Dolmens de Rondossec
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 02/09/2022
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
47.6006
|
longitude
-3.11718
|
altitude
26 m
|
|||
adresse
56340 Plouharnel
|
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
description
Situé aujourd’hui en milieu urbain, dans le bourg de Plouharnel, ce grand tumulus de 2 m de haut pour environ 30 m de longueur par 20 m de largeur recouvre pas moins de trois structures funéraires de type "dolmen à couloir". Il est classé au titre des monuments historiques depuis le XIXe siècle où il est devenu la propriété de l'État et fut fouillé à plusieurs reprises.
Les premières informations écrites sur les dolmens de Rondossec datent de 1849. À cette époque, M. Le Bail, maire de la commune de Plouharnel, entreprend de fouiller le tumulus où quelques pierres apparaissent à la surface. La découverte lors de fouilles de deux bijoux en or - témoins d'une réoccupation du site à l'âge du Bronze - fut retentissante et assura la célébrité du monument. Ces bijoux sont actuellement conservés au Musée d’Archéologie Nationale de Saint-Germain-en-Laye. Des études récentes ont mis en évidence des gravures, presque complètement effacées et invisibles à l’oeil nu, dans l’un des dolmens.
Dans un rapport de 1921, Zacharie Le Rouzic indique qu'il a relevé et consolidé les supports de ces dolmens. Récemment, afin de mettre en valeur ce site exceptionnel, ses abords ont fait l'objet d'un réaménagement par les services de l’État et les chantiers d’insertion de communauté de communes Auray Quiberon Terre Atlantique, qui permettent de mieux percevoir la totalité de l’architecture et de prendre du recul sur le monument, tout en protégeant le monument du piétinement.
Les premières informations écrites sur les dolmens de Rondossec datent de 1849. À cette époque, M. Le Bail, maire de la commune de Plouharnel, entreprend de fouiller le tumulus où quelques pierres apparaissent à la surface. La découverte lors de fouilles de deux bijoux en or - témoins d'une réoccupation du site à l'âge du Bronze - fut retentissante et assura la célébrité du monument. Ces bijoux sont actuellement conservés au Musée d’Archéologie Nationale de Saint-Germain-en-Laye. Des études récentes ont mis en évidence des gravures, presque complètement effacées et invisibles à l’oeil nu, dans l’un des dolmens.
Dans un rapport de 1921, Zacharie Le Rouzic indique qu'il a relevé et consolidé les supports de ces dolmens. Récemment, afin de mettre en valeur ce site exceptionnel, ses abords ont fait l'objet d'un réaménagement par les services de l’État et les chantiers d’insertion de communauté de communes Auray Quiberon Terre Atlantique, qui permettent de mieux percevoir la totalité de l’architecture et de prendre du recul sur le monument, tout en protégeant le monument du piétinement.
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