie de l’électricité nécessaire au fonctionnement de l’usine d’aluminium de l’Argentière et du sanatorium du Bois de l’Ours à Briançon. Aujourd’hui la centrale est toujours en activité.
Informations complémentaires
kilomètre
29,27
latitude
44.8767
altitude
1265
m
longitude
6.47895
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T
L’usine des Claux
Monument & architecture
L’usine des Claux, a été construite de 1929 à 1935 pour initialement fournir en électricité l’usine d’aluminium de l’Argentière la Bessée. L’architecture remarquable de l’usine s’inspire du principe architectural de nombreux édifices religieux : long bâtiment principal avec de nombreusesouvertures en forme d’arcades (neff), deux extensions perpendiculaires plus petites (transept) sans oublier le lanterneau qui rappelle le clocher. L’usine abrite aujourd’hui, outre les installations toujours en activité, un espace muséographique dédié à l’histoire de l’usine et l’aventurehydroélectrique du territoire.
Informations complémentaires
kilomètre
29,33
latitude
44.8763
altitude
1262
m
longitude
6.47949
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U
Érosion
Point d'intérêt naturel
Si les glaciers sont de puissants agents d'érosion, les torrents ne laissent pas leur part. Ils sont assez puissants pour transporter de gros galets (voire de gros blocs), lesquels, projetés contre le fond et les parois rocheuses, finissent par les polir. C'est ce qu'on observe facilement vers la première passerelle, mais aussi plus loin.
Informations complémentaires
kilomètre
29,42
latitude
44.8773
altitude
1274
m
longitude
6.47703
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V
Le torrent d'ailefroide
Point d'intérêt naturel
La via va s'enfoncer dans les gorges creusées par le torrent d'Ailefroide, aux eaux parfois d'un blanc laiteux. Cette couleur est due à la présence de « farine glaciaire » transportées par le torrent. Les glaciers tels que le glacier blanc, le glacier noir ou le glacier du Sélé ne sont pas loin. Leur frottement sur la roche joue comme du papier de verre et donne une poudre blanche, la farine glaciaire, constituée de résidus de certains minéraux.
Informations complémentaires
kilomètre
29,49
latitude
44.8769
altitude
1269
m
longitude
6.47767
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W
La prairie fraîche
Point d'intérêt naturel
La piste passe dans une zone de prairie, que l'on qualifie de fraîche en raison de la teneur en eau de son sol. Le botaniste reconnaît vite ce type de prairie grâce à son cortège végétal et notamment la présence de la bistorte, une plante « en écouvillon » portant au sommet de sa tige un épi dense de minuscule fleurs rose. Elle est aussi nommée langue de bœuf en raison de la forme de ses feuilles.
Informations complémentaires
kilomètre
30,10
latitude
44.8727
altitude
1252
m
longitude
6.48185
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X
L'aulne blanc
Point d'intérêt naturel
Dans les vallées des Alpes et du Jura, l'aulne blanc remplace souvent l'aulne glutineux, présent dans une bonne partie de la France. Comme son cousin, il pousse en bordure des rivières et est d'une grande utilité pour fixer les berges. Qu'on le coupe, son bois se teinte d'orange vif. Mais pourquoi le couper ?
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kilomètre
30,46
latitude
44.8704
altitude
1244
m
longitude
6.48447
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Y
Le Gyr
Point d'intérêt naturel
L'homme est décidément un animal bizarre : il construit, déconstruit et ainsi de suite. Pour protéger les nouvelles infrastructures de Pelvoux, le Gyr a été endigué. Mais ne pouvant plus prendre ses aises comme auparavant, il a creusé son lit, mettant en péril les fondations. Aussi ont lieu des travaux d'élargissements de son lit, permettant de concilier son écoulement plus naturel, ce qui est plus favorable à la biodiversité, et une bonne protection des zones urbanisées.
Informations complémentaires
kilomètre
30,63
latitude
44.8688
altitude
1245
m
longitude
6.4845
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Z
La station de ski de Pelvoux-Vallouise
Monument & architecture
L'itinéraire traverse d'abord la petite station de ski de Pelvoux-Vallouise, construite en 1982. Très familiale, c'est en hiver l'endroit idéal pour les jeunes enfants apprenant à skier avec de petits téléskis dans la partie basse tandis que les grands frères ou les grandes sœurs iront skier plus haut.
