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GRP® - VARIANTE HAUT - ALPINE - Tour des Baronnies provençales

  • Mis à jour le 27/06/2025
  • Identifiant 2951180
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Parking
Commerces
Location
Autre
Autre
Echelle  
durée / niveau
Rando pédestre
32h - Difficile
distance
125,2 km
type parcours
altitude
1517 m 6512 m 555 m -6480 m
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Lieu de départ
Serres
accessibilite
prestations payantes
Non
type(s) de sol

Photos & vidéos (7)

description

Cap sur les Hautes-Alpes ! Traversez une nature brute aux crêtes lumineuses et parcourez des villages pleins de charme et d'authenticité.Partant de Serres, l'itinéraire part au nord sur Sigottier, puis le tracé remonte plus à l'Ouest par Montmorin dans la vallée de l'Oule en longeant le Duffre, point culminant du massif des Baronnies provençales, jusqu'à Rosans par le Col des Pins par la Montagne de l'Archier. Il redescend ensuite vers le Sud, jusqu'à Saint-Auban-sur-l'Ouvèze en traversant les marnes bleutées dans la vallée du Rosanais et la Montagne de Haute-Huche en contrebas de la Vanige. Cap plus à l'Est par le Serre de Rioms, la Montagne de Bouvrège jusqu'à Izon-la-Bruisse, entouré du Rocher du village. On atteind ensuite le Col Saint-Jean au panorama sur la vallée du Buëch jusqu'à la chaine des Ecrins pour gravir les crêtes de la Montagne de Chabre et rejoindre le Col Saint-Ange. De là, le GRP remonte au Nord et traverse Orpierre par Le Suillet et le Col de Garde jusqu'à Trescléoux. On rejoint ensuite Montclus par le Rocher de Beaumont, les crêtes de l'Eyglière et le Col de Saumane, par le Rocher de Jardanne pour redescendre sur Serres.

Parking conseillé

Parking de l'Office de Tourisme

Recommandations

RESPECTER LA TRANQUILLITE du lieu où on se promène, éviter de crier et ne pas utiliser d’instruments ou d’appareils sonores (radio, etc.), par respect pour les autres usagers mais aussi pour la quiétude de la faune, notamment en périodes de reproduction et d’hivernage où les animaux sont beaucoup plus vulnérables. Éviter de cueillir les plantes sauvages : certaines d’entre elles sont protégées.Le chemin passe à proximité de cultures qui sont des propriétés privées, merci de ne rien cueillir dans les champs (lavandes, fruits, etc …).Éviter de randonner dans le lit des cours d’eau. Le piétinement est susceptible de déranger les espèces et la vie aquatique (poissons, libellules, crustacés). Marcher de préférence sur les berges de la rivière.Une partie de l'itinéraire est fortement exposée au soleil, prendre l'équipement nécessaire (eau, casquette, crème solaire, ...) pour les chaudes journées d'été. Privilégier un départ tôt le matin pour éviter les heures chaudes de la journée.ATTENTION ZONE PASTORALE en chemin : en présence de chiens de protection venus à sa rencontre, ne pas les caresser ni les menacer. S’arrêter, puis attendre patiemment la fin du ''contrôle'' avant de reprendre calmement son chemin en contournant le plus possible le troupeau. De préférence, ne pas emmener son chien et, sinon, bien le tenir en laisse. Penser à bien refermer les barrières derrière soi.RISQUE INCENDIE. Le feu est l’ennemi de la forêt… et du randonneur ! Ne pas fumer en forêt et ne pas allumer de feu, d'autant que quelle que soit la saison, c'est interdit ! Et en période estivale, avant de partir en balade, se renseigner sur les conditions et réglementations d’accès aux massifs forestiers

Accès routier

Via la D94 et la D994 depuis Nyons (64 km) et Rosans par la D994 (23 km). De Sisteron par la D4075 et la D1075 (34 km).

Ambiance

"Dans le sud des Hautes-Alpes, c'est une réelle découverte de ce territoire exceptionnel, entre nature sauvage et villages authentiques. Chaque étape est l'occasion de parcourir des crêtes lumineuses aux panoramas spectaculaires, des forêts à la biodiversité préservée et des vallées paisibles baignées de soleil. Entre effort et émerveillement, c'est une réelle immersion au cœur de la Provence alpine, un voyage marquant entre authenticité et beauté sauvage" Pauline Amberg - PNR des Baronnies provençales 

Arrivée

Office de Tourisme, Serres

Départ

Office de Tourisme, Serres

Points d'interêt (63)

A

Panorama sur la vallée du Buëch

Points de vue, panorama
Depuis la crête de Fontarache que le sentier remonte, le point de vue vers le sud permet d'embrasser toute l'étendue de la vallée du Buëch. Marqué à l'ouest par la montagne de Beaumont et à l'est par celles d'Arambre et de Saint-Genis, le point de vue sur la vallée laisse aussi se découper au sud la silhouette rectiligne de la Montagne de Chabre. On distingue également dans le même axe le barrage de Saint-Sauveur et le promontoir marneux de Montrond, donnant son au nom au village attenant.
Informations complémentaires


kilomètre 0,31
latitude 44.4334
altitude 983 m
longitude 5.70152
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B

Vue sur la Montagne d'Arambre

Points de vue, panorama
La montagne d'Arambre est une partie orientale du synclinal de Montmorin. Elle marqua si fortement les esprits qu'elle fut divinisée par les romains. Un autel votif à la déesse Alambrima, trouvé à La Piarre, est aujourd'hui conservé au Musée-muséum départemental à Gap. Au XIXe s. on y exploita le bois pour le charbon, et depuis la forêt à reconquis sont territoire.
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kilomètre 0,40
latitude 44.4331
altitude 978 m
longitude 5.70254
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C

