VILLAGE DE BONSON
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 13/05/2015
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Informations
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Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
43.8622
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longitude
7.18728
|
altitude
504 m
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adresse
1 le barbant
06830 Bonson |
accessibilite
|
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services à proximité
Parking
Point d’eau potable
Poste, boîte à lettres
Toilettes publiques
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Mots clés
Village, BONSON, PERHE
|
Photos & vidéos (1)
description
L’antique village de Bonson qui domine la vallée du Var et une partie de son affluent, la Vésubie, est bâti sur une crête rocheuse à 495 m d’altitude.
A l’origine, il était naturellement niché dans un espace formé par des rocs arides et escarpés. Dominé par le château, construit à la place du cimetière actuel, il ne comprenait que les lieux appelés la Tour et le Passet. Ce site privilégié par son panorama qui surplombe le lit sinueux du Var, jusqu’à la mer, ne pouvait autrefois être atteint que par une rampe tortueuse, creusée dans le flanc de la montagne, protégeant ainsi ses habitants des invasions et de la fureur des peuples barbares. Le long des siècles, Bonson verra son nom s’orthographier de façons différentes. Ce sera tout d’abord Buzonum, puis Bonsonum, Bausonum et enfin Bausson qui s’oppose à Baus Roux, signifiant en patois « petit escarpement ».
Par la suite, les déformations topographiques jouant, il deviendra Bonson. Ce village, qui a toujours appartenu au Comté de Nice, faisait partie du grand Diocèse de Glandèves – ville de la Plaine du Var située en amont d’Entrevaux – ce qui nous explique peut-être le nombre d’édifices religieux s’élevant sur la commune, ainsi que les richesses qu’ils contenaient. A partir du XIIIè siècle, la seigneurie de Bonson passe à plusieurs titulaires tels que les Liti, les Lascaris, les Chabaud et les De Gubernatis.
La population de Bonson, qui se trouve toujours sous le commandement de ses seigneurs doit en permanence se soumettre à leurs volontés, leurs humeurs, leurs besoins. Ce ne sera qu’au milieu du XIXè siècle, avec l’avènement d’une République durable, que les conditions de vie dans ce petit village, vont devenir plus agréables. De nombreux sinistres, tels que les tremblements de terre, dont celui du 23 février 1887, causeront toutefois d’importants dégâts et même des morts.
A l’origine, il était naturellement niché dans un espace formé par des rocs arides et escarpés. Dominé par le château, construit à la place du cimetière actuel, il ne comprenait que les lieux appelés la Tour et le Passet. Ce site privilégié par son panorama qui surplombe le lit sinueux du Var, jusqu’à la mer, ne pouvait autrefois être atteint que par une rampe tortueuse, creusée dans le flanc de la montagne, protégeant ainsi ses habitants des invasions et de la fureur des peuples barbares. Le long des siècles, Bonson verra son nom s’orthographier de façons différentes. Ce sera tout d’abord Buzonum, puis Bonsonum, Bausonum et enfin Bausson qui s’oppose à Baus Roux, signifiant en patois « petit escarpement ».
Par la suite, les déformations topographiques jouant, il deviendra Bonson. Ce village, qui a toujours appartenu au Comté de Nice, faisait partie du grand Diocèse de Glandèves – ville de la Plaine du Var située en amont d’Entrevaux – ce qui nous explique peut-être le nombre d’édifices religieux s’élevant sur la commune, ainsi que les richesses qu’ils contenaient. A partir du XIIIè siècle, la seigneurie de Bonson passe à plusieurs titulaires tels que les Liti, les Lascaris, les Chabaud et les De Gubernatis.
La population de Bonson, qui se trouve toujours sous le commandement de ses seigneurs doit en permanence se soumettre à leurs volontés, leurs humeurs, leurs besoins. Ce ne sera qu’au milieu du XIXè siècle, avec l’avènement d’une République durable, que les conditions de vie dans ce petit village, vont devenir plus agréables. De nombreux sinistres, tels que les tremblements de terre, dont celui du 23 février 1887, causeront toutefois d’importants dégâts et même des morts.
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