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kilomètre
31,06
latitude
44.8654
altitude
1231
m
longitude
6.48681
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Travaux de restauration
Lieu historique
Du fait de divers travaux effectués au 20ème siècle, l'ancien lit en tresses du Gyr avait disparu au profit d'un lit très étroit et contraint. Cela a eu pour résultat un creusement important déstabilisant les berges, menaçant les réseaux et les infrastructures touristiques ainsi qu''un un appauvrissement important des milieux écologiques associés.. En 2018, certains travaux d'élargissement ont été menés pour permettre de limiter les dégâts de crues et d’érosion et restaurer les milieux aquatiques
Informations complémentaires
kilomètre
31,42
latitude
44.863
altitude
1222
m
longitude
6.48962
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Le cincle plongeur
Point d'intérêt naturel
On peut souvent observer le cincle plongeur, qui comme son nom l'indique plonge ! Puis il marche à contre-courant au fond de l'eau pour chasser des larves aquatiques d’insectes ou des petits crustacés, soulevant les galets avec son bec pour les déloger. C'est un indicateur de la présence de ces petits animaux et donc de la bonne qualité des eaux.
Informations complémentaires
kilomètre
31,54
latitude
44.8618
altitude
1219
m
longitude
6.48996
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La calamagrostide argentée
Point d'intérêt naturel
Sur le talus pousse une graminée formant de grosses touffes : la calamagrostide argentée. Elle est adaptée aux terrains caillouteux, secs et ensoleillés. Ses inflorescences aux reflets dorés argentés sont du plus bel effet mais c'est surtout à la fin de l'été qu'on la remarque lorsque, dans la lumière du soir, elle forme de gros bouquets chatoyants.
Informations complémentaires
kilomètre
31,74
latitude
44.86
altitude
1218
m
longitude
6.48945
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La forêt de pins et de chênes
Point d'intérêt naturel
Le sentier parcourt maintenant une alternance de zones dénudées et de forêt. Cette forêt est composée de pin sylvestre, reconnaissable à son tronc orangé, surtout dans la partie supérieure, de chêne pubescent, dont les jeunes rameaux et le dessous des feuilles est couvert d'un fin duvet, et de mélèze. Les deux premiers supportent bien la sécheresse (le sol est ici calcaire) mais aussi le froid et sont typiques de l'étage montagnard de cette partie des Alpes.
Informations complémentaires
kilomètre
32,22
latitude
44.8559
altitude
1218
m
longitude
6.48877
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La forêt au bord de l'eau
Point d'intérêt naturel
Ce petit bois est un résidu de la forêt naturelle poussant au bord de l'eau, nommée ripisylve. Cette forêt se réduisant partout car détruite par l'urbanisation, est composée d'aulnes, de saules, de frênes, auxquels s'ajoutent peupliers, bouleaux, trembles… C’est pourtant une zone essentielle pour la fixation des berges et l’épuration des eaux et, offrant des habitats naturels spécifiques, joue un rôle majeur dans le maintien de la biodiversité.
Informations complémentaires
kilomètre
32,78
latitude
44.8513
altitude
1196
m
longitude
6.48919
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Le massif du Montbrison
Points de vue, panorama
Le sentier offre une belle vue d'ensemble sur le massif calcaire du Montbrison, qui surplombe les hameaux de Pelvoux, avec la Cime de la Condamine, la Tête des Lauzières, le pic de Montbrison et la tête d'Amont.
Informations complémentaires
kilomètre
32,85
latitude
44.8508
altitude
1201
m
longitude
6.48904
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La lavande à feuilles étroites
Point d'intérêt naturel
Le sentier traverse quelques éboulis de calcaire. L'ambiance est sèche. La lavande à feuilles étroites s'installe dans les zones ensoleillées, rappelant que le pays des Écrins se situe dans les Alpes du Sud ! Cette plante, à ne pas confondre avec le lavandin, pousse en effet naturellement dans les pentes rocailleuses des montagnes du Midi.