Le tombeau juif

Lieu historique
Sur le bord amont du sentier se trouve un tombeau juif du XIVe s. imposant bloc calcaire de dimensions de 2 mètres par 1 mètre, grossièrement équarri mais de surface plate. Sur sa face supérieure est gravée une inscription hébraïque dont l'interprétation la plus répandue est : "Rabbi Joseph fils de R(abbi) Nathan Que sa mémoire soit bénie en l'année ...". Cette pierre, classée monument historique, témoigne de l'existence d'une communauté juive, installée à Serres aux XIIIe et XIVe s.
Informations complémentaires


kilomètre 1,36
latitude 44.4295
altitude 777 m
longitude 5.71096
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D

La Chapelle Notre-Dame de Bon-Secours

Lieu historique
L'église de Notre-Dame-de-Bon-Secours, construite en 1730, a été en partie creusée dans le rocher. Elle était alors située au quartier de la Haute Coste, sous l'enceinte du château et à côté d'un cimetière privé. La chapelle fut anciennement un lieu de "relevailles" pour les femmes de Serres, qui marquait le premier retour à l'église après l'accouchement.
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kilomètre 1,65
latitude 44.4295
altitude 729 m
longitude 5.71453
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E

Le Cimetière de Bon-Secours

Lieu historique
Ce cimetière privé, calfeutré dans le dos de la Chapelle de Bon-Secours, encerclé d'une enceinte et reposant contre la roche de la Pignolette abrite une quinzaines de défunts. Au milieu de la végétation qui habille le lieu, un tombeau bâtit à la fin du XIXe s. en grosses pierres taillées se distingue : celui la famille Itier-Dubois. Le cimetière appartient de nos jours à la municipalité mais conserve une ambiance intime et réservée de part son ancienneté et sa petite taille.
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kilomètre 1,66
latitude 44.4295
altitude 728 m
longitude 5.7146
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F

L'ancienne citadelle de Serres

Lieu historique
Sur le rocher de la Pignolette, surplombant la ville, se tenait un château, dès le Xe s. Vers 1580, Lesdiguières le transforme en citadelle et en fait le siège d'une garnison protestante. En 1633, elle est détruite par la monarchie afin de mieux contrôler la région, contre d'éventuelles révoltes. Les remparts sont encore bien visibles. Au centre du rempart ouest, la porte de l'Auche, donnait accès aux jardins, aux vignes et aux terres cultivées.
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kilomètre 2,07
latitude 44.4299
altitude 717 m
longitude 5.71547
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G

Serres, porte d'entrée des Baronnies

Lieu historique
La ville de Serres est localisée à l'entrée d'une clue du Buëch en venant du sud. Cette crête aurait donné son nom à la ville, puisqu'un "serre" est, en provençal, une crête de forme allongée. La ville s'est développée au pied d'un château. Cet ensemble était à la fois un point de contrôle des passages, notamment militaires, et un lieu d'accueil et de commerce sur la route qui reliait une partie de la Provence et du Comtat Venaissin à l'Italie par le Buëch.
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kilomètre 2,24
latitude 44.4298
altitude 667 m
longitude 5.7173
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H

Vue sur les falaises de Sigottier

Points de vue, panorama
Peu avant le Col de Saumane, depuis la crête de Fontarache, un point de vue se libère au nord-est sur la vallée du Torrent d'Aiguebelle. Au nord, cet affluent du Buëch a percé la barrière des Rochers d'Agnielle à l'endroit où se tient aujourd'hui le village de Sigottier. Les falaises situées à l'est de cette clue sont équipées pour l'escalade et présentent de grandes écailles de calcaire particulièrement appréciées des grimpeurs pour leur compacité et l'ambiance minérale qu'elles apportent.
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kilomètre 4,99
latitude 44.4369
altitude 1049 m
longitude 5.69553
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I

Entouré de rochers

Lieu historique
Blotti dans le creux des falaises, au bord de l’Aiguebelle (Belle eau en provençal), Sigottier est un site classé. Ses gorges pittoresques et les grottes de la montagne d’Agnelle auraient abrité les premiers habitants de nos territoires et on trouve un menhir renversé au-dessus du village. Plus loin, on aperçoit des traces de houille et les restes d’une exploitation de plombagine argentifère. Les galeries furent fermées vers 1914. Au centre du village, le château (privé) est du XVIème siècle. Avec ses rochers, Sigottier est aussi un site d'escalade réputé.
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kilomètre 8,95
latitude 44.4542
altitude 717 m
longitude 5.693
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J

Une géologie particulière

Point d'intérêt naturel
Les Alpes provençales sont marquées par une forte tectonique, notamment des plis et des failles, visibles dans le paysage. On peut observer de nombreuses roches aux plis singuliers. Ce sont des strates de roches sédimentaires déformées en plis. Ces plis sont dus aux forces tectoniques exercées lors de la formation des Alpes. La collision horizontale des plaques tectoniques a comprimé des couches de sédiments, initialement à plat au fond des mers, créant des plis et des failles.
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kilomètre 10,85
latitude 44.4573
altitude 818 m
longitude 5.67134
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K

Le forgeron des forêt

Point d'intérêt naturel
Le Pic noir (Dryocopus martius), est le plus grand oiseau de la famille des Picidés européen. Il se distingue des autres Pics par sa calotte rouge au-dessus de sa tête, et son pelage noir. Il privilégie les boisements de hêtres pour creuser ses cavités mais c'est aussi un grand amateur d'insectes, en particulier de fourmis. Lorsqu'il tambourine avec son bec, c'est avant tout pour avertir de la présence de possibles concurrents mâles et garder son territoire.
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kilomètre 15,13
latitude 44.4542
altitude 1202 m
longitude 5.63291
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L

