Patrimoine de Saint-Jean-Bonnefonds
- Thématique Randonnée
- Mis à jour le 22/11/2024
- Identifiant 2314646
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Hébergements
Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
|
durée / niveau
Rando pédestre
|
distance
9,2 km
type parcours
Boucle
|
|||||||||
|
Lieu de départ
3 Route de Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds |
accessibilite
|
|||||||||
|
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
Bitume
Graviers Herbe |
|||||||||
Photos & vidéos (1)
|
description
Au départ du parking de la Pacotière, rejoignez l’entrée du bourg, longez la route CD 32, puis prenez à gauche le long de l’église.
Traversez la rue Jean Baptiste Reymond et remontez jusqu’au cimetière.
Poursuivez jusqu’au Crêt du Roy par un chemin herbeux sur la droite, traversez la route puis remontez jusqu’à la Sautinière par un chemin caillouteux.
Profitez du joli panorama sur la vallée du Gier et le Mont Blanc (par temps clair) avant de traverser le hameau. Après la dernière maison à droite, prenez le chemin menant au lieu-dit La Croix.
Pour rejoindre la rue Jean Monnet, prenez à gauche et longez les tennis du Fay. Traversez et remontez le chemin jusqu’à la Gourdaillère.
Quand vous retrouvez la route, prenez un chemin à droite, poursuivez ensuite en face en direction du Crêt Beauplomb.
Au sommet, descendez la rue du Crêt Beauplomb en direction du bourg de St-Jean-Bonnefonds. Empruntez l’escalier, face à l’entrée du domaine de Nantas, puis descendez par le sentier jusqu’au jardin de la Pacotière.
Rejoignez le parking.
️ Attention, route à forte circulation, restez prudent.
Traversez la rue Jean Baptiste Reymond et remontez jusqu’au cimetière.
Poursuivez jusqu’au Crêt du Roy par un chemin herbeux sur la droite, traversez la route puis remontez jusqu’à la Sautinière par un chemin caillouteux.
Profitez du joli panorama sur la vallée du Gier et le Mont Blanc (par temps clair) avant de traverser le hameau. Après la dernière maison à droite, prenez le chemin menant au lieu-dit La Croix.
Pour rejoindre la rue Jean Monnet, prenez à gauche et longez les tennis du Fay. Traversez et remontez le chemin jusqu’à la Gourdaillère.
Quand vous retrouvez la route, prenez un chemin à droite, poursuivez ensuite en face en direction du Crêt Beauplomb.
Au sommet, descendez la rue du Crêt Beauplomb en direction du bourg de St-Jean-Bonnefonds. Empruntez l’escalier, face à l’entrée du domaine de Nantas, puis descendez par le sentier jusqu’au jardin de la Pacotière.
Rejoignez le parking.
️ Attention, route à forte circulation, restez prudent.
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proposé par
Points d'interêt (7)
A
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
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Parking de la Pacotière
Arrivée
Point de départ du sentier pédestre Patrimoine
Informations complémentaires
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
kilomètre
0,01
latitude
45.454
altitude
537
m
longitude
4.44687
à proximité
B
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église
Eglise, Abbaye, monastère
Saint-Jean-Bonnefonds se trouve parmi les plus anciennes paroisses de France. On la cite, en effet, dans une charte de 1173.
L'intérieur de l'édifice révèle trois époques d'aménagements importants.
Le chœur est la partie la plus ancienne, avec ses voûtes romanes du XII siècle.
Derrière l'autel, sur le mur du fond de l'abside furent aménagés, au XVI siècle, des colonnes et chapiteaux, et trois statues furent installées.
C'est également de cette époque que daterait le grand bénitier en pierre situé à proximité de l'entrée de l'église.
En 1772 eurent lieu de grandes réparations ; toute la partie centrale qui va du chœur à l'entrée fut refaite et agrandie, le clocher fut modifié ou consolidé. Un clocheton fut édifié vers 1840 au-dessus du fronton pour y installer une horloge. Les vitraux furent posés en 1881.
