Les troupes australiennes et néo-zélandaises en France pendant la Première Guerre Mondiale
- Thématique Tourisme de mémoire
- Mis à jour le 07/04/2016
- Identifiant 53549
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Informations
Lieux d'intérêts
Producteurs
Restauration
Services et Commerces
Autre
Echelle
durée / niveau
Voiture
|
distance
129,2 km
type parcours
Aller Simple
|
|||||||||
Lieu de départ
1 r roger salengro
59530 Le Quesnoy |
accessibilite
|
|||||||||
prestations payantes
Non
|
type(s) de sol
Bitume
|
|||||||||
Mots clés
14-18, guerre, australiens, néo-zélandais, cheminsdememoire, lieux
|
Photos & vidéos (1)
![]() |
description
Ce parcours est proposé par le site cheminsdememoire.gouv.fr.
Ce site s’inscrit dans le cadre de la politique menée par le ministère de la défense pour développer le tourisme de mémoire.
Son objectif est la valorisation des lieux de mémoire existant en France, pour lesquels il propose de nombreux reportages photo et donne des informations, en répartissant équitablement les domaines : Histoire, mémoire, tourisme et culture.
Visiter...
Étape 1 : Le Nord
Le Quesnoy
Les fortifications de Le Quesnoy...
Étape 2 : Le Pas-de-Calais
Bullecourt
Mémorial de Bullecourt : Statue du Digger.
Étape 3 : La Somme
- Villers-Bretonneux
A Villers-Bretonneux : Le Mémorial national australien, le Musée franco-australien, le cimetière Adélaïde témoignent des liens unissants l'Australie et la France.
- Mémorial de Pozières
Le village de Pozières a été le théätre du premier engagement d'envergure des troupes australiennes.
Circuit décrit par Pascal G. (77).
V1.0 de mars 2016
source :
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/les-troupes-australiennes-et-neo-zelandaises-en-france-pendant-la-1ere-guerre-mondiale
Ministère de la Défense
SGA
Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives, Site Chemins de mémoire
Ce site s’inscrit dans le cadre de la politique menée par le ministère de la défense pour développer le tourisme de mémoire.
Son objectif est la valorisation des lieux de mémoire existant en France, pour lesquels il propose de nombreux reportages photo et donne des informations, en répartissant équitablement les domaines : Histoire, mémoire, tourisme et culture.
Visiter...
Étape 1 : Le Nord
Le Quesnoy
Les fortifications de Le Quesnoy...
Étape 2 : Le Pas-de-Calais
Bullecourt
Mémorial de Bullecourt : Statue du Digger.
Étape 3 : La Somme
- Villers-Bretonneux
A Villers-Bretonneux : Le Mémorial national australien, le Musée franco-australien, le cimetière Adélaïde témoignent des liens unissants l'Australie et la France.
- Mémorial de Pozières
Le village de Pozières a été le théätre du premier engagement d'envergure des troupes australiennes.
Circuit décrit par Pascal G. (77).
V1.0 de mars 2016
source :
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/les-troupes-australiennes-et-neo-zelandaises-en-france-pendant-la-1ere-guerre-mondiale
Ministère de la Défense
SGA
Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives, Site Chemins de mémoire
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A lire
L'Australie et la Nouvelle-Zélande dans la Grande Guerre
Dès le début des hostilités en août 1914, comme l'ensemble de l'Empire britannique, l'Australie et la Nouvelle-Zélande s'engagent aux côtés de la Grande-Bretagne. Aujourd'hui, dans nombre de communes de la Somme et du Nord, les habitants transmettent le souvenir de ces soldats venus du bout du monde défendre la liberté.
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/laustralie-et-la-nouvelle-zelande-dans-la-grande-guerre
Dès le début des hostilités en août 1914, comme l'ensemble de l'Empire britannique, l'Australie et la Nouvelle-Zélande s'engagent aux côtés de la Grande-Bretagne. Aujourd'hui, dans nombre de communes de la Somme et du Nord, les habitants transmettent le souvenir de ces soldats venus du bout du monde défendre la liberté.
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/laustralie-et-la-nouvelle-zelande-dans-la-grande-guerre
Points d'interêt (5)
A
59530 Le Quesnoy
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Les fortifications de Le Quesnoy
Lieux de mémoire
1 - Un château y fut édifié par le comte de Hainaut au XIIème siècle. Il en subsiste la porte à l'entrée et des caves de grès. Ses premiers bastions construits sur l'ordre de Charles Quint datent de 1528.