Informations complémentaires
kilomètre
33,02
latitude
44.8493
altitude
1194
m
longitude
6.48859
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Eglise Saint-Étienne de Vallouise
Monument & architecture
Classée et protégée au titre des monuments historiques depuis le 22 octobre 1913, l'église dédié à Saint Etienne fait partie des plus beaux sites religieux des Hautes-Alpes. Elle est typique des églises briançonaises de style roman, construites dans la seconde moitié du XVe siècle. Sa date précise de construction reste cependant encore indéterminée aujourd'hui.
Informations complémentaires
kilomètre
33,30
latitude
44.847
altitude
1170
m
longitude
6.48788
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Vallouise
Lieu historique
L’histoire de Vallouise est à l’histoire des Vaudois. Cette congrégation religieuse née à Lyon militait pour le dépouillement, la simplicité. Considérée comme un mouvement de contestation, elle a fait l’objet, à partir du XIIIème siècle, de nombreuses persécutions. Les vaudois ont alors dû fuir. De nombreuses familles se sont réfugiées en Vallouise où les massacres et persécutions se poursuivirent. Le roi Louis XI mit temporairement fin à ces exactions. En 1486, en son honneur, la commune de Vallis Puta fût renommée Vallis Loysia.
Informations complémentaires
kilomètre
33,39
latitude
44.8465
altitude
1162
m
longitude
6.48809
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L'église de Vallouise
Lieu historique
L’église Saint-Étienne date des XVème et XVIème siècles. Elle abrite un retable et un tabernacle en bois doré du XVIIIème siècle, ainsi que des peintures murales. Non loin d’elle, se tient la chapelle des Pénitents datant de la fin du XVIème siècle avec façade peinte XIXème siècle.
Informations complémentaires
kilomètre
33,45
latitude
44.8461
altitude
1164
m
longitude
6.48766
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Le petit rhinolophe
Point d'intérêt naturel
Dans les combles de l’église gîtent en été des chauves-souris. L’espèce ici présente est le petit rhinolophe, qui a fortement régressé ces dernières décennies. Chaque année, les mères reviennent après une hibernation dans des grottes et mettent au monde un petit chacune. Les chauves-souris sont des mammifères insectivores menacés par les insecticides dans les champs et sur les charpentes, la disparition de leurs habitats de chasse et de leurs gîtes etc. Elles sont toutes protégées.
Informations complémentaires
kilomètre
33,48
latitude
44.8459
altitude
1167
m
longitude
6.48735
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Vallouise
Monument & architecture
Dans la vieille rue du village, se situent des maisons caractéristiques de l'architecture de la vallée datant des XVIIème et XVIIIème siècles, à plusieurs niveaux. Le rez-de-chaussée est réservé aux bêtes, le premier niveau pour l’habitation et les niveaux supérieurs pour la grange. On passait d’un niveau à l’autre par les balcons reliés entre eux par un escalier. Beaucoup de ces balcons sont à arcades avec des colonnes en pierres. Ce type de balcon à arcades se retrouve dans toute la vallée.
Informations complémentaires
kilomètre
33,62
latitude
44.845
altitude
1167
m
longitude
6.48627
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Le cincle plongeur
Point d'intérêt naturel
Perché sur un bloc au milieu de la rivière, un oiseau trapu, à la queue courte, brun avec une grande bavette blanche, se balance de haut en bas avec la queue dressée. Puis il plonge et ne réapparaît que quelques instants plus tard. Cet oiseau chasse ainsi, plongeant puis marchant à contre-courant au fond de l'eau en quête de larves aquatiques d’insectes, de petits crustacés ou petits poissons, soulevant les galets avec son bec pour les déloger.
Informations complémentaires
kilomètre
34,28
latitude
44.8398
altitude
1160
m
longitude
6.48556
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Le Semi-Apollon
Point d'intérêt naturel
Ce papillon aux ailes hyalines, blanc translucide, marquées de deux taches noires vole dans les clairières ou en lisière de bois, là où pousse la plante hôte de ses chenilles, la corydale. Semblant abondante localement, c’est pourtant une espèce en forte régression et protégée.
