Eglise Saint Vincent
- Thématique Lieux d'intérêt
- Mis à jour le 18/06/2018
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Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
latitude
51.0518
|
longitude
2.52595
|
altitude
4 m
|
|||
adresse
112 r nationale (ghyvelde)
59254 Ghyvelde |
accessibilite
|
Photos & vidéos (1)
description
Dès le 10ème siècle, une église romane fut construite plus en avant sur la place.
Complètement dévastée, elle fut remise en état en 1802. En 1862, seule la nef subsistait et les autorités de l’époque décidèrent d’abattre le vieil édifice plutôt que de le rénover. On posa la première pierre de l’église néo-gothique en 1872, sur la crête d’une dune.
Pendant la seconde guerre mondiale, l’église fut détruite à 94 % par les bombardements. Un baraquement situé ruelle du cimetière servit alors d’église provisoire. La reconstruction débuta en 1949. Elle fut arrêtée pour cause de faillite, puis reprise en 1955, sous les ordres de Monsieur Abadie, architecte, qui respecta l’architecture d’avant-guerre.
Elle fut achevée en 1957 et rendue au culte le 23 mars 1958. Elle n’avait pas encore sa flèche qui est moins haute que prévue. Cette église néo-gothique comporte un arc brisé de chaque côté du vitrail et du portail. La flèche de « style roman » est élevée sur un clocher carré. La différence de couleur est là pour témoigner de sa destruction partielle lors de la seconde guerre mondiale (brique jaune pour sa reconstruction). Les cloches furent installées et bénies le 31 août 1958 et électrifiées en 1964. Une horloge a été ajoutée en 1988.
Pendant la seconde guerre mondiale, des Ghyveldois ont enterré dans le sable une cloche tombée car les autorités d’occupation se servaient du bronze pour faire des canons.
A l’intérieur, nous remarquons les croisés d’ogives des voûtes. Au fond du choeur, les vitraux représentent la vie de Saint Vincent. A l’extrémité du bas-côté nord se trouve sa statue portant la palme du martyre et une grappe de raisin. En effet, il est le patron des vignerons. Sur le bas-côté sud, deux sculptures en bois découvrent un confessionnal : celle de Saint Pierre tenant un livre et des clés, et celle de Saint Paul reconnaissable à son épée.
L’orgue a deux claviers et trente-sept tuyaux. Il a été construit dans un atelier de Ghyvelde vers 1955.
Complètement dévastée, elle fut remise en état en 1802. En 1862, seule la nef subsistait et les autorités de l’époque décidèrent d’abattre le vieil édifice plutôt que de le rénover. On posa la première pierre de l’église néo-gothique en 1872, sur la crête d’une dune.
Pendant la seconde guerre mondiale, l’église fut détruite à 94 % par les bombardements. Un baraquement situé ruelle du cimetière servit alors d’église provisoire. La reconstruction débuta en 1949. Elle fut arrêtée pour cause de faillite, puis reprise en 1955, sous les ordres de Monsieur Abadie, architecte, qui respecta l’architecture d’avant-guerre.
Elle fut achevée en 1957 et rendue au culte le 23 mars 1958. Elle n’avait pas encore sa flèche qui est moins haute que prévue. Cette église néo-gothique comporte un arc brisé de chaque côté du vitrail et du portail. La flèche de « style roman » est élevée sur un clocher carré. La différence de couleur est là pour témoigner de sa destruction partielle lors de la seconde guerre mondiale (brique jaune pour sa reconstruction). Les cloches furent installées et bénies le 31 août 1958 et électrifiées en 1964. Une horloge a été ajoutée en 1988.
Pendant la seconde guerre mondiale, des Ghyveldois ont enterré dans le sable une cloche tombée car les autorités d’occupation se servaient du bronze pour faire des canons.
A l’intérieur, nous remarquons les croisés d’ogives des voûtes. Au fond du choeur, les vitraux représentent la vie de Saint Vincent. A l’extrémité du bas-côté nord se trouve sa statue portant la palme du martyre et une grappe de raisin. En effet, il est le patron des vignerons. Sur le bas-côté sud, deux sculptures en bois découvrent un confessionnal : celle de Saint Pierre tenant un livre et des clés, et celle de Saint Paul reconnaissable à son épée.
L’orgue a deux claviers et trente-sept tuyaux. Il a été construit dans un atelier de Ghyvelde vers 1955.
Note moyenne