Le Puits Dervillé
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- Mis à jour le 22/11/2024
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
45.4616
|
longitude
4.45883
|
altitude
534 m
|
|||
adresse
15 Route de Bonnefonds
42650 Saint-Jean-Bonnefonds |
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
![]() |
description
LE PUITS DERVILLE
Le Puits Dervillé fut foncé sur le domaine de Bachassin en 1919; il n'a jamais remonté de charbon et servit, Ã partir de 1950, de retour d'air au Puits Lacroix.
Monsieur Dervillé éait président du conseil d'administration de la compagnie PLM en 1909, année où la concession de Saint-Jean-Bonnefonds a été achetée par la Chazotte.
LE TRAVAIL DE MINEUR
Dans les galeries, dans les années 1950, chaque équipe comprenait un piqueur, un boiseur et un rouleur.
LE PIQUEUR
Il était chargé de détacher de la masse les quartiers de charbon.
Le charbon était abattu d'abord à l'aide d'un pic et de coins, puis, avec un explosif placé dans les trous de mine forés à la main.
L’arrivée de l'air comprimé au début du XX*me siècle permit l'introduction de marteaux perforateurs pour la mise en place des explosifs et de marteaux piqueurs pour l'abattage du charbon.
Le piqueur était le responsable de l'équipe, il était chargé de sa sécurité.
C'est à lui qu'était confiée la lampe de sûreté servant à détecter le grisou.
LE BOISEUR
Le boiseur est chargé de réaliser le soutènement pour assurer la solidité de la galerie, soit en bois, soit en
métal.
L'outillage du boiseur se composait d'une hache, d'une masse, d'un pic, d'une escofine (scie), d'un fer boiseur (barre d'acier terminée en biseau), et de cordes.
LE ROULEUR ou REJETEUR
Il était chargé de dégager le chantier, c'est à dire d'évacuer charbon détaché par le piqueur à l'aide d'un racle ou d'une pelle.
Le charbon était ensuite acheminé vers la recette, dans un premier temps à dos d'homme. Puis apparurent les bennes poussées par les mineurs puis traînées par des chevaux, enfin par des locomotrices électriques.
Le Puits Dervillé fut foncé sur le domaine de Bachassin en 1919; il n'a jamais remonté de charbon et servit, Ã partir de 1950, de retour d'air au Puits Lacroix.
Monsieur Dervillé éait président du conseil d'administration de la compagnie PLM en 1909, année où la concession de Saint-Jean-Bonnefonds a été achetée par la Chazotte.
LE TRAVAIL DE MINEUR
Dans les galeries, dans les années 1950, chaque équipe comprenait un piqueur, un boiseur et un rouleur.
LE PIQUEUR
Il était chargé de détacher de la masse les quartiers de charbon.
Le charbon était abattu d'abord à l'aide d'un pic et de coins, puis, avec un explosif placé dans les trous de mine forés à la main.
L’arrivée de l'air comprimé au début du XX*me siècle permit l'introduction de marteaux perforateurs pour la mise en place des explosifs et de marteaux piqueurs pour l'abattage du charbon.
Le piqueur était le responsable de l'équipe, il était chargé de sa sécurité.
C'est à lui qu'était confiée la lampe de sûreté servant à détecter le grisou.
LE BOISEUR
Le boiseur est chargé de réaliser le soutènement pour assurer la solidité de la galerie, soit en bois, soit en
métal.
L'outillage du boiseur se composait d'une hache, d'une masse, d'un pic, d'une escofine (scie), d'un fer boiseur (barre d'acier terminée en biseau), et de cordes.
LE ROULEUR ou REJETEUR
Il était chargé de dégager le chantier, c'est à dire d'évacuer charbon détaché par le piqueur à l'aide d'un racle ou d'une pelle.
Le charbon était ensuite acheminé vers la recette, dans un premier temps à dos d'homme. Puis apparurent les bennes poussées par les mineurs puis traînées par des chevaux, enfin par des locomotrices électriques.
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