Après la prise de la ville en 1657, par Turenne, Vauban modernise la place à partir de 1668. Il crée quatre étangs pour inonder les fossés et remodèle le front sud dont les bastions Saint-Martin et du Gard illustrent avec leur dehors le premier système de Vauban.
Au XVIIIème siècle est édifié un grand ouvrage à corne à l'est de la Porte Fauroeulx.
En 1881, la place-forte fut encore confortée.
2 - L'enceinte très bien conservée a la forme d'un octogone irrégulier. Elle est défendue par huit bastions et a été entièrement restaurée. 2 circuits pédestres sont proposés au grand public :
- Le circuit des remparts : fiche de randonnée du Conseil Général du Nord.
- A la découverte des arbres des remparts du Quesnoy : Circuit élaboré par le Parc Naturel Régional de L'Avesnois.
Lors de la promenade des fortifications, jalonnée de panneaux pédagogiques, on admirera les huit bastions et dix-sept dehors implantés dans les fossés.
Mentionnons la Poudrière du XVIIIème siècle, la tour médiévale du Comte Baudouin, la porte Fauroeulx, l'ouvrage à cornes Fauroeulx, du XVIIIème siècle, et 5 bastions : royal, impérial, vert, du Gard, Saint-Martin.
Au dehors, l'étang du Pont-Rouge qui servait à remplir les fossés des remparts est à présent un site "balnéaire".
3 - Un bivouac des Armées révolutionnaires, avec plus de 400 participants anime le site fortifié pendant 2 jours tous les deux ans au moment des Journées du Patrimoine. Une association "Le Cercle Historique Quercitain" fait des recherches sur le passé du Quesnoy et de ses deux cantons et possède un local au centre Cernay dit Château Marguerite de Bourgogne pour accueillir des groupes dans deux salles d'exposition didactiques sur l'histoire de la fortification.
Depuis 1987, les villes fortifiées ont également leur journée régionale le dernier dimanche d'avril et certaines citadelles devenues casernes militaires ouvrent régulièrement leurs portes au public.
Enfin, la route des villes fortifiées, lancée en 1993 permet au public de découvrir ces villes à l'aide d'une carte et de fiches explicatives disponibles auprès de l'association des villes fortifiées et dans les offices de tourisme d'Ambleteuse, Arras, Avesnes-sur-Helpe, Bergues, Boulogne-sur-Mer, Calais, Cambrai, Condé-sur-Escaut, Gravelines, Le Quesnoy, Lille, Maubeuge, Montreuil-sur-Mer et Saint-Omer.
4 - Ce monument aux morts commémore la victoire de la New Zealand RifleBrigade qui libéra le Quesnoy le 4 novembre 1918 de la garnison allemande qui occupait la ville depuis quatre ans. Les Néo-zélandais escaladèrent les fortifications comme au Moyen-Age avec des échelles.
En 1999, Le Quesnoy a ouvert la maison quercitaine de Nouvelle Zélande "Centre de documentation relatif à la libération de la ville en 1918".
Le Quesnoy est devenu le lieu principal des commémorations de la Première Guerre mondiale pour la Nouvelle Zélande en France, avec la tenue d'une cérémonie organisée par l'ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris, les autorités locales et la Commonwealth War Graves Commission.
Lors de ces deux cérémonies, un défilé rassemblant le maire et des autorités locales, des anciens combattants, des visiteurs et des personnes de la région traverse la ville jusqu'aux remparts et au monument aux morts néo-zélandais de 1923 pour le dépôt de gerbe. La procession se dirige ensuite vers le monument aux morts français pour un nouveau dépôt de gerbe.
La cérémonie se termine à la mairie où une sculpture tribale "teko teko maori" perpétue le souvenir.
La Nouvelle Zélande est toujours officiellement représentée à Le Quesnoy lors des commémorations de l'Armistice, le 11 novembre. Des parlementaires néo-zélandais et d'autres groupes divers comme l'équipe néo-zélandaise de rugby, les All Blacks, sont déjà allés à plusieurs reprises dans cette ville.
Le Quesnoy et Cambridge, en Nouvelle-Zélande sont jumelées depuis 1999.
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
source :
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/le-quesnoy-0
Après la prise de la ville en 1657, par Turenne, Vauban modernise la place à partir de 1668. Il crée quatre étangs pour inonder les fossés et remodèle le front sud dont les bastions Saint-Martin et du Gard illustrent avec leur dehors le premier système de Vauban.
