Eglise de Saint-Etienne l'Allier
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 23/07/2024
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
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latitude
49.2654
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longitude
0.552396
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altitude
149 m
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adresse
119 A r de l'eglise
27450 Saint-Étienne-l'Allier |
accessibilite
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services à proximité
Parking
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Mots clés
normandie, eglise, paysdauge, lieuvin, eure, saintetiennelallier
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Photos & vidéos (2)
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description
La construction de l’église de Saint-Etienne l’Allier remonte à la fin du XIème siècle. Elle était à l’époque l’une des plus importantes de l’arrondissement avec celle de Saint-Germain de Pont Audemer.
Elle fut donnée au Bec lors de sa fondation.
Ce qui fait la réputation de cette église, c’est son mobilier et en particulier ses somptueuses boiseries (fin du XVIIème siècle) classées à titre définitif parmi les Monuments Historiques en 1907 par arrêté ministériel signé Aristide Briand.
Les deux autels latéraux du jubé, en bois sculptés, sont surmontés de statues de saints particulièrement vénérés dans la région à l’époque des épidémies de peste : Saint Sébastien, Saint Roch, Saint Mathurin, etc.…
Gisant de pierre, datant de 1300, découvert dans son « enfeu » en septembre 1990. Représente un ecclésiastique en habit sacerdotal. A l’heure actuelle, ce gisant n’a pas encore été identifié.
La Sarcophage de l’église : tombeau du Christ de style égyptien.
Vitraux de la rosace du pignon et du choeur, du maître verrier de Conches, Décorchemont.
Elle fut donnée au Bec lors de sa fondation.
Ce qui fait la réputation de cette église, c’est son mobilier et en particulier ses somptueuses boiseries (fin du XVIIème siècle) classées à titre définitif parmi les Monuments Historiques en 1907 par arrêté ministériel signé Aristide Briand.
Les deux autels latéraux du jubé, en bois sculptés, sont surmontés de statues de saints particulièrement vénérés dans la région à l’époque des épidémies de peste : Saint Sébastien, Saint Roch, Saint Mathurin, etc.…
Gisant de pierre, datant de 1300, découvert dans son « enfeu » en septembre 1990. Représente un ecclésiastique en habit sacerdotal. A l’heure actuelle, ce gisant n’a pas encore été identifié.
La Sarcophage de l’église : tombeau du Christ de style égyptien.
Vitraux de la rosace du pignon et du choeur, du maître verrier de Conches, Décorchemont.