Informations complémentaires
kilomètre
36,16
latitude
44.8288
altitude
1353
m
longitude
6.49622
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Le sentier du Facteur
Lieu historique
Autrefois, le facteur empruntait ce même chemin quotidiennement : il partait de Vallouise, déposait les courriers à Puy-Saint-Vincent et redescendait à Vallouise en faisant une halte aux hameaux de Parcher. L’hiver, quand les chutes de neige étaient trop importantes, ce sont les Traversouires (les habitants de Puy-Saint-Vincent) qui chaussaient des raquettes et se munissaient de pelles pour tracer le chemin du facteur jusqu’à Vallouise.
Informations complémentaires
kilomètre
36,18
latitude
44.8286
altitude
1356
m
longitude
6.49622
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Le col de la Pousterle
Col
La pousterle, en occitan haut-alpin, c’est une petite porte (une poterne). Il vient du latin posterula qui signifie la porte de derrière. Ce toponyme désigne parfois un col, qui est une porte entre deux vallées en quelque sorte ! Les glaciers ont creusé cette porte où passait un bras entre le glacier qui occupait le vallon du Fournel et celui qui s’écoulait dans celle de Vallouise.
Informations complémentaires
kilomètre
40,10
latitude
44.8073
altitude
1765
m
longitude
6.51429
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La libellule à quatre taches
Point d'intérêt naturel
Autour du lac circulent des libellules. L'une d'entre elles est assez facilement identifiable : la libellule à quatre taches. Elle se nomme ainsi car une tache est présente sur chacune de ses quatre ailes. La femelle pond ses oeufs sur la végétation flottante et les larves sont aquatiques. Elle se nourrit principalement de moustiques et de moucherons qu’elle capture dans les airs. C’est également dans les airs que le mâle et la femme s'accouplent… Une véritable acrobate !
Informations complémentaires
kilomètre
47,57
latitude
44.768
altitude
1844
m
longitude
6.53616
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Le rougequeue à front blanc
Point d'intérêt naturel
Le rougequeue à front blanc, cousin du rougequeue noir, s’en distingue par… son front blanc, ainsi que par son poitrail orange. Du moins chez le mâle, la femelle de l’un comme de l’autre étant plus terne et brunâtre, mais avec une queue orangée également. Il revient d’Afrique début avril et trouve dans les alentours une cavité dans un arbre ou dans un vieux mur pour nicher.
Informations complémentaires
kilomètre
49,94
latitude
44.7585
altitude
1406
m
longitude
6.53056
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Félix Neff
Lieu historique
Félix Neff est un pasteur protestant suisse. Il est à l'origine du Réveil protestant de la vallée de Freissinières au XVIIème siècle. Il a créé également la première “École normale” d’Instituteurs de France en 1826, à Dormillouse. Il est aussi à l’initiative de nouveaux procédés d’irrigation et de construction des habitats, des aménagements qui améliorent la vie quotidienne des Freissinièrois.
Informations complémentaires
kilomètre
50,95
latitude
44.7539
altitude
1210
m
longitude
6.53743
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L’église Sainte Marie-Madeleine
Monument & architecture
L’église Sainte Marie-Madeleine a été construite au XVIIème siècle. Il s’agirait d’un ancien temple protestant qui n’aurait pas été détruit en 1684 alors que Louis XIV menait une politique anti-protestante. Le temple aurait alors subi des transformations pour être réaménagé en église.
Informations complémentaires
kilomètre
50,97
latitude
44.7537
altitude
1207
m
longitude
6.53753
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Freissinières
Lieu historique
Freissinières vient de freisse nière qui signifiait : frêne noir. Cette commune s’étalant jusqu’au col des Terres blanches ainsi que celui de Freissinières, donnant tous les deux sur le Champsaur, est constituée de treize hameaux, mais aucun ne se nomme Freissinières ! Des fouilles archéologiques menées depuis 20 ans démontrent que des sites d’altitude (Faravel…) ont été occupés de manière saisonnière dès le retrait des glaciers il y a 12 000 ans (Paléolithique supérieur) et que cette occupation s’est poursuivie plus tard.