Au XVIIIème siècle est édifié un grand ouvrage à corne à l'est de la Porte Fauroeulx.
En 1881, la place-forte fut encore confortée.
2 - L'enceinte très bien conservée a la forme d'un octogone irrégulier. Elle est défendue par huit bastions et a été entièrement restaurée. 2 circuits pédestres sont proposés au grand public :
- Le circuit des remparts : fiche de randonnée du Conseil Général du Nord.
- A la découverte des arbres des remparts du Quesnoy : Circuit élaboré par le Parc Naturel Régional de L'Avesnois.
Lors de la promenade des fortifications, jalonnée de panneaux pédagogiques, on admirera les huit bastions et dix-sept dehors implantés dans les fossés.
Mentionnons la Poudrière du XVIIIème siècle, la tour médiévale du Comte Baudouin, la porte Fauroeulx, l'ouvrage à cornes Fauroeulx, du XVIIIème siècle, et 5 bastions : royal, impérial, vert, du Gard, Saint-Martin.
Au dehors, l'étang du Pont-Rouge qui servait à remplir les fossés des remparts est à présent un site "balnéaire".
3 - Un bivouac des Armées révolutionnaires, avec plus de 400 participants anime le site fortifié pendant 2 jours tous les deux ans au moment des Journées du Patrimoine. Une association "Le Cercle Historique Quercitain" fait des recherches sur le passé du Quesnoy et de ses deux cantons et possède un local au centre Cernay dit Château Marguerite de Bourgogne pour accueillir des groupes dans deux salles d'exposition didactiques sur l'histoire de la fortification.
Depuis 1987, les villes fortifiées ont également leur journée régionale le dernier dimanche d'avril et certaines citadelles devenues casernes militaires ouvrent régulièrement leurs portes au public.
Enfin, la route des villes fortifiées, lancée en 1993 permet au public de découvrir ces villes à l'aide d'une carte et de fiches explicatives disponibles auprès de l'association des villes fortifiées et dans les offices de tourisme d'Ambleteuse, Arras, Avesnes-sur-Helpe, Bergues, Boulogne-sur-Mer, Calais, Cambrai, Condé-sur-Escaut, Gravelines, Le Quesnoy, Lille, Maubeuge, Montreuil-sur-Mer et Saint-Omer.
4 - Ce monument aux morts commémore la victoire de la New Zealand RifleBrigade qui libéra le Quesnoy le 4 novembre 1918 de la garnison allemande qui occupait la ville depuis quatre ans. Les Néo-zélandais escaladèrent les fortifications comme au Moyen-Age avec des échelles.
En 1999, Le Quesnoy a ouvert la maison quercitaine de Nouvelle Zélande "Centre de documentation relatif à la libération de la ville en 1918".
Le Quesnoy est devenu le lieu principal des commémorations de la Première Guerre mondiale pour la Nouvelle Zélande en France, avec la tenue d'une cérémonie organisée par l'ambassade de Nouvelle-Zélande à Paris, les autorités locales et la Commonwealth War Graves Commission.
Lors de ces deux cérémonies, un défilé rassemblant le maire et des autorités locales, des anciens combattants, des visiteurs et des personnes de la région traverse la ville jusqu'aux remparts et au monument aux morts néo-zélandais de 1923 pour le dépôt de gerbe. La procession se dirige ensuite vers le monument aux morts français pour un nouveau dépôt de gerbe.
La cérémonie se termine à la mairie où une sculpture tribale "teko teko maori" perpétue le souvenir.
La Nouvelle Zélande est toujours officiellement représentée à Le Quesnoy lors des commémorations de l'Armistice, le 11 novembre. Des parlementaires néo-zélandais et d'autres groupes divers comme l'équipe néo-zélandaise de rugby, les All Blacks, sont déjà allés à plusieurs reprises dans cette ville.
Le Quesnoy et Cambridge, en Nouvelle-Zélande sont jumelées depuis 1999.
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
source :
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/le-quesnoy-0
Informations complémentaires
59530 Le Quesnoy
kilomètre
0,05
latitude
50.2452
altitude
121
m
longitude
3.63203
B
62128 Bullecourt
Voir la fiche du point d'intéret »
« Le Digger de Bullecourt » (le soldat australien de Bullecourt) – Bullecourt
Lieux de mémoire
Pour faire comprendre à sa mère à quoi ressemblait le champ de bataille de Bullecourt en mai 1917, le soldat de deuxième classe John Ware écrivit : « Si tu as jamais vu une remorque à moutons en pleine sécheresse, tu sais combien [meurent] en une nuit ; nos hommes sont étalés par terre de la même façon ».
