Le vieux village perché de Rottier
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 09/10/2024
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
44.475
|
longitude
5.41833
|
altitude
658 m
|
|||
adresse
380 chemin du vieux village
2 Rottier |
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
description
Juste avant de prendre le sentier sur la droite qui vous amène dans les marnes, vous pouvez faire un court détour par le vieux village perché de Rottier, datant du XVIe siècle. Celui-ci comptait encore au début du XIXe siècle 30 maisons et occupait une position défensive, à la fois orienté au midi mais à l’abri de la bise.
Le vieux village a été abandonné en 1920, notamment suite à la Première Guerre Mondiale qui a décimé la population rurale, au manque d’eau et à son accès difficile en raison de la raideur des pentes. Des habitations ont été peu à peu construites en extension des bâtiments agricoles, éloignés du village, évitant les aller-retours quotidiens des agriculteurs. Rottier est ainsi devenu un village à l’habitat dispersé, sans véritable cœur de village. Ne subsiste, dans les vestiges du vieux village, que l’église Sainte Marie-Madeleine (XIIe) désacralisée, les restes du château transformé en habitation (vestige du donjon carré) et, un peu en contrebas, la chapelle « Notre-Dame-des-Anges » du XVIe siècle, qui était l’objet d’un pèlerinage local régulier. La commune ne compte également plus qu’une vingtaine d’habitants et deux agriculteurs, alors qu’elle en comptait autrefois jusqu’à 200.
Le vieux village a été abandonné en 1920, notamment suite à la Première Guerre Mondiale qui a décimé la population rurale, au manque d’eau et à son accès difficile en raison de la raideur des pentes. Des habitations ont été peu à peu construites en extension des bâtiments agricoles, éloignés du village, évitant les aller-retours quotidiens des agriculteurs. Rottier est ainsi devenu un village à l’habitat dispersé, sans véritable cœur de village. Ne subsiste, dans les vestiges du vieux village, que l’église Sainte Marie-Madeleine (XIIe) désacralisée, les restes du château transformé en habitation (vestige du donjon carré) et, un peu en contrebas, la chapelle « Notre-Dame-des-Anges » du XVIe siècle, qui était l’objet d’un pèlerinage local régulier. La commune ne compte également plus qu’une vingtaine d’habitants et deux agriculteurs, alors qu’elle en comptait autrefois jusqu’à 200.
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