Une forêt humide

Point d'intérêt naturel
Une hêtraie est une forêt de hêtres (Fagus sylvatica), une essence des environnements frais et humides mais qui est sensible au réchauffement climatique. On la trouve surtout en moyenne montagne, dans des vallons creusés par des rivières ou sur des versants ombragés.  Au printemps, l'apparition du feuillage des arbres, elle abrite une grande variété de plantes précoces. C'est aussi un espace privilégié pour de nombreuses espèces comme le Pic noir (Dryocopus martius), la Chouette de Tengmalm (Aegolius funereus) et des chauves-souris qui y trouvent refuge dans ses cavités.
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kilomètre 16,00
latitude 44.4519
altitude 1287 m
longitude 5.62435
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M

Les sommets des Baronnies provençales

Points de vue, panorama
Du Col d'Arron, on aperçoit  juste en amont, le Duffre, point culminant du Parc naturel des Baronnies Provençales, perché à 1760 m d’altitude. Il offre une vue incroyable à 360° sur des montagnes emblématiques. Au nord, le Pic de la Meije (3982 m), la Barre des Écrins (4102 m). Au sud, la montagne de Chamouse (1531 m), le Mont Ventoux (1910 m) et la montagne de Bluye (1051 m). Le Duffre est à la fois la limite entre les départements de la Drôme et des Hautes-Alpes, et la limite entre 3 bassins versants : l'Eygues, le Buëch et la Drôme.
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kilomètre 17,96
latitude 44.4568
altitude 1450 m
longitude 5.60717
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N

Au centre du Serrois - Rosanais

Points de vue, panorama
Ce petit point de vue se situe à la sortie de la forêt de résineux, après à peine de 2 km de marche. Il offre une vue dégagée sur toutes les montagnes du nord des Baronnies provençales. On aperçoit notamment à l’est la montagne de Raton (1473 m), dans son prolongement le Fourchat (1571 m) et la montagne de Maraysse (1567 m). En cas de temps totalement dégagé, le Mont-Ventoux (1910 m) peut pointer son nez derrière la montagne de Geine (1261 m).
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kilomètre 19,70
latitude 44.4642
altitude 1463 m
longitude 5.58984
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O

Lin à feuilles de Salsola

Point d'intérêt naturel
Son nom latin est Linum appressum. On retrouve cette espèce principalement dans les pays bordant la Méditerranée. En France, elle se situe sur les pelouses calcaires arides des Alpes du Sud et dans une partie du Sud-Ouest et des Pyrénées. Elle peut mesurer entre 5 cm et 40 cm, et ses fleurs blanches rayées de rouge, émergent entre mai et juillet. Parmi ses propriétés médicinales, elle est excellente pour les inflammations des voies respiratoires.
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kilomètre 22,23
latitude 44.4711
altitude 1244 m
longitude 5.569
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P

Le chanteur des haies

Point d'intérêt naturel
Le Pouillot véloce (Phylloscopus collybita) est un tout petit oiseau d'environ 10 cm de long et pesant moins de 10 g. Il fréquente principalement les forêt denses ou les boisement humides, où son plumage brun-verdâtre lui permet de se camoufler dans la végétation. Bien qu'il soit discret et difficile à repérer, il est facilement identifiable à son cri caractéristique, un "huit" interrogatif qu'il émet régulièrement.
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kilomètre 22,95
latitude 44.4648
altitude 1235 m
longitude 5.56925
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Q

Montmorin, village pittoresque

Lieu historique
Le village de Montmorin, pittoresque avec son château, sa tour de l’horloge et son église, invite à la découverte. Un peu à l'écart, la chapelle Notre-Dame-de-la-Paix et les vieilles ruelles ombragées ajoutent au charme du lieu. Montmorin est aussi le village natal des ancêtres de Jean Moulin, héros de la Résistance. Son arrière-grand-père, Pierre Moulin, y était tisserand. Aujourd'hui, il ne reste de la maison familiale que quelques pierres dans une ruelle du village.
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kilomètre 26,69
latitude 44.4508
altitude 778 m
longitude 5.54118
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R

Les Secrets de l'Oule

Point d'intérêt naturel
L'Oule désigne aussi bien la rivière que la montagne , sur laquelle celle-ci  prend sa source. Elle est aménagée avec des digues et des canaux. Cela n'empêche pas la présence du Castor d'Europe (Castor fiber Linnaeus). Depuis un peu plus d'une trentaine d'années, cette espèce protégée a recolonisé progressivement et discrètement l'ensemble des rivières et des bassins versants de l'Eygues, l'Oule et l'Ouvèze.  Sa présence est aisément détectable grâce aux indices qu'il laisse derrière lui (branches taillées en crayon, barrages).
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kilomètre 27,11
latitude 44.4503
altitude 753 m
longitude 5.53695
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S

La Montagne du Risou en vue

Points de vue, panorama
Le Risou (1182 m), remarquable au cœur de la vallée, se dresse comme le dernier vestige de la couche calcaire du Turonien qui autrefois recouvrait le bassin du Rosanais. Cette montagne est un exemple de "butte témoin" en géologie. La roche compacte de son sommet protège les couches inférieures de ses pentes, constituées de marnes de Cénomanien, beaucoup plus vulnérables à l'érosion. Ce relief abrupt, avec son mur rocheux visible au sommet se distingue nettement du paysage environnant. Autrefois habité, il possédait un château en 1023.
Informations complémentaires


kilomètre 34,00
latitude 44.4204
altitude 1099 m
longitude 5.50829
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T

Le Pic Noir

Point d'intérêt naturel
Le Pic noir (Dryocopus martius) mesure environ 45 cm, avec un plumage noir et une calotte rouge chez le mâle, noire chez la femelle. Cette espèce vit dans des forêts denses de feuillus et de conifères, souvent dans les forêts anciennes avec de grands arbres et des cavités pour nicher.  Il utilise son bec robuste pour percer l'écorce des arbres et atteindre les larves d'insectes. Il s'en sert également pour communiquer, marquer son territoire et attirer un partenaire par un bruit de tambourinement.
Informations complémentaires


kilomètre 35,83
latitude 44.4178
altitude 1058 m
longitude 5.48993
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U

