Prise de Pontorson (1799)
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 08/08/2022
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Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
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latitude
48.5542
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longitude
-1.50979
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altitude
15 m
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adresse
50170 Pontorson
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accessibilite
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Photos & vidéos (1)
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description
Le 18 septembre 1799, à trois heures du matin, une troupe de 140, à 250 chouans commandés par Joseph Picot de Limoëlan, commandant de la division de Fougères, entre dans la ville de Pontorson. La garnison, composée de la gendarmerie, de la garde nationale et des hommes de la colonne mobile, n’oppose aucune résistance.
Un seul des habitants, Gabriel Hédou, pharmacien et agent municipal, tente de combattre. Il devait mener le jour même les conscrits de Pontorson à Saint-Lô . Alors que les chouans se portent à sa pharmacie, il les accueille de deux coups de fusil, en tuant un et en blessant un autre. Il franchit ensuite une porte dérobée et parvient à s’enfuir à travers champs. En représailles, les chouans livrent sa demeure au pillage.
Craignant que les coups de fusil n’avertissent les cantonnements voisins, les chouans se retirent. Les républicains sont auparavant désarmés, puis laissés libres. À 6 heures, après avoir saisi 112 fusils, les chouans quittent la ville et se retirent du côté d’Antrain sans être inquiétés.
Un seul des habitants, Gabriel Hédou, pharmacien et agent municipal, tente de combattre. Il devait mener le jour même les conscrits de Pontorson à Saint-Lô . Alors que les chouans se portent à sa pharmacie, il les accueille de deux coups de fusil, en tuant un et en blessant un autre. Il franchit ensuite une porte dérobée et parvient à s’enfuir à travers champs. En représailles, les chouans livrent sa demeure au pillage.
Craignant que les coups de fusil n’avertissent les cantonnements voisins, les chouans se retirent. Les républicains sont auparavant désarmés, puis laissés libres. À 6 heures, après avoir saisi 112 fusils, les chouans quittent la ville et se retirent du côté d’Antrain sans être inquiétés.
Note moyenne