L'église Saint-Jean Baptiste de Villedieu-le-château
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 07/08/2023
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
47.7196
|
longitude
0.6477
|
altitude
81 m
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adresse
41800 Villedieu-le-Château
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accessibilite
|
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services à proximité
Parking
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Mots clés
église, Loir, vendôme, ronsard, Valdeloire
|
Photos & vidéos (5)
description
Les visiteurs sont toujours surpris lorsque s'ouvre devant eux cette très belle église. Un émerveillement tout pareil les saisit lorsque soudain tombent les notes métalliques d'un merveilleux concert, celui du carillon.
L'entrée principale est située dans la façade occidentale que surplombe une gargouille originale : sur l'un des contreforts, à droite de la porte s'élance un démon dont la tête grimaçante se tourne avec effroi vers l'entrée de l'église. D'après la tradition, une statue de Saint Michel était logée dans une niche ou sur un socle, au-dessus du pignon. Durant la révolution l'archange a disparu mais le diable continue à tendre l'échine sous la crainte de l'épée flamboyante.
Une porte latérale a été ménagée dans la face septentrionale au milieu de l'édifice. Son encadrement et son fronton d'époque Louis XII, surmontés autrefois d'une niche aux fines sculptures, ont été masqués par une sorte de porche sans style et sans goût.
Cette construction qui ne s'imposait pas fut faite aux environs de 1820 avec des pierres tombales tirées de l'église ou d'un cimetière voisin. L'une d'elles a conservé son inscription latine : ici gît le corps d'un honnête homme Nicolas Leclerc, décédé le 9 novembre 1769
L'entrée principale est située dans la façade occidentale que surplombe une gargouille originale : sur l'un des contreforts, à droite de la porte s'élance un démon dont la tête grimaçante se tourne avec effroi vers l'entrée de l'église. D'après la tradition, une statue de Saint Michel était logée dans une niche ou sur un socle, au-dessus du pignon. Durant la révolution l'archange a disparu mais le diable continue à tendre l'échine sous la crainte de l'épée flamboyante.
Une porte latérale a été ménagée dans la face septentrionale au milieu de l'édifice. Son encadrement et son fronton d'époque Louis XII, surmontés autrefois d'une niche aux fines sculptures, ont été masqués par une sorte de porche sans style et sans goût.
Cette construction qui ne s'imposait pas fut faite aux environs de 1820 avec des pierres tombales tirées de l'église ou d'un cimetière voisin. L'une d'elles a conservé son inscription latine : ici gît le corps d'un honnête homme Nicolas Leclerc, décédé le 9 novembre 1769
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