Une forêt bien gardée

Point d'intérêt naturel
La forêt domaniale de l'Eygues s'étend sur 20 km2 et son territoire à l'est se situe principalement dans le Rosanais. Elle bénéficie d'un statu de Zone Naturellesd’Intérêt Ecologique Faunistique et Floristique (ZNIEFF), qui souligne son intérêt écologique. On y retrouve l'Inul variable (Inula bifrons), espèce protégée nationalement ; le Sérin à feuilles de silaus (Katapsuxis silaifolia), seule espèce remarquable du site mais également des Tetras lyre (Lyrurus tetrix).
Informations complémentaires


kilomètre 36,99
latitude 44.4125
altitude 1030 m
longitude 5.48064
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V

De l'eau dans le vallon de l'Estang ?

Point d'intérêt naturel
Aux abords du vallon de l’Estang, on retrouve quantité de noms de lieux qui sont liés à l’eau. « L’estang » laisse deviner la présence d’un étang peut être aménagé mais depuis longtemps asséché. La « font du Roure » rappelle qu’en provençal « font » signifie « source » et non fontaine. Quant au « roure », il s’agit d’un chêne. Le « grand Raille » est le cours d’eau en fond de vallon, alors que les « Esserennes » désigneraient un lieu éloigné (ici du village) où il y aurait de l’eau.
Informations complémentaires


kilomètre 39,94
latitude 44.3995
altitude 790 m
longitude 5.47518
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W

Le château des Pape-Saint-Auban

Lieu historique
Construit en haut du village, le château contrôlait une de ses entrées en direction du sud. Il fût construit en plusieurs temps à partir d'une tour et de salles datées du XIIIe s. Au XVIe s. les Pape-Saint-Auban, seigneurs du lieu, réorganisent leur château pour en faire un des bastions du protestantisme et une demeure plus agréable à vivre. Les Pape-Saint-Auban adoptent le protestantisme dès les années 1550 et participent activement aux épisodes militaires des guerres de religion.
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kilomètre 58,91
latitude 44.2899
altitude 596 m
longitude 5.42029
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X

Les cimetières des bastions protestants

Lieu historique
Les cimetières protestants sont assez rares. Pourtant, on en trouve deux dans la vallée de la Haute Ouvèze à Ste-Euphémie et à St-Auban. Ils datent du XIXe s. et font suite à la période de la Révocation de l'Édit de Nantes, au cours de laquelle les protestants se faisaient enterrer dans leurs "jardins". À St-Auban, le cimetière de la communauté comprend environ 150 sépultures. À Ste-Euphémie, le cimetière fût d'abord celui d'une famille du village avant de servir à d'autres protestants.
Informations complémentaires


kilomètre 59,17
latitude 44.289
altitude 627 m
longitude 5.41733
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Y

Un décor spectaculaire

Points de vue, panorama
Le Pas de Bouvrège offre un panorama hors norme sur les montagnes et vallées environnantes. Au nord,  celles de l’Ennuyée et de l’Ouvèze, suivies par la vallée de l’Eygues ; au sud, les vallées de la Méouge, du Toulourenc et du Jabron. Ce lieu offre une vue remarquable sur l'ancien fort de Mévouillon au sud-ouest, avec en arrière-plan la Montagne du Duc. Plus à l’ouest, la Montagne de Bouvrège se dresse, dominée par le Mont-Ventoux. Au nord-est, le pic de la Montagne de Chabre se dessine à l’horizon.
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kilomètre 68,33
latitude 44.252
altitude 1067 m
longitude 5.49698
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Z

Le berceau des Baronnies provençales

Lieu historique
En contrebas, le "Fort de Mévouillon" domine le paysage, perché sur ce promontoire rocheux. Autrefois édifié d'une forteresse, il surplombe le village de Mévouillon, berceau des Baronnies provençales et fut occupé de la préhistoire au XVIIe siècle. Dès l'An Mil, la seigneurie de Mévouillon domine et organise la région pendant trois siècles. Convoité au XVIe siècle, il devient une source de conflits religieux jusqu'en 1620. Sous Richelieu, le fort est démoli en 1640 et est entièrement rasé en 1684.
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kilomètre 68,51
latitude 44.2516
altitude 1042 m
longitude 5.49913
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Terres de parapente

Autre
Dans les Baronnies provençales, le parapente est une activité phare qui attire les passionnés, amateurs et professionnels. À Mévouillon, le site est réputé et  les décollages s’enchaînent au-dessus des vallées, des crêtes et des cultures de lavande. L'occasion de découvrir les richesses de cette région sous un autre angle. De nombreux club sont implantés sur le territoire, comme à Mévouillon en contrebas.
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kilomètre 68,73
latitude 44.2514
altitude 1016 m
longitude 5.50186
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Le relief majestueux des Baronnies provençales

Points de vue, panorama
La Montagne de Chamouse, culminant à 1531 m d'altitude, est l’un des reliefs majeurs des Baronnies. C'est le point culminant d'un vaste bassin synclinal orienté est-ouest, dans lequel l'Ouvèze s'écoule. Ce vaste espace de pâturage, aux pelouses sèches et rocailleuses, abrite une réelle diversité écologique. Le Merle de roche, emblématique de ces milieux, ainsi que la Fritillaire du Dauphiné (Fritillaria tubiformis), une plante rare mais répandue ici, bien qu’elle ne pousse que dans une petite partie du sud-est de la France.
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kilomètre 72,94
latitude 44.2561
altitude 1376 m
longitude 5.55225
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Un lieu chargé d'histoire

