Eglise Notre-Dame
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 17/05/2024
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Hébergements
Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
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latitude
49.4916
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longitude
1.21573
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altitude
166 m
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adresse
76160 Préaux
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accessibilite
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Mots clés
Eglise, Notre-Dame, Préaux
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Photos & vidéos (2)
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description
Eglise des 1775-1777, 1836 et 1862 en brique, moellon crépi, pierre et ardoise
L'édifice actuel succède à un édifice ruiné par la foudre. Il bénéficie pour sa construction de matériaux provenant du prieuré de Beaulieu, détruit sur décret de l'archevêque de Rouen en 1772. Il hérite également de quelques éléments de mobilier comme les stalles ou encore des pierres tombales. Des remaniements sont effectués en 1836 (choeur) puis en 1862 (façade ouest) par l'architecte Barthélémy, dans le strict respect du bâtiment originel qui se signale par l'harmonie de ses proportions. le chœur est plus bas et plus étroit que la nef, les travées régulières sont soulignées par des contreforts.
Les deux groupes de trois stalles avec leur prie-Dieu, disposés à l'entrée du chœur, proviennent du prieuré de Beaulieu. Ces stalles présentent des parcloses moulurées ainsi que des sculptures en demi-relief sur les miséricordes et en haut-relief sur les appuie-mains.
L'accès à l'orgue se fait par une tribune supportée par des piliers quadrangulaires. le buffet de la première moitié du 17ème siècle provient de Gruchet-le-Valasse. Son transfert a eu lieu au 19ème siècle. Le triangle divin dessiné dans une gloire sous le buffet, évoque sans doute le rôle de l'orgue.
Encadré de eux pilastres plats et de deux colonne, le retable présente au centre, une toile peinte illustrant l'Adoration des bergers. L'originalité de l'œuvre réside dans le dais à lambrequins qui le couronne. Ce dais qui s'achève en globe est soutenu par quatre volutes sous lesquelles s'abrite un pélican. Tout comme les statues qui l'entourent, signées et datées Paillet, 1721, le retable pourrait provenir du prieuré de Beaulieu.
La chaire en bois date du 18ème siècle. La cuve hexagonale présente un côté galbé orné d'un simple décor de draperie. Le dorsal, quant à lui, est décoré de colonnettes coiffées d'angelots. Avec le livre ouvert, la croix et l'étole, le décor qui surmonte l'abat-voix et une évocation discrète du rôle de ce meuble.
Les fonds baptismaux en marbre datent du 18ème siècle.
À l'extérieur, la croix en pierre a été érigée et bénie en 1846. Cette croix présente sur le dé un décor d'arcatures brisées à deux lancettes et oculi. Les bras octogonaux se terminent en décor floral.
L'édifice actuel succède à un édifice ruiné par la foudre. Il bénéficie pour sa construction de matériaux provenant du prieuré de Beaulieu, détruit sur décret de l'archevêque de Rouen en 1772. Il hérite également de quelques éléments de mobilier comme les stalles ou encore des pierres tombales. Des remaniements sont effectués en 1836 (choeur) puis en 1862 (façade ouest) par l'architecte Barthélémy, dans le strict respect du bâtiment originel qui se signale par l'harmonie de ses proportions. le chœur est plus bas et plus étroit que la nef, les travées régulières sont soulignées par des contreforts.
Les deux groupes de trois stalles avec leur prie-Dieu, disposés à l'entrée du chœur, proviennent du prieuré de Beaulieu. Ces stalles présentent des parcloses moulurées ainsi que des sculptures en demi-relief sur les miséricordes et en haut-relief sur les appuie-mains.
L'accès à l'orgue se fait par une tribune supportée par des piliers quadrangulaires. le buffet de la première moitié du 17ème siècle provient de Gruchet-le-Valasse. Son transfert a eu lieu au 19ème siècle. Le triangle divin dessiné dans une gloire sous le buffet, évoque sans doute le rôle de l'orgue.
Encadré de eux pilastres plats et de deux colonne, le retable présente au centre, une toile peinte illustrant l'Adoration des bergers. L'originalité de l'œuvre réside dans le dais à lambrequins qui le couronne. Ce dais qui s'achève en globe est soutenu par quatre volutes sous lesquelles s'abrite un pélican. Tout comme les statues qui l'entourent, signées et datées Paillet, 1721, le retable pourrait provenir du prieuré de Beaulieu.
La chaire en bois date du 18ème siècle. La cuve hexagonale présente un côté galbé orné d'un simple décor de draperie. Le dorsal, quant à lui, est décoré de colonnettes coiffées d'angelots. Avec le livre ouvert, la croix et l'étole, le décor qui surmonte l'abat-voix et une évocation discrète du rôle de ce meuble.
Les fonds baptismaux en marbre datent du 18ème siècle.
À l'extérieur, la croix en pierre a été érigée et bénie en 1846. Cette croix présente sur le dé un décor d'arcatures brisées à deux lancettes et oculi. Les bras octogonaux se terminent en décor floral.
