8 - L’ÉGLISE SAINT-ÉTIENNE
- Thématique
- Mis à jour le 27/03/2018
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Restauration
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Autre
Echelle
latitude
48.8694
|
longitude
3.53656
|
altitude
184 m
|
|||
adresse
25 Place de l'Église
51210 Montmirail |
accessibilite
|
description
Construite en 1122, elle était la chapelle du château.
Son manque d’unité est dû aux nombreuses transformations causées par les guerres du Moyen Âge, les guerres de religion et la Révolution.
A l’intérieur, on peut constater que les colonnes sont inclinées et pas toujours dans le même sens. S’agit-il de la poussée des voûtes trop surbaissées ou d’un sol instable traversé par des sources très nombreuses dans tous les alentours ? Quoiqu’il en soit, il a fallu consolider tous les murs extérieurs. Quelques années avant la Révolution, la façade menaçant de s’écrouler, il a fallu supprimer une ou deux travées de la nef. La façade actuelle, flanquée de lourds contreforts, date de cette époque. Redoutant aussi le poids d’un très lourd clocher, on jugea nécessaire de consolider les piliers de l’entrée du chœur par d’épais murs en maçonnerie, laissant tout juste le passage pour une seule personne. e
Les vitraux, derrière le maître-autel, datent du XIX siècle. On les doit à la duchesse de Doudeauville, alors châtelaine.
La chaire, datant de 1613, fut celle où prêcha Saint Vincent de Paul. Elle a été partiellement saccagée en 1939 par un dément.
Une châsse dorée contient le fragment d’un doigt de Saint Vincent de Paul. Cette relique a guéri une des religieuses de l’abbaye de l’Amour Dieu en 1720.
Ce miracle est l’un de ceux qui ont été retenus au procès de canonisation.
La piéta polychrome de l’école champenoise, serait l’ancienne statue miraculeuse du prieuré clunisien de Montléan et qui fut à l’origine des célèbres pèlerinages.
Dans le chœur se trouve la statue du bienheureux Jean de Montmirail. Après avoir été le fidèle et loyal compagnon du roi Philippe Auguste, il se fit moine cistercien à Longpont. En 1914, l’obus qui pulvérisa la rosace de la façade, vint briser une statuette du maître-autel, déchiqueta la boiserie et vint se coucher au pied de la statue du bienheureux sans éclater.
Son manque d’unité est dû aux nombreuses transformations causées par les guerres du Moyen Âge, les guerres de religion et la Révolution.
A l’intérieur, on peut constater que les colonnes sont inclinées et pas toujours dans le même sens. S’agit-il de la poussée des voûtes trop surbaissées ou d’un sol instable traversé par des sources très nombreuses dans tous les alentours ? Quoiqu’il en soit, il a fallu consolider tous les murs extérieurs. Quelques années avant la Révolution, la façade menaçant de s’écrouler, il a fallu supprimer une ou deux travées de la nef. La façade actuelle, flanquée de lourds contreforts, date de cette époque. Redoutant aussi le poids d’un très lourd clocher, on jugea nécessaire de consolider les piliers de l’entrée du chœur par d’épais murs en maçonnerie, laissant tout juste le passage pour une seule personne. e
Les vitraux, derrière le maître-autel, datent du XIX siècle. On les doit à la duchesse de Doudeauville, alors châtelaine.
La chaire, datant de 1613, fut celle où prêcha Saint Vincent de Paul. Elle a été partiellement saccagée en 1939 par un dément.
Une châsse dorée contient le fragment d’un doigt de Saint Vincent de Paul. Cette relique a guéri une des religieuses de l’abbaye de l’Amour Dieu en 1720.
Ce miracle est l’un de ceux qui ont été retenus au procès de canonisation.
La piéta polychrome de l’école champenoise, serait l’ancienne statue miraculeuse du prieuré clunisien de Montléan et qui fut à l’origine des célèbres pèlerinages.
Dans le chœur se trouve la statue du bienheureux Jean de Montmirail. Après avoir été le fidèle et loyal compagnon du roi Philippe Auguste, il se fit moine cistercien à Longpont. En 1914, l’obus qui pulvérisa la rosace de la façade, vint briser une statuette du maître-autel, déchiqueta la boiserie et vint se coucher au pied de la statue du bienheureux sans éclater.
Note moyenne