Au XX siècle des travaux de rénovation ont été entrepris à plusieurs reprises, d'abord vers 1935, à nouveau dans les années 60 avec la disparition du clocheton, en 1985, et enfin en 1999-2000.
Le clocher
Campé du coq symbolique, il renferme cinq cloches, une grosse entourée de quatre plus petites.
L'écriture gothique des inscriptions que porte la plus grosse cloche laisse supposer qu'elle remonte au moyen-âge. Elle est la seule subsistante des cinq qui existaient avant la grande révolution. Les quatre autres furent descendues en décembre 1793 pour être fondues en canons. Quatre nouvelles coches furent placées en 1839.
La source
Selon la tradition, se trouvait, à côté de l'église, une source qui avait donné son nom à notre pays "Bonnefonds".
Un pèlerinage était attaché à cette source dont l'eau était réputée pour faire "recouvrer la vie aux enfants malingres et noués".
L'intérieur de l'édifice révèle trois époques d'aménagements importants.
Le chœur est la partie la plus ancienne, avec ses voûtes romanes du XII siècle.
Derrière l'autel, sur le mur du fond de l'abside furent aménagés, au XVI siècle, des colonnes et chapiteaux, et trois statues furent installées.
C'est également de cette époque que daterait le grand bénitier en pierre situé à proximité de l'entrée de l'église.
En 1772 eurent lieu de grandes réparations ; toute la partie centrale qui va du chœur à l'entrée fut refaite et agrandie, le clocher fut modifié ou consolidé. Un clocheton fut édifié vers 1840 au-dessus du fronton pour y installer une horloge. Les vitraux furent posés en 1881.
Au XX siècle des travaux de rénovation ont été entrepris à plusieurs reprises, d'abord vers 1935, à nouveau dans les années 60 avec la disparition du clocheton, en 1985, et enfin en 1999-2000.
Le clocher
Campé du coq symbolique, il renferme cinq cloches, une grosse entourée de quatre plus petites.
L'écriture gothique des inscriptions que porte la plus grosse cloche laisse supposer qu'elle remonte au moyen-âge. Elle est la seule subsistante des cinq qui existaient avant la grande révolution. Les quatre autres furent descendues en décembre 1793 pour être fondues en canons. Quatre nouvelles coches furent placées en 1839.
La source
Selon la tradition, se trouvait, à côté de l'église, une source qui avait donné son nom à notre pays "Bonnefonds".
Un pèlerinage était attaché à cette source dont l'eau était réputée pour faire "recouvrer la vie aux enfants malingres et noués".
Informations complémentaires
3 Rue Voltaire
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
kilomètre
0,29
latitude
45.452
altitude
531
m
longitude
4.4478
C
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Le Colombier
Etape, fanion
Lors de la construction de l'hôpital psychiatrique sur le domaine du Colombier, d'une superficie de 33 hectares, des vestiges anciens furent découverts.
Les fouilles entreprises à partir de 1966 sous la direction du Père GRANGER, archéologue, ont permis de retrouver sur ce site les ruines d'un château féodal antérieur au XV siècle, et qui serait le premier et le plus ancien château de Nantas.
Ces recherches permettent également d'estimer que ce château avait été construit sur une antique construction militaire Romaine "Castrum murorum", d'où la dénomination de "Chateau des Murs".
Ce légendaire château fut aussi appelé "les bains des Sarrasins". En effet, au XIXème siècle, certains pensaient que les Murs avaient été des thermes ou bains romains. Les eaux de "Bonnes-fonts" auraient pu y avoir leur bassin.
A l'est du domaine, les fouilles ont permis de mettre à jour un four circulaire gaulois ou gallo-romain, taillé dans le roc, ainsi qu'un déversoir, deux bassins et une réserve d'eau, vraisemblablement destinés à la fabrication de tuiles et de poteries. On a décelé sur ce site une vie agricole et artisanale gauloise, puis gallo-romaine. Le Colombier était alors d'après les fouilles pourvu d'ateliers mais pas d'habitation.