Bullecourt abrite aujourd’hui dans son Parc mémorial australien la statue du « Digger », le regard tourné vers les tranchées ennemies, dont la conquête coûta la vie à tant d’Australiens.
En avril et mai 1917, 10 000 soldats australiens ont été victimes des combats de Bullecourt.
Et de mai 1917 à mars 1918, les combats ont fait rage et ont fait changer de camp le village près de vingt fois.
Aujourd'hui, au parc mémorial, le souvenir est entretenu par la statue du Digger, réalisée par le sculpteur australien Peter Corlett, fils d'un combattant de la Grande Guerre. Ce Digger, c'est le soldat australien qui symbolise par sa tenue et ses insignes les quatre divisions australiennes d'infanterie engagées sur le terrain : les 1ère, 2ème, 4ème et 5ème.
Le musée Jean et Denise Letaille
Grâce à une vaste collection d’objets anciens trouvés dans les champs environnants, le musée Jean et Denise Letaille raconte l’histoire des sanglantes batailles auxquelles les Australiens ont participé à Bullecourt.
Ce musée, qui a ouvert ses portes en 2012 lors de la journée commémorative de l’ANZAC, a bénéficié d’une contribution du Gouvernement australien de plus de 540 000 dollars australiens.
Des renseignements concernant les visites sont disponibles sur le site Web de l’Office du tourisme d’Arras.
http://www.explorearras.com/en/visit/remembrance.html?lng=fr
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
source :
http://www.ww1westernfront.gov.au/french/bullecourt/index.php
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/bullecourt
Bullecourt abrite aujourd’hui dans son Parc mémorial australien la statue du « Digger », le regard tourné vers les tranchées ennemies, dont la conquête coûta la vie à tant d’Australiens.
En avril et mai 1917, 10 000 soldats australiens ont été victimes des combats de Bullecourt.
Et de mai 1917 à mars 1918, les combats ont fait rage et ont fait changer de camp le village près de vingt fois.
Aujourd'hui, au parc mémorial, le souvenir est entretenu par la statue du Digger, réalisée par le sculpteur australien Peter Corlett, fils d'un combattant de la Grande Guerre. Ce Digger, c'est le soldat australien qui symbolise par sa tenue et ses insignes les quatre divisions australiennes d'infanterie engagées sur le terrain : les 1ère, 2ème, 4ème et 5ème.
Le musée Jean et Denise Letaille
Grâce à une vaste collection d’objets anciens trouvés dans les champs environnants, le musée Jean et Denise Letaille raconte l’histoire des sanglantes batailles auxquelles les Australiens ont participé à Bullecourt.
Ce musée, qui a ouvert ses portes en 2012 lors de la journée commémorative de l’ANZAC, a bénéficié d’une contribution du Gouvernement australien de plus de 540 000 dollars australiens.
Des renseignements concernant les visites sont disponibles sur le site Web de l’Office du tourisme d’Arras.
http://www.explorearras.com/en/visit/remembrance.html?lng=fr
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
source :
http://www.ww1westernfront.gov.au/french/bullecourt/index.php
http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/bullecourt
Informations complémentaires
62128 Bullecourt
kilomètre
75,84
latitude
50.1948
altitude
88
m
longitude
2.93827
C
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Monuments et cimetières de Pozières
Lieux de mémoire
Le village de Pozières situé sur les hauteurs était un point central de la défense allemande.
Situé sur une crête, il était traversé par un double réseau de tranchées constituant la 2ème ligne allemande et flanqué de 2 blockhaus-observatoires au nord et au sud, dominant tout le champ de bataille (côté Albert, “Gibraltar” - côté Bapaume, “le Moulin à Vent”).
Sa position stratégique en fait un solideverrou, que les troupes alliées devaient conquérirpour investir la Ferme du Mouquet, puis la colline de Thiepval, point de défense également solide de l’armée germanique.
Cet objectif de contournement fut en majeure partie confié aux troupes d’Australie, dont la plupart rentraient de Gallipoli (détroit des Dardannelles), où les troupes australiennes, avec les troupes néo-zélandaises, subirent un baptême du feu extrèmement violent.
