LES FORTIFICATIONS
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 09/12/2023
Sélectionner le fond de carte

PLAN IGN

PHOTOS AERIENNES

CARTES IGN MULTI-ECHELLES

TOP 25 IGN

CARTES DES PENTES

PARCELLES CADASTRALES

CARTES OACI

CARTES 1950 IGN

CARTE DE L’ETAT-MAJOR (1820-1866)

Open Street Map
Afficher les points d'intérêt à proximité
Hébergements
Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
48.772
|
longitude
5.15736
|
altitude
215 m
|
|||
adresse
55000 BAR LE DUC
|
accessibilite
|
description
Vestiges - Aux confins du royaume de France et de l’Empire, place forte et capitale d’une province restée longtemps indépendante, la cité ducale est protégée par plusieurs enceintes dans la vallée et sur le promontoire : chaque quartier possède sa propre muraille. Pas moins de quatre niveaux de protection mettent ainsi les habitants à l’abri du danger.Le château est gardé par une double muraille épousant parfaitement les contours du relief. Quatre grosses tours reliées entre elles par des courtines ferment les angles. Face à la vallée, l’enceinte nord-est sert d’appui aux bâtiments seigneuriaux. À l’opposé, au-dessus du vallon de Véel, l’enceinte dédoublée crée un espace intermédiaire d’accès au château dénommé Baile. Ce lieu sert de place d’armes et de basse-cour au château. Du côté de la ville haute, afin de protéger l’accès le plus aisé de la forteresse, l’éperon rocheux est barré de quatre tours rondes dont celle de l’Horloge constitue aujourd’hui un des derniers témoins.L’enceinte de la ville haute est distincte de celles du château. Le lien entre les deux se fait par une porte fortifiée équipée d’un pont-levis au dessus d’un fossé sec. Trois autres portes solidement défendues contrôlent l’accès au quartier : la Porte-aux-Bois, massive avec son pont-levis, sur la route de France venant de Saint-Dizier ; la porte Phulpin à proximité du château ; ouvrant sur la vallée, la rue de l’Armurier, était défendue par une triple porte fortifiée. De cette enceinte urbaine, quelques vestiges sont toujours visibles à l’instar de la tour Heyblot, rue du Rossignol.Depuis le traité de Bruges (1301), le comte de Bar est vassal du roi de France. Pourtant, à partir de 1624, le duc Charles IV (1624-1675) mène une politique d’indépendance résolument anti-française, obligeant le roi à intervenir militairement. À plusieurs reprises, la ville est occupée. En 1670, Louis XIV ordonne le démantèlement des fortifications de la ville, écartant ainsi toute nouvelle menace.
Producteur de la donnée
Ces informations sont issues de la plateforme SITLOR - Système d’Information Touristique - Lorraine
Elles sont synchronisées dans le cadre du partenariat entre Cirkwi, l’Agence régionale du Tourisme Grand Est et les membres du comité technique de Sitlor.
Elles sont synchronisées dans le cadre du partenariat entre Cirkwi, l’Agence régionale du Tourisme Grand Est et les membres du comité technique de Sitlor.
Note moyenne