A proximité de ce site était implantée une ferme, aujourd'hui disparue, qui était jadis le Colombier du château des Murs, d'où le nom qui est resté au domaine.
Les fouilles entreprises à partir de 1966 sous la direction du Père GRANGER, archéologue, ont permis de retrouver sur ce site les ruines d'un château féodal antérieur au XV siècle, et qui serait le premier et le plus ancien château de Nantas.
Ces recherches permettent également d'estimer que ce château avait été construit sur une antique construction militaire Romaine "Castrum murorum", d'où la dénomination de "Chateau des Murs".
Ce légendaire château fut aussi appelé "les bains des Sarrasins". En effet, au XIXème siècle, certains pensaient que les Murs avaient été des thermes ou bains romains. Les eaux de "Bonnes-fonts" auraient pu y avoir leur bassin.
A l'est du domaine, les fouilles ont permis de mettre à jour un four circulaire gaulois ou gallo-romain, taillé dans le roc, ainsi qu'un déversoir, deux bassins et une réserve d'eau, vraisemblablement destinés à la fabrication de tuiles et de poteries. On a décelé sur ce site une vie agricole et artisanale gauloise, puis gallo-romaine. Le Colombier était alors d'après les fouilles pourvu d'ateliers mais pas d'habitation.
A proximité de ce site était implantée une ferme, aujourd'hui disparue, qui était jadis le Colombier du château des Murs, d'où le nom qui est resté au domaine.
Informations complémentaires
25 Lieu Dit le Colombier
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
kilomètre
1,93
latitude
45.4606
altitude
536
m
longitude
4.4565
D
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Le Puits Dervillé
Etape, fanion
LE PUITS DERVILLE
Le Puits Dervillé fut foncé sur le domaine de Bachassin en 1919; il n'a jamais remonté de charbon et servit, Ã partir de 1950, de retour d'air au Puits Lacroix.
Monsieur Dervillé éait président du conseil d'administration de la compagnie PLM en 1909, année où la concession de Saint-Jean-Bonnefonds a été achetée par la Chazotte.
LE TRAVAIL DE MINEUR
Dans les galeries, dans les années 1950, chaque équipe comprenait un piqueur, un boiseur et un rouleur.
LE PIQUEUR
Il était chargé de détacher de la masse les quartiers de charbon.
Le charbon était abattu d'abord à l'aide d'un pic et de coins, puis, avec un explosif placé dans les trous de mine forés à la main.
L’arrivée de l'air comprimé au début du XX*me siècle permit l'introduction de marteaux perforateurs pour la mise en place des explosifs et de marteaux piqueurs pour l'abattage du charbon.
Le piqueur était le responsable de l'équipe, il était chargé de sa sécurité.
C'est à lui qu'était confiée la lampe de sûreté servant à détecter le grisou.
LE BOISEUR
Le boiseur est chargé de réaliser le soutènement pour assurer la solidité de la galerie, soit en bois, soit en
métal.
L'outillage du boiseur se composait d'une hache, d'une masse, d'un pic, d'une escofine (scie), d'un fer boiseur (barre d'acier terminée en biseau), et de cordes.
LE ROULEUR ou REJETEUR
Il était chargé de dégager le chantier, c'est à dire d'évacuer charbon détaché par le piqueur à l'aide d'un racle ou d'une pelle.
Le charbon était ensuite acheminé vers la recette, dans un premier temps à dos d'homme. Puis apparurent les bennes poussées par les mineurs puis traînées par des chevaux, enfin par des locomotrices électriques.
Le Puits Dervillé fut foncé sur le domaine de Bachassin en 1919; il n'a jamais remonté de charbon et servit, Ã partir de 1950, de retour d'air au Puits Lacroix.
Monsieur Dervillé éait président du conseil d'administration de la compagnie PLM en 1909, année où la concession de Saint-Jean-Bonnefonds a été achetée par la Chazotte.
LE TRAVAIL DE MINEUR
Dans les galeries, dans les années 1950, chaque équipe comprenait un piqueur, un boiseur et un rouleur.
LE PIQUEUR
Il était chargé de détacher de la masse les quartiers de charbon.