Arrivés le 23 juillet 1916 et après s’être emparés de Pozières, les Australiens, épuisés par d’incessantes contre-attaques d’artillerie, furent relevés le 5 septembre par les Canadiens à la Ferme du Mouquet. Trois de leurs divisions étaient passées par le secteur de Pozières et avaient subi des pertes supérieures au tiers des effectifs engagés.
Quant au village, il avait totalement disparu.
Le nom de Pozières possède une telle renommée dans la mémoire australienne qu’il a été donné, après la guerre, à un petit village du Queensland (Australie).
Mais Pozières a également été marqué par la première participation au combat des chars, le 15 septembre 1916,.
Des 49 tanks britanniques Mark I qui se déployèrent sur une ligne Courcelette - bois de Leuze (près de Combles), 27 tanks au total atteignirent la ligne de front allemande, 19 leur premier objectif, 11 leur second et seulement 6 leur troisième.
Cette date marque le début d’une progression britannique plus équilibrée et un annonce un changement dans la tactique de combat avec cette nouvelle arme.
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
sources :
http://www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/monuments-cimetieres-pozieres
http://www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/pozieres
Situé sur une crête, il était traversé par un double réseau de tranchées constituant la 2ème ligne allemande et flanqué de 2 blockhaus-observatoires au nord et au sud, dominant tout le champ de bataille (côté Albert, “Gibraltar” - côté Bapaume, “le Moulin à Vent”).
Sa position stratégique en fait un solideverrou, que les troupes alliées devaient conquérirpour investir la Ferme du Mouquet, puis la colline de Thiepval, point de défense également solide de l’armée germanique.
Cet objectif de contournement fut en majeure partie confié aux troupes d’Australie, dont la plupart rentraient de Gallipoli (détroit des Dardannelles), où les troupes australiennes, avec les troupes néo-zélandaises, subirent un baptême du feu extrèmement violent.
Arrivés le 23 juillet 1916 et après s’être emparés de Pozières, les Australiens, épuisés par d’incessantes contre-attaques d’artillerie, furent relevés le 5 septembre par les Canadiens à la Ferme du Mouquet. Trois de leurs divisions étaient passées par le secteur de Pozières et avaient subi des pertes supérieures au tiers des effectifs engagés.
Quant au village, il avait totalement disparu.
Le nom de Pozières possède une telle renommée dans la mémoire australienne qu’il a été donné, après la guerre, à un petit village du Queensland (Australie).
Mais Pozières a également été marqué par la première participation au combat des chars, le 15 septembre 1916,.
Des 49 tanks britanniques Mark I qui se déployèrent sur une ligne Courcelette - bois de Leuze (près de Combles), 27 tanks au total atteignirent la ligne de front allemande, 19 leur premier objectif, 11 leur second et seulement 6 leur troisième.
Cette date marque le début d’une progression britannique plus équilibrée et un annonce un changement dans la tactique de combat avec cette nouvelle arme.
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
sources :
http://www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/monuments-cimetieres-pozieres
http://www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/pozieres
Informations complémentaires
353 rte d'albert
80300 Pozières
80300 Pozières
kilomètre
101,21
latitude
50.038
altitude
149
m
longitude
2.72187
D
80300 Pozières
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Pozières British Cemetery
Lieux de mémoire
Projet d’inscription au patrimoine mondial de l’Unesco des Sites funéraires et mémoriels de la Première Guerre Mondiale
LA BATAILLE DE LA SOMME
Beaumont Hamel (Newfoundland), Hunter’s Cemetery, Mill Road Cemetery, Mémorial franco-britannique (Thiepval Franco-British Memorial) Carrés militaires français et britannique (ThiepvalAnglo-French Cemetery), Pozières British Cemetery PozièresMemorial
Le site dit « La bataille de la Somme » est un site d’envergure nationale et internationale.
Il s’agit d’un site très particulier dans la mesure où il présente une forte densité de lieux funéraires exceptionnels. Ceux-ci sont, en outre, variés dans leurs formes (parc, mémorial, cimetière) et représentent les différentes étapes de traitement de la mort.
C’est également un lieu historique : celui de la bataille de la Somme, une des plus meurtrières.
Pozières British Cemetery
Pozières British Cemetery est aussi appelé le « cimetière des colonnes »car son architecture diffère de la tradition du cimetière-jardin. Le mémorial, édifié sur trois côtés du cimetière, porte les noms de 14 000 Britanniques et 300 Sud-africains disparus au combat entre le 21 mars et le 7 août 1918 dans le secteur.