Lieu historique
Ce lieu abritait autrefois une bergerie, appelée "La Forestière". Basé initialement à Verclause, le Maquis Ventoux s'était replié ici, dès novembre 1943. Pensant être un site sûr, les résistants furent surpris par la division Brandebourg, composé d'Allemands et d'environ 300 Français, enrôlés dans l'armée allemande. Le 22 février 1944, 60 assaillants dont 4 infiltrés, attaquent en contrebas, à Izon-la-Bruisse. Les rafales approchant, le camp de la Forestière est alors évacué.
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kilomètre 75,17
latitude 44.2524
altitude 1235 m
longitude 5.57454
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Les Barons de Mévouillon

Lieu historique
Au cours du Moyen Âge, cette terre appartenait aux barons de Mévouillon, famille régnant sur les Baronnies Provençales pendant trois siècles. Avant cette période charnière, Izon était une communauté de l’élection de Montélimar, de la subdélégation et du bailliage de Buis, formant une paroisse du diocèse de Gap. Au début du XVIIIe siècle, son église était placée sous le vocable de saint Rémy et ses dimes appartenaient au prieur de Mévouillon.
Informations complémentaires


kilomètre 77,09
latitude 44.2559
altitude 1046 m
longitude 5.59358
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Les glissements de terrain du Laravour

Point d'intérêt naturel
Un glissement de terrain correspond à une masse de terre et de roches se détachant et glissant en contrebas. Le Laravour, lieu-dit de la commune de Sainte-Colombe, a connu une succession de glissements de terrain. Après un mouvement de l'ensemble de la montagne de Chabre, le premier glissement eu lieu en 1953. En 2003, un second glissement s'est produit, emportant avec lui entre 35 et 40 hectares, détruisant un ancien centre de vacances, et continue encore aujourd'hui à glisser...
Informations complémentaires


kilomètre 83,17
latitude 44.2697
altitude 1278 m
longitude 5.65257
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La carrière de la Dragonnière

Lieu historique
Au sud-ouest de Sainte-Colombe, dans le rocher de la Dragonnière, se trouve dans une brèche une ancienne carrière d'exploitation minérale. Un banc de calcite de plus de deux mètres de large était exploité. On l'extrayait et l'exportait, pour la transformer en faux marbre. Une fois la calcite concassée, elle était reconstituée avec un ciment puis polie et découpée en dalles destinées à carreler les sols. Cette exploitation s'est arrêtée dans les années 1960.
Informations complémentaires


kilomètre 83,69
latitude 44.2725
altitude 1309 m
longitude 5.65747
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Panorama sur le village de Sainte-Colombe

Lieu historique
Le village de Sainte-Colombe se situe au pied d'une dalle de calcaire Jurassique, le rendant presque invisible. À l'occasion de fouilles réalisées en 1965, sur le versant nord ouest de ce rocher, un village protohistorique a été découvert. Parmi les trouvailles, ont été mis au jour des vestiges de construction, des céramiques fines et décorées, des perles d'ambres et des objets en bronze datant de l'âge de Fer (de -800 av. J.-C. au 1er s. de notre ère).
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kilomètre 84,33
latitude 44.2731
altitude 1275 m
longitude 5.6652
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Un cimetière oublié

Lieu historique
Peu après avoir découvert les vestiges du site protohistorique de Sainte-Colombe, en 1960, un paysan qui travaillait sa terre fit apparaitre de nombreux squelettes. Cette découverte souleva un certain émoi, jusqu'au jour où on découvrit dans le cadastre napoléonien qu'il s'agissait du "cimetière Vieux" du village, qui était déjà cultivé au début du XVIIe s.
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kilomètre 84,99
latitude 44.2748
altitude 1226 m
longitude 5.67316
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La plante aromatique aux multiples vertus

Point d'intérêt naturel
Le thym commun (Thymus vulgaris), abondant sur la crête de la montagne de Chabre, est une plante médicinale aux vertus reconnues. Riche en huiles essentielles, il possède des propriétés antiseptiques, antibactériennes et antifongiques, idéales pour soigner infections respiratoires et troubles digestifs. Utilisé en infusion, il apaise la toux et favorise la digestion. Sa résistance au climat sec en fait une plante emblématique des milieux méditerranéens. En plus, il attire abeilles et papillons, contribuant à la biodiversité locale.
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kilomètre 85,57
latitude 44.2775
altitude 1249 m
longitude 5.67925
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La fleur sauvage des montagnes

Point d'intérêt naturel
L’Anthyllide des montagnes (Anthyllis montana) est une plante vivace typique des milieux secs et rocailleux. Elle s’épanouit sur les rochers et pelouses des montagnes calcaires, où elle forme de belles touffes fleuries. Cette espèce se rencontre principalement dans le Sud et le Sud-Est de la France, où elle est localement abondante. Sa floraison de mai à juin, aux teintes rose violacé, apporte une touche de couleur aux paysages minéraux alpins et méditerranéens.
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kilomètre 86,22
latitude 44.279
altitude 1286 m
longitude 5.6868
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De la couleur sur les crêtes

Point d'intérêt naturel
La Véronique couchée (Veronica prostrata), petite plante vivace tapissante, colonise les milieux rocailleux et ensoleillés de la crête de Chamouse. Adaptée aux conditions rudes d’altitude, elle se reconnaît à ses feuilles ovales et à ses petites fleurs bleu violacé. Discrète mais résistante, elle participe à la richesse floristique de ces pelouses d’altitude. Elle joue un rôle essentiel dans la stabilisation des sols fragiles de la crête. Sa floraison éclaire le paysage et témoigne de la diversité naturelle unique de la montagne.
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kilomètre 86,59
latitude 44.2801
altitude 1308 m
longitude 5.69129
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À chacun son versant