Le charbon était abattu d'abord à l'aide d'un pic et de coins, puis, avec un explosif placé dans les trous de mine forés à la main.
L’arrivée de l'air comprimé au début du XX*me siècle permit l'introduction de marteaux perforateurs pour la mise en place des explosifs et de marteaux piqueurs pour l'abattage du charbon.
Le piqueur était le responsable de l'équipe, il était chargé de sa sécurité.
C'est à lui qu'était confiée la lampe de sûreté servant à détecter le grisou.
LE BOISEUR
Le boiseur est chargé de réaliser le soutènement pour assurer la solidité de la galerie, soit en bois, soit en
métal.
L'outillage du boiseur se composait d'une hache, d'une masse, d'un pic, d'une escofine (scie), d'un fer boiseur (barre d'acier terminée en biseau), et de cordes.
LE ROULEUR ou REJETEUR
Il était chargé de dégager le chantier, c'est à dire d'évacuer charbon détaché par le piqueur à l'aide d'un racle ou d'une pelle.
Le charbon était ensuite acheminé vers la recette, dans un premier temps à dos d'homme. Puis apparurent les bennes poussées par les mineurs puis traînées par des chevaux, enfin par des locomotrices électriques.
Informations complémentaires
15 Route de Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
kilomètre
2,15
latitude
45.4616
altitude
534
m
longitude
4.45883
E
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Crêt Beauplomb
Etape, fanion
Derrière vous, dans le bois, se situe le point culminant de la commune, à une altitude de 662 m. Sur ce versant, les eaux rejoignent l'Onzon puis le Furan, affluent de la Loire.
Un peu plus loin, à la hauteur de la zone boisée, vous “traverserez” à nouveau la ligne de partage des eaux. En arrivant sur la rue du Crêt Beauplomb, vous serez sur le bassin versant du Gier qui se jette dans le Rhône.
Un peu plus loin, à la hauteur de la zone boisée, vous “traverserez” à nouveau la ligne de partage des eaux. En arrivant sur la rue du Crêt Beauplomb, vous serez sur le bassin versant du Gier qui se jette dans le Rhône.
Informations complémentaires
5 Lotissement les Hauts du Fay
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
kilomètre
5,66
latitude
45.4652
altitude
621
m
longitude
4.44758
F
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Nantas
Château
Nantas vient du mot Nantey, d'origine gauloise, signifiant Vallée. C'est aussi le nom du ruisseau qui coule dans le thalweg que vous allez longer jusqu'au jardin public de la Pacautière et qui continue jusqu'au Ricolin.
Le nom "Pont Nantin" aurait la même origine; il s'agit du lieu où le Ricolin se jette dans la rivière du Janon.
Le château et son histoire
Le château de Nantas était un ancien fief. Au XVème siècle, il était entre les mains de la famille des SALLEMARD, originaires du Beaujolais.
En 1561, il appartenait à « noble Jean de Barrailhon, conseiller au présidial de Lyon ».
Il devint, en 1662, la propriété de Jean Bernou de la Bemarie, 3ème du nom, écuyer, conseiller, secrétaire du roi, président en l'élection de Saint-Étienne, et, par l'acquisition du château, seigneur de Nantas.
La même année, il épouse Marguerite Badol de Fourcieux, fille de Hugues Badol de Fourcieux, baron de Rochetaillée.
Le dernier fils de Hugues Badol de Fourcieux n'ayant pas d'enfant, Jacques Bernou de Nantas, descendant de Jean Bernou de la Bemarie, fut désigné comme héritier. Il devint ainsi baron de Rochetaillée.
Le château fut détruit par un incendie en 1894. Il ne subsiste depuis qu'une petite tour construite à proximité de l'entrée ainsi que la ferme attenante et l'orangerie, épargnées par le feu. Ce sont ces mêmes bâtiments qui, le château n'étant pas reconstruit, furent aménagés pour servir d'habitation.
Nantas est resté jusque dans les années 1980 propriété des barons de Rochetaillée.