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
source :
http://www.paysages-et-sites-de-memoire.fr/site/la-bataille-de-la-somme/
LA BATAILLE DE LA SOMME
Beaumont Hamel (Newfoundland), Hunter’s Cemetery, Mill Road Cemetery, Mémorial franco-britannique (Thiepval Franco-British Memorial) Carrés militaires français et britannique (ThiepvalAnglo-French Cemetery), Pozières British Cemetery PozièresMemorial
Le site dit « La bataille de la Somme » est un site d’envergure nationale et internationale.
Il s’agit d’un site très particulier dans la mesure où il présente une forte densité de lieux funéraires exceptionnels. Ceux-ci sont, en outre, variés dans leurs formes (parc, mémorial, cimetière) et représentent les différentes étapes de traitement de la mort.
C’est également un lieu historique : celui de la bataille de la Somme, une des plus meurtrières.
Pozières British Cemetery
Pozières British Cemetery est aussi appelé le « cimetière des colonnes »car son architecture diffère de la tradition du cimetière-jardin. Le mémorial, édifié sur trois côtés du cimetière, porte les noms de 14 000 Britanniques et 300 Sud-africains disparus au combat entre le 21 mars et le 7 août 1918 dans le secteur.
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
source :
http://www.paysages-et-sites-de-memoire.fr/site/la-bataille-de-la-somme/
Informations complémentaires
80300 Pozières
kilomètre
101,89
latitude
50.0337
altitude
142
m
longitude
2.71582
E
80800 Fouilloy
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Le mémorial national australien de Villers-Bretonneux
Lieux de mémoire
Dessiné par l’architecte Sir Edwin Lutyens et inauguré le 22 juillet 1938 par le roi George VI d’Angleterre et la reine Elizabeth, cet imposant monument est le dernier des grands mémoriaux de l’Empire britannique et du Commonwealth de la Première Guerre mondiale à être construit sur le front occidental.
Ce jour-là, la reine Élizabeth déposa un bouquet de coquelicots, qui lui avait été donné par un écolier de la région, devant le Mémorial national australien de Villers-Bretonneux lors de son inauguration.
Eut-elle une pensée pour son propre frère, Fergus Bowes-Lyon, « disparu » lors de la bataille de Loos en 1915 ?
Sur les murs du monument sont gravés les noms de quelque 11 000 soldats australiens « disparus » au combat en France.
Dans la nuit du 24 au 25 avril 1918, les soldats australiens reprirent Villers-Bretonneux des mains des Allemands, une bataille également commémorée dans le musée franco-australien situé dans l’école Victoria du village
Dans la cour de l’école se trouve un écriteau : « Do Not Forget Australia » (« Ne pas oublier l’Australie »).
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
sources :
http://www.ww1westernfront.gov.au/french/villers-bretonneux/what-happened-here.php
http://www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/memorial-national-australien-villers-bretonneux
http://www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/memorial_national_australien
Ce jour-là, la reine Élizabeth déposa un bouquet de coquelicots, qui lui avait été donné par un écolier de la région, devant le Mémorial national australien de Villers-Bretonneux lors de son inauguration.
Eut-elle une pensée pour son propre frère, Fergus Bowes-Lyon, « disparu » lors de la bataille de Loos en 1915 ?
Sur les murs du monument sont gravés les noms de quelque 11 000 soldats australiens « disparus » au combat en France.
Dans la nuit du 24 au 25 avril 1918, les soldats australiens reprirent Villers-Bretonneux des mains des Allemands, une bataille également commémorée dans le musée franco-australien situé dans l’école Victoria du village
Dans la cour de l’école se trouve un écriteau : « Do Not Forget Australia » (« Ne pas oublier l’Australie »).
Point d'intérêt décrit par Pascal G.
V1.0 mars 2016
sources :
http://www.ww1westernfront.gov.au/french/villers-bretonneux/what-happened-here.php
http://www.somme14-18.com/lieu-de-souvenir/memorial-national-australien-villers-bretonneux
http://www.somme-tourisme.com/cdt80/somme_tourisme/decouvrez/les_sites_de_la_grande_guerre/memorial_national_australien
Informations complémentaires
80800 Fouilloy
kilomètre
128,91
latitude
49.8868
altitude
90
m
longitude
2.5096
Note moyenne