potale dédiée à la Vierge
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 19/09/2022
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
50.7232
|
longitude
3.15815
|
altitude
43 m
|
|||
adresse
59200 Tourcoing
|
accessibilite
|
||||
Mots clés
#Tourcoing, #niche, #potale
|
Photos & vidéos (1)
![]() |
description
Un épisode de la bataille de Tourcoing est à l’origine de la niche du 3 rue Saint Jacques . Le 18 mai 1794, les avant-gardes françaises débouchèrent, dit-on, par la ruelle des Madrilles (située 4 rue de Lille) sur la Grand-Place qu’occupaient les Autrichiens. Ceux-ci refluèrent dans la rue du Haze pour s’enfuir en abandonnant leur position de la rue des Récollets (appelée Saint Jacques actuellement). Cette péripétie préluda à la victoire finale et fut rappelée à la mémoire de la
population par l’établissement, quelque temps plus tard, de la niche et la pose de sa statue. Bien des années plus tard dans la seconde moitié du XXème siècle la statue fut volée ; retrouvée quelques semaines plus tard à Mouscron, elle fut remplacée par une statue de moindre valeur même si elle n’est pas sans qualité. (Extrait de la publication le petit
patrimoine religieux du Ferrain ARARCO)
Pendant longtemps, les commerces qui occupaient le rez-de-chaussée assuraient l’éclairage par deux bougies lectriques.
Une légende court : la potale erigée sur la façade de deux maisons était régulièrement peinte pour moitié par le propriétaire de l'estaminet au n°3. Propriétaire qui affichait clairement son anticléricalisme.
population par l’établissement, quelque temps plus tard, de la niche et la pose de sa statue. Bien des années plus tard dans la seconde moitié du XXème siècle la statue fut volée ; retrouvée quelques semaines plus tard à Mouscron, elle fut remplacée par une statue de moindre valeur même si elle n’est pas sans qualité. (Extrait de la publication le petit
patrimoine religieux du Ferrain ARARCO)
Pendant longtemps, les commerces qui occupaient le rez-de-chaussée assuraient l’éclairage par deux bougies lectriques.
Une légende court : la potale erigée sur la façade de deux maisons était régulièrement peinte pour moitié par le propriétaire de l'estaminet au n°3. Propriétaire qui affichait clairement son anticléricalisme.