Points de vue, panorama
Parcourir la ligne de crête permet de bien distinguer les caractéristiques différentes des deux versants de la montagne. Le versant sud, communément appelé "adret", est exposé au soleil et abrite une végétation méditerranéenne. On y trouve des chênes blancs, du buis, des genévriers ainsi que du thym et de la lavande. Sur le versant nord, nommé l'"ubac", l'ambiance change : cette partie de la montagne est plus humide et plus fraîche, et on y trouve des forêts de hêtres, d'érables, de houx et, sous les crêtes, des tilleuls.
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kilomètre 87,21
latitude 44.2816
altitude 1306 m
longitude 5.69859
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Belvédère du col Saint-Ange

Points de vue, panorama
Pour se situer : devant nous, la vallée du Céans ; derrière nous, la vallée de la Méouge. Ces deux rivières se jettent à notre droite dans le Buëch. Au nord, au plus loin, on distingue le massif des Ecrins. Juste devant, c’est la montagne de Saint-Genis avec ses falaises caractéristiques. La montagne juste en face de nous est le Rocher Saint-Michel (1216 m). Il cache le village d’Orpierre. Mais on aperçoit tout de même quelques falaises. Dans le ciel, il y a sûrement des parapentes ou des deltaplanes.
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kilomètre 87,71
latitude 44.2833
altitude 1270 m
longitude 5.70411
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D'un passé agricole à une forêt

Point d'intérêt naturel
La forêt de Beynaves a été reboisée par l’homme à la suite de la déprise agricole qui a touché ce territoire après la Première Guerre mondiale. Sous l’impulsion du Préfet des Hautes-Alpes, une forêt départementale y est créée en 1932, dans le but de prévenir les risques d’inondation menaçant les villages en contrebas. En effet, la présence d’arbres permet de stabiliser les sols et de mieux réguler le débit des sources et des torrents. Autrefois, le site de Beynaves abritait une exploitation agricole où l’on cultivait des céréales, des fourrages pour les ovins, ainsi que des fruits, de la lavande et du tilleul.
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kilomètre 88,59
latitude 44.2863
altitude 1094 m
longitude 5.69699
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Une forêt remarquable par sa diversité

Point d'intérêt naturel
De nombreuses essences d’arbres cohabitent dans cette forêt : le pin noir d’Autriche (Pinus nigra nigra), principale espèce de reboisement, le mélèze (Larix decidua), l’érable sycomore (Acer pseudoplatanus) ou encore le merisier (Prunus avium). En tendant l’oreille, il est possible d’entendre le chant mélodieux de la fauvette à tête noire (Sylvia atricapilla), marqué par un "tac" sec et percutant,  ainsi que l’appel caractéristique du coucou gris (Cuculus canorus), un "cou cou" à la tonalité claire et sonore.
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kilomètre 89,43
latitude 44.2915
altitude 1050 m
longitude 5.69165
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Mousses et lichens, ornements des ubacs

Point d'intérêt naturel
Les mousses et les lichens qui habillent les arbres de ce versant ombragé sont des végétaux dit "épiphytes" (qui poussent sur d'autres plantes) et ne constituent pas des parasites pour leurs supports. Les lichens sont le fruit d'une symbiose entre un champignon et une algue. Les tapis de mousse et "touffes" de lichens qui colorent le bois de cet ubac (versant n'étant pas frappé directement par le soleil) témoignent du fait que ces végétaux apprécient principalement les secteurs humides et frais.
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kilomètre 91,92
latitude 44.3071
altitude 826 m
longitude 5.69542
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L'hépatique, 50 nuances de violet

Point d'intérêt naturel
L'Anémone hépatique (Hepatica nobilis) ou "Fleur de la trinité" se remarque notamment par la couleur mauve de ses pétales qui peut varier selon les différents plants. On peut ainsi observer certaines hépatiques d'un violet profond tandis que d'autres sont d'un rose très pâle, presque blanc. La feuille présente trois lobes qui lui donnent une forme proche de celle d'un foie et constitue un bon moyen pour se rappeler de son nom : l'hépatique. Elle est utilisée en décoction pour ses propriétés diuréthiques.
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kilomètre 92,62
latitude 44.3103
altitude 732 m
longitude 5.69864
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Les temples protestants d’Orpierre

Lieu historique
Un premier temple existait à Orpierre dès les années 1560. Un second est construit à la fin du XVIe s. et détruit à la Révocation de L'Édit de Nantes en 1685. Lors de la promulgation de L'Édit de Nantes le 13 avril 1598, les consuls d'Orpierre décidèrent de fondre une cloche destinée à l'horloge publique. Ce clocher menaçant de s’effondrer, la cloche fut démontée et transférée à la fin du XIXe s. au clocher de l’église où elle subsiste toujours. Le temple actuel fut bâti en 1835.
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kilomètre 93,58
latitude 44.3135
altitude 687 m
longitude 5.6943
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Paysans savonniers

Autre
Les Paysans Savonniers, l’entreprise familiale d'Alexa et Sylvain est située à Orpierre. Elle est spécialisée dans la production de cosmétiques naturels à base de plantes sauvages locales et respecte les engagements : d’utilisation de plantes récoltées localement certifiées Agriculture Biologique (AB) et SIMPLES, de production artisanale, sans huile exotique ni matière grasse animale, et de respect du cahier des charges Cosmétiques de Nature & Progrès. Retrouvez-les dans les points de vente locaux. Pour plus d'infos, contacter ou consulter le site www.paysanssavonniers.fr
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kilomètre 93,66
latitude 44.3135
altitude 681 m
longitude 5.69333
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Mines du Belleric et du Suillet