Le nom "Pont Nantin" aurait la même origine; il s'agit du lieu où le Ricolin se jette dans la rivière du Janon.
Le château et son histoire
Le château de Nantas était un ancien fief. Au XVème siècle, il était entre les mains de la famille des SALLEMARD, originaires du Beaujolais.
En 1561, il appartenait à « noble Jean de Barrailhon, conseiller au présidial de Lyon ».
Il devint, en 1662, la propriété de Jean Bernou de la Bemarie, 3ème du nom, écuyer, conseiller, secrétaire du roi, président en l'élection de Saint-Étienne, et, par l'acquisition du château, seigneur de Nantas.
La même année, il épouse Marguerite Badol de Fourcieux, fille de Hugues Badol de Fourcieux, baron de Rochetaillée.
Le dernier fils de Hugues Badol de Fourcieux n'ayant pas d'enfant, Jacques Bernou de Nantas, descendant de Jean Bernou de la Bemarie, fut désigné comme héritier. Il devint ainsi baron de Rochetaillée.
Le château fut détruit par un incendie en 1894. Il ne subsiste depuis qu'une petite tour construite à proximité de l'entrée ainsi que la ferme attenante et l'orangerie, épargnées par le feu. Ce sont ces mêmes bâtiments qui, le château n'étant pas reconstruit, furent aménagés pour servir d'habitation.
Nantas est resté jusque dans les années 1980 propriété des barons de Rochetaillée.
Informations complémentaires
420 Rue du Crêt Beauplomb
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
kilomètre
6,64
latitude
45.4571
altitude
578
m
longitude
4.44587
G
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La Pacautière
Etape, fanion
Vous vous trouvez au lieu-dit la Pacautière. Ce nom pourrait provenir du patronyme PACOT signifiant "boueux-rustre". Elle reçoit les eaux de la colline de Nantes et on y trouve une mare et un petit ruisseau.
Ce petit ruisseau continue son parcours au-delà de la route jusqu'au Ricolin qui se jette dans le Janon, affluent du Gier. Nous sommes sur le bassin versant du Rhône.
De la source à l'estuaire...
Essayons d'en savoir plus sur le parcours de l'eau jusqu'à la Méditerranée !
Fleuve : Cours d'eau qui se jette dans la mer.
Rivière: Cours d'eau de taille intermédiaire entre le ruisseau et le fleuve. La rivière se jette dans un autre cours d'eau mais pas directement dans la mer.
1. Lit Majeur: Espacé occupé par les eaux de la plus grande crue historiquement répertoriée.
2. Ripisylve: Bande de végétation composé d'arbres et d'arbustes associés à la rivière.
3. Bras mort: Ancien bras d'un cours d'eau ou l'eau ne circule plus
4. Lit mineur: Espace occupé par les eaux de la rivière en dehors des périodes de crue.
5. Affluent: Cours d'eau qui se jette dans un autre
Ce petit ruisseau continue son parcours au-delà de la route jusqu'au Ricolin qui se jette dans le Janon, affluent du Gier. Nous sommes sur le bassin versant du Rhône.
De la source à l'estuaire...
Essayons d'en savoir plus sur le parcours de l'eau jusqu'à la Méditerranée !
Fleuve : Cours d'eau qui se jette dans la mer.
Rivière: Cours d'eau de taille intermédiaire entre le ruisseau et le fleuve. La rivière se jette dans un autre cours d'eau mais pas directement dans la mer.
1. Lit Majeur: Espacé occupé par les eaux de la plus grande crue historiquement répertoriée.
2. Ripisylve: Bande de végétation composé d'arbres et d'arbustes associés à la rivière.
3. Bras mort: Ancien bras d'un cours d'eau ou l'eau ne circule plus
4. Lit mineur: Espace occupé par les eaux de la rivière en dehors des périodes de crue.
5. Affluent: Cours d'eau qui se jette dans un autre
Informations complémentaires
3 Route de Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds
kilomètre
18,37
latitude
45.4542
altitude
537
m
longitude
4.44671
Mairie
Note moyenne
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