MAISON NATALE DE BERNARD DIMEY
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 14/01/2025
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
48.0255
|
longitude
5.34679
|
altitude
401 m
|
|||
adresse
52800 NOGENT
|
accessibilite
|
description
C’est dans cette petite maison qu’est né Bernard Dimey le 16 juillet 1931 d’un père ciselier et d’une mère coiffeuse. Tout en vous rendant à la prochaine étape, nous allons vous présenter les principaux épisodes de sa vie. |A quinze ans ses premiers poèmes sont édités dans « Les Cahiers Haut Marnais. En 1947, il entre à l’Ecole Normale de Troyes. Il obtient son diplôme d’instituteur mais renonce à ce métier pour se consacrer à la peinture sous le pseudonyme de Zelter, et surtout à la littérature. Cette période fut particulièrement riche en écrits : romans, nouvelles, pièces de théâtre, scénarii radiophoniques... |A 25 ans, il effectue son service militaire à Paris. Ses permissions le conduisent à Montmartre. Il fréquente assidûment « le Pichet du Tertre », cabaret qui était le rendez vous des artistes. Sa lassitude suite aux refus des éditeurs et son besoin de subsister l’amènent à écrire de nombreux poèmes. Beaucoup seront mis en musique par Francis Lai. C’est ainsi qu’il fournit les vedettes en quête de chansons nouvelles : environ 80 interprètes parmi lesquels : Charles Aznavour, Mouloudji , Serge Reggiani, Jean Ferrat, Zizi Jeanmaire, Juliette Gréco... |Installé définitivement à Montmartre en 1959, il devient une figure locale tant auprès des artistes, peintres, écrivains, que des commerçants et habitants de tous milieux. Ses poèmes deviendront des chefs-d’oeuvre dont en 1962 « Syracuse » mise en musique par Henri Salvador. |Alors que ses 50 ans s’apprêtent à sonner, il meurt d’un cancer, le 1er juillet 1981. Enfant de Nogent, c’est dans la cité coutelière qu’il sera inhumé. « J’ai écrit près de 1000 chansons [.] mais il n’en restera peut-être que deux si la postérité les retient : « Mémère » et « Syracuse » ; comme j’aimerais que cela fût : je mourrais content ».
Tarifs
Gratuit