ABBAYE ROYALE SAINT-NICOLAS
- Thématique
- Mis à jour le 10/10/2016
Sélectionner le fond de carte
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES
CARTES IGN MULTI-ECHELLES
TOP 25 IGN
CARTES DES PENTES
PARCELLES CADASTRALES
CARTES OACI
CARTES 1950 IGN
CARTE DE L’ETAT-MAJOR (1820-1866)
Open Street Map
Afficher les points d'intérêt à proximité
Hébergements
Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
48.2439
|
longitude
5.2992
|
altitude
264 m
|
|||
adresse
Mme de SELVA Abbaye de Septfontaines
52700 Andelot-Blancheville |
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
description
L'Abbaye royale Saint-Nicolas de Septfontaines a pour origine une petite communauté érémétique qui, en 1125, adopte la règle de Saint-Augustin et rejoint l'ordre des chamoines réguliers des Prémontrés, fondé par Saint-Norbert. Elle constitue un ensemble représentatif de l’architecture prémontrée de "l’antique rigueur" (ou réformée).
Elle demeurre dans l'ordre des Prémontés jusqu'à la Révolution, et est ensuite sauvée par un particulier, le comte Théodore Ducros, à la fin du XIXe siècle.
Elle conserve l’essentiel des bâtiments conventuels reconstruits au XVIIIe siècle ainsi que d’imposants restes de l’église, et plusieurs dépendances.
De cette époque datent le portail monumental et la grille en fer forgé surmontée d'un médaillon portant les armes de l'abbaye, ainsi que le bâtiment et le colombier adjacents. Depuis la grille, on aperçoit les restes de l'église : choeur, campanile et ancienne porte, restaurés en forme de ruine romantique à la même époque.
A l'intérieur s'élèvent les bâtiments couventuels du XVIIe siècle. De ligne sobre, ils encadrent une cour d'honneur aux proportions harmonieuses : au centre, la fontaine "aux hérons" venant de la fonderie du Val d'Osne.
A voir : bâtiments conventuels du XVIIIe siècle (cour intérieure, galerie voûtée de l’ancien cloître, bel escalier XVIIe siècle, ancien réfectoire des religieux).Choeur de l’église (XVIIe- XVIIIe siècles), pierres tombales, clocher restauré au XIXe siècle en forme de ruine. Portail monumental, pavillon d’entrée, fontaine et colombier XIXe siècle.
Elle demeurre dans l'ordre des Prémontés jusqu'à la Révolution, et est ensuite sauvée par un particulier, le comte Théodore Ducros, à la fin du XIXe siècle.
Elle conserve l’essentiel des bâtiments conventuels reconstruits au XVIIIe siècle ainsi que d’imposants restes de l’église, et plusieurs dépendances.
De cette époque datent le portail monumental et la grille en fer forgé surmontée d'un médaillon portant les armes de l'abbaye, ainsi que le bâtiment et le colombier adjacents. Depuis la grille, on aperçoit les restes de l'église : choeur, campanile et ancienne porte, restaurés en forme de ruine romantique à la même époque.
A l'intérieur s'élèvent les bâtiments couventuels du XVIIe siècle. De ligne sobre, ils encadrent une cour d'honneur aux proportions harmonieuses : au centre, la fontaine "aux hérons" venant de la fonderie du Val d'Osne.
A voir : bâtiments conventuels du XVIIIe siècle (cour intérieure, galerie voûtée de l’ancien cloître, bel escalier XVIIe siècle, ancien réfectoire des religieux).Choeur de l’église (XVIIe- XVIIIe siècles), pierres tombales, clocher restauré au XIXe siècle en forme de ruine. Portail monumental, pavillon d’entrée, fontaine et colombier XIXe siècle.