Lieu historique
Au nord du village, au fond du vallon du Belleric, une mine de plomb et de zinc, propriété de la commune, a été exploitée par des sociétés privées entre 1880 et 1909, principalement entre 1903 et 1907. Elle fut abandonnée en 1911. Jusqu’à 70 ouvriers ont travaillé sur le site. On y observe encore les trous d’entrée de mines, alors que les terrasses sont formées avec des déchets d’extraction. Ces galeries sont anciennes et présentent des dangers. Elles ne sont pas ouvertes au public.
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kilomètre 93,68
latitude 44.3135
altitude 681 m
longitude 5.69311
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Le Portail

Lieu historique
Le « Portail » était une des trois portes percées dans les remparts entourant le village du Moyen-Âge à 1633. On le désignait comme la Porte du Levant. A proximité, se trouvait une auberge qui existait déjà au XVIe s. et s’appelait alors « L'Ecu de France ». Elle changea plusieurs fois de nom aux siècles suivants. Possession à l'origine de la famille protestante Michel, entre le XVIe et le XVIIIe s., ses propriétaires suivants furent généralement protestants jusqu'aux années 1980.
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kilomètre 93,72
latitude 44.3135
altitude 684 m
longitude 5.69263
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La Grand Rue

Lieu historique
Cette rue était l'ancien chemin qui reliait l'Italie à Avignon et était très emprunté par de nombreux pèlerins, commerçants, banquiers, orfèvres entre les XIVe et le XVIIIe s. On y retrouve des maisons de notables qui témoignent d'une richesse passée et des lieux de pouvoirs locaux : maisons de Périssol (seigneur de Poët) et des Autard de Bragard, capitaines Huguenots, maison du Prince, occupée par les Chalon-Arlay de 1334 à 1530, Orange Nassau de 1530 à 1702 et Conti de 1702 à 1741.
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kilomètre 93,73
latitude 44.3135
altitude 685 m
longitude 5.69254
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Café Roman

Lieu historique
Au XVIe s., c'était la maison d'Elysée Maigre, un personnage important dans la communauté protestante de l'époque représentant une branche des nombreuses familles Maigre. Plusieurs de ses descendants émigrèrent en Allemagne dans la région de la Hesse, à la Révocation de l'Edit de Nantes et fondèrent une colonie et un village nommé Kelze. En 1985 à l'occasion des manifestations autour du Tricentenaire de la Révocation une délégation de cette région se déplaça à Orpierre sur la terre de leurs ancêtres.
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kilomètre 93,75
latitude 44.3135
altitude 689 m
longitude 5.69228
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Les princes d'Orange

Lieu historique
La principauté d’Orange, longtemps terre d’Empire, fut rattachée au royaume de France en 1703. Bertrand 1er des Baux, en fut le premier prince à la fin du XIIe s. La principauté passa à la famille de Chalon en 1393 et aux Nassau en 1544. Les titulaires les plus marquants de cette principauté furent Jean de Chalon dit « le sage » (1190-1267), Guillaume 1er d’Orange-Nassau dit le Taciturne (1533-1584) et Guillaume III, prince d’Orange et roi d’Angleterre (1650-1702).
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kilomètre 93,80
latitude 44.3134
altitude 694 m
longitude 5.69167
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Les vestiges de l’ancienne fortification

Lieu historique
Au XIVe s., les fortifications villageoises avaient été édifiées sous Jean de Chalon 1er dit « Jean le Sage » et confortées par Charles Dupuy Montbrun dans les années 1560, dont les troupes ont occupé Orpierre pendant les guerres de religion. Les fortifications étaient constituées de hautes murailles et de 3 tours, dont une qui a disparue. Elles ont été démantelées en 1633 sur ordre de Richelieu qui ne voulait pas que les protestants prennent position dans les villes de garnisons fortifiées.
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kilomètre 93,91
latitude 44.3142
altitude 722 m
longitude 5.69167
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Oratoire du Gros Doigt

Lieu historique
Cet oratoire est un ex-voto construit en septembre 1870 en remerciement d’un vœu adressé à la Vierge. Un éboulement de rochers de la falaise du Rochas avait causé des dégâts sur les maisons des quartiers de La Plaine et La Côte. Un des rochers avait traversé le toit d’une maison et était passé au pied du lit d’une enfant de 7 ans, finissant sa course à l’étage inférieur. L’oratoire fut restauré dans les années 2000 par l'association « Les Amis d'Orpierre ».
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kilomètre 93,98
latitude 44.3144
altitude 763 m
longitude 5.69088
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Le Suillet

Points de vue, panorama
Le Suillet est le point culminant (1323 m) de la chaîne qui sépare la vallée du Céans et le Quiquillon d’une part, de la vallée de la Blaisance et du rocher de Garde d’autre part. Il offre une vue panoramique sur la vallée du Céans et les falaises d’Orpierre. Au sud, les sites de Paturle et de Beynaves, auraient été des lieux de rendez-vous et de culte des protestants d'Orpierre et des environs pendant la période de la Révocation de l’Edit de Nantes de 1685 à 1787.
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kilomètre 98,21
latitude 44.3304
altitude 1292 m
longitude 5.70529
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La Table des bergers

Points de vue, panorama
C’est un belvédère rocheux en forme de table ou de comptoir d'où on peut admirer la vue plongeante sur Trescléoux, la vallée de la Blaisance et le bois de la Garenne où les protestants de Trescléoux se retrouvaient en assemblées au XVIIIe s. On aperçoit au loin le village de Serres qui fut une place de sureté protestante jusqu’en 1598. Par temps dégagé, il est possible d’observer les montagnes du massif du Dévoluy en arrière-plan.
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kilomètre 99,42
latitude 44.3384
altitude 1209 m
longitude 5.71487
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L'ancien moulin du village

Lieu historique
Trois moulins étaient présents à Trescléoux et leur existence est attestée depuis le XIVe s. Un mur de l’ancienne écluse constitue les derniers vestiges visibles du moulin communal. Deux ouvertures permettaient à l’eau d’entrer et de faire tourner les rouets qui actionnaient les meules à blé et à seigle. Le gruaire était destiné à émonder l’épeautre. Ce moulin appartient jusqu’en 1557 au prieur, qui le cède à la communauté des habitants de Trescléoux.
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kilomètre 102,67
latitude 44.3515
altitude 658 m
longitude 5.70823
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Les fontaines lavoirs de Trescléoux

