Choisel Breteuil, Herbouvilliers, Chevreuse, Les Sablons, Herbouvilliers, Breteuil
- Thématique Randonnée
- Mis à jour le 20/11/2017
- Identifiant 141831
durée / niveau
Rando pédestre
|
distance
17,9 km
type parcours
Boucle
|
|||||||||
Lieu de départ
78460 Choisel
|
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
Bitume
Terre Herbe |
Photos & vidéos (1)
description
Château de Breteuil et de la Madeleine.
Hébergements à proximité
Manoir au coeur de vallée Chevreuse, 30km de Paris
Chambre RYDER CUP 22/09 au 01/10 a 2.5km du golf
Studio charme vallée de chevreuse
Studio proche lac, forêt et gare
Maison avec jardin et jacuzzi proche Polytechnique
Studio calme proche Paris avec terrasse privative
Petite maison au vert avec piscine chauffée
PAVILLON DES BOIS - SAPHIR
Conseil avisé.
Points d'interêt (4)
Parking du château
78460 Choisel
Château de la Madeleine
XIe : Guy 1er de Montlhéry et de Chevreuse fait édifier, sur le plateau dominant Chevreuse et contrôlant la voie Paris-Chartres, le donjon roman et la chapelle, protégés par une palissade en bois.
XIIe : L’aula, grande salle accueillant les manifestations de la puissance seigneuriale, est construite par Milon III. Aujourd’hui, ne subsiste qu’un mur percé de deux fenêtres séparant la haute cour de la basse cour.
XIVe : Pierre de Chevreuse, bourgeois anobli, transforme le château en citadelle urbaine. Il entreprend la reconstruction de la partie nord de l’enceinte avec trois tours, le tout muni de mâchicoulis et dote le châtelet d’entrée d’une terrasse destinée à accueillir des canons. Le donjon perd une travée au sud et deux contreforts imposants viennent renforcer la structure.
XVe : La châtellenie est érigée en baronnie par Charles VII. Colard de Chevreuse fait édifier deux tours carrées au sud reliées par une courtine munie de mâchicoulis sur arcades.
XVIe : La citadelle est agrandie pour servir de bastion catholique.
XVIIe : Le château est délaissé, mais demeure propriété de la famille de Luynes vivant à Dampierre.
XVIIIe : Pour sauver le donjon, les Dames de Saint-Cyr réduisent l’édifice d’un étage. Il est désormais couvert d’un toit à deux pentes et équipé de nouveaux contreforts au sud. Une porte d’entrée est percée en rez-de-chaussée. La chapelle Sainte-Madeleine est détruite.
1978 : Des travaux de consolidation sont entrepris par le propriétaire de l’époque, M. GOUPIL.
1987-90 : Des fouilles archéologiques sont effectuées. Les architectes Jean DEDIEU et Pascal CHOVIN dirigent la restauration du château pour le compte du Département qui en est devenu propriétaire en 1982.
voir: https://fr.wikipedia.org/wiki/Ch%C3%A2teau_de_la_Madeleine
78460 Chevreuse
Le Château de Méridon
En 1464, c’est Jean Langlois qui prend la suite du fief mais le manoir est déclaré en ruine, conséquence de la Guerre de Cent Ans.
En 1601, sous Jean de Péricard, c’est la première fois que le qualificatif de château est donné à l’hôtel de Méridon ;
En 1650, c’est Guillaume Dugué de Bagnols qui rachète le domaine de Méridon jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Le château n’est ensuite que ruines.
Monsieur Marquès di Braga, directeur du Crédit Foncier, acquiert les terres et fait construire jusqu’en 1883, à l’emplacement de l’ancien château, l’actuel château de style néo-renaissance.
En 1908, le domaine est racheté par le marquis de Breteuil qui le convertira en château de chasse à courre. Il louera Méridon à Madame Sullivan qui en fera l’une des plus belles demeures de la région.
Après la seconde Guerre Mondiale,il sera loué à l’État néerlandais puis vendu à une association néerlandaise.
78460 Chevreuse
Le Château de Breteuil
Le château appartient alors à la famille Le Jay. On[Qui ?] estime généralement que c'est dans les années 1580 que Nicolas Le Jay (mort en 1585) fait exécuter d'importants travaux qui donnent au logis son plan actuel. Selon d'autres historiens[Lesquels ?], ceux-ci seraient dus à Thibault Desportes, Grand Audiencier de la Chancellerie de France, qui achète le domaine par adjudication en 1596.
Le domaine passe d’oncles en neveux tout au long du XVIIe siècle. Ses propriétaires portent successivement le nom de Desportes, Chanteclerc, Renouard et enfin Breteuil[réf. nécessaire]. En effet, en 1712, Charles Le Tonnelier de Breteuil est l’héritier du dernier des Renouard et désormais le domaine sera transmis de père en fils jusqu’à l’époque actuelle. Claude-Charles, époux de Laura O’Brien de Clare, meurt en 1735[réf. souhaitée]. Son fils Claude Stanislas Le Tonnelier de Breteuil (1730-1784) fait de très importants travaux tant à l’intérieur qu’à l’extérieur. Apparaissent alors un « bosquet de la garenne » et un « bosquet chimérique », des « chambres de verdure », un « potager-verger en quatre terrasses », un « pavillon chinois », un « ha-ha », etc.
Deux autres ancêtres se distinguent au XVIIIe siècle, Gabrielle-Émilie de Breteuil (1706-1749), femme de sciences et Louis Auguste Le Tonnelier de Breteuil, ambassadeur puis ministre du Roi Louis XVI. C'est lui qui est chargé d'arrêter le Cardinal de Rohan, le 15 août 1785, à Versailles, lors du scandale de l'affaire du collier. Le baron de Breteuil est l'un des proches soutien de Marie-Antoinette et de Louis XVI.
Mis sous séquestre sous la Révolution française, le château est repris par Charles de Breteuil en 1802. Un jardin anglais succède au parterre et autres installations du XVIIIe siècle.
En 1820-1830, les murs de la cour sont détruits et les fossés sont asséchés. À la fin du XIXe siècle, d'importants travaux sont à nouveau réalisés pour Henry Le Tonnelier de Breteuil, VIIIe marquis de Breteuil : deux ailes en retour sont ajoutées au bâtiment du fond, les pavillons antérieurs sont surélevés, les communs sont reconstruits (seul le colombier est préservé)[réf. nécessaire]. Le château retrouve des jardins à la française grâce aux paysagistes Henri Duchêne et son fils Achille.
Le fumoir présente la scène de la réception du 12 mars 1881, avec Henri de Breteuil, le Prince de Galles et Léon Gambetta.
Député à l'époque, Henry de Breteuil reçoit le 12 mars 1881 Léon Gambetta et le futur Roi Edouard VII. Cette rencontre participera aux longs efforts diplomatiques en vue de la construction de l'Entente cordiale signée en 19043. En 1912, le jeune Prince de Galles, petit-fils d’Edouard VII, futur Edouard VIII, séjourne au château pour apprendre le français
http://www.breteuil.fr/fr/chateau-de-breteuil/chronologie.html
78460 Choisel