Dole, ville d'art et d'histoire
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 06/10/2024
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
47.0911
|
longitude
5.48962
|
altitude
222 m
|
|||
adresse
3 Dole
|
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
![]() |
description
Sous la protection de son imposante et élégante collégiale Notre-Dame, qui domine la plaine et le Doubs, Dole a conservé la force monumentale de l’ancienne capitale de la Franche-Comté qu’elle a été à partir du 14ème siècle. On oublie trop souvent qu’elle fut terre de l’Empire des Habsbourg d’Autriche et d’Espagne, et non de la France, jusqu’à sa conquête par Louis XIV en 1674.
Détruite en 1479 par Louis XI, elle retrouva sa place de capitale sous les Habsbourg jusqu’à la conquête française qui lui fit perdre son parlement, établi en 1377, et son université. Vauban fit détruire ses fortifications en 1688 mais il reste quelques vestiges de l’enceinte fortifiée du 16ème siècle, près du Musée des Beaux-arts aux riches collections. Dole a conservé un patrimoine bâti remarquable, avec de beaux hôtels particuliers construits du 16ème au 18ème siècle pour les familles aristocratiques ou des bourgeois aisés, sans oublier son remarquable Hôtel-Dieu (actuelle Médiathèque). Dole fut aussi une ville d’artisans, tels les tanneurs comme le père de Louis Pasteur, dont on peut visiter la maison natale. Le quartier des tanneurs, baigné par le Doubs et doté de nombreux petits restaurants, est particulièrement agréable.
Dole a aussi un passé clunisien lui valant d’être sur ViaCluny.fr. Le collège Saint-Jérôme (ensuite couvent de la Visitation et aujourd’hui Auditorium Karl Riepp) était l’un des trois collèges de langue française de l’Ordre de Cluny (avec Paris et Avignon). L’Ordre y formait ses moines, bénéficiant de la présence d’une université créée en 1423 par Philippe le Bon. La chapelle de ce collège, fondé en 1494 par Antoine de Roche, prieur de Cluny, abrite un ensemble remarquable de statues du cycle des apôtres et des prophètes, commandé par Antoine de Roche sur le modèle de celles initialement prévues pour Cluny.
Dans cette « Ville d’Art et d’Histoire », des plaques de laiton illustrées du chat perché placées au sol guident nos pas sur le circuit d’environ 4 kilomètres qui doit son nom aux Contes du chat perché de l’écrivain jurassien Marcel Aymé (1963) qui fit ses études à Dole. Près de la collégiale, la mystérieuse Grande fontaine, endroit insolite mentionné dès 1274, lui a inspiré son roman Le Moulin de la Sourdine.
Détruite en 1479 par Louis XI, elle retrouva sa place de capitale sous les Habsbourg jusqu’à la conquête française qui lui fit perdre son parlement, établi en 1377, et son université. Vauban fit détruire ses fortifications en 1688 mais il reste quelques vestiges de l’enceinte fortifiée du 16ème siècle, près du Musée des Beaux-arts aux riches collections. Dole a conservé un patrimoine bâti remarquable, avec de beaux hôtels particuliers construits du 16ème au 18ème siècle pour les familles aristocratiques ou des bourgeois aisés, sans oublier son remarquable Hôtel-Dieu (actuelle Médiathèque). Dole fut aussi une ville d’artisans, tels les tanneurs comme le père de Louis Pasteur, dont on peut visiter la maison natale. Le quartier des tanneurs, baigné par le Doubs et doté de nombreux petits restaurants, est particulièrement agréable.
Dole a aussi un passé clunisien lui valant d’être sur ViaCluny.fr. Le collège Saint-Jérôme (ensuite couvent de la Visitation et aujourd’hui Auditorium Karl Riepp) était l’un des trois collèges de langue française de l’Ordre de Cluny (avec Paris et Avignon). L’Ordre y formait ses moines, bénéficiant de la présence d’une université créée en 1423 par Philippe le Bon. La chapelle de ce collège, fondé en 1494 par Antoine de Roche, prieur de Cluny, abrite un ensemble remarquable de statues du cycle des apôtres et des prophètes, commandé par Antoine de Roche sur le modèle de celles initialement prévues pour Cluny.
Dans cette « Ville d’Art et d’Histoire », des plaques de laiton illustrées du chat perché placées au sol guident nos pas sur le circuit d’environ 4 kilomètres qui doit son nom aux Contes du chat perché de l’écrivain jurassien Marcel Aymé (1963) qui fit ses études à Dole. Près de la collégiale, la mystérieuse Grande fontaine, endroit insolite mentionné dès 1274, lui a inspiré son roman Le Moulin de la Sourdine.
Note moyenne