Lieu historique
Dans le village, il existe 6 fontaines-lavoirs qui sont réparties dans chaque quartier. Chacune a été construite entre le XVIIe et le XIXe s. Certaines servaient à désaltérer les passants, à distiller la lavande ou aux grandes lessives qui avaient lieu 3 à 4 fois par an et sur 3 ou 4 jours. L’été, les habitants de Trescléoux fêtent leurs fontaines. Un concours de décoration de la plus belle fontaine du village permet alors de rendre hommage à ces fontaines. 
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kilomètre 103,11
latitude 44.3541
altitude 669 m
longitude 5.70956
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L'histoire du village de Trescléoux

Lieu historique
Le site de Trescléoux est habité dès la préhistoire. Des haches de pierre du Néolithique y ont été découvertes. On y trouve des traces d’occupations pour les périodes protohistoriques, pour l’antiquité et le haut Moyen-Age. En 1075, un prieuré de l’abbaye Saint-Victor de Marseille est fondé et depuis le village est désigné sous le nom de Trescléoux. Le château seigneurial et une église sont détruits pendant les guerres de religion et, en 1631, le village est dévasté par la peste. 
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kilomètre 103,16
latitude 44.3541
altitude 674 m
longitude 5.70902
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Entouré de rochers

Lieu historique
Blotti dans le creux des falaises, au bord de l’Aiguebelle (Belle eau en provençal), Sigottier est un site classé. Ses gorges pittoresques et les grottes de la montagne d’Agnelle auraient abrité les premiers habitants de nos territoires et on trouve un menhir renversé au-dessus du village. Plus loin, on aperçoit des traces de houille et les restes d’une exploitation de plombagine argentifère. Les galeries furent fermées vers 1914. Au centre du village, le château (privé) est du XVIème siècle. Avec ses rochers, Sigottier est aussi un site d'escalade réputé.
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kilomètre 103,19
latitude 44.3543
altitude 679 m
longitude 5.70868
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Un passé protestant

Lieu historique
Niché entre les rochers au cœur de la vallée de la Blaisance, Trescléoux date du XIIᵉ siècle. Ses ruelles conservées, ses placettes, ses petits lavoirs et fontaines, offrent un charme d’antan typique à ce village. Depuis le XVIème siècle, la vie du village est dominée par une importante présence des protestants.  L'église Sainte‑Agathe et son temple protestant (1842) sont des vestiges d’un prieuré fondé en 1075. La légende dit que l'église du village a été construite au XIIIe siècle avec des pierres de l'ancien château.
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kilomètre 103,22
latitude 44.3545
altitude 682 m
longitude 5.70839
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Des crêtes époustouflantes

Points de vue, panorama
Depuis les crêtes d'Aumage et celles de l'Eyglière le panorama est exceptionnel. A l'est, en contrebas, la vallée du Buëch et de la Blaisance. Au centre de ces crêtes se dresse le Rocher de Beaumont, situé à 1546 m, offrant un magnifique panorama à 360° sur les massifs alentours. Les préalpes de Digne, le Dévoluy, les Écrins au loin et même le Mont-Ventoux sont visibles. Le sommet offre aussi une superbe vue sur le village de Serres, le Buëch et la Drôme Provençale.
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kilomètre 107,56
latitude 44.3748
altitude 1454 m
longitude 5.6909
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Une diversité d'espèces

Point d'intérêt naturel
Le Rocher de Beaumont est un lieu exceptionnel où de nombreuses espèces sont présentes. Plusieurs oiseaux s'y cotoient et s'y reproduisent sur ces crêtes, comme des rapaces protégés, tel que l'Aigle royal (Aquila chrysaetos), le Circaète Jean-le-Blanc (Circaetus gallicus), ou encore le Pic Noir (Dryocopus martius). Le site compte deux espèces végétales déterminantes : la Dauphinelle fendue (Delphinium fissum), rare renonculacée des rocailles, protégée en Provence-Alpes-Côte d'Azur, et le Cynoglosse de Dioscoride (Cynoglossum dioscoridis).
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kilomètre 108,89
latitude 44.3847
altitude 1515 m
longitude 5.68538
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Au cœur du Rocher

Lieu historique
La Chapelle des Pénitents, blottie à flanc de roche, orne le centre du village de Montclus. Edifiée en 1746, à l’initiative du curé prieur du village, cet édifice était destiné à la confrérie des pénitents blancs, aujourd’hui disparue. La sobre façade est surmontée d’un clocher-mur. Cette architecture abrite de très beaux décors peints à l'intérieur. Grâce au chantier de rénovation entrepris en 1991, des vestiges de fresques sont apparus sous les peintures plus récentes. Les motifs ont été reconstitués le plus fidèlement possible.
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kilomètre 115,96
latitude 44.4149
altitude 724 m
longitude 5.68283
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Monclus, un village marqué par la libération

Lieu historique
Au moment de la libération de la Provence, les maquisards se soulèvent dans toute la région. Les 19 et 20 juin 1944, de violents combats opposent une colonne motorisée de 300 officiers et soldats de la Werhmacht, sous les ordres des S.S. de la Gestapo, à 80 résistants du maquis Morvan. Après avoir subi de lourdes pertes en hommes et matériel, les Allemands reprennent le combat le 20 juin et s'infiltrent dans le dispositif défendu par les F.F.I. Ces derniers se replient sur Rosans. Lendemain les S.S., en représaille, incendient le village de Montclus.
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kilomètre 116,10
latitude 44.4158
altitude 739 m
longitude 5.68409
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