Informations complémentaires
kilomètre
51,21
latitude
44.7521
altitude
1169
m
longitude
6.53653
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L’épine vinette
Point d'intérêt naturel
L’épine vinette est un buisson aux longues épines groupées par trois et aux feuilles ovales et dentées. Il donne au printemps des grappes de petites fleurs jaunes, lesquelles deviendront plus tard des baies rouges, ovales et allongées. Ces fruits aigrelets sont comestibles et peuvent être transformés en gelées… si on a la patience de les ramasser ! Cet arbuste pousse un peu partout.
Informations complémentaires
kilomètre
51,47
latitude
44.7513
altitude
1160
m
longitude
6.53825
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La plaine de Freissinières
Point d'intérêt naturel
Elle correspond à une zone de surcreusement lors des glaciations : le glacier freiné par le verrou de roche dure de Pallon, a creusé une dépression. Au retrait des glaciers, un lac est resté coincé derrière ce verrou, peu à peu comblé par des alluvions. C'est maintenant un espace agricole facilement mécanisable.
Informations complémentaires
kilomètre
51,94
latitude
44.7504
altitude
1156
m
longitude
6.54384
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La vallée de Freissinières
Lieu historique
La vallée correspond à une zone de surcreusement lors des glaciations : le glacier freiné par le verrou de roche dure de Pallon, a creusé une dépression. Au retrait des glaciers, un lac est resté coincé derrière ce verrou, peu à peu comblé par des alluvions. Du point de vue historique, le pasteur protestant Félix Neff a “réveillé” la vallée en 1826 en faisant construire une “École normale” d’Instituteurs”, en développant des procédés d’irrigation, en enseignant de nouveaux modes de cultures…
Informations complémentaires
kilomètre
52,14
latitude
44.75
altitude
1151
m
longitude
6.54633
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Le cincle plongeur
Point d'intérêt naturel
Perché sur un bloc au milieu de la rivière, un oiseau trapu, à la queue courte, brun avec une grande bavette blanche, se balance de haut en bas avec la queue dressée. Puis il plonge et ne réapparaît que quelques instants plus tard. Cet oiseau chasse ainsi, plongeant puis marchant à contre-courant au fond de l'eau en quête de larves aquatiques d’insectes, de petits crustacés ou petits poissons, soulevant les galets avec son bec pour les déloger.
Informations complémentaires
kilomètre
52,19
latitude
44.7499
altitude
1149
m
longitude
6.547
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Le mélèze
Point d'intérêt naturel
Emblème des Alpes du sud, ce résineux perdant ses aiguilles en hiver, se pare d’or et illumine la montagne à l’automne. Les mélézins sont entretenus par le pâturage des troupeaux. Sans eux, d’autres arbres comme le sapin ou différents pins peuvent pousser pour donner un autre type de forêt. Espèce pionnière, le mélèze ne craint pas la lumière pour s’installer. Son bois résistant et imputrescible a toujours servi pour la construction des maisons.
Informations complémentaires
kilomètre
55,38
latitude
44.7457
altitude
1601
m
longitude
6.52398
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Le cassenoix moucheté
Point d'intérêt naturel
Un cri éraillé sort de la forêt. Un geai ? Un cassenoix, son cousin. Cet oiseau sombre moucheté de blanc, dont le bec fort peut casser, sinon des noix, du moins des noisettes et surtout décortiquer les cônes de pin cembro pour en manger les graines, est l’hôte des forêts d’altitude. Il enfouit dans le sol des graines de pin cembro pour ses réserves d’hiver. L'hiver venu, il retrouvera les graines même sous une épaisse couche de neige. Celles qu'il oubliera germeront.
Informations complémentaires
kilomètre
61,41
latitude
44.7236
altitude
2117
m
longitude
6.51165
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Aigles, vautours et gypaètes
Point d'intérêt naturel
Plusieurs sortes de rapaces viennent planer vers la Crête de Gaulent pour inspecter l’alpage. Y aurait-il quelque chose à manger ? Le couple d’aigles vivant dans ce vallon choisirait bien une marmotte. Les vautours fauves présents dans le massif uniquement en été et en automne cherchent une brebis morte. Quant au prestigieux gypaète, vautour encore plus grand que les précédents, il récupère les restes, pouvant se nourrir d’os.
Informations complémentaires
kilomètre
66,23
latitude
44.7176
altitude
2079
m
longitude
6.54811
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Les champs de Champcella
Lieu historique
Champcella signifiait « le champ caché ». Il est vrai que, niché sur un replat, le village ne se voit pas depuis la vallée de la Durance. Lorsqu’on s’élève au dessus du village, de nombreux témoins de l’agriculture sont encore bien présents. Les cultures ont disparu, remplacées par des prairies mais les vieux murs, les canaux et les clapiers, ces tas de pierres formés par l’épierrement patient des champs nous rappellent la vie d’autrefois.
Informations complémentaires
kilomètre
72,59
latitude
44.7226
altitude
1211
m
longitude
6.5708
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Le sentier du Gouffre
Lieu historique
Ce sentier du Gouffre a parfois été qualifié de voie romaine mais on ne connaît pas exactement le tracé de celle-ci. Ce qui est sûr, c’est qu’il était emprunté par les villageois pour aller travailler aux champs et dans les vignes ou pour tout autre type de déplacement.
Informations complémentaires
kilomètre
74,68
latitude
44.7339
altitude
1002
m
longitude
6.57534
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La haute vallée de la Durance
Point d'intérêt naturel
Protégée des influences atlantiques par le Massif du Pelvoux, la haute vallée de la Durance est soumise à un climat très sec, avec de fortes variations saisonnières de températures. Elle abrite des pelouses qui s’apparentent aux steppes d’Europe centrale et sont rares en France. Elle est intégrée dans le site Natura 2000 “Steppique durancien et queyrassien”.
Informations complémentaires
kilomètre
74,84
latitude
44.7347
altitude
935
m
longitude
6.5757
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Le gouffre de Gourfouran
Point d'intérêt naturel
À l’époque des grandes glaciations, l’énorme glacier de la Durance a creusé son lit sur une épaisseur de plus de 200 m de haut. Le glacier de la vallée de Freissinières affluait à la surface de ce glacier. Leur fonte a laissé une grosse “marche d’escalier” nommée gradin de confluence. La Biaysse rejoignant la Durance, a peu à peu creusé ce gradin, d’abord en tant que torrent sous glaciaire puis après la fonte du glacier.
Informations complémentaires
kilomètre
75,13
latitude
44.7364
altitude
924
m
longitude
6.57666
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Le village disparu
Lieu historique
La vallée de la Durance est dans l’Antiquité un axe de communication important. Rama est une sorte de relais routier sur la voie romaine. Au Moyen-Âge, Rama est une petite bourgade avec le château des seigneurs. Mais le village subit, à plusieurs reprises, les caprices de la Durance et de la Biaysse et les habitants désertent peu à peu le site, s’exilant dans les villages voisins. Le rattachement de la paroisse de Rame à celle de la Roche en 1446 témoigne de ce déclin.
Informations complémentaires
kilomètre
75,17
latitude
44.7367
altitude
926
m
longitude
6.57673
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Le génevrier thurifère
Point d'intérêt naturel
Ce petit arbre est présent en Afrique du Nord, dans la péninsule ibérique et dans quelques département du sud de la France, dont les Hautes-Alpes. Il est considéré comme une relique de période plus chaude passée. Il a trouvé un refuge dans les situations bien exposées, sur les pentes rocheuses chaudes et ensoleillées. Ces aiguilles sont en forme d’écailles appliquées contre les rameaux. C’est une espèce à surveiller.
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kilomètre
75,59
latitude
44.7372
altitude
1025
m
longitude
6.57279
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L’aristoloche pistoloche
Point d'intérêt naturel
Le hameau de Pallon est installé dans un endroit bien exposé au soleil. Autour du village, une curieuse plante aux fleurs aux longues trompettes brunes pousse en bordure des clapiers d’épierrement des champs et prairies : c’est l’aristoloche pistoloche. Cette plante, à affinité méditerranéenne bénéficiant ici d’un climat chaud et sec, se trouve quasiment à sa limite septentrionale. C’est la plante hôte des chenilles d’un papillon rare et protégé : la Proserpine.
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kilomètre
76,49
latitude
44.7407
altitude
1156
m
longitude
6.56789
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Le genévrier sabine
Point d'intérêt naturel
Arbuste s’étalant au sol, le genévrier sabine est très commun dans les prairies rocailleuses et les friches des versants chauds. Ses feuilles d'un vert sombre et mat, en forme de petites écailles, sont imbriquées le long des rameaux. Il ne pique donc pas… mais est plus redoutable car très toxique. Pour assaisonner les plats, mieux vaut ramasser les fruits du genévrier commun !
Informations complémentaires
kilomètre
77,21
latitude
44.7432
altitude
1293
m
longitude
6.56752
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Torrent de Bouchouse
Point d'intérêt naturel
Le Torrent de Bouchouse est alimenté par le torrent de la Pisse et du Pansier à 1 900 m. Il approvisionne la commune de La Roche-de-Rame en la traversant. Ce torrent s’écoule ensuite dans la Durance en contre-bas de la commune.
Informations complémentaires
kilomètre
81,98
latitude
44.7519
altitude
986
m
longitude
6.58434
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Le mélèze
Point d'intérêt naturel
Des aiguilles jaune d’or en automne, des cônes violets au printemps… Le mélèze est un nuancier de couleurs tout au long de l’année, il porte plutôt bien son appellation d’arbre lumière. Il perd ses douces aiguilles caduques en automne et hiver. Au printemps, les petites branches de ce conifère sont parsemées de fleurs femelles, qui deviendront des cônes, et mâles. Le mélèze se plaît sur l’ubac et illumine la montagne.
Informations complémentaires
kilomètre
83,12
latitude
44.7522
altitude
1231
m
longitude
6.59353
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Le mouflon
Point d'intérêt naturel
Une petite population de mouflons fréquente les lieux. Le mouflon méditerranéen, issu de croisements entre mouflons de Corse et d'autres espèces de mouflons ou de moutons, a été introduit il y a plusieurs décennies par les sociétés de chasse. C'est un animal mal adapté à la neige, aussi se tient-il sur les pentes sud vite déneigées. Le mâle arbore de grandes cornes enroulées. Les femelles, le plus souvent sans corne, peuvent parfois en avoir, droites et peu développées.
Informations complémentaires
kilomètre
83,72
latitude
44.7513
altitude
1359
m
longitude
6.59813
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Le pinson des arbres
Point d'intérêt naturel
Oiseau très commun, ce pinson vit aussi bien en forêt que dans les villages. Le mâle est plutôt dans les tons de rosé, avec une calotte gris bleu, la femelle plus terne dans les tons de gris vert. C’est un oiseau assez grégaire, hormis en période de reproduction. Ces oiseaux communiquent souvent entre eux par des « pink, pink ». Il est partiellement migrateur. Les populations du nord de l’Europe viennent passer l’hiver en France et autres pays tempérés.
Informations complémentaires
kilomètre
84,02
latitude
44.7532
altitude
1366
m
longitude
6.59969
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Le raisin d’ours
Point d'intérêt naturel
Le raisin d’ours ou la Busserole est un petit arbuste qui ne dépasse pas 20 cm de haut. Ses petites feuilles persistantes, vernissées et toujours vertes, pourraient rappeler celles de l'airelle rouge (Vaccinium vitis-idae) mais elles sont moins épaisses que cette dernière et, surtout, ses fruits sont nettement moins savoureux (bien qu’ils soient comestibles). Cela dépendra de vos goûts !
Informations complémentaires
kilomètre
85,30
latitude
44.7572
altitude
1428
m
longitude
6.59831
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Le Bois du Truc
Lieu historique
Le Bois du Truc surplombe les bancs rocheux qui dominent le hameau du Bathéou de la commune de La Roche-de-Rame. Dans notre région, un Truc est une grosse pierre enfouie, un quartier de rocher, un contrefort abrupt. Le Bois du Truc est donc le bois de la grosse pierre.
Informations complémentaires
kilomètre
85,61
latitude
44.7583
altitude
1509
m
longitude
6.60022
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Les linaigrettes
Point d'intérêt naturel
Au bord de l'eau, dans la prairie humide, des plantes à la tête cotonneuse se balancent doucement. Ce sont des linaigrettes, plantes dont les fleurs rudimentaires ne se remarquent pas, mais dont les fruits sont dotés d'aigrettes plumeuses favorisant leur dispersion par le vent. Les fruits étant groupés, leurs aigrettes forment un « pompon » très esthétique ! Ce sont des plantes bien adaptées au climat montagnard.
Informations complémentaires
kilomètre
91,76
latitude
44.7888
altitude
2325
m
longitude
6.63516
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Le pic noir
Point d'intérêt naturel
Le plus grand oiseau de la famille des pics, adaptés morphologiquement à la vie arboricole. Il est facilement reconnaissable par sa couleur entièrement noire, avec une calotte rouge vif du front jusqu’à l’arrière de la nuque chez le mâle et seulement une tâche rouge chez la femelle. Il fréquente les espaces arborés nécessaires à son alimentation et à son mode de nidification. Il se nourrit principalement de fourmis et d'insectes qu'il prélève par des perforations dans l'écorce grâce à son bec acéré.
Informations complémentaires
kilomètre
101,63
latitude
44.8392
altitude
1658
m
longitude
6.60059
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Le criquet ensanglanté
Point d'intérêt naturel
Dans les zones humides bordant les ruisseaux vit le criquet ensanglanté. Il porte ce nom car la femelle porte des taches rouge pourpre tranchant avec sa couleur générale verte. Ses oeufs sont sensibles à la sécheresse, aussi ne pond-elle que dans des sols humides. Pour courtiser la femelle, le mâle ne stridule pas mais émet des “clic”... “clic”... qu'il produit en détendant d'un seul coup sa jambe postérieure.
Informations complémentaires
kilomètre
104,16
latitude
44.8459
altitude
1361
m
longitude
6.59116
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Des criquets de toutes les couleurs
Point d'intérêt naturel
Un éclair rouge sur le chemin, puis plus rien … Mais si ! Un criquet tout gris est posé sur une pierre grise. Un autre éclair rouge : il s’est envolé puis s’est reposé, créant surprise et désarroi. Voilà de quoi désorienter un prédateur. L’oedipode rouge se préserve ainsi, repliant au repos ses ailes colorées sous ses élytres et jouant alors sur son homochromie. Un éclair bleu ? C’est son cousin l’oedipode bleu !
Informations complémentaires
kilomètre
104,39
latitude
44.8478
altitude
1354
m
longitude
6.59198
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Le bouvreuil pivoine
Point d'intérêt naturel
De petits cris doux et mélancoliques s'échappent d'un arbre dans la forêt. Ce sont ceux du bouvreuil pivoine, petit passereau rondelet, timide. Le mâle se distingue avec son ventre rouge rosé (pivoine !) alors que celui de la femelle est beige. Tous deux ont une calotte noire. Il vit souvent par petites bandes se maintenant en contact par leurs petits cris. Il est sédentaire.
Informations complémentaires
kilomètre
104,61
latitude
44.8496
altitude
1359
m
longitude
6.59303
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Le mélèze
Point d'intérêt naturel
Des aiguilles jaunes d’or en automne, des cônes violets au printemps… Le mélèze est un nuancier de couleurs tout au long de l’année, il porte plutôt bien son appellation d’arbre lumière. Il perd ses douces aiguilles caduques en automne et hiver. Au printemps, les petites branches de ce conifère sont parsemées de fleurs femelles, qui deviendront des cônes, et mâles. Le mélèze se plaît sur l’ubac et illumine la montagne.
Informations complémentaires
kilomètre
104,86
latitude
44.8515
altitude
1364
m
longitude
6.59444
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L’anémone des montagnes
Point d'intérêt naturel
Au printemps, fleurit ici l'anémone des montagnes ou Pulsatille des montagnes. C'est une plante couverte d’un duvet de poils blancs aux grandes fleurs penchées, d'un violet noir tranchant avec le jaune vif des nombreuses étamines et aux feuilles très découpées. En été, ses fruits munis d'une longue aigrette forment une tête plumeuse au sommet de la tige. Même si localement est elle bien présente, c'est une espèce peu commune liée aux prairies d'affinité steppique de la vallée de la Durance.
Informations complémentaires
kilomètre
105,00
latitude
44.8527
altitude
1355
m
